Aller au contenu

Monchecourt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Monchecourt
Monchecourt
La mairie.
Blason de Monchecourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité CA Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Jean Savary
2020-2026
Code postal 59234
Code commune 59409
Démographie
Population
municipale
2 488 hab. (2022 en évolution de −0,2 % par rapport à 2016)
Densité 368 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 16″ nord, 3° 12′ 37″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 66 m
Superficie 6,77 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Monchecourt
(ville isolée)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aniche
Législatives 17e circonscription du Nord
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Monchecourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Monchecourt
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Monchecourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Monchecourt
Liens
Site web https://monchecourt.fr/

Monchecourt est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Monchecourt est un bourg de l'Ostrevent dans l'ancien bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à 16 km de Douai , 19 km de Cambrai, 20 km de Valenciennes.

Le sentier de grande randonnée de pays GRP du bassin minier Nord-Pas-de-Calais y passe.

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Douai et dans sa zone d'emploi, ainsi que dans le bassin de vie de Somain. Elle est la ville-centre de son unité urbaine[I 1].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Masny, Villers-au-Tertre, Auberchicourt, Émerchicourt, Erchin, Fressain et Marcq-en-Ostrevent.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 6,77 km2 ; son altitude varie de 48 à 66 mètres[1].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Monchecourt[Note 2].

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie.

Elle est drainée par la Naville Tortue ou Riot des Glennes[2],[Carte 1].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[3].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Monchecourt est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].

Elle appartient à l'unité urbaine de Monchecourt[Note 3], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[11],[I 1].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,1 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,8 %), zones urbanisées (17,2 %)[14].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 1 065, alors qu'il était de 1 002 en 2016 et de 990 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 93,6 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 5,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,8 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Monchecourt en 2021 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (0,6 %) par rapport au département (1,8 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Monchecourt en 2021.
Typologie Monchecourt[I 3] Nord[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 93,6 90,9 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,6 1,8 9,7
Logements vacants (en %) 5,9 7,4 8,1

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Sur la D47 (Arleux, chef-lieu de canton ; Bugnicourt, Auberchicourt, Marchiennes)

La commune est desservie par les lignes 19, 20 et 115 du réseau urbain Évéole ainsi que par la ligne 828 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 3.

En 965 Mosterolcurt : titre de l'Abbaye de St-Ghilain. 1147 Monasterrioli curia: cartulaire de l'Abbaye de Saint-Vaast. 1169 Monsterelli curia : cartulaire de l'Abbaye de Saint-Vaast. 1171 Manicurt : charte de Robert de Béthune (Brequigny). 1184 Manchicourt : charte d'Hugo d'Oisy. 1232 : titre de l'Abbaye de Saint-Aubert. 1247 Mauchicourt : titre de Saint-Amé. 1296 Manchicourt : titre de Saint-Amé. 1349 Monstrencourt : pouillé du diocèse de Cambrai[15]

D'après les cartes de Cassini, qui sont la référence des noms de communes françaises au XVIIIe siècle, Monchecourt portait alors le nom de Monchicourt.

L'apparition du village de Monchecourt fait suite au défrichement des forêts qui bordent la Sensée. Son nom est cité pour la première fois en 1048 dans les archives de l'abbaye de Marchiennes[16].

Les premiers seigneurs appartiennent à la maison de Mancicurt (1048) puis passe aux maisons de Blondel (XVe siècle), de Lallaing (1425) et de Sainte-Aldegonde Noircarmes (1557). Au XVIIIe siècle, elles deviennent propriété du roi d'Espagne[16].

Temps modernes

[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution française, Monchecourt est le siège d'une seigneurie[17].

Révolution française et Empire

[modifier | modifier le code]

Au moment de la Révolution française, l'église de Monchecourt est vendue comme bien national. Charles Henne, qui deviendra maire de la commune en décembre 1791, l'achète. Au lieu de chercher à tirer un bénéfice quelconque de son achat, (ex : en démolissant l'église pour vendre des matériaux), il maintient le bâtiment en bon état. À la suite de la signature en 1801 du régime concordataire français, la religion catholique peut de nouveau être exercée librement en France. Charles Henne donne alors l'église à la commune et le bâtiment retrouve sa destination initiale[18].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Au {{S-[XIX}}, le village se consacre à l'exploitation minière après la création de la compagnie d'Azincourt en 1840. Il s'agit de la seule commune de l'Arleusis à s'orienter vers l'industrie minière[16].

