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La Moldo de
Smétana
cliquez
https://www.youtube.com/watch?v=gTKsHwqaIr4
La nuit
porte conseil.
La fin du
monument Guillaume Tell
Il adore
mettre sa pomme quelque part et avec la flèche de Cupidon tiré.
La
pratique est bien huilée. Tout est calé comme une chorégraphie a succès qui
tourne depuis longtemps, reprise même après la mort du chorégraphe.
Tous les pas marquent au sens, au sang , à l’économie
avec le
maximum de geysers émotionnels.
« L’espoir c’est un renoncement ».
J’abdique.
« Le
tocsin à la douzaine d’huitres a bien sonné.
Treize à
la douzaine » dans le Morbillan, me permit d’envoyer des signes
Ecritures,
oraux.
Nous ne savons jamais où l’on tombe aujourd’hui en 2018.
Les
anglais disent bien : fall in love.
Abandonnons.
Bien
souvent ce sont de tous les autres que çà raconte
Ou
se repêche de la fosse à "passer".
Corps à
corps dans la nuit
Côtes à
côtes sans jamais suivre la même destination
Le chemin
à l’autre est une page blanche
Les
routes de l’homme s’insinuent en son propre cœur.
Pourquoi
faut –il que certaines voies soient des impasses ?
C’était
peut-être une utopie de dents de lait.
Nous
avions bu la même bouche du désir
L’espoir ,
l’errain de l’endurance.
Je reste
sur la première phrase
L’espoir
est renoncement.
La lumière
parle au propre et au figuré.
Chacun
dans ses routes a les hiéroglyphes
de ses chemins de Dallas (lapsus je garde)
ses chemins de Damas.
Depuis cet
été où je fus beaucoup courtisée,
Vite je mis
en touche les joueurs
Dont leur jeu
Etait
truqué et vite repérable.
Combien
d’années m’a –t-il fallues
pour avoir l’œil perspicace,
La note
ancienne qu’ils font taire de leur trébuchement,
nous ne sommes qu'écran
quel prix !
ce droit de passage après cuisses-sages,
des essences, des
sels ressentis : la gabelle .
Toujours
dans la ligne mélodique du jour.
Heureusement
pour moi les objets petit a en écho
Quand je
dis oui, c’est du bon, très bon.
BONBANANIA.
J’ai
remarqué que l’homme laisse
pousser ses prairies internes,
Comme le
lit profond des fleuves agités,
L’empreinte
du destin,
La piste
des méduses,
Le pas
disparates des crabes,
il y a
pas eu beaucoup d’analyse,-psychanalyse-
Le déni
après chambarde tout.
Certains
pensent que la pilule bleue résoudra
Atchoum !
le calibré, courir avec la montre
Vous
parlez d’un parcours d’obstacle,
Là,
encore nous notons : une excision du désir.
Je suis
ravie de cette merveilleuse histoire.
Le tocsin
sonne à la douzaine de jours
sans nouvelles
Le
treize jour est une tentative de forcing
Le quatorzième
la conclusion poétique
Quand la
belle âme troublante
Mérite
l’attention du plaisir qu’elle nous a offert.
Il s’appelait
Gabriel
Sur la
pomme tel Guillaume Tell il tira
avec son arc de Cupidon.
La flèche.
Il n’a pas eu son Echo, sourd à soi- même,
Quel dommage !
Sa beauté,
sa subtilité, son zèle
lui fit obtenir le oui
d’une dame qui dans son dentier avait coincé le oui
au moins depuis trente ans.
S’attendait-il
au canal du Panama, de Corinthe, de Suez ?
Fut-ce
pour elle qu’un détroit de Gibraltar
La dame
côté armée française…
Lui anglaise.
Pas sur.
Non ne le
saurons pas.
Manouche
un jour avait écrit en commentaire
« L’homme
qui vit sans mythe
mène sa vie dans l’indifférence »,
La dame est pleine de mythes - d’histoires
Celle-ci
sera bientôt
un conte merveilleux comme celui " du fleuve Amour".
Pour le ravissement
des ado, de grands ,des seniors.
La dame
dit souvent et pas qu’elle :
« L’amour n’a pas d’âge »
L'éphémére c'est ce qui est éternel.
Disait un sage.
Il a du le coudre à l'écusson de son uniforme.
Les traces du serpent blanc des sables.
définition de Mouchkine pour son spectacle Ephémères.
Fin
Frankie
Map’s Monde
Droits réservés
merci à Josué Guébo
aux chemins de Babo Naki
poésie l'Harmattan
que j'ai lu hier soir et qui m'a soufflé de belles images.
merci
Josué Guébo
je viens de terminer son magnifique ouvrage et je vous invite à découvrir cet auteur
j'ai les poils qui se dressent sur la peau tant cet homme est à lui seul un condensé subtile de l'histoire de son pays
des humains, ce que les livres de la psychanlyse disent en trois cents pages lui c'est en quelques vers
Philosophe dans son regard
vraiment nous avons besion de lire de tel livre, le monde hurle de partout, nous ne pouvons plus rester dans nos reserves,
et c'est de la poésie.
Vous pouvez me faire absolument confiance.
KUPKA
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