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1622 en santé et médecine

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Cet article présente les faits marquants de l'année 1622 en santé et médecine.

Événements

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  • 23 juillet : Gaspare Aselli (v. 1581-1626), chirurgien et anatomiste italien, découvre les chylifères, qu'il nomme « vaisseaux lactés » en raison de l'aspect laiteux qu'ils présentent lors de la digestion des aliments[1], découverte qui sera publiée à titre posthume, en 1627[2], sous le titre de De lactibus sive lacteis venis[3].
  • « Le Parlement de Provence [ne permet plus le] relâchement des navires provenant du Levant que dans les ports de Marseille et de Toulon, qui sont les seuls à être équipés de lazarets », celui de Toulon venant d'ouvrir[4].

Publications

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  • Bartolomeo Accursini, archiatre de Ravenne, fait paraître le premier volume de ses « traités et consultations médicales » (Tractatuum et consultationum medicinalium tomus prior[8]).
  • Vincenzo Alsario della Croce (v. 1576 – apr. 1632), professeur de médecine pratique à la Sapienza, médecin et camérier particulier du pape Grégoire XV, publie son traité De Quaesitis per epistolam in arte medica[9].
  • Johannes Assuerus Ampzing (de) (1559-1642), professeur de médecine à Rostock et médecin du duc de Mecklembourg, fait paraître son De hydrope[10] (« De l'hydropisie »), une des « thèses défendues sous sa présidence et probablement rédigées par lui en tout ou en partie[11] ».
  • Camillo Baldi (v. 15471634), professeur de logique et de métaphysique à Bologne, fait imprimer son Trattato come da una lettera missiva, si conoscano la natura e qualità dello scrivente, premier ouvrage connu de graphologie[12].
  • Richard Banister (en) ( ), ophtalmologiste anglais, praticien à Stamford dans le comté de Lincoln, fait suivre d'un Breviary of the eyes[13] la réédition du Treatise of one hundred and thirteen diseases of the eyes and eyelids[14], traduction anglaise par Anthony Hunton du Traité des maladies de l’œil[15] de Jacques Guillemeau.
  • Marcus Banzer (de) (1592-1664), médecin allemand, fait paraître à Augsbourg son recueil d'ordonnances médicales sous le titre de Fabrica receptarum[16].
  • Isodoro de Barreira (  ?), frère de l'ordre du Christ, publie son ouvrage sur « les plantes, fleurs et fruits qui sont mentionnés dans les Écritures saintes[17],[18] ».
  • Gaspard Bauhin (1560-1624), médecin et naturaliste suisse, publie une flore des environs de Bâle, qu'il intitule Catalogus plantarum circa Basileam sponte nascentium[19].
  • Daniel Becker (1594-1655), professeur de médecine, originaire de Dantzig, fait paraître son Medicus microcosmicus[20],[21],[22].
  • Basilius Besler, médecin, apothicaire et botaniste de Nuremberg, fait paraître la suite du catalogue illustré de sa collection de curiosités naturelles[23].
  • Anton Günther Billich (de) (1598-1640), « médecin chimiste antiparacelsiste allemand, archiatre du comte d'Oldenbourg[24] », publie en latin sa « réponse aux remarques d'un anonyme sur les « Aphorismes chimiatriques » » de son beau-père, Angelo Sala (1576-1637[25]).
  • Sebastian Bloss (de) (1559-1627), médecin allemand « qui fut pensionné par la ville d'Ulm, suivant Schenck (en) », fait imprimer à Tubingue une Disquisitio totius sceptisos anatomicae[26].
  • Tomaso Boncore, docteur en philosophie, en médecine et en droit, fait paraître son traité De populari, horribili ac pestilenti gutturis affectione, ouvrage consacré à l'épidémie de diphtérie qui sévit alors dans le royaume de Naples[27].
  • Christophe Cachet (1572-1624), écrivain et médecin, conseiller et archiatre de Lorraine, publie ses Épigrammes équestres[28], satire dirigée contre les alchimistes et les charlatans[29].
  • Pietro Castelli (entre 1570 et 15751661), médecin et naturaliste italien[30], publie ses deux « lettres sur l'hellébore[31],[32] ».
  • Juan de Castello, pharmacien et professeur de médecine à Cadix, publie sa Pharmacopoea, medicamenta in officinis pharmaceuticis usitata explicans[33].
  • Sous le titre de Musaeum Francisci Calceolarii[34], les médecins Benedetto Ceruti ( ) et Andrea Chiocco ( ) éditent un catalogue « méticuleusement et admirablement illustré » du « musée » du pharmacien et botaniste italien Francesco Calzolari (1522-1609), cabinet de curiosités entretenu et développé par son arrière-petit-fils, également prénommé Francesco[35].
  • Giacomo Ferrari propose ses « réflexions sur l'épidémie […] de fièvre à pétéchies » qui sévit alors dans la région de Mantoue[36].
  • Henrich Flacht fait paraître à Bâle sa « méthode de guérison idiopathique et sympathique[37] ».
  • Hermann Follin, professeur de médecine à Cologne, fait imprimer deux discours chez Gerhard Grevenbruch, l'un sur la fièvre à pétéchies, l'autre sur le rapport entre les théories chimique et hippocratique[38].
  • Arnauld Gilles publie ses Fleurs de remèdes contre le mal de dents[39], où il rend compte de divers cas d’hémorragie consécutive à l'extraction d'une dent[40].
  • Charles Guillemeau (1588-1656), fils de Jacques Guillemeau, chirurgien comme son père au service du roi Louis XIII, publie son commentaire des Aphorismes d’Hippocrate ( [41]).
  • Samuel Hafenreffer (de) (1587-1660), professeur de médecine à Tubingue, place son traité de thérapeutique et de pharmacologie sous l'invocation de l'archange guérisseur Raphaël[42].
  • Gregor Horst (de) (1578-1636), proto-médecin de Hesse, publie son « Pronostic des fièvres », tiré des Prénotions de Cos, d'Hippocrate[43], ainsi qu'une édition augmentée de son ouvrage sur la dysenterie[44].
  • Édition posthume, à Lunebourg, par Matthieu Bacmeister (1580-1626), du quatrième volume[45] des « Œuvres médicales » (Opera medica), de François Joel (1508-1579[46],[47]).
  • David Jouyse (fl. 1620-1622) publie sa virulente réponse au livre de Jean de Lampérière (1573-1651) paru en 1620 « sur le sujet de la peste[48],[49],[50] ».
  • Johann Knyphe publie son « Confort des yeux » (Augen Trost), traité de médecine oculaire[51].
  • Nicolas Abraham de La Framboisière (1560-1636) fait paraître trois ouvrages, l'un sur « les écoles de médecine[52],[53] », l'autre sur « la préparation des médicaments[54] » et le troisième sur « le traitement des fièvres[55] ».
  • Sous le titre de L'Ombre de Nécrophore, vivant chartier de l'Hôtel-Dieu[56], Jean de Lampérière (1573-1651) répond violemment aux critiques que David Jouyse vient de lui adresser dans son Examen du livre de Lampérière[50].
  • Gilles de L'Angélique, alchimiste, apothicaire et chirurgien, fait paraître un traité sur La Vraye Pierre philosophale de médecine[57].
  • John Macollo (1576 ? – 1622), professeur de médecine chimique et médecin ordinaire de Jacques Stuart, fait paraitre à Londres un traité sur la syphilis[58].
  • Publication posthume du Liber responsorum et consultationum medicinalium, d'Alessandro Massaria (1510-1598[59]).
  • Benito Matamoros Vasquez Gallego, professeur de médecine à Osuna, commence à publier un « choix de thèses de médecine », dont le premier tome restera unique (Selectarum medicinae disputationum tomus I[60]).
  • La traduction française des chapitres 1 à 8 du livre 4 du De gli errori popolari d'Italia[61] (1603) de Girolamo Mercurio (it) ( ), par Jean de Gorris[62],[63] ou Jean Duret[64], est publiée à Paris chez Denys Langlois sous le titre de Discours de l'origine, des mœurs, fraudes et impostures des charlatans[66].
  • Johann Neander (1596 ? – 1630 ?), homme de lettres et médecin allemand, fait imprimer chez Isaac Elzevier sa « description medico-chirurgico-pharmaceutique du tabac[67] ».
  • Tommaso Neri (it) (1560 ? – 1622 ?), publie son De Tyburtini aeris salubritate commentarius, « commentaire sur la salubrité de l'air de Tivoli[68] ».
  • Alessandro Peccana, médecin de Vérone, fait paraître ses commentaires sur les propriétés médicinales de la « scandella[69] », c'est-à-dire de l'orge[70].
  • François Pona, docteur en médecine de l'université de Padoue, publie un « Antidote bézoardique contre tous les poisons » (Antidotus bezoardica adversus omnia venena[71]).
  • Pierre Potier ou de la Poterie (1587-1640), originaire d'Angers, établi à Bologne, fait paraître une « pharmacopée spagyrique » (Pharmacopoea spagirica[72],[73],[74]).
  • Hubert Arnold Rietmakers, médecin brabançon, donne un traité sur la colique néphrétique et les calculs urinaires (Tractatus de nephritico dolore[75]).
  • Francesco Rossi, médecin génois, fait paraître ses Nocturnae exercitationes in medicas historias[76], réflexions en latin sur l'histoire de la médecine[77].
  • Angelo Sala fait suivre sa Chrysologia, traité contre l’or potable, d'Aphorismes chimiques critiqués la même année par un anonyme et aussitôt défendus par Anton Günther Billich (de) (1598-1640), gendre de Sala[78].
  • Édition posthume du traité sur la mélancolie (Dignotio et cura affectuum melancholicorum) du comosgraphe et historien espagnol Alonso de Santa Cruz (1505-1567) par son fils Antonio Ponce de Santa Cruz (en) (1561-1632), professeur à Valladolid et médecin du roi Philippe IV[79].
  • Antonio Ponce de Santa Cruz (en) (1561-1632), professeur à Valladolid et archiatre du roi Philippe IV, fait imprimer à Madrid sa Philosophia Hippocratica[80], ainsi que, en un volume in-folio, des Opuscula medica et philosophica dont le dernier consiste dans l’édition du traité sur la mélancolie de son père, Alonso de Santa Cruz[81].
  • Antonio Santorelli (1583-1653), professeur de médecine au gymnase de Naples, fait paraître son Antepraxis medica[82].
  • Francesco Scacchi (1577-1656), médecin, originaire de Fabriano, praticien à Rome, donne son traité sur les boissons (De salubri potu dissertatio[83]).
  • Devant la menace d'un retour de la peste dans le Milanais, et pour faire profiter de l'expérience qu'il a acquise lors de l'épisode de 1576, Ludovico Settala (1550-1633) reprend des écrits de jeunesse[84] sous le titre de De peste et pestiferis affectibus[85].
  • Parution à Bâle d'une dissertation De philtris, d’Hector Zolicoffer, docteur de la faculté de médecine de Montpellier[86],[87].

Personnalités

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  • Fl. Jean Portays, maître chirurgien à Morannes, dans le Maine[88].
  • Fl. René Béhigné, maître apothicaire à La Flèche dans le Maine[88].
  • 1612-1622 : fl. Johann Günther, auteur, en 1621, d'un manuel pour l'étude du traitement des maladies complexes, « exercices » tirés de la Méthode thérapeutique de Galien[89].
  • 1620-1622 : fl. David Jouyse, médecin de peste de la ville de Rouen, accusé par son confrère Jean de Lampérière « d'une méprise qui aurait entraîné la contamination de la demeure [d'un] pestiféré[50],[48],[90] ».
  • -1622 : fl. Hector Zollicoffer, docteur en médecine de la faculté de Montpellier en , et auteur d'une dissertation De philtris, publiée à Bâle par Jean-Jacques Genastius en 1622[86],[91].
  • Giulio Jasolino (it) (né en 1538), anatomiste et hydrologue italien, auteur du De' rimedi naturali che sono nell'isola Pithaecusa, hoggi detta Ischia (1588), premier traité d'hydrologie médicale[100].
  • John Macollo (né vers 1576), professeur de médecine chimique et médecin ordinaire de Jacques Stuart, auteur d'un traité sur la syphilis[58].
  • Michel Maier (né en 1569), médecin et alchimiste allemand, conseiller de l'empereur Rodolphe II[101].
  • Jacques de Marque (né en ), chirurgien français[102].
  • Francesco Plazzoni (né en 1552 ?), chirurgien et anatomiste italien, auteur de traités sur les blessures par arme à feu (1618) et sur les organes de la génération (1621[103]).