La gare de Monchecourt, sur la ligne d'Aubigny-au-Bac à Somain est mise en service en 1882 par la compagnie des chemins de fer de Picardie et des Flandres, puis exploitée par la compagnie des chemins de fer du Nord. La section de la ligne où se trouve la gare est déclassée en 1954 et 1960.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord[I 1].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Arleux[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Aniche[I 1]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dix-septième circonscription du Nord.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Monchecourt était membre de la communauté de Communes de l'Est du Douaisis (CCED), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

En 2006, cette intercommunalité prend le nom de communauté de communes Cœur d'Ostrevent puis, en 2025, se transforme en communauté d'agglomération sous la dénomination de communauté d'agglomération Cœur d'Ostrevent. La commune en est donc membre[I 1].

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-trois sièges sont à pourvoir ; on dénombre 1 823 inscrits, dont 841 votants (46,13 %), 10 votes blancs (1,19 %) et 821 suffrages exprimés (97,62 %). La liste Bien vivre à Monchecourt menée par le maire sortant Jean Savary recueille 476 voix (57,98 %) et remporte ainsi dix-huit sièges au conseil municipal, contre trois pour la liste Monchecourt et vous de Pascale Bodart avec 206 voix (25,09 %) et deux pour la liste À l'écoute et au service de tous menée par Philippe Moine avec 139 voix (16,93 %)[19],[20]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[21]. Le 23 mai, Jean Savary est élu pour un huitième mandat avec dix-huit voix sur vingt-trois, deux vont à Philippe Moine qui s'était également présenté. Il y a trois bulletins blancs[22].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 1790 décembre 1791 François Mathieu Houriez    
décembre 1791 avril 1813 Charles Henne    
avril 1813 février 1826 Henry Tréca    
mars 1826 novembre 1831 Léopold Héroguez    
décembre 1831 septembre 1840 Jean-Baptiste Momal    
octobre 1840 1855 Auguste Momal    
1855 juillet 1859 Antoine Parent    
septembre 1859 janvier 1881 Louis Darthenay (père)    
janvier 1881 décembre 1887 Augustin Dujardin    
décembre 1887 août 1911 Louis Darthenay (fils)    
novembre 1911 novembre 1919 Charles Darthenay    
décembre 1919 mai 1925 Jules Després    
mai 1925 avril 1929 Henri Masclet    
avril 1929 mai 1935 Louis Chantreau    
juin 1935 juillet 1937 Pierre Vaillant   Mort en fonction
octobre 1937 mars 1938 Henri Masclet   Mort en fonction
juin 1938 1945 Jules Cambray    
avril 1945 1953 Julien Reco    
1953 novembre 1954 Auguste Bulté   Mort en fonction
janvier 1955 mars 1977 Auguste Dransart[Note 5]    
mars 1977 mars 2023[23],[24] Jean Savary[25],[26],[27] PS puis PG puis SE[28] Cadre retraité
Vice président de la CC puis CA Cœur d'Ostrevent (2020 → )
Démissionnaire
mars 2023[29],[30] En cours
(au 30 novembre 2023)
Jeanne Roman   Retraitée du commerce ou de l'artisanat

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2022, la commune comptait 2 488 habitants[Note 6], en évolution de −0,2 % par rapport à 2016 (Nord : +0,51 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
409416512564662700729702620
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
6608409789971 1071 0621 1551 2501 258
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3521 4701 7151 7142 1022 2112 1532 0132 020
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 0081 9771 7902 0512 5992 9002 7602 7082 605
2014 2019 2022 - - - - - -
2 5072 5212 488------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 243 hommes pour 1 269 femmes, soit un taux de 50,52 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,9 
4,3 
75-89 ans
6,2 
17,2 
60-74 ans
17,2 
19,2 
45-59 ans
19,9 
19,4 
30-44 ans
18,5 
16,4 
15-29 ans
17,0 
23,4 
0-14 ans
20,3 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'église Saint-Nicolas initiale aurait été bâtie à la fin du XVIIe siècle et comporte alors trois nefs. Entièrement détruite par la Première Guerre Mondiale, elle est déplacée et reconstruite au centre du village en 1932 dans le style gothique. Seuls les fonts baptismaux de 1685 proviennent de l'ancienne église[16].
  • Le cavalier d'Azincourt est une ancienne voie ferrée construite de 1922 à 1924 de sept kilomètres ayant appartenu à la compagnie des mines d'Azincourt, reliant la cokerie de Monchecourt à Usinor-Denain et qui passait par Monchecourt, Auberchicourt, Aniche, Émerchicourt, Abscon et Escaudain[36]. C'est aujourd’hui une voie verte entre Abscon à Auberchicourt[37]
  • Un important terril est constitué de roches stériles issues de l'exploitation de la fosse Saint-Roch. En 1928, 150.000 tonnes de charbon y étaient produites et une centaine de four à coke fonctionnent en permanence. Le terril et la cokerie sont les derniers vestiges du passé minier de la commune[16].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Roger Facon (1950- ), auteur français de romans policiers et fantastiques, y est né.

