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Gare de Marseille-Saint-Charles

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Marseille-Saint-Charles
Image illustrative de l’article Gare de Marseille-Saint-Charles
Façade principale de la gare.
Localisation
Pays France
Commune Marseille
Quartier Saint-Charles
Adresse Square Narvik
13232 Marseille Cedex 1
Coordonnées géographiques 43° 18′ 13″ nord, 5° 22′ 47″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire SNCF
Exploitant SNCF
Code UIC 87751008
Site Internet La gare de Marseille-Saint-Charles, sur le site officiel de SNCF Gares & Connexions
Services Eurostar (en été), AVE, TGV Lyria (en été), TGV inOui, Ouigo, Intercités, TER
Fret SNCF
Caractéristiques
Ligne(s) Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles
Marseille-Saint-Charles à Vintimille (frontière)
Lyon-Perrache à Marseille-Saint-Charles (via Grenoble)
L'Estaque à Marseille-Saint-Charles
Voies 16 (+ voies de service)
Quais 9
Transit annuel 17 101 341 voyageurs (2023)
Altitude 49 m
Historique
Mise en service 1848
Architecte Joseph-Antoine Bouvard
Correspondances
Métro
(Saint-Charles)
Métro de MarseilleLigne 1 du métro de MarseilleLigne 2 du métro de Marseille
Autobus et autocars Autobus de MarseilleLigne 33Ligne 34Ligne 49Ligne 52Ligne 56Ligne 82SBus de nuit 509Bus de nuit 533Bus de nuit 582 N2 

Bus Transmétropole C8 

Autocars
(gare routière)
Le car3334485051

5364888991

LER PACA6567686994

Carte

La gare de Marseille-Saint-Charles est une gare ferroviaire française et la principale gare de l'agglomération de Marseille. Établie en cul-de-sac, elle a été construite sous la maîtrise d'œuvre de l'ingénieur en chef Gustave Desplaces[1]. La gare est située sur le rebord d'un plateau proche du centre-ville, antérieurement occupé par des « campagnes », nom local donné aux propriétés rurales d'alors.

De premiers bâtiments provisoires sont inaugurés le pour la Compagnie du chemin de fer d'Avignon à Marseille ; la gare « définitive » est terminée plusieurs années plus tard[2]. Elle communique avec le centre-ville par un escalier monumental, construit en 1925 et officiellement inauguré en 1927.

La gare Saint-Charles est depuis longtemps un point de passage des voyageurs à destination de la Corse et de l'Afrique, jadis également du Moyen-Orient et de l'Asie, via le port de Marseille. Les voyageurs, arrivant principalement du nord de l'Europe, de Paris et de la Grande-Bretagne, peuvent effectuer une halte d'une nuit dans les nombreux hôtels édifiés sur le boulevard d'Athènes.

Le trafic de la gare passe de 7,1 millions de passagers annuels en 2000 à 17,1 millions en 2023.

Situation ferroviaire

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Gare en impasse et de bifurcation, Marseille-Saint-Charles est située au point kilométrique (PK) 862,125[3] de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, et au PK 444,084[3] de la ligne de Lyon-Perrache à Marseille-Saint-Charles (via Grenoble). Elle est également l'origine de la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille (frontière) et de la courte ligne de Marseille-Saint-Charles à Marseille-Joliette ; cette dernière est désormais officiellement dénommée ligne de L'Estaque à Marseille-Saint-Charles. L'altitude de la gare est de 49 m.

Les bâtiments originaux

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La première gare est construite en 1848 pour l'ouverture de la ligne PLM (Paris – Lyon – Marseille). La gare actuelle est bâtie de 1893 à 1896 par l'architecte Joseph-Antoine Bouvard. Sous forme d'un corps de bâtiments en U autour d'une grande verrière, la gare surplombe la ville depuis le plateau Saint-Charles. Le long des quais, les bâtiments au nord accueillent les arrivées et ceux au sud les départs. En arrière, le long de l'actuel boulevard Voltaire, se situe une gare de marchandises qui est utilisée jusque dans les années 1990 par le Sernam. L'escalier monumental, reliant mieux la ville à sa gare alors isolée sur un plateau, est projeté en 1911. Réalisé en 1926, il est orné de sculptures sur les thèmes des colonies d'Afrique et d'Asie. À cette époque, un premier entresol est aménagé sous l'esplanade devant le bâtiment principal.

