Aller au contenu

Pecquencourt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pecquencourt
Pecquencourt
L'Hôtel de ville.
Blason de Pecquencourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Joël Pierrache
2020-2026
Code postal 59146
Code commune 59456
Démographie
Gentilé Pecquencourtois, Pecquencourtoises
Population
municipale
6 232 hab. (2021 en évolution de +4,88 % par rapport à 2015)
Densité 649 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 22′ 41″ nord, 3° 12′ 59″ est
Altitude Min. 16 m
Max. 27 m
Superficie 9,6 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sin-le-Noble
Législatives Seizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pecquencourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pecquencourt
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Pecquencourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Pecquencourt

Pecquencourt est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. La Compagnie des mines d'Aniche y a ouvert les fosses Lemay et Barrois.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Scarpe canalisée, la Grande Traitoire, l'Ecaillon ou Scarpe, le Courant de Larrentis, le Courant du Rivage, le fossé le Bouchard, la Grande Traitoire[1], le Courant de Beaurepaire[2], le Courant des Fientons[3], le marais[4] et divers autres petits cours d'eau[5],[Carte 1].

La Scarpe canalisée et une section canalisée de la Scarpe, d'une longueur de 67 km, prend sa source dans la commune de Arras et se jette dans l'Escaut canalisée à Mortagne-du-Nord, après avoir traversé 34 communes[6].

La Grande Traitoire est un canal, chenal et un cours d'eau naturel non navigable, d'une longueur de 24 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Scarpe canalisée à Château-l'Abbaye, après avoir traversé onze communes[7].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Pecquencourt[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[8].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s'agit d'une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

  • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 666 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1962 à 2019 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[15]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records PECQUENCOURT (59) - alt : 19 m 50° 23′ 18″ N, 3° 13′ 00″ E
Records établis sur la période du 01-01-1962 au 30-12-2019
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 0,7 3,1 4,7 8,4 11,3 13,4 13 10,3 7,3 3,8 1,5 6,5
Température moyenne (°C) 3,6 4 7,1 9,7 13,5 16,3 18,6 18,3 15,2 11,5 7 4,1 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,4 11,1 14,8 18,5 21,2 23,8 23,6 20,1 15,6 10,2 6,7 15
Record de froid (°C)
date du record
−19
17.01.1985
−12,6
07.02.1991
−12
07.03.1971
−6
08.04.1968
−4
03.05.1967
1
01.06.1975
3
01.07.1984
3
26.08.1966
−1
19.09.1977
−7,5
30.10.1997
−9
23.11.1998
−14,2
29.12.1996
−19
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
18,5
02.01.03
20,4
26.02.19
24
29.03.1968
28,5
21.04.18
32,1
27.05.05
34,7
21.06.17
41,6
25.07.19
37
07.08.18
34,4
05.09.13
29,4
01.10.11
21,5
06.11.18
15,8
07.12.00
41,6
2019
Précipitations (mm) 58,1 48,6 58,3 46,6 61 69,8 72,4 67,8 57,7 68,3 67,9 67,3 743,8
Source : « Fiche 59456001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 3, 12, 19 et 112 du réseau de transport Évéole.

Au , Pecquencourt est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 5], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[18]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (56,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (26 %), zones urbanisées (25,2 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), prairies (11,4 %), forêts (10,5 %), mines, décharges et chantiers (6,7 %), zones humides intérieures (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[21]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

de Piscatoris curte (1079), Piscium curtem (1104), Pisciucurte (1123), Pescheucurt (1178), apud Piscatoris curtem (1189).

Du latin piscātōris curtis, la « ferme du pêcheur »[22].

Vissershoven en flamand[23].

En 1339, vidimus d'un acte de Baudouin comte du Hainaut, (Baudouin V de Hainaut) et de sa femme Marguerite d'Alsace en 1178, reconnaissant n'avoir aucun droit sur les villages d'Auberchicourt et de Pecquencourt, appartenant à l'abbaye d'Anchin[24].

Il ne reste que quelques vestiges de l'entrée de l'abbaye à Pecquencourt qui se trouvent assez éloignés dans le prolongement de la rue d'Anchin en direction du Nord Ouest[25],[26],[27].

Cartulaire du Duc de Croy en 1603.

Époque moderne

[modifier | modifier le code]

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Situation administrative

[modifier | modifier le code]
Pecquencourt dans son ancien canton et son arrondissement.

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 4 408 inscrits, dont 2 423 votants (54,97 %), 24 votes blancs (0,99 %) et 2 362 suffrages exprimés (97,48 %). La liste étiquetée divers gauche Ensemble continuons pour Pecquencourt menée par le maire sortant Joël Pierrache[28] recueille 1 258 voix (53,26 %) et remporte ainsi vingt-deux sièges au conseil municipal contre sept pour la liste divers gauche Liste d'union pour le bien et le progrès de Pecquencourt menée par Rémy Vanandrewelt avec 1 104 voix (46,74 %)[29],[30]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[31]. Joël Pierrache est réélu pour un troisième mandat avec vingt-deux voix contre sept pour Rémy Vanandrewelt le 24 mai[32].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]

Maire de 1802 à 1807 : Goube[33],[34].

Maire en 1881 : Sion[35].

Titulaires de la fonction de maire de PecquencourtVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Jules Vanandrewelt (d)
(mort le )
7 ans
Michel Vanandrewelt (d)
(mