dimanche 25 octobre 2009

flanons ce dimanche dans les images




"Un coup de somondre"





Avertissement ou mise en garde, souvent accompagné d'une menace.


'Semonce' est un substantif issu du participe passé du verbe 'somondre', au XIe siècle, devenu 'semondre' au XIIe.
Ce verbe a eu plusieurs significations au cours du temps : au XIe, il voulait dire "inviter quelqu'un à faire quelque chose" ou bien "convoquer les vassaux" ; au XIIe, il signifiait "sommer quelqu'un de s'expliquer sur un fait" ; au XIIIe, c'était "convoquer en justice" ; au XVe, on l'utilisait pour "avertir en adressant une réprimande" et au XVIIe pour "réprimander".

'Semonce' a suivi la plupart de ces significations. À partir du XVIe siècle, il équivaut à un 'avertissement'.
Au début du XVIIIe, dans la marine, la 'semonce' est un ordre donné à un navire de montrer ses couleurs, autrement dit de hisser le drapeau qui permet d'en identifier l'origine.
Le coup de semonce est alors le premier coup de canon, tiré à blanc ou loin de la cible, qui intime l'ordre à un autre navire d'affaler les voiles, de s'arrêter et de hisser des couleurs. Avec la menace implicite que si l'ordre n'est pas respecté, les prochains coups de canon serviront à couler le bateau.

C'est depuis le début du XIXe siècle que notre coup de semonce est, hors du domaine maritime et de manière figurée, devenu un avertissement, souvent assorti d'une menace dans le cas où la sommation ne serait pas respectée.

vendredi 23 octobre 2009







Frankie Pain
actrice, conteuse

Actrice
(Fellini, Mocky, JP Jeunet, Francis Kuntz et pascal Rémy, les fréres Coen ), et Euric ?!

auteure dramatique :
dont
« les fracasseries de Rose de Pauillac » en 7 épisodes,
conteuse tout terrain,

modèle plantureuse,

et aussi Coaching,

Atelier d¹écriture en petit groupe ou à la carte

[email protected]

la résidence "Terre Neuve" à Martinez





écriture deuxième bain été automne 2009
de "Rose la Robeuse des châteaux" avec
le photographe Fabrice Lassort de Bordeaux.
exposition fin novembre à bordeaux pour Fabrice

et les dernières roses de Pommehttp://almanachronique.blogspot.com
je vous invite à aller visiter ses blogs
de celui là vous aurez les autres
contes
almanach
j'ai descendu dans mon jardin

"le passage au caviar"


premier repentir de "la robeuse des châteaux" à la joncière bordeaux
public majorité de femmes dans une maison de repos et de convalescence.
les infirmières m'ont fait les gros yeux, elles avaient beaucoup de choses à raconter,
aprés ce récit de vie. C'était en 2004
« Passer au caviar / caviarder »


Cacher ou supprimer
Censurer


Il faut savoir qu'en Russie, sous Nicolas Ier, à la fin du XIXe siècle, la censure était fréquente et que, dans les publications et livres imprimés, il n'était pas rare de trouver des taches noires, faites à l'encre, destinées à rendre indéchiffrables les passages qu'on voulait censurer.

Or, il se trouve que le caviar, principalement originaire de Russie, est également noir.
C'est pourquoi, en raison du pays d'origine commun, la comparaison a été très vite faite entre ce met souvent servi dans les pince-fesses huppés et ces taches matérialisant la censure.

Utilisé en argot depuis le début du XXe siècle dans le milieu journalistique, le "passage au caviar" a ensuite donné le verbe caviarder.

"passer au caviar

samedi 17 octobre 2009

Elle se cache dans les coins, ses fans la photographient


profitez-en

Conte d'Henri Gougaud :pour les questions inquiétes

Djinna Nabara et le prince paralytique



Il était une fois un paisible sultan, riche à n’en plus pouvoir, simple comme un ciel pur, heureux comme un vieux coq aux siestes délicieuses. Il se croyait sage, mais non. Il ne savait pas que le sort est un aveugle inconséquent qui n’épargne pas plus les princes que les chiens et les laboureurs. Son fils aîné tomba malade. Une étrange paralysie le tint couché, un beau matin, sans plus de force dans ses membres qu’une défroque abandonnée. Médecins, devins, astrologues, maîtres mystiques, guérisseurs ne purent rien pour sa santé. Le pauvre enfant resta affalé sur sa couette à contempler son ciel de lit. Son père en perdit le sommeil, l’appétit et le goût de l’or. Il en était à s’imposer des flagellations rituelles quand un jour d’été, vers midi, une vieille en haillons, maigrichonne, édentée vint au grand portail du palais. Les gardes croisèrent leurs piques devant sa figure fripée.

- Je veux voir le sultan, dit-elle. C’est urgent.

- Retourne à tes rats, vieille bique, répondirent les préposés.

- Très bien, dit la vieille.

Elle hurla. Elle hurla comme cent sirènes, à faire s’envoler comme des feuilles mortes les sentinelles à reculons, à faire frémir les remparts, à faire exploser les fenêtres. Le sultan, le poil hérissé, passa sa tête épouvantée entre les rideaux des fenêtres. Il cria dans la cour :

- C’est quoi ?

- Sultan il faut que je te parle, lui dit sobrement la furie. C’est au sujet de ton garçon.

- Monte donc. Non, attends, j’arrive.

Rencontre au bas de l’escalier.

- Parlons peu, parlons bien, lui dit l’étrange aïeule. Un seul être ici-bas peut guérir ton enfant, c’est Djinna Nabara, le plus savant des djinns du pays invisible. Une fois par semaine il vient boire à l’étang du val des Rochers Noirs. Profites-en, capture-le. Use de ruse, sois aimable, sinon je n’ose pas te dire ce qu’il fera de tes troupiers. Je le connais bien, c’est mon fils.

Elle s’en alla en ronchonnant contre les débris de vitrage dégringolés sur le pavé.



Conseil de guerre. Comment faire pour capturer aimablement le puissant Djinna Nabara ? Plan soufflé par un serviteur au ministre de la défense :

- On assèche l’étang du val des Rochers Noirs. On remplace l’eau par du vin. Le djinn boit. Bien sûr, il s’énivre. Il s’endort. Le tour est joué. Quand il se réveille on l’invite à venir déjeuner chez vous.

Magnifique idée. Adoptée. Le jour venu, tout est en place : la police dans les buissons, le sultan priant sous un arbre, le vin clapotant dans l’étang. On attend Djinna Nabara. Il arrive. Terrible, certes, mais finalement assez beau. Il plonge, il boit, il se pourlèche. Il reboit, ses yeux brillent, il rit. Troisième lampée, il déborde, il rote, il titube, il s’abat parmi les cailloux de la rive. Quand il s’éveille le sultan est assis là, près de sa tête. Mots choisis, sourire crispé. Il l’invite dans son palais. Le djinn part d’un éclat de rire. C’est d’accord. Les voilà partis. En chemin ils croisent trois hommes, un devin et deux chercheurs d’or, assis dans l’ombre d’un vieux mur. Deuxième éclat de rire de Djinna Nabara. Surprise du sultan, mais pas de commentaire. Les voici au seuil de la chambre où gît l’enfant paralysé.



Ils entrent. L’air est plutôt triste. Pourtant, pour la troisième fois, le djinn s’esclaffe bruyamment.

- Sultan, dit-il, dans pas longtemps ton fils dansera, je l’affirme pour peu que toi-même, ta femme et ton vizir ici présent fassiez ce qu’il faut pour cela.

Chœur parfait des trois désignés :

- Quoi que ce soit, nous le ferons.

- Il faut, reprit le djinn hilare que chacun dise sans mentir le désir intime, secret, inavouable qui l’habite. A cette seule condition le jeune prince guérira.

- Parle, vizir, dit le sultan.

L’autre, gêné, baisse la tête et tousse trois fois dans son poing. Il dit enfin :

- Sultan mon maître, je te dois tout, je sais cela. Je suis un conseiller fidèle. Je suis prêt à donner ma vie sur un seul ordre de ton œil. Mais j’avoue, je préfèrerais être à ta place qu’à la mienne. Voilà, j’ai dit la vérité.

Le djinn lui tape dans la main. Il s’écrie :

- Bien parlé, vizir !

- A moi, maintenant, dit l’épouse. Mon mari, tu es le meilleur et le plus généreux des hommes. Je bénis le Ciel tous les jours de pouvoir vivre auprès de toi. Mais tu as soixante-dix ans, et moi à peine plus de trente. Parfois (oh, quelle honte j’ai !) je rêve d’un palefrenier qui me prendrait comme une bête sur la paille de l’écurie. Voilà, c’est tout, j’avoue, pardon.

- Voilà ce que j’appelle une femme sincère, s’exclama Djinna Nabara. A toi, sultan.

- Oh, moi, j’ai tout. Mais au fond secret de mon cœur, quand il me faut donner, je souffre. J’ai peur de manquer, c’est idiot.

- Tous les rois sont ainsi, dit Djinna Nabara. Vous avez été courageux. Voici la recette miracle : sous le lit de votre garçon se cache une poulette noire. Qu’on en fasse un bouillon et que l’enfant le boive. Il sera aussitôt sur pied.



Guérison du cher fils, festin, fête royale. Comme il raccompagnait le djinn sur le perron :

- Mon cher ami, dit le sultan, une question me reste au travers de l’esprit. En entrant dans la chambre, pourquoi donc as-tu ri ?

- J’ai vu le poulet noir sous le lit du garçon, et j’ai pensé : cet homme a, des années durant, remué la terre et le ciel pour guérir son fils bien-aimé alors que le médicament était à portée de la main. J’ai trouvé cela drôle.

- Tu as aussi ri de bon cœur quand nous avons croisé ces hommes, sur le chemin de mon palais.

- Oui, oui, c’est vrai. Ce faux devin expliquait aux deux chercheurs d’or qu’une fortune de pépites les attendait dans le désert. Or, un trésor était caché à deux mètres sous ses sandales.

- Mais ce qui m’a le plus surpris fut ton premier éclat de rire quand tu t’es réveillé, tout imbibé de vin.

- J’ai ri de moi, sultan, oh oui ! Moi le savant, moi le grand djinn, j’ignorais que quelques goulées de ce breuvage délicieux pouvaient m’endormir pour trois heures. L’aurais-je su, assurément, j’aurais feinté le traquenard. Franchement, quel idiot je suis !

Il rit encore, il s’envola, se fit lumière et se fit ciel. Le fils vint à côté du père et lui dit adieu de la main.

(Henri Gougaud, Le livre des chemins, contes de bon conseil pour les questions inquiètes)

Cahier de préparation d'un rôle





Images de mon cahier de préparation Aout septembre octobre :
mettre à mon optimum mes expressions
ou mes imaginaires pour certaines scénes spéciales
où l'on doit faire des analogies et des métaphores...

je dévoile les secrets de fabrique , mon alchimie, ma boite à outils
moi FRANKIE pain l'ouvrière du ciméma français,plus exactement "la journalière"

je viens de recevoir la lettre bleue de l'appel à la quille de la retraite
alors comme la mongolfière je lâche des sacs de sables
pour voler plus haut
trouver des désirs nouveaux
afin de fleurir les années
où je n'aurai pas à courir comme une chienne
les contrats où mes si longues années d'apprentissage et d'attention
ne déclenchent pas les bourses des production :
" Frankie pain vous êtes not banquetable"...

vous inquiètez si ll'on m'offre à jouer des rôles interressants je serai comme le fleuve à l'océan je m'y plongerai somptueusement

Revenons au cahier de préparation
le cerf ,la nuit quand le soleil pénétre ses draps safranés,
que l'humus des bois livre les éclosions de la nature et ses fragances
enfin bref vous n'êtes pas idiots,
et le champignon

je fais des rebus...
Cordialement vôtre et beau week end

Chroniques d'un tournage de septembre octobre 2009


tissu d'un accesoire de mon rôle joué dans le film mystérieux dans lequel je délaisais l'atelier régulièrement pour oeuvrer,
bientôt je souhaite vous donner l'adresse d'un blog
quand les maestros : Francis Kuntz et Pascal Rémy auront montés les premiers interviews,
ils sont comme Spielberg, j'ai du donné ma garantie de ne pas en parler avant eux,
(c'est tout absolument normale çà fait quelques années qu'ils s'éreintent les méninges pour pouvoir le monter financièrement et rassembler tous les tenants ,créateurs des points stratégiques pour le tourner, tous furent de haut niveau de voltige de l'art , de la destérité, c'était une ligne de crête je me permets de les saluer tous).