L'escalier monumental, vu depuis le boulevard d'Athènes.
Hall de la gare.

Les agrandissements des années 1970 et 1980 : une nouvelle envergure

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Lors du premier agrandissement réalisé après la Seconde Guerre mondiale, les bâtiments nord sont détruits pour créer de nouveaux quais et un nouvel édifice est construit pour abriter la direction régionale de la SNCF. Un projet d'aménagement du quartier entier, incluant la démolition de la halle historique, est entamé mais interrompu par le choc pétrolier de 1973 : seule la première tranche des travaux sera construite, le nouveau bâtiment de la direction régionale, bâti sur des piliers placés à même les quais et surnommé par les cheminots « le camembert » à cause de ses courbes caractéristiques[4]. L'entresol est progressivement aménagé pour accueillir, entre autres, la billetterie ; des parkings sont créés contre la butte au sud de la gare. L'esplanade est transformée en « dépose-minute » pour les bus et les taxis. Jusque dans les années 1990, outre le « camembert » en « pile d'assiettes » de la direction régionale, la façade principale de la gare est sous un auvent métallique accueillant la sortie du métro.

Les restructurations et requalifications depuis 1990 : une nouvelle gare pour un quartier en mutation

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À la fin des années 1990, se fait sentir le besoin de restructurer une gare ayant perdu de sa superbe, rendue non fonctionnelle par des aménagements successifs issus des années 1970 et 1980, et en butte à la saleté et à l'insécurité[5]. Un grand projet de réaménagement est programmé, incluant la gare routière et les quartiers environnants pour l'arrivée du TGV Méditerranée. Par ailleurs, la gare est incluse dans le projet d'aménagement Euroméditerranée. Ce projet de très large envergure vise les secteurs de la ville le long du port de commerce et se prolonge jusqu'aux quartiers jouxtant la gare (la Belle de Mai et Saint-Lazare en particulier). Outre le fait d'améliorer le pôle principal de transport de l'agglomération, le projet vise une requalification des bâtiments et de leurs abords pour une meilleure intégration à un quartier amené à être restructuré. Le projet est signé par l'architecte Jean-Marie Duthilleul, ainsi que Setec Tpi pour la verrière, la façade en pierre précontrainte et la charpente métallique de la toiture[6].

Une première tranche est livrée en juin 2001 incluant le réaménagement des parkings souterrains, d'une partie de l'entresol et de l'ancien hall (dont la billetterie), d'une partie des bâtiments sud (consigne et salles d'attente) et des quais. La restructuration des quartiers environnants est toujours en cours mais une partie de la modification des circulations est faite avec l'ouverture d'un tunnel sous la gare reliant la ville à l'autoroute A 7 et la mise en place d'un dépose minute en cul-de-sac le long des bâtiments sud, libérant l'esplanade devant la gare de toute circulation automobile. La façade principale du bâtiment est rénovée avec la suppression de l'auvent.

Dans sa partie nord, la construction du nouveau hall, la Halle Honnorat, prolongeant l'ancien, à l'aplomb des bâtiments de la direction régionale, inaugurée le [7], permet d'agrandir l'espace d'accueil des voyageurs et d'ouvrir la gare vers la faculté la jouxtant et le boulevard Charles-Nédelec. Il s'agit d'une verrière de 6 400 m2 (160 m de long, 40 m de large et 15 m de hauteur) agrémentée de 24 pins factices plantés sur deux rangées et soutenue par une imposante colonnade blanche extérieure en pierre de Lens prolongeant l'ancienne façade. Outre une surface commerciale importante, ce nouveau hall inclut la gare routière désormais de plain-pied avec les quais des trains. Une nouvelle zone « dépose minute et taxis » est ouverte ainsi que deux niveaux de parking sous ce nouveau hall. Les abords de ce secteur de la gare sont particulièrement soignés, offrant des trottoirs élargis, minimisant l'impact de la circulation automobile, et la gare, précédemment isolée sur une l'esplanade dominant la ville, est alors mieux reliée à un nouveau quartier encore en aménagement autour de la porte d'Aix, grâce à un nouveau parvis.

La fonction de « buffet de la gare » est assurée par le restaurant-terrasse Saint-Charles de l'hôtel Ibis[8], un fast-food et deux restaurants se situant dans la halle Honnorat.

