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Tilloy-lez-Marchiennes

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Tilloy-lez-Marchiennes
Tilloy-lez-Marchiennes
La mairie.
Blason de Tilloy-lez-Marchiennes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité CA Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Catherine Vandewalle
2025-2026
Code postal 59870
Code commune 59596
Démographie
Gentilé Tillotins
Population
municipale
538 hab. (2022 en évolution de +2,09 % par rapport à 2016)
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 25′ 43″ nord, 3° 19′ 10″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 20 m
Superficie 5,5 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Saint-Amand-les-Eaux
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sin-le-Noble
Législatives 16e circonscription du Nord
Localisation
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Tilloy-lez-Marchiennes
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Tilloy-lez-Marchiennes

Tilloy-lez-Marchiennes [tilwa le maʁʃjɛn] est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Tilloy-lez-Marchiennes est un village périurbain de l'Ostrevent, dans l'ancien bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à vol d'oiseau à 8 km au sud-ouest de Saint-Amand-les-Eaux, 16 km au nord-ouest de Valenciennes, 28 km au nord de Cambrai, 18 km au nord-est de Douai, 28 km au sud-est de Lille, à 8 km au nord de la frontière franco-belge et 21 km de Tournay.

La commune était une enclave du parc naturel régional Scarpe-Escaut depuis 2012 et le réintègrera en 2021 ou 2022[1].

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Lille (partie française), dans le bassin de vie et l'unité urbaine de Saint-Amand-les-Eaux, ainsi que dans la zone d'emploi de Valenciennes

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Sars-et-Rosières, Marchiennes, Warlaing, Hasnon, Beuvry-la-Forêt, Brillon, Bousignies et Millonfosse.

Communes limitrophes de Tilloy-lez-Marchiennes
Beuvry-la-Forêt Sars-et-Rosières Brillon
Tilloy-lez-Marchiennes Bousignies
Marchiennes Warlaing Hasnon

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 5,50 km2 ; son altitude varie de 15 à 20 mètres[2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Tilloy-lez-Marchiennes[Note 2].

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le Courant de l'Hôpital, le canal du Décours, le Courant de Tilloy, le Courant de Coutiches Aval[3] et divers autres petits cours d'eau[4],[Carte 1].

Le Courant de l'Hôpital, d'une longueur de 29 km, prend sa source dans la commune de Auchy-lez-Orchies et se jette dans la Scarpe canalisée à Thun-Saint-Amand, après avoir traversé 13 communes[5].

Le canal du Décours, d'une longueur de 16 km, prend sa source dans la commune de Flines-lez-Raches et se jette dans la Scarpe canalisée à Saint-Amand-les-Eaux, après avoir traversé sept communes[6].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[7].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 704 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cappelle-en-Pévèle à 14 km à vol d'oiseau[10], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,6 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au , Tilloy-lez-Marchiennes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].

Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Amand-les-Eaux[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[15],[I 1].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,1 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,3 %), terres arables (27,1 %), forêts (19,8 %), prairies (9,5 %), zones urbanisées (9,3 %)[18].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 209, alors qu'il était de 202 en 2016 et de 189 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 95,7 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 1,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tilloy-lez-Marchiennes en 2021 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,4 %) supérieure à celle du département (1,8 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Tilloy-lez-Marchiennes en 2021.
Typologie Tilloy-lez-Marchiennes[I 3] Nord[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 95,7 90,9 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,4 1,8 9,7
Logements vacants (en %) 1,9 7,4 8,1

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la ligne 121 du réseau de transport Évéole.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Marchiennes[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Sin-le-Noble[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la seizième circonscription du Nord.

Intercommunalité

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Tilloy-lez-Marchiennes était membre de la communauté de Communes de l'Est du Douaisis (CCED), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

En 2006, cette intercommunalité prend le nom de communauté de communes Cœur d'Ostrevent puis, en 2025, se transforme en communauté d'agglomération sous la dénomination de communauté d'agglomération Cœur d'Ostrevent. La commune en est donc membre[I 1].