je dois bien vous donner des comptes, chers lecteurs, de mes disparitions



l'ancêtre Pierre Alexis et classe élémentaire première année avec la petite Martine

vendredi 16 octobre 2009

"Mystère et boule de gomme"

Combien de fois j'ai employé cette expression quand j'étais gamine
sans savoir le sens , c'est rigolo et rythmé, cela me donnait de l'importance et de l'enigme.

Voyons !

« Mystère et boule de gomme »


Très mystérieux.


Cette expression est d'usage courant même s'il est probable qu'elle est de source enfantine.

D'aucuns y voient une plaisanterie autour du titre du roman de Jules Verne, "le mystère de la Bégum".
Mais comme l'expression n'est attestée qu'au milieu du XXe siècle (Henri de Montherlant l'utilise en 1949 dans "Demain il fera jour"), soit bien après la parution de cet ouvrage, le lien est peu probable.

D'autres y voient plutôt ceci :
Vous savez que, chez une voyante, la boule de cristal permet de découvrir un certain nombre de choses, passées ou à venir, et à expliquer certains mystères concernant la personne qui consulte l'experte en divinations. Il va de soi que c'est la limpidité du verre qui favorise ces découvertes étonnantes .
Mais si, à la place d'une boule de cristal, madame Irma utilise une boule d'un matériau sans transparence, comme une boule de gomme, par exemple, elle ne pourra rien voir et le mystère restera inexpliqué.

mercredi 14 octobre 2009

"Chercher des noises"


Chercher querelle, chercher la dispute
Chercher à embêter (quelqu'un).

L'étymologie généralement proposée pour le mot 'noise' est plus qu'étrange. En effet, au XIe siècle, il a signifié 'bruit' ou 'tapage' (il a d'ailleurs donné le 'noise' anglais pour 'bruit'). Puis il a pris le sens de 'querelle' ou 'dispute', glissement sémantique qu'on peut peut-être expliquer par le fait qu'une dispute génère du bruit. Mais quand on sait qu'il est issu du latin 'nausea' qui veut dire "mal de mer"[1], on se perd en conjectures pour justifier une telle origine.

Toujours est-il que si l'emploi de 'noise' est devenu de moins en moins fréquent depuis le XVIIe siècle, il reste d'usage dans notre expression qui date de cette époque et qui a existé sous quelques formes comme "chercher noise", "chercher une noise" ou même "chercher noise pour noisette" où la 'noisette', qui avait le sens de "très peu de choses" désigne ici un motif futile.
D'ailleurs, même sans ce complément, la locution suppose souvent que celui qui cherche des noises le fait pour des raisons peu justifiées.

Le deuxième sens proposé est plus récent. Il est une atténuation du sens initial, même si celui qui embête l'autre peut finalement s'attendre à provoquer une dispute.

[1] Bien que ce soit un peu hors sujet, j'en profite pour rappeler que la soeur de James Bond s'appelle Nauséa.

mardi 13 octobre 2009

essai de philosophie sur la gourmandise proferait par pélagie de la motte du marais Mouillé et son valet de pied en Cap




donné pendant 6 heures à Murat dans le cantal en septembre
à la fête du cornet cornas

"La quille"

« La quille »


La fin du service militaire (pour un appelé).
La libération (pour un prisonnier).


Maintenant que le service militaire obligatoire n'existe plus, les jeunes Français ne peuvent plus connaître la joie des travaux de nettoyage des toilettes, de balayage des couloirs ou de peinture des bordures de trottoirs.
Ils ne peuvent pas non plus goûter aux activités viriles comme le parcours du combattant ou la course sur vingt kilomètres en treillis et rangers en portant un sac à dos plein de pierres.