Personnes clés

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Dates clés

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Fréquentation

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De 2015 à 2023, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare s'élève aux nombres indiqués dans le tableau ci-dessous[16].

Année 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022 2023
Voyageurs 13 686 954 13 544 008 14 450 431 13 681 361 14 629 257 9 569 704 13 225 716 16 906 447 17 101 341
Voyageurs et
non voyageurs
19 552 792 19 348 582 20 643 472 19 544 802 20 898 939 13 671 005 18 893 880 24 152 067 24 430 487

Équipements

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Schéma du nœud ferroviaire marseillais.

La gare Saint-Charles dispose de 16 voies à quai en impasse desservies en entrée et sortie par quatre voies banalisées. Dès la sortie de la gare, une bifurcation sépare les voies qui se dirigent :

Entre ces deux branches, le raccordement des Chartreux, à deux voies, emprunte le tunnel des Chartreux et permet à certains trains d'éviter le rebroussement en gare de Marseille-Saint-Charles.

La ligne de Marseille-Saint-Charles à Marseille-Joliette, à voie unique, relie la gare de Marseille-Saint-Charles à la ligne de L'Estaque à Marseille-Joliette qui dessert toute la zone portuaire ; la création d'un raccordement, en lien avec le déclassement de la première ligne et celui de la section terminale de la seconde, a entraîné la formation de la ligne de L'Estaque à Marseille-Saint-Charles.

Toutes les installations sont électrifiées en courant continu 1 500 V. La ligne vers Vintimille est électrifiée en 25 kV - 50 Hz à partir du point kilométrique 5,4 peu avant la gare de La Pomme.

Un remisage de rames et une rotonde jouxtent les voies, à la sortie de la gare, du côté nord. Le dépôt est situé à proximité de la gare de Marseille-Blancarde.

Service des voyageurs

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La gare dispose de nombreux services destinés aux voyageurs, notamment un bureau d'accueil général, un pour les handicapés et un pour les jeunes voyageurs, une salle d'attente, un salon « grand voyageur », des bornes en libre-service et un espace de vente des titres de transport, un bureau des objets trouvés, un commissariat de police, un bureau de poste, un distributeur de billets de banque, un laboratoire d'analyses médicales, un piano libre d'utilisation[17].

Un TER et un TGV Duplex, stationnés sur la même voie.

La gare est reliée directement, par TGV (liaisons nationales, la plupart d'entre elles étant sous la marque TGV inOui) :

Des liaisons Intercités relient la gare à Nîmes, Montpellier, Sète, Béziers, Narbonne, Toulouse et Bordeaux.

La desserte internationale est assurée par :

Une desserte régionale à long parcours (proposant la 1re classe, contrairement aux autres TER), par voitures Corail rénovées ou par automoteurs, est mise en place :

La gare est le point de convergence des lignes du réseau de Transport express régional (TER) Provence-Alpes-Côte d'Azur :

Intermodalité

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La gare routière de la place Victor-Hugo, contiguë à la gare Saint-Charles, était progressivement devenue la principale gare pour les liaisons départementales, les anciens terminus du cours Belsunce et de la Porte d'Aix étant progressivement abandonnés au profit de la place Victor-Hugo avec la disparition des derniers tramways puis trolleybus départementaux et surtout l'ouverture de l'autoroute Nord (A7).

Depuis 2005, une nouvelle gare routière a été aménagée sur la rue Honnorat voisine. Cette gare routière, reliée début 2008 à la gare ferroviaire, est l'un des points de convergence du réseau d'autocars métropolitains (La Métropole Mobilité) mais aussi la principale gare du réseau régional (Zou !) et le point de départ de la navette vers l'aéroport Marseille-Provence ; elle est aussi desservie par diverses lignes nationales et internationales, assurées par FlixBus et BlaBlaCar Bus. La place Victor-Hugo sera réaménagée[Quand ?].

Le square Narvik (esplanade sud de la gare) a été rénové à l'occasion de Marseille-Provence 2013[18] et accueille désormais une partie des lignes urbaines de la ville ainsi que différents espaces (plateforme événementielle, etc.).