  • Bernardo Vargas Machuca (es) (né en 1557), homme de guerre, naturaliste et vétérinaire espagnol, auteur en d'une Milicia y descripción de las Indias[104], véritable « guide du conquistador » qui traite, entre autres sujets, des connaissances médicales et des remèdes nécessaires en campagne[105].
  • Ercole Zecchi (né à une date inconnue), docteur en médecine de l'université de Bologne[106] ; éditeur, en , d'un traité des urines (De urinis brevis et pulcherrima methodus) rédigé par son oncle Giovanni Zecchi (-[107]).
  • 1622 ? : Thoma de Neris (né vers 1560), auteur d'un « commentaire sur la salubrité de l'air de Tivoli » (De Tyburtini aeris salubritate commentarius) paru en 1622[108].
  • 1622 ou 1624 : Jean Auvray (né en 1580 ou 1590), chirurgien et poète rouennais[109].

Bibliographie

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  • Achille De Rubertis, « Carestia e fame a Napoli nel 1622 » (« Disette et famine à Naples en 1622 »), Annales de l'École normale supérieure de Pise, 1948[110].

Références

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  1. Charles Richet, « La Découverte de la circulation du sang », Revue des Deux Mondes, vol. 33,‎ , § V, p. 697 (lire en ligne).
  2. Gilles Percebois, « Le Fonds ancien de la bibliothèque de la faculté de médecine de Nancy », Bulletin de l'académie et de la société lorraine des sciences,‎ (lire en ligne).
  3. Édition de 1640 : (la) Gaspare Aselli, De lactibus, sive lacteis venis, quarto vasorum mesaraicorum genere, novo invento Gasparis Asellii Cremonensis, anatomici Ticinensis, dissertatio, qua sententiae anatomicae multae, vel permeram receptae convelluntur, vel parum perceptae illustrantur, Lugduni Batavorum [à Leyde], ex officina Johannis Maire [des ateliers de Jean Maire], ciƆ.iƆc.xl [1640] (lire en ligne).
  4. a et b Hugo Stahl, « Le Droit face aux circonstances sanitaires exceptionnelles : La Peste de 1720 en Provence », Revue des droits et libertés fondamentaux, chronique no 26,‎ (lire en ligne).
  5. Colette Charlot (†), « L'Œuvre de la Miséricorde de Montpellier : Son histoire et celle de son apothicairerie » (actes du XXXIe congrès international d'histoire de la pharmacie (Paris, 25-29 septembre 1995)), Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 84, no 312,‎ , p. 121-122 (lire en ligne).
  6. « L'Hôpital de la Charité », dans Patrimoine Lyon, Lyon, Association Historical Cities, s. d. (lire en ligne).
  7. Jean-Claude Dubé, « L'Intérêt d'un médecin de province au XVIIe siècle pour les eaux minérales et les monstres », Bulletin canadien d'histoire de la médecine (CBMH/BCHM), vol. 15, no 2,‎ , p. 341 (lire en ligne).
  8. (la) Bartolomeo Accursini, Bartholomaei Accursinii Carfignanensis et Ravennae publici medici primarii, Tractatuum et consultationum medicinalium tomus prior, in quo praeter multa, quae in tractatibus, a nemine hactenus ex professo examinata, habentur [etc], Ravennae [à Ravenne], ex typographia Petri de Paulis et Jo[hannis] Baptistae Joannelli, impressorum cam[eralium] [sur les presses de Pietro de Paulis et Giovanni Battista Joannelli, imprimeurs de la chambre épiscopale], mdcxxii [1622], [22]-264 p. (lire en ligne).
  9. (la) Vincenzo Alsario della Croce, De quaesitis per epistolam in arte medica centuriae quatuor, ubi varii casus, observationes, consilis, responsa, disputationes atque curationes non sine promiscua doctrina describuntur, Vincentio Alsario Crucio Genvense auctore, Venetiis [à Venise], apud Juntas [chez les [héritiers de Lucantonio] Giunta], m dc xxii [1622], in-folio (lire en ligne).
  10. (la) Johannes Assuerus Ampzing (de), De hydrope, Rostock, , in-4°.
  11. (en) James Paget , « Ampzing, Joannes Assuerus », dans The Biographical Dictionary of the Society for the Diffusion of Useful Knowledge, vol. II, 2e partie, Londres, Brown, Green and Longmans, (lire en ligne), p. 507-508.
  12. (it) Stefano La Colla, « Grafologia », dans Enciclopedia italiana, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  13. Antoine Jacques Louis Jourdan, « Banister (Richard) », dans Dictionnaire des sciences médicales. Biographie médicale, vol. 1, Paris, C. L. F. Panckoucke, (lire en ligne), p. 535.
  14. (en) Jacques Guillemeau (trad. Anthony Hunton), A treatise of one hundred and thirteene diseases of the eyes, and eye-liddes, the second time published, with some profitable additions of certaine principles and experiments, by Richard Banister [« Traité des maladies de l’œil qui sont en nombre de cent treize, ausquelles il est suject, [etc.] »], imprinted at London [imprimé à Londres], by Felix Kyngston, for Thomas Man [par Felix Kingston, pour Thomas Man], , 480 p..
  15. Jacques Guillemeau, Traité des maladies de l’œil, qui sont en nombre de cent treize, ausquelles il est suject, par Jacques Guillemeau, natif d'Orleans, chirurgien ordinaire du roy et juré à Paris, à Paris, chez Charles Massé, (lire en ligne).
  16. (la) Marcus Banzer (de), Fabrica receptarum, id est Methodus brevis, perspicua ac facilis, in qua quae sint remediorum compositorum formae, quae arundem d[i]fferentiae, quae componendi et praescribendi ratio, quae denique utilitas, atq[ue] quis utendi modus, planissime edocetur, conscripta, opera et studio Marci Banzeri Augustani in patria medici, Augustae Vindelicorum [à Augsbourg], ex officina typographica Andreae Apergeri [des presses d'Andrea Aperger], anno m dc xxii [l'an 1622], XXXIII−663 p. et la table, In-8° (lire en ligne).