Tendances politiques et résultats

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Lors du premier tour des élections municipales le , on dénombre 455 inscrits, dont 309 votants et 301 suffrages exprimés. Le maire sortant Jean-Luc Bot ne se représentait pas[19].

Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[20]. Marie Cau est élue maire du village[21] le avec quatorze voix et un vote nul[22]. En France, il s'agirait de la première fois qu'une personne transgenre est élue maire[23].

Celle-ci démissionne en janvier 2025 à la suite d'une crise dans sa municipalité dont elle juge le climat toxique[24],[25].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
décembre 1792 1794 Jean-Baptiste Hacart    
1794 1794 Charles Joseph Havez   Maire par intérim
1794 1795 Pierre Joseph Lecœuvre    
1795 1796 Jean-Baptiste Joseph Houdart   Maire par intérim
1796 1797 Jean Augustin Lecœuvre    
1797 septembre 1797 Pierre-François Leleu    
septembre 1797 octobre 1797 Pierre Joseph Lecœuvre    
octobre 1797 1798 Jean Augustin Lecœuvr    
1798 1800 Jean-Baptiste Roger    
1800 janvier 1801 Pierre Joseph Lecœuvre    
janvier 1801 février 1803 Jean-Baptiste Roger    
février 1803 1807 Louis Platel    
1807 1832 Jean-Baptiste Lecœuvre    
1832 août 1849 Constant Joseph Debrabant   Mort en fonction
         
décembre 1943[26]   Tobie Decoopmann   Président de la délégation spéciale nommée par le Régime de Vichy[27]
         
  1999[28] Liliane Deparis   Démissionnaire
1999 mai 2020[29] Jean-Luc Bot[30],[31],[28],[32] SE Retraité de l'industrie automobile
mai 2020[22] janvier 2025[24] Marie Cau SE[33] Ingénieure, titulaire d'un diplôme de technicien agricole
Conseil en informatique
Démissionnaire
janvier 2025[34] En cours
(au 23 janvier 2025)
Catherine Vandewalle    