Transports urbains

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La gare est desservie par le réseau de la Régie des transports métropolitains (RTM). Les deux lignes de métro passent sous la gare Saint-Charles, dans la station du même nom :

En outre, plusieurs lignes de bus passent également à proximité :

  • les lignes 33, 34 et 49, près de la sortie située boulevard Voltaire ;
  • les lignes 52 et 56, sur le square Narvik ;
  • la ligne 82S, à la gare routière côté Halle Honnorat (quai no 26) ;
  • trois lignes de soirée Fluobus : 509, 533 et 582 ;
  • une ligne de nuit Noctambus : N2.

À cela s'ajoute une ligne « lecar » : C8.

Service des marchandises

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Cette gare est ouverte au service du fret, pour la desserte en wagons isolés d'installations terminales embranchées[19].

Au cinéma et à la télévision

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En 1998, pour le clip de la chanson de Faudel Tellement, je t'aime, des scènes ont été tournées notamment à l'extérieur de la gare, sur le grand escalier, et aussi à l'intérieur du bâtiment voyageurs[20].

Le film Vénus et Fleur d'Emmanuel Mouret, sorti en 2004, s'achève par deux plans tournés dans la gare, l'un sur le quai transversal et l'autre sur le quai desservant les voies D et E.

En 2008, quelques plans de l'intérieur de la gare sont utilisés pour le film À l'aventure.

En 2012, la façade du bâtiment voyageurs ainsi qu'un quai de la gare, avec une rame TGV Dasye où monte puis redescend François Meynard (Guy Lecluyse), sont visibles dans le téléfilm On se quitte plus.

En 2015, la gare est utilisée pour le tournage d'une partie de la publicité Je chante by TGV et Mika[21].

À l'occasion de la seconde phase du projet « Ligne nouvelle Provence Côte d'Azur », prévue à l'horizon 2035[22], il est envisagé de construire une nouvelle gare souterraine à Marseille-Saint-Charles. Celle-ci devrait être située sous les voies existantes, en travers d'est en ouest. Elle sera en correspondance avec les quais actuels en surface et accueillera les trains en transit par Marseille-Saint-Charles comme les TGV Paris – Nice ou les TER Vitrolles – Aubagne, leur évitant un rebroussement en gare de surface[23].

La gare souterraine sera raccordée grâce à de nouvelles voies, implantées en tunnel entre la ligne PLM, à La Delorme, et la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille (frontière), à La Parette[24]. Au-delà de la décongestion de la gare de surface par des voies et des quais supplémentaires, cette traversée souterraine évitera aussi le cisaillement de voies pour les trains en transit, afin d'augmenter significativement les capacités de trafic du nœud ferroviaire marseillais.