Enfin, ils ne peuvent plus apprécier les manifestations de franche et juvénile camaraderie comme le lit en portefeuille ou le seau d'eau pris en pleine poire pendant le sommeil, par exemple.
Du coup, il ne savent pas non plus ce qu'est le plaisir de décompter laborieusement les jours qui restent avant la fin du service, cette fameuse 'quille' que tout appelé normalement constitué fête avec un immense bonheur.

Mais pourquoi appelle-t-on 'quille' ce retour tant attendu à la vie civile ?
Eh bien, au risque d'en décevoir quelques-uns, je dois avouer qu'on ne le sait pas.
On dispose bien de quelques hypothèses, émises par d'éminents lexicographes ou d'anonymes individus, dont certaines un peu loufoques, mais il n'y a aucune certitude.
Je vais donc vous proposer deux explications parmi les plus plausibles.

Autrefois, lorsqu'on était prisonnier (parce que pour ces gens-là aussi, la libération c'est la quille) ou bidasse, le décompte des jours restant se faisait à l'aide de bâtons tracés sur des support divers.
Il est alors aisé d'imaginer comparer ces bâtons, droits comme des I et placés côte à côte, à des quilles qui sont éliminées une par une, jusqu'à ce que la dernière, LA quille subisse enfin le même sort.
Voilà pour la première hypothèse.

À l'époque où cette locution est apparue, en 1936, il était courant pour la hiérarchie militaire, paraît-il, de tenter de limiter les ardeurs sexuelles des jeunes et bouillants appelés en mêlant à leur alimentation du bromure de potassium, produit anaphrodisiaque par excellence.
La fin du service militaire était donc, pour les militaires libérés, la promesse du retour d'une véritable et belle érection, une grosse 'quille', pour les plus modestes[1].
L'expression 'la quille bordel !', maintes fois proférée, pourrait d'ailleurs être une confirmation de cette hypothèse, cette virilité retrouvée permettant effectivement d'aller fréquenter avec efficacité un tel lieu de débauche.

On peut encore ajouter trois pistes parmi les moins capillotractées :

Vers 1900, le verbe 'quiller' signifiait 'abandonner', 'quitter' ou 'partir'. 'Quille' pourrait donc être un subtantif tiré de ce verbe pour désigner le départ.

Il pourrait aussi y avoir un lien avec l'argotique 'quille' qui désigne aussi une bouteille ("une quille de roteux"), le genre de récipient que le libéré va enfin s'empresser de vider avec joie une fois son paquetage rendu.

Enfin, au milieu du XIXe siècle, "jouer des quilles" c'était "s'enfuir", les 'quilles' désignant les jambes. Alors y aurait-il un lien avec ces quilles que l'appelé s'empresse d'utiliser pour fuir son lieu de casernement ?

[1] Et même si l'usage du bromure n'est qu'une légende -il paraît qu'une intense activité physique, comme celle qu'on pouvait pratiquer au début de son service militaire, suffit à provoquer une baisse importante des besoins sexuels- le manque de ce type d'activité en milieu militaire et l'idée de pouvoir pratiquer librement à la libération pouvait suffire à associer cette dernière à une 'quille' pouvant s'exprimer pleinement.


Une légende très répandue dit que "La Quille" était le nom d'un bateau qui ramenait les bagnards libérés de Cayenne ou des forçats d'un éventuel autre endroit, ce qui pouvait suffire à expliquer l'origine réelle de cette fameuse 'quille'.
Mais, interrogé et après des recherches, le Musée de la Marine à Paris a indiqué n'avoir aucune trace d'un bateau ayant ce nom et ayant servi à ce type de transport.

lundi 12 octobre 2009

Octobre m'a pris dans ses bras



Désolée pour cette longue absence, vous ne serez pas triste en voyant ce film dont je garde encore le secret, qui m'a retenue loin de vous. Vue le rôle que m'ont avait confié je suis allée faire une retraite à la ferme "Terre Neuve" à Martinez prés de Mont Flanquin.
je vous ai semé quelques indices , si le personnage était marié il eut pu l'être avec l'homme de cette aquarelle dont l'expression est très typée de ce qu'il peut penser politiquement
a bientôt