  17. (pt) Isidoro de Barreira, Tractado das significaçoens das plantas, flores e fructos que se referem na Sagrada Escriptura, tiradas de divinas et humanas letras, con suas breves consderaçoes, pello padre frey Isidoro de Barreira, religioso de sagrada ordem de Christo, em Lisboa [à Lisbonne], por Pedro Craesbeeck [par Pedro Craesbeeck], anno 1622 [l'an 1622] (réimpr. 1625, 1648), [XVI]-582-[XX] p. (présentation en ligne).
  18. (pt) Isodoro de Barreira, Tratado das significaçoens das plantas : lire en ligne dans l'édition de 1648.
  19. (la) Gaspard Bauhin, Caspari Bauhini, Basil[eae] archiatri, Catalogus plantarum circa Basileam sponte nascentium, cum earundem synonymiis et locis in quibus reperiuntur, in usum scholae medicae quae Basileae est, [etc.], Basileae [à Bâle], typis Johan[nis] Jacobi Genathii [sur les presses de Johan Jacob Genath], , 113 p., in-8° (lire en ligne).
  20. (la) Daniel Becker, Medicus microcosmicus, seu spagyriae micrcosmi, tradens medicinam e corpore hominis, tum vivo, tum extincto, docti eruendam, scito praeparandam et dextre propinandam, Rostock, (réimpr. 1633, 1660), in-12.
  21. (de) Louis-Mayeul Chaudon, Dictionnaire historique, critique et bibliographique, t. 3, à Paris, chez Ménard et Desenne, (lire en ligne), « Beckher (Daniel) », col. 359.
  22. (la) Daniel Becker, Medicus microcosmus, seu Spagyria microcosma exhibens medicinam corpore hominis tum vivo, tum extincto docte eruendam, scite praeparandam et dextre propinandam, autore Daniele Beckhero, Dantisc[o] medic[o] licentiat[o], professore publico in acad[emia] Regiomont[ana] et physico Reibubl[ica] Cniphov[iana] Regiomont[anorum] ordinario, [etc], éditio nova triplo auctior et correctior, Londini [à Londres], prostant apud Jo[hannem] Martin, Ja[cobum] Allestry et Tho[men] Dicas [en vente chez John Martyn, James Allestry et Thomas Dicas], mdclx [1660], 3e éd. (1re éd. Rostock,1622) (lire en ligne).
  23. (la) Basilius Besler, Continuatio rariorum et aspectu dignorum varii generis quæ collegit et suis impensis æri ad vivum incidi curavit atque evulgavit Basilius Besler Norib[ergens], pharmaceuticae, chymicae et botanicae cultor et admirator [etc], [Nuremberg], [s. n.], [1622], in-4° (lire en ligne) (date d'après le chronogramme « anno ChrIstI DoMInI serVatorIs VerI SeVerI »).
  24. Guy Patin et Loïc Capron (éd.), Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, Paris, Bibliothèque interuniversitaire de santé, (lire en ligne), « À Johannes Antonides Vander Linden, le 31 août 1657 », n. 28.
  25. (la) Anton Günther Billich (de), Ad animadversiones quas anonymus quidam in Angeli Salae Aphorismos chymiatricos conscripsit, Antoni Guntheri Billichii Frisii responsio, Lugduni Batavorum [à Leyde], excudebat Godefridus Basson [imprimé par Gottfried Basson, anno m.dc.xxii [1622], 101 p., in-8° (lire en ligne).
  26. (la) Sebastian Bloss (de), Disquisitio totius scepsios anatomicae, Tubingue, , in-4° (présentation en ligne).
  27. (la) Tomaso Boncore, De populari, horribili ac pestilenti gutturis, annexarumque partium affectione, nobilissimam urbem Neapolim ac totum fere regnum vexante, consilium, Thomae Boncore, philosophi, medici, jurisconsulti Neapolitani, ac duobus Almis Neapolitanorum philosophiae, medicinae et V. I. D. Collegiis cooptati, Neapoli [à Naples], ex tipographia Lazari Scorigii [des presses de Lazzaro Scorigi], , in-4° (présentation en ligne).
  28. (la) Christophe Cachet, Christophori Cacheti Lotaringi archiatri Exercitationes equestres in epigrammatum centurias sex distinctae, quarum [...] sexta circa res medicas occupatur ; his accesserunt elegiae duae, prima De Morte Passione Christi, altera De Assumptione Deiparae Virginis, Nanceii [à Nancy], typis Anthonii Charlot, sumptibus Claudii Ludovici [imprimé par Antoine Charlot pour le compte de Claude Louis], m.dc.xxii [1622], in-8° (lire en ligne).
  29. Pierre Labrude et Jean Floquet, « Christophe Cachet, médecin lorrain des XVIe et XVIIe siècles », Les Lettres du musée de Nancy, no 65,‎ (lire en ligne).
  30. (it) Augusto De Ferrari, « Castelli, Pietro », dans Dizionario biografico degli Itagliani, vol. 21, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  31. (la) Pietro Castelli, Epistola Petri Castelli, philosophi ac medici Romani, ad condiscipulos suos Joannem Manelphum et Aetium Cletum, viros doctissimos, in qua agitur nomine hellebori simpliciter prolatu [...], Romae [à Rome], ex typographia Jacobi Mascardii [des presses de Giacomo Mascardi], mdcxxii [1622] (réimpr. 1628), 28 p. (lire en ligne).
  32. (la) Pietro Castelli, Epistola secunda de helleboro, Petri Castelli philosophi ac medici Romani, in qua confirmantur ea quae in alia epistola de helleboro allata fuere, Romae [à Rome], typis Jacobi Mascardi [sur les presses de Giacomo Mascardi], mdcxxii [1622] (réimpr. 1628), 48 p., in-4° (OCLC 863483823).
  33. (la + es) Juan de Castello, Pharmacopoea, universa medicamenta officinis pharmaceuticis usitata complectens et explicans, autore Joanne Castello, pharmacopola Gaditano medicinae professore, Gadibus [à Cadix], apud Joannem de Borja [chez Juan de Borja], , pièces limin., 335 f. et index, in-4° (lire en ligne).
  34. (la) Benedetto Ceruti et Andrea Chiocco, Musaeum Franc[isci] Calceolarii Jun[ioris] Veronensis a Benedicto Ceruto medico incaeptum, et ab Andrea Chiocco med[ico] physico excellentiss[imi] collegii luculenter decriptum et perfectum, in quo multa ad naturalem moralemque philosophiam spectantia, non pauca ad rem medicam pertinentia erudite proponuntur et explicantur, non sine magna rerum exoticarum supellectile quae artifici plane manu in aes incisae studiosis exhibentur, Veronae [à Vérone], apud Angelum Tamum [chez Angelo Tami], ciƆ iƆ c xxii [1622], [50]−746 p., fig., in-fol. (lire en ligne).