Notes et références

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  1. Lettre électronique (mensuelle) de MIP-Provence, no 3, de février 2004, p. 3 [PDF], consultée le 16 juillet 2011.
  2. Emmanuel Laugier, La gare Saint-Charles de Marseille, article in revue Marseille no 216, pages 26 à 33.
  3. a et b Livre : Nouvelle géographie ferroviaire de la France par Gérard Blier, Tome 2, page 226.
  4. Rémi Baldy, « Le bâtiment fantôme de la gare Saint-Charles qui embarrasse la SNCF », sur Marsactu, (consulté le ).
  5. Marion Kindermans, La gazette, novembre 2001.
  6. « Setec tpi – Gare Saint-Charles à Marseille » [PDF], sur tpi.setec, (consulté le ).
  7. « Après dix ans de travaux, la gare Saint-Charles est sur les rails » et « La nouvelle gare Saint-Charles ouvre ses quais et ses commerces », La Provence ; « Autour de la gare Saint-Charles, agrandie, Marseille se régénère », Le Monde, 9 et .
  8. « Hôtel ibis Marseille Centre Gare Saint Charles », sur ibis.com (consulté le ).
  9. a et b Pierre Échinard, Les débuts du chemin de fer à Marseille, in Marseille sur rail, numéro spécial de la revue Marseille, mars 2007 (ISSN 0995-8703), pages 14 à 16.
  10. FR3 Provence, « Attentat à la gare Saint Charles à Marseille », sur fresques.ina.fr, (consulté le ).
  11. Sebastià Vilanou i Poncet, « Perpignan : la SNCF met fin aux lignes directes vers Madrid et Marseille », sur lasemaineduroussillon.com, (consulté le ) ; cette page est une archive.
  12. Léa Wolber, « Marseille-Madrid en TGV : 5 choses à savoir sur les nouvelles lignes espagnoles de la Renfe qui vont concurrencer la SNCF », sur france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur, (consulté le ).
  13. AFP, « Thello ferme la ligne de train Marseille-Nice-Milan », sur nicematin.com, (consulté le ).
  14. « TRANSPORTS : PLUS D'EUROSTAR ENTRE LONDRES, LYON ET MARSEILLE ! », sur radioscoop.com, (consulté le ).
  15. Gilles Rof, Elise Vincent et Luc Leroux, « Marseille : l’attentat a été revendiqué par l'Etat islamique », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  16. « Fréquentation en gares : Marseille Saint-Charles », sur SNCF Open Data, traitement du [cf. l'onglet des informations] (consulté le ).
  17. « Marseille-Saint-Charles : Services aux voyageurs », sur gares-sncf.com (consulté le ).
  18. « Inauguration du square Narvik, Touche finale à l'aménagement de la gare (de) Marseille-Saint-Charles », sur gares-sncf.com, (consulté le ).
  19. Site Fret SNCF : la gare de Marseille-Saint-Charles (archive consultée le ).
  20. « Faudel - Tellement n'brick [Tellement, je t'aime] » [vidéo], sur youtube.com (consulté le ) ; l'escalier et la gare de Marseille-Saint-Charles sont visibles à partir de min 50 s.
  21. « Gala.fr - Publicité TGV – Je chante by TGV et Mika 90'' » [vidéo], sur dailymotion.com (consulté le ) ; la gare de Marseille-Saint-Charles est visible à partir de min 24 s.
  22. Site officiel Ligne Nouvelle Provence Côte d'Azur (consulté le 12 septembre 2014).
  23. « Le projet des phases 1 & 2 », sur www.lignenouvelle-provencecotedazur.fr (consulté le ).
  24. « La traversée souterraine de Marseille », sur www.lignenouvelle-provencecotedazur.fr (consulté le ).

Bibliographie

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  • Maurice Mertens et de Jean-Pierre Malaspina, La légende des Trans-Europ-Express, LR-Presse, 2007.
  • Jacques Defrance, Le matériel moteur de la SNCF, NM, Paris, 1969, réédition 1978.
  • Lucien Maurice Vilain, L'évolution du matériel moteur et roulant de la Cie Paris-Lyon-Méditerranée (PLM), Vincent-Fréal et Cie, 1971.
  • L'Etoile de Veynes, Presses et éditions ferroviaires, 2002.
  • H. Lartilleux, Géographie des Chemins de fer français, Chaix, 1956, pages 66 à 74.
  • Vie du Rail, Escale à Marseille, numéro spécial no 1915, La Vie du Rail, .
  • Jean-Chaintreau, Jean Cuynat et Georges Mathieu, Les Chemins de fer du PLM, La Vie du Rail et La Régordanne, 1993.
  • Patricia et Pierre Laederich, André Jacquot et Marc Gayda, Histoire du réseau ferroviaire français, Ormet, Valignat, 1996.
  • Revue : "Le Train", avec numéro hors série "Les archives du PLM", tome 1 l'histoire de la Compagnie des origines à 1899, par Jean-Marc Dupuy, paru en 2008.
  • Gérard Planchenault, Marseille Saint-Charles, Histoire d'une grande gare, 1847-2007, Alan Sutton, St Cyr-les-Tours, (NB : ouvrage comportant quelques erreurs à propos des débuts du chemins de fer [voir page discussion]).
  • « La saga des Nez de cochon », par William Lachenal, in revue Voies Ferrées, no 1, septembre-, p. 6–16.
  • « Les débuts du chemin de fer à Marseille », par Pierre Echinard, in revue Marseille, no 169, 1995.
  • « Gare de Marseille », in La France des gares, collection Guides Gallimard, 2001.
  • « Les débuts du chemin de fer à Marseille », par Pierre Echinard, in revue Marseille, no 216, 2007.
  • « La gare Saint-Charles de Marseille, Le dépôt de la gare de Marseille Saint-Charles & L'escalier monumental de la gare Saint-Charles », par Emmanuel Laugier, in revue Marseille, no 216, .
  • « Un nom, un train Le Rhodanien », par Jean-Pierre Malaspina, revue Voies Ferrées, no 167, mai-.

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Articles connexes

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Liens externes

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