Deux mille signatures si non rien !
Pétition/référendum
Madame,
Monsieur;
plus d’une centaine de délégués et militants du Syndicat des Locataires se sont réunis en congrès, ce samedi 14/01/23 pour protester contre la hausse de leurs loyers sociaux.
Dans certains cas, ces hausses atteignent au 1er janvier 2023, 150€ par mois.
En moyenne, la hausse des loyers dans le logement social concerne 25 % des locataires.
Ces augmentations sont dues essentiellement à deux phénomènes :
1) en 2022, suite au Covid, les loyers ont été calculés sur base des revenus de 2020, moyennant une légère indexation;
2) en 2023, l’indexation des loyers de base a atteint 9,7% !!!
Ces deux phénomènes ont produit des augmentations de loyer hors normes, jamais observées depuis plus de 20 ans.
Les locataires sociaux concernés sont d’autant plus dépités que le Gouvernement Régional a, pour les locataires du privé uniquement , aménagé l’impact de l’indexation des loyers en prohibant
celle-ci aux locataires vivant dans des passoires énergétiques.
Pour le Syndicat des Locataires, cette situation est injuste et hautement discriminatoire.
Afin de faire pression sur le gouvernement, les délégués et militants du SL, présents à l’assemblée, ont demandé aux locataires concernés de participer à un référendum pour déterminer si le SL devait lancer un mot d’ordre régional de
non- payement des augmentations de loyers.
Si, à l’issue ce référendum, 2.000 locataires sociaux acceptaient de participer à une action de diminution de leur loyer, l’assemblée estime que le Syndicat des Locataires devrait alors lancer un mot d’ordre de grève régionale de l’augmentation des loyers.
Les locataires concernés sont donc invités à envoyer leur avis et souhaits par mail : [email protected] ou par courrier à l’adresse : square Albert 1er numéro 22, 1070 Anderlecht, ainsi que la pétition/référendum.
Le référendum se terminera le 27 février 2023.
Pouvez-vous diffuser ce message ?
D’avance merci.
Bàv,
José GARCIA
Secrétaire général
Pour le blocage de l’indexation des loyers
SYNDICAT DES LOCATAIRES
Square Albert Ier, 22
1070 Anderlecht
COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
Ce vendredi 3 juin 2022, nous apprenons que la secrétaire d’État au Logement, Madame Ben Hamou, souhaite remettre la question de la limitation de l’indexation des loyers à l’ordre du jour du gouvernement. Le Syndicat des Locataires soutient cette initiative qu’il revendique depuis des mois. Nous espérons qu’enfin les ministres concernés, des partis de Défi et de l’Open-VLD, ne vont plus s’opposer à ce blocage de l’indexation des loyers. Le syndicat des locataires revendique le blocage de l’indexation des loyers à 2%. Cette mesure est primordiale et urgente pour la majorité des Bruxellois. Le blocage de l’indexation des loyers est une mesure URGENTE : Rappelons que la population bruxelloise est composée à 70 % de locataires : chacune de ces personnes est concernée par la hausse importante de loyer. L’indexation prenant cours le mois anniversaire du bail, à chaque chaque mois qui passe, ce sont de milliers de personnes qui voient leur loyer indexé. En février 2022, il était question d’une indexation de maximum 6% des loyers, aujourd’hui, 4 mois plus tard, c’est une augmentation d’un peu plus de 8 % qui est en vigueur. Pour l’avenir proche, certains parlent d’une indexation de 10%. Avec le temps qui passe, cette indexation est exponentielle. Nous redoutons les mois à venir.….
Le blocage de l’indexation des loyers à 2% est une mesure PRIMORDIALE : Inutile d’expliquer à quel point les ménages bruxellois vivent, actuellement, dans une situation financière délicate : augmentations des prix de l’électricité et du gaz, mais aussi de l’essence ainsi que de produits alimentaires de base. Si certains revenus vont être indexés à 2%, cette hausse ne représente rien comparée à celle des loyers qui avoisine les 8%.
