Il représente un vanneau huppé (Vanellus vanellus) dit Rekhyt(en) auquel l'ont a entrecroisé les ailes de manière à l'immobiliser. Il est translittérérḫ(y)t.
C'est un phonogramme ou complément phonétique de valeur rḫ(y)t dans le terme rḫy.t
(variante
)
« sujets, gens du commun, humanité »[1] (rapport avec le comportement collectif de l'oiseau).
Au Nouvel Empire le signe évolue par l'ajout de deux bras humains vers le ciel en adoration et l'aigrette et souvent remplacée par une ou deux oreilles pointues (signe G24A hors liste originale), il exprime alors l'adoration.
Moustafa Zayed, Les oiseaux dans l'Égypte pharaonique: Etude méthodique d'après les signes hiéroglyphiques des oiseaux (mémoire présenté comme exigence partielle de la maîtrise en histoire), (lire en ligne).