Équipements et services publics

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2022, la commune comptait 538 habitants[Note 6], en évolution de +2,09 % par rapport à 2016 (Nord : +0,51 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
300339463480502514520510496
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
530538523494466414392368336
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
316322279253240233237212224
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
218199197226283405510561527
2021 2022 - - - - - - -
528538-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 270 hommes pour 246 femmes, soit un taux de 52,33 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
5,1 
75-89 ans
5,8 
14,9 
60-74 ans
10,4 
30,3 
45-59 ans
29,0 
13,8 
30-44 ans
19,6 
15,0 
15-29 ans
14,8 
20,9 
0-14 ans
20,4 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Tilloy-lez-Marchiennes Blason
D'or à l'escarboucle de sable, chargée en cœur d'un rubis de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Amand-les-Eaux comprend une ville-centre et quatorze communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique de Tilloy-lez-Marchiennes » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. Tilloy-lez-Marchiennes: la commune réintègre le Parc naturel régional Scarpe-Escaut , La Voix du Nord, Jean-Claude Lukaszewski, 3 juillet 2021
  2. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. Sandre, « le Courant de Coutiches Aval »
  4. « Fiche communale de Tilloy-lez-Marchiennes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  5. Sandre, « le Courant de l'Hôpital »
  6. Sandre, « le canal du Décours »
  7. « SAGE Scarpe aval », sur gesteau.fr (consulté le )
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Tilloy-lez-Marchiennes et Cappelle-en-Pévèle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Saint-Amand-les-Eaux », sur Insee (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur Insee (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Tilloy-lez-Marchiennes », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 10.
  20. « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur La Voix du Nord, .
  21. « Marie Cau devient la première maire transgenre », L'Observateur du Douaisis, no 907,‎ , p. 18.
  22. a et b AFP, « Nord : Marie Cau, première personne transgenre élue maire en France », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le conseil municipal de Tilloy-lez-Marchiennes a élu cette femme transgenre de 55 ans par 14 voix pour et un vote nul ».
  23. « VIDÉO. Tilloy-lez-Marchiennes élit une maire transgenre, la première en France », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  24. a et b Arnaud Dethée, « J’ai pris la décision d’écourter mon mandat» : à Tilloy-lez-Marchiennes, la maire Marie Cau a démissionné », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Aux prises depuis octobre avec deux adjoints issus des rangs de l’opposition, mise en minorité au moment du vote du budget quelques mois plus tôt, Marie Cau a décidé de jeter l’éponge. ».
  25. Noëlle Hamez, « Je pars avec un pincement au cœur" : 5 questions pour comprendre la démission de Marie Cau, ex-maire de Tilloy-lez-Marchiennes », France 3 Hauts-de-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ce 14 janvier, la maire de Tilloy-lez-Marchiennes a officiellement démissionné. Pression de l'opposition, atmosphère tendue dans la commune, harcèlement, danger lié au poste... Marie Cau, première édile transgenre élue en France, revient sur les raisons qui l'ont poussée vers la sortie ».
  26. « Conseils municipaux - délégations spéciales », journal officiel de l’État français, no 299,‎ , p. 3205 (lire en ligne, consulté le ) « Considérant que le conseil municiapl de la commune de Tilloy-les-Marchiennes (Nord) n'apporte pas une aide efficace à l’œuvre de rénovation nationale, arrête : Art. 1er : le conseil municipal de Tilloy-les-Marchiennes est dissout », sur Gallica.
  27. Patrick Oddone, « Les autorités municipales du Nord — Pas-de-Calais au Journal Officiel (septembre 1939-août 1944) », Revue du Nord, t. 76, no 306,‎ , p. 574 (lire en ligne, consulté le ) sur Persée.
  28. a et b J.-C. Lukaszewski,, « La rue d'Herbomez, principal chantier du dernier mandat de Jean-Luc Bot », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Jean-Luc Bot, 64 ans, retraité de l'industrie automobile, est maire sans étiquette de Tilloy-lez-Marchiennes. [...] Six ans plus tard, il est premier adjoint et, en 1999, il devient maire suite à la démission de Liliane Deparis ».
  29. Marie-Caroline Debaene, « Orchésis : à un an des municipales, votre maire se représente-t-il ? », La Voix du Nord,‎ « Tilloy-lez-Marchiennes. Après trois mandats de maire, Jean-Luc Bot, 64 ans, ne rempilera pas. Il parle d’un ras-le-bol et d’une lassitude. « Les temps sont difficiles. Être maire, c’est presqu’un métier pour ainsi dire. Nous n’avons pas beaucoup de ressources dans une petite commune et les gens sont toujours plus exigeants ».
  30. « Ces « petits » maires du Douaisis qui se battent pour moderniser leur commune ... », La Voix du Nord par MaVille,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « À Tilloy-lez-Marchiennes, un cinquième mandat de maire pour Jean-Luc Bot », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « À l’issue du vote, Jean-Luc Bot a été confirmé, sans surprise, au poste de maire qu’il occupe depuis quinze ans ».
  32. « Tilloy-lez-Marchiennes : l’ancien maire Jean-Luc Bot est décédé », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Jean-Luc Bot, maire de la commune de 1999 à 2020, est décédé ».
  33. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant, « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  34. « Tilloy-lez-Marchiennes : Élue dans un fauteuil, Catherine Vandewalle est la nouvelle maire du village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Depuis le 14 janvier et la démission effective de Marie Cau, elle faisait office de maire par intérim. Catherine Vandewalle va prolonger l’expérience jusqu’aux prochaines élections municipales de 2026 ».
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  38. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tilloy-lez-Marchiennes (59596) », sur Insee, (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).