Classe Lapérouse
Apparence
Classe Lapérouse | |
Le Laplace en 2014. | |
Caractéristiques techniques | |
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Type | Classe de navires |
Longueur | 59 m |
Maître-bau | 10,9 m |
Tirant d'eau | 3,63 m |
Propulsion | 2 diesels SACM Wärtsilä UD30 RVR V12 M6, 2 hélices à pales orientables, 1 propulseur d'étrave |
Puissance | 2 500 ch (1 840 kW) |
Puissance | 2 500 ch (1 840 kW) |
Caractéristiques militaires | |
Armement | 2 fusils mitrailleurs AANF1 et deux mitrailleuses Browning M2 12,7 mm |
Rayon d'action | 6 000 nautiques à 12 nœuds |
Autres caractéristiques | |
Équipage | 3 officiers, 13 officiers mariniers, 16 QMM |
Histoire | |
Constructeurs | DCAN (Lorient) |
A servi dans | Marine nationale |
Commanditaire | Direction générale de l'Armement |
Date début commande | 2013 |
Période de construction |
1985 - 1990 |
Période de service | 1988 - Présent |
Navires construits | 5 |
Navires en activité | 5 |
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La classe Lapérouse est une classe de bâtiments développée et produite par la DCAN. Cette classe est nommée d'après le nom du navigateur français Jean-François de La Pérouse.
Description
[modifier | modifier le code]Cinq navires ont été construits à la fin des années 1980. Trois sont des bâtiments hydrographiques de 2e classe, un est un patrouilleur de service public depuis 2002 (auparavant bâtiment hydrographique de 2e classe) et le dernier est un bâtiment d'expérimentation de la guerre des mines.
Les trois bâtiments hydrographiques auraient dû être désarmés entre 2025 et 2026 mais les deux successeurs prévus, selon les prévisions de mai 2021, n'arriveront qu'entre 2027 et 2028[1].
Unités
[modifier | modifier le code]Nom | N° | Construction | Lancement | Mise en service | Type | Port d'attache |
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Lapérouse | A791 | Bâtiment hydrographique | Brest | |||
Borda | A792 | Bâtiment hydrographique | Brest | |||
Thétis | A785 | Navire de guerre des mines | Brest | |||
Laplace | A793 | Bâtiment hydrographique | Brest | |||
Arago | P675 | Patrouilleur | Brest |
Notes et références
[modifier | modifier le code]- VINCENT GROIZELEAU, « CHOF : les futurs bâtiments hydrographiques arriveront plus tard que prévu », sur Mer et Marine, (consulté le ).