La part du loyer, dans les dépenses d’un ménage, représente une grande partie, voire plus de la moitié chez les ménages les plus précaires. Cette hausse des prix des loyers entame fortement le budget du ménage et diminue la part consacrée aux autres besoins, même les plus fondamentaux. Contrairement aux multiples hausses de prix que nous subissons actuellement, on ne peut « se serrer la ceinture » sur le loyer. Même si cela est difficile, on peut toujours circuler moins en voiture, choisir de moins se chauffer, envisager de consommer moins de pains, … Mais il est peu probable de se séparer d’une pièce de son appartement pour en réduire le loyer ! Cela fait plus de quinze ans que l’indexation des loyers tourne autour des 2%. Les gens ne sont pas habitués à cette forte augmentation actuelle, qui bien sûr va se reproduire chaque mois ! Rappelons que c’est en majorité à Bruxelles que l’on retrouve les revenus moyens les plus bas de Belgique ! Les loyers des appartements bruxellois sont parmi les plus élevées de notre pays, mais cela ne va malheureusement pas de pair avec la qualité de ces biens. Au contraire ! Dans la situation actuelle, tous les bailleurs (30.000 individus, à tout casser) peuvent indexer leurs loyers, même ceux qui louent des taudis, insalubres et dangereux ! En conclusion : Les loyers des biens immobiliers ne peuvent être sujets aux augmentations, comme n’importe quel autre produit.
Les locataires sont captifs des hausses de loyers, car ils ne peuvent déménager sans difficultés et frais supplémentaires.
Pour le Syndicat des Locataires
José Garcia
Secrétaire Général
Belle avancée : le moratoire « locatif » est prorogé
SYNDICAT DES LOCATAIRES
Bruxelles : PAS D’EXPULSIONS DOMICILIAIRES JUSQU’AU 1ER MARS
En raison de la situation épidémique très inquiétante à Bruxelles, le gouvernement de la Région Bruxelles-Capitale a décidé de prolonger le moratoire sur les expulsions domiciliaires jusqu’au 1er mars 2021.
Face à la catastrophe sociale provoquée par cette pandémie, le Syndicat des Locataires salue cette décision courageuse du Ministre-Président Rudi Vervoort, de la Ministre du Logement Nawal Ben Hamou, ainsi que de tous les autres ministres dudit gouvernement. Alors que des milliers de travailleurs.euses ont perdu leurs revenus et ne peuvent plus payer la totalité de leurs loyers, la Région de Bruxelles-Capitale montre l’exemple en continuant de protéger, au milieu de l’hiver, les locataires, contrairement à la Wallonie qui n’a pas prolongé son moratoire et à la Flandre qui n’en a jamais instauré !
Pour le SL
José GARCIA
Secrétaire général
Plus d’info: 02/522 98 69 ou [email protected]
HUURDERSBOND
GEEN HUISUITZETTINGEN TOT 1 MAART
Vanwege de zeer zorgwekkende epidemische situatie in Brussel heeft de regering van het Brussels Hoofdstedelijk Gewest besloten om het moratorium op huisuitzettingen te verlengen tot 1 maart 2021. Geconfronteerd met de sociale ramp die door deze pandemie is veroorzaakt, verwelkomt het Huurderssyndicaat deze moedige beslissing van minister-president Rudi Vervoort, minister van Huisvesting Nawal Ben Hamou en alle andere ministers van de genoemde regering. Terwijl duizenden werknemers hun inkomen hebben verloren en niet langer al hun huur kunnen betalen, geeft het Brussels Hoofdstedelijk Gewest het goede voorbeeld door huurders midden in de winter te blijven beschermen, in tegenstelling tot Wallonië, dat zijn moratorium niet heeft verlengd, en Vlaanderen, dat er nooit een heeft ingesteld!
Voor het HUURDERSBOND,
José GARCIA,
Algemeen Secretaris
Wie heeft recht op de premie ?
Wie heeft recht op de premie van 214,68€ ?
Je bent huurder en je bent je job verloren omwille van de corona pandemie, je woont in regio Brussel en je wil weten of je recht hebt op deze premie. Niets is gemakkelijker.
Antwoord op de volgende vragen, en stuur ze ons per email: [email protected] en wij zullen je met plezier zo vlug mogelijk antwoorden, eveneens per email.
Naam
Voornaam
Adres van je hoofdverblijfplaats
Telefoon
Email
1.Woon je in een sociale woning of een privéwoning?
2.Is de woning waar je verblijft je hoofdverblijfplaats?
3.Wanneer ben je je job verloren?
4.Hoeveel bedragen je inkomsten?
5.Heb je kinderen ten laste? Indien ja, hoeveel ?
Aan onze politieke leiders
Beste huurders,
in het kader van de pandemie van het coronavirus en om de verschillende benaderingen te ondersteunen die we uitvoeren met de politieke leiders die van de laatste maatregelen willen profiteren ten gunste van de huurders, vragen we u hen een e-mail te sturen met uw verzoeken en om de Huurdersbond te kopiëren naar het e-mailadres:
[email protected]
Dankjewel.