  35. (it) Giuliano Gliozzi, « Calzolari, Francesco », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 17, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  36. (it) Giacomo Ferrari, Cronologiche e fisiche reflessioni sopra la corrente epidemia, o mali popolari e febri maligne con pettecchie, di Giacomo Ferrari, fisico mantouano [etc.], in Mantova [à Mantoue], appresso Aurelio e Lodovico Osanna fratelli [chez les frères Aurelio et Lodovico Osanna, m.dc.xxii [1622], 22 p., in-4° (lire en ligne).
  37. (la) Heinrich Flacht, Dissertatio de medendi methodo idiopathica et sympathetica, Basileae [à Bâle], apud Johannem Jacobum Genathium [chez Johann Jakob Genath], , in-4° (présentation en ligne).
  38. (la) Hermann Follin, Orationes duae, quarum prior est de natura febris peticularis ejusque curatione, posterior de studiis chymicis conjungendis cum Hippocraticis, habitae in auditorio medicorum Cololoniensi, ab Hermanno Follino, phil. et med. doctore et professore, Coloniae Atrippinae [à Cologne], apud Gerhardum Grevenbruch [chez Gerhard Grevenbruch], m.dc.xxii [1622] (lire en ligne).
  39. Arnaud Gilles, Fleurs de remedes contre le mal de dents, Paris, , in-8° (présentation en ligne).
  40. (en) David Hay, « Case of Hemorrhage Following the Extraction of a Tooth, and Terminating Fatally », The London and Edinburgh Monthly Journal of Medical Science,‎ , p. 269 (lire en ligne).
  41. (fr + la) Hippocrate et Charles Guillemeau (éd.), Aphorismes de chirurgie, tirez d’Hippocrate, avec les commentaires nouvellement mis en lumière par Charles Guillemeau, chirurgien ordinaire du roy, à Paris, chez Abraham Pacard, m.dc.xxii [1620], pièces limin., 462 p., table, errata et privilège, in-12 (lire en ligne).
  42. (la) Samuel Hafenreffer (de), Raphael artem medicam feliciter cum inchoandi, tum continuandi, absolvendi, tractandique fideliter informans, nec non rationes peregrinandi et pharmacopolia visitandi aphoristice docens, revelatus per Samuelem Hafenrefferum, ph[ilosophum] et med[icum] d[octorem], Tubingae [à Tubingue], excudebat Theodoricus Werlin [imprimé par Dietrich Werlin], m.dc.xxii (lire en ligne).
  43. (la) Gregor Horst (de), Prognosis febrium potissimum, continuarum et malignarum, juxta textum Hipocraticum in principio coacarum praenotionum, brevissimis notis in gratiam auditorum suorum proposita a Gregorio Horstio, d[octore] medico, profess[ore] primar[io] et Hass[iae] archiatro, editio II, correctior, Gissae Hessorum [à Giessen], typis Nicolai Hampelii [chez Nicola Hampel], m dc xxii [1622], pièces limin., 52 p., in-4° (lire en ligne).
  44. (de) Gregor Horst (de), Kurtzer Bericht von der rothen Ruhr, erstlichen dem gemeinen Mann zur Nachrichtung vor etlichen Jahren zu Giessen Deutsch beschrieben, jetzo aber jedermanniglich zum besten vermehret und weitleufftiger in druck geben durch Gregorium Horst [etc], gedruckt zu Ulm [imprimé à Ulm], durch Johann Medern [chez Johann Medern], im Jahr M.DC.XXII [en l'an 1622], [2]-44-[1] p. ; 16 cm (lire en ligne).
  45. (la) François Joel, Opera medica, t. 4, Lunebourg, Matthieu Bacmeister, (réimpr. Amsterdam, 1663).
  46. Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 2, Mons, Henri Hoyois, (lire en ligne), « Joel (François) », p. 604-605.
  47. « Joel ou Johel (François) », dans Dictionnaire des sciences médicales : Biographie médicale, t. 5 : H-LEME, Paris, Charles-Louis-Fleury Panckoucke, , 576 p. (lire en ligne), p. 356
  48. a et b Jean de Lampérière, Traité de la peste, de ses causes et de sa cure, avec les moyens de s'en preserver et les controverses sur ce sujet, divisé en deux parties, par Jean de Lamperiere, medecin, à Rouen, de l'imprimerie de David du Petit Val, m.dc.xx [1620] (lire en ligne).
  49. David Jouyse, Examen du livre de Lamperiere sur le sujet de la peste, avec un Bref et fidelle discours de la preservation et cure de la maladie, suivy d'un Advertissement adressé à Lamperiere, ouvrage autant enrichi de la Sagesse des cabalistes et philosophes hermetiques [etc.], par David Jouyse, docteur en medecine et cy devant employé à la cure des malades de contagion en la ville de Rouen, à Rouen, chez David Geuffroy, m. dc.xxii [1622], pièces limin., 327 p., in-8° (lire en ligne).
  50. a b et c Élisabeth Belmas, « Pouvoir politique et catastrophe sanitaire : La « Publication » des épidémies de peste dans la France moderne », Parlement[s] : Revue d'histoire politique, no 25,‎ , p. 32-54, [§ 6 en ligne] (lire en ligne).
  51. (de) Johannes Knyphaeus, Augen Trost, das ist, Ein uberauß nützliche Kunst unnd Vortheil zu den Augen und Haupt, so man alle Stund und Augenblick zur Hand haben und brauchen kan : Allen denen, so da viel und stehtigs lesen und schreiben müssen [etc.], Darmstadt, Balthasar Hofmann, (présentation en ligne).
  52. « N. Abrahami Frambesarii [...] Scholae medicae ad candidatorum examen », BNF 35831365.
  53. Lire dans l'édition de 1628 : (la) Nicolas Abraham de La Framboisière, N[icolai] Abrahami Frambesarii Veromandui medici regii, Scholae medicae, ad candidatorum examen pro laurea impetranda subeundum, quibus accessit Ambrosiopoea, eodem auctore, Lugduni Batavorum [à Leyde], ex officina Joannis Maire [chez Jean Maire], ciↃ iↃc c xxviii [1628] (réimpr. 1636, 1640, 1647) (1re éd. 1622), 275 p. et index, in-8° (lire en ligne).