La commune possède un géant qui se nomme Arthur le Baudet[38],[39].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Monchecourt Blason
De gueules à trois chevrons d'argent.
Détails

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique de Monchecourt » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Fiche communale de Monchecourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  3. « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Monchecourt et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Monchecourt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. page 195 - Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes par Eugène Mannier - 1861- éditeur Auguste Aubry 16 rue Dauphine à Paris- archive de l'université d'Oxford bibloteca Bodletana - numérisé par Google Books le 14 septembre 2006
  16. a b c d et e Le patrimoine des communes du Nord, Flohic, (ISBN 978-2-84234-119-0, lire en ligne), p. 76-77
  17. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 165, lire en ligne.
  18. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 228, lire en ligne.
  19. « Élections municipales, Monchecourt », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 34.
  20. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Monchecourt », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 10.
  21. « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
  22. « À 82 ans, Jean Savary repart pour un nouveau mandat », L'Observateur du Douaisis, no 907,‎ , p. 20.
  23. « Monchecourt : doyen des maires du Douaisis, Jean Savary devrait passer la main en mars », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  24. « Monchecourt : élu depuis 1977, Jean Savary quitte son fauteuil de maire ce vendredi », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  25. « Municipales à Monchecourt : Jean Savary, trente-sept ans de mandat, encore et toujours candidat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Et une septième candidature pour Jean Savary, maire depuis 1977… « J’ai reçu beaucoup de sollicitations explique-t-il. [...] M. Savary est entré en politique sous la bannière du Parti socialiste (PS), qu’il a quitté au moment de la création du Front de gauche, menant des listes d’Union de la gauche ».
  26. Bruno Place, « Monchecourt : à 80 ans, Jean Savary brigue à nouveau le poste de maire », L'Observateur du Douaisis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Né le 30 janvier 1939, maire depuis mars 1977, à 80 ans Jean Savary se remet donc en campagne électorale ».
  27. Réélu pour le mandat 2020-2026 : Joël Venel, « Monchecourt : Jean Savary élu maire pour la huitième fois », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Sans surprise Jean Savary fut élu avec 18 voix sur 23, deux voix allant à Philippe Moine ».
  28. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant, « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  29. « Monchecourt : Jeanne Roman est la nouvelle maire de la commune », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Jean Savary, maire depuis 46 ans, a laissé sa place à sa première adjointe ».
  30. « À Monchecourt, Jeanne Roman succède à Jean Savary, maire depuis 1977 », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Vendredi, Jeanne Roman a été élue maire de Monchecourt. Elle succède à Jean Savary qui avait récemment annoncé son intention de mettre un terme aux fonctions de premier magistrat qu’il exerçait depuis 1977 ».
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Monchecourt (59409) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  36. « Requalification du cavalier d'Azincourt », (consulté le ).
  37. « Cavalier d’Azincourt », Quoi faire Circuits et itinéraires de randonnée, sur https://www.coeur-ostrevent-tourisme.fr/ (consulté le ).
  38. « Auberchicourt : Aubert le loup entre officiellement dans la cour des géants », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord,  : « Tous ses amis géants des communes alentour étaient là : le Baudet, de Monchecourt, Fraisinou, d'Écaillon, Floris de Montmorency, de Montigny-en-Ostrevent, Philipotte de Lannoy, d'Hordain et Kopierre, d'Aniche. ».
  39. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15