Voor Huurdersbond
José Garcia
secretaris-generaal
Adressen van politieke leiders:
We hebben de verschillende regeringen gevraagd maatregelen te nemen ten gunste van huurders (geen huisuitzettingen, lagere huurprijzen, huisvesting voor daklozen, student gratis kot, etc.).
In dit verband raden we u aan een e-mail te sturen met uw verzoek aan onze eerste minister, de minister-president van uw regio en de minister van Volkshuisvesting (+ kopie naar [email protected]).
BELGIË
Sophie Wilmes
[email protected]
Brussel
Rudi Vervoort
[email protected]
Nawal Ben Hamou
[email protected]
Vlaanderen
Jan Ham
[email protected]
Matthias Diependaele
Wallonië
Elio Di Rupo
[email protected]
Pierre-Yves Dermagne
[email protected]
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À nos responsables politiques
Chères et Chers locataires,
dans le cadre de la pandémie du coronavirus et afin de soutenir les différentes démarches que nous effectuons auprès des responsables politiques visant à obtenir de ces derniers des mesures en faveur des locataires, nous vous demandons de leur envoyer un mail avec vos demandes et de mettre le Syndicat des Locataires en copie à l’adresse mail :
[email protected]
Merci.
Pour le SL
José Garcia
Secrétaire général
Adresses des responsables politiques :
Nous avons demandé aux divers gouvernements qu’ils prennent des mesures en faveur des locataires (pas d’expulsions, diminution des loyers, des logements pour les sans-abri, gratuité des kots étudiants non occupés,……).
Dans ce cadre, nous vous proposons d’envoyer un mail avec votre demande à notre 1ère Ministre, au Ministre-président de votre région ainsi qu’au Ministre du logement (+ copie au [email protected]).
BELGIQUE
Sophie Wilmes
[email protected]
Bruxelles
Rudi Vervoort
[email protected]
Nawal Ben Hamou
[email protected]
Wallonie
Elio Di Rupo
[email protected]
Pierre-Yves Dermagne
[email protected]
Flandre
Jan Jambon
[email protected]
Matthias Diependaele
kabinet.diependaele@vlaanderen.be
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Le Locamètre est sur les rails.
Le Syndicat des Locataires invite les élus bruxellois à adhérer au Locamètre
Philippe Carlot
Publié le mercredi 10 octobre 2018 à 17h39
Le secrétaire général du Syndicat des Locataires, José Garcia, dresse le constat. Malgré la pléthore d’initiatives parlementaires ou gouvernementales, la situation globale du logement ne s’améliore pas en région bruxelloise. Les élus améliorent le sort de certaines catégories de la population mais échouent à trouver des réponses pour l’ensemble des Bruxellois souffrant de loyers trop élevés ou du manque de logements sociaux.
Le syndicat crée le « locamètre »
José Garcia en est convaincu, « si tous les politiques posaient des actes, si minimes soient-ils, en faveur du droit à l’habitat, on pourrait raisonnablement conclure que le droit à l’habitat s’améliorerait dans notre pays. » Le Syndicat des Locataires a donc demandé aux élus locaux et régionaux bruxellois de s’inscrire dans un processus d’évaluation de leur action. Ceux qui accepteront de jouer le jeu et de communiquer les actes concrets qu’ils poseront seront intégrés dans ce que le Syndicat des Locataires a qualifié de « chaudron du locamètre ».
Le syndicat, en retour, donnera de la publicité aux actions des mandataires via un site internet. Une question reste en suspens : comment pondérer les différentes actions en faveur du droit à l’habitat, en fonction de la position de l’élu (commune ou région, majorité ou opposition) ou de la nature de l’acte posé (proposition d’ordonnance ou simple motion, mise à disposition d’un terrain communal pour y développer un projet de logement, etc) pour établir une sorte de palmarès reposant sur des critères équitables? Pour tenter de dégager des critères clairs et objectifs et élaborer une grille d’évaluation, le syndicat a fait appel à deux universitaires. La réflexion est encore en cours.
9 élus seulement
Au stade actuel, seuls neuf mandataires ont choisi d’adhérer au « locamètre ». Compte tenu du nombre d’élus contactés et de la proximité des élections, c’est fort peu. Tous les partis francophones ont joué le jeu à l’exception de DéFI. Mais il n’est pas trop tard pour rallier le camp des défenseurs du droit à l’habitat.
Contacts: [email protected]