  54. (la) Nicolas Abraham de La Framboisière, N[icolai] Abrahami Frambesarii Veromandui medici regii, Ambrosiopoea, in qua elegantes medicamentorum praeparationes, ad morborum curationem, cito, tuto et jucunde moliendam praescribuntur, Parisiis [à Paris], apud Abrahamum Pacard [chez Abraham Pacard], m.dc.xxii [1622] (réimpr. 1628, 1636), 108 p. (lire en ligne).
  55. (la) Nicolas Abraham de La Framboisière, Nicolaus Abrah. Frambesarius, Examen practicum de recta gubernandarum febrium ratione, Paris, (réimpr. 1636, 1640, 1647), in-8° (présentation en ligne).
  56. Jean de Lampérière, L'Ombre de Nécrophore vivant chartier de l'hostel Dieu, au sieur Jouyse, medecin deserteur de la peste, sur la sagesse de sa cabale et autres grippes de son exament, à Rouen, chez David Ferrant, m.dc.xxii, pièces limin. et 296 p., in-16 (lire en ligne).
  57. (la) Gilles de L'Angélique, La vraye pierre philosophale de medecine, heureusement trouvée par le moyen de l'alliance des sept planètes dominatrices, conservatrices et protectrices des corps humains, verifiée par les admirables vertus et effects miraculeux de la confection angelique, remede donné du Ciel pour la guarison des maladies rebelles et pour asseuré preservatif contre les ennemis de nostre santé [...], par le sieur de l'Angelique, maistre apoticaire, operateur, oculiste et chirurgien françois, à Paris, chez Louys Boulanger, m.dc.xxii, 8-[15-1 bl.]-400-[16] p., in-12 (lire en ligne).
  58. a et b (la) John Macollo, Iatria chymica, exemplo therapeiae luis venereae illustrata, authore Joanne Macollone, medico regio ordinario, Londini [à Londres], apud Joannem Billium [chez John Bill], m.dc.xxii [1622], pièces limin., 250 p., in-8° (BNF 30854951).
  59. Alessandro Massaria, Alexandri Massariae Vincentini, medici aetatis nostrae clarissimi, Liber responsorum et consultationum medicinalium, nunc primum collectus et in lucem editus [etc], Lugduni [à Lyon], sumptibus Laurentii Durand [chez Laurent Durand], m.dc.xxii [1622], 104 p., in-4° (lire en ligne).
  60. (la) Benito Matamoros Vazquez Gallego, Selectarum medicinae disputationum tomus I, in quo praeter ea quae de febrium theoria, coctione et putredine et aliis ex professo disputantur, plura etiam alia difficillima ad utranque mediciane partem spectantia obiter disquiruntur, authore Benedicto Matamoros Vazquez Callego, medicae doctore et in Ursaonensi Academia olim philosophiae, nunc vero primariae medicinae cathedrae autecessore, Sancta Inquisitionis Hispalensis familari [etc], Ursaonae [à Osuna], apud Joannem Serrano de Vargas [chez Juan Serrano de Vargas], anno 1622 [l'an 1622], pièces limin., 554 p. et table, in-fol. (lire en ligne).
  61. (it) Girolamo Mercurio (it), De gli errori popolari d'Italia libri sette, divisi in due parti [etc.], dell'eccellentissim[o] sig[nor] Scipione Mercurii [Girolamo Mercurio], filosofo, medico et cittadino romano, Venetia [à Venise], appresso Gio[vanni] Battista Ciotti Senese [chez Giovanni Battista Ciotti de Sienne], m.dciii [1603] (lire en ligne).
  62. Jean III de Gorris ( ), petit-fils de Jean Ier de Gorris (1505-1577), docteur régent de la faculté de médecine de Paris et médecin ordinaire de Louis XIII.
  63. Guy Patin et Loïc Capron (éd.), Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron, Paris, Bibliothèque interuniversitaire de santé, (lire en ligne), « À Nicolas Belin, le 23 avril 1650 », n. 3.
  64. « Mercurio, Girolamo (15..-1615), Discours de l'origine, des mœurs, fraudes et impostures des ciarlatans », BNF 30523927.
  65. Pour « Jean Duret, de Paris, Médecin Ordinaire Du Roi » ?
  66. Girolamo Mercurio (it) (trad. Jean de Gorris (selon Barbier) ou Jean Duret (selon Quérard)), Discours de l'origine, des mœurs, fraudes et impostures des ciarlatans, avec leur descouverte, dedié à Tabarin et Desiderio de Combes, par I. D. P. M. O. D. R.[65] [« De gli errori popolari d'Italia »], à Paris, chez Denys Langlois, m.dc.xxii [1622], [2]−51 p., in-8° (lire en ligne).
  67. (la) Johann Neander, Tabacologia, hoc est Tabaci seu nicotianae descriptio medico-cheirurgico-pharmaceutica, vel ejus praeparatio et usus in omnibus corporis humani incommodis [...] per Johannem Neandrum Bremanum, philosophum et medicum, Lugduni Batavorum [à Leyde], ex officina Isaaci Elzeviri [des presses d'Isaac Elzevier], ciↃ.iↃ.cxxii [1622] (lire en ligne).
  68. (la) Tommaso Neri (it), De Tyburtini aeris salubritate commentarius, auctore Thoma de Neris medico, Romae [à Rome], apud Alexandrum Zannettum [chez Alessandro Zannetti], , pièces limin. et 111 p., planche, in-8° (lire en ligne).
  69. (it) Alessandro Peccana, De' commentarii della scandella, composti dal sig[nor] Alessandro Peccana, fil[osofo] et med[ico] del collegio di Verona, libri tre, nelli quali si discorre a pieno d'ogni perfettione et uso della ptissana ordeacea, et si risolvono tutte le oppositioni intorno ad essa, come cibo de sani e d'infermi ne' mali acuti, in Verona [à Vérone], appresso Angelo Tamo [chez Angelo Tamo], , in-4° (lire en ligne).
  70. Roland Portères, « Les Appellations des céréales en Afrique (suite) », Journal d'agriculture tropicale et de botanique appliquée, vol. 5, no 4-5,‎ , p. 326 (lire en ligne).
  71. (la) Franciscus Pona, Antidotus bezoardica adversus omnia venena, Veronae [à Vérone], , in-12 (présentation en ligne).
  72. (la) Pierre Potier, Pharmacopoea spagirica Petri Poterii Andegavensis, consiliarii e medici regis Christianissimi, Bonon[iae] [à Bologne], s. n. [Tebaldini], a[nno] m.d.cxxii [l'an 1622], 280 p. (lire en ligne).
  73. Catherine Désos, « Réseau et clientèle au sein du corps médical français de Philippe V », dans José Manuel de Bernardo Ares (dir.) et Juana Salado Santos (dir.), Actes du séminaire organisé par la faculté de philosophie et de lettre de Cordou Biografías fabricadas con palabras, palabras que hacen Historia, (lire en ligne), p. 17, n. 5.
  74. Eugène-Humbert Guitard, « La Pharmacopea spagirica de Pierre Potier [compte rendu, référence=(it) V[incenzo] Bianchi, « [La Farmacopea spagirica di Pietro Poterio] », Farmaci e farmacie, Milan, no 1,‎ ] », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 46, no 158,‎ , p. 370 (lire en ligne).
  75. (la) Hubert Arnold Rietmakers, Tractatus de nephritico dolore, in quo essentia, differentiae, causae, signa et curatio calculi et arenularum explanantur, opera Huberti Arnoldi Rietmakers, medici Thenensis, Lovanii [à Louvain], apud Henricum Hastenium [chez Hendrik van Haestens], ciƆ.iƆc.xxii [1622], 80 p., in-4° (lire en ligne).
  76. (la) Francesco Rossi, Nocturnae exercitationes in medicas historias, quae plurimum conducunt ad artem praedicendi in morbis acutis, auctore Francisco Rubeo medico ac philospho civiq[ue] Genuensi, Genuae [à Gênes], apud Josephum Pavonem [chez Giuseppe Pavoni], mdcxxii [1622] (lire en ligne).
  77. (it) Giovanni Battista Spotorno (it), Storia letteraria della Liguria, t. 3, Gênes, Ponthenier, (lire en ligne), chap. 4 : « Medici, chirurgi, filosofi », p. 229.
  78. (la) Angelo Sala, Angeli Salae Vicentini, Veneti chymiatri celeberrimi, Chrysologia, seu Examen auri chymicum, in quo demonstratur auro nec inesse substantiam aliquam potabilem, nec illud arte spagyrica transmutari posse in substantiam aquosam, oleosam, vel salinam, et quid proprie intelligatur per aurum potabile. adjecti sunt in fine ejusdem Aphorismi chymiatrici recogniti, Hamburgi [à Hambourg], impensis Henr[ici] Carstens [chez Heinrich Carstens], anno m.dc.xxii [l’an 1622], 2 parties en 1 vol. in-8°, titre à encadr. gr. (lire en ligne).
  79. (la) Alonso de Santa Cruz et Antonio Ponce de Santa Cruz (en) (éd.), Dignotio et cura affectuum melancholicorum, autore doctore Alphonso de Sancta-Cruce, Matriti [à Madrid], apud Thomam Juntam [chez Tomás Giunta], anno m.dc.xxii [l'an 1622], 44 p. (lire en ligne).
  80. (la) Antonio Ponce de Santa Cruz, Philosophia Hippocratica […], autore Antonio Ponce Sanctacruz, a cubiculo regis catholici et protomedico generali, Matriti [à Madrid], apud Thomam Juntam [chez Tomás Giunta], anno m.cc.xxii [l'an 1622], [12]-190 p., in-fol. (lire en ligne).
  81. (la) Antonio Ponce de Santa Cruz (en), Opuscula medica et philosophica [...], autore Antonio Ponce Santacruz olim primario Villisoletano, nunc autem a cubiculo ejusdem Philippi Quarti Regis Catholici, et protomedico generali, quae continent [...] eruditissimi viri doctoris Alphonsi de Sanctacruce, diu desideratum, modo filii sui opera in lucem editum, De melancholia inscriptum libellum, Matriti [à Madrid], apud Thomam Juntam [chez Tomás Giunta], anno m.dc.xxiiii [l'an 1624], 4 parties en 1 vol. ([16]-305-[1 bl.-1-1 bl.], [12]-190, [7-1 bl.]-142-[1-1 bl.], [4]-44 p.) (lire en ligne) (c’est l’ouvrage de 1622 : le premier titre seul a été réimprimé).
  82. (la) Antonio Santorelli, Antonii Santorelli Nolani, philosophi et medici et, in gymnasio Neapolitano, primi olim philosophiae interpreits, nunc medicinae quam theoricam vocant professoris primi, Antepraxis medica in libros viginti et unum distributa, in quibus ea omnia quae praxim medicinae aggressuris praenoscere est necessarium summa brevitate examinantur [etc.], Neapoli [à Naples], apud Lazzarum Scoriggium [chez Lazzaro Scoriggi], m.dc.xxii [1622] (réimpr. 1633, 1651), in-4° (lire en ligne).
  83. (la) Francesco Scacchi, Francisci Scacchi Fabrianensis, De salubri potu dissertatio, Romae, apud Alexandrum Zannettum, m.dcxxi (lire en ligne).
  84. (it) Giorgio Giacomo Mellerio, « Settala Ludovico », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 92, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  85. (la) Ludovico Settala, Ludovici Septalii medici Mediolanensis, De peste et pestiferis affectibus libri quinque [suivi de] Erectio magistratus sanitatis cum institutis ei rei consentaneis, Mediolani [à Milan], apud Joannem Baptistam Bidellium [chez Giovanni Battista Bidelli], m.dc.xxii [1622], pièces limin., 343 p. et index, in-4° (lire en ligne).
  86. a et b Jean Astruc et Anne-Charles Lorry (éd.), Mémoires pour servir à l'histoire de la faculté de médecine de Montpellier, Paris, chez Pierre Guillaume Cavelier, (lire en ligne), « Hector Zollicoffer », p. 364.
  87. (la) Hector Zolicoffer, De philtris, Bâle, Jean-Jacques Genastius, , in-4°.
  88. a et b « Carré D4 : La Renardière (château, croix, arbres remarquables) », dans Recensement du patrimoine, Association pour la sauvegarde du patrimoine de Bazouges-Cré et environs, s. d. (lire en ligne).
  89. (la) Johannes Günther (rép. Georg Mochinger), Affectuum complicatorum medendi methodi γυμνασματων ex Galeni methodi l. IX, cap. 5, depromptum, resp Georgius Mochingerus Thorino-Boruffus, Leipzig,‎ , 4 p., in-8° (voir Johann Carl Heffte et Henri-Charles-Antoine Ravel).
  90. David Jouyse, Examen du livre de Lamperiere sur le sujet de la peste, avec un Bref et fidelle discours de la preservation et cure de la maladie, suivy d'un Advertissement adressé à Lamperiere, ouvrage autant enrichi de la Sagesse des cabalistes et philosophes hermetiques [etc.], par David Jouyse, docteur en medecine et cy devant employé à la cure des malades de contagion en la ville de Rouen, à Rouen, chez David Geuffroy, m. dc.xxii [1622], pièces limin., 327 p., in-8° (lire en ligne).
  91. Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 4, Mons, H. Hoyois, , 628 p. (lire en ligne), « Zollicoffer (Hector) », p. 619.
  92. Paul Gilis, « Un anatomiste français : Jean Pecquet 1622-1674 », Revue internationale de l'enseignement, vol. 77 et 78,‎ 1923 et 1924 (lire en ligne : 1re, 2e et 3e partie).
  93. (la) Jean Pecquet, Ioannis Pecqueti Diepaei Experimenta nova anatomica, quibus incognitum hactenus chyli receptaculum, et ab eo per thoracem in ramos usque subclavios vasa lactea deteguntur, ejusdem Dissertati anatomica de circulatione sanguinis et chyli motu [etc.], Parisiis [à Paris], apud Sebastianum Cramoisy et Gabrielem Cramoisy [chez Sébastien Cramoisy et Gabriel Cramoisy], m.dc.li [1651] (lire en ligne).
  94. « Jean Pecquet : Résumé et conclusion de la thèse du docteur Bertrand Lalardrie [référence : Bertrand Lalardrie, Jean Pecquet (1622-1674) (thèse pour le doctorat en médecine), Paris, faculté de médecine Pitié-Salpêtrière, ] », Histoire des sciences médicales, vol. 19, no 3,‎ , p. 219-221 (lire en ligne).
  95. Julie Roy, « Marie Pournin », dans Dictionnaire des femmes de l'ancienne France, Société internationale pour l'étude des femmes de l'Ancien Régime, (lire en ligne).
  96. « Haendel, Georg (1622-1697) », BNF 14800170.
  97. Florence Catherine et Simone Mazauric (dir.), La Pratique et les Réseaux savants d’Albrecht von Haller (1708-1777), vecteur du transfert culturel entre les espaces français et germaniques au XVIIIe siècle (thèse pour le doctorat d'histoire présentée et soutenue le 18 septembre 2009), université de Nancy 2, , 634 p. (lire en ligne), p. 101.
  98. François Lebrun, « Médecins et empiriques à la cour de Louis XIV », Histoire, économie et société, vol. 3, no 4 « Santé, médecine et politiques de santé »,‎ , p. 564-565 (lire en ligne).
  99. Jean-François Thurloy et Jean-Claude Dupont (dir.), Pourfour du Petit (1664-1741) ou les Prémices de la physiologie expérimentale : Un homme au cœur du renouveau médical au siècle des Lumières (thèse soutenue le 6 juin 2018 en vue d'obtenir le doctorat en philosophie de l'université de Picardie Jules-Verne), Amiens, , 413 p. (lire en ligne).
  100. (it) Cesare Preti, « Jasolino (Jazolino, Giasolino), Giulio », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 62, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  101. Ulrich Neumann, « Michel Maier (1569-1622), « philosophe et médecin » », dans Jean-Claude Margolin (dir.) et Sylvain Matton (dir.), Alchimie et philosophie à la Renaissance (actes du colloque international de Tours (4-7 décembre 1991)), Paris, librairie philosophique J. Vrin, coll. « De Pétrarque à Descartes » (no 57), (ISBN 2-7116-1172-8, lire en ligne), p. 307-326 et suiv.
  102. Guy Patin, « Lettre à Johann Georg Wolckamer, le 4 décembre 1664, note 1 », dans Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron (lire en ligne).
  103. « Francesco Plazzoni (1552 ? – 1622) », BNF 10509534.
  104. (es) Bernardo Vargas Machuca (es), Milicia y descripcion de las Indias, por el capitan don Bernardo de Vargas Machuca, cavallero Castellano, natural de la villa de Simancas, en Madrid [à Madrid], en casa de Pedro Madrigal [chez Pedro Madrigal], año m. d. xcix [l'an 1599] (lire en ligne).
  105. (es) Felipe Piatoste y Rodriguez, Apuntes para una biblioteca cientifica espanola del siglo XVI, Madrid, Manuel Tello, , 420 p. (lire en ligne), « Vargas Machuca (Bernardo) », p. 324 et 325.
  106. (it) Serafino Mazzetti, Memorie storiche sopra l'universita e l'istituto delle scienze di Bologna, Bologne, tipi di S. Tommaso d'Aquino, , 456 p. (lire en ligne), p. 391.
  107. (la) Giovanni Zecchi et Ercole Zecchi (éd.), Joannis Zecchii, [...] De urinis brevis et pulcherrima methodus, cui De laterali dolore cum febre putrida necnon mali moris tractatus et Consultatio accedunt [...] Herculis Zecchii, ejus nepotis [...] opera et studio in lucem edita, cum indicibus copiosis, Bononiae [à Bologne], haeredes J. Rossii [chez les héritiers de Giovanni Rossi], , pièces limin., 86 p., in-4° (BNF 31683422).
  108. (la) De Tyburtini aeris salubritate commentarius, auctore Thoma de Neris medico, Romae [à Rome], apud Alexandrum Zannettum [chez Alessandro Zannetti], , pièces limin. et 111 p., planche, in-8° (lire en ligne).
  109. « Auvray, Jean (1580?-1624?) », Notices de type « personne », Identifiants et référentiels pour l'enseignement supérieur et la recherche, (lire en ligne).
  110. (it) Achille De Rubertis, « Carestia e fame a Napoli nel 1622 » [« Disette et famine à Naples en 1622 »], Annali della Scuola normale superiore di Pisa. Lettere, storia e filosofia, 2e série, vol. 17 no 1-2,‎ , p. 76-79 (présentation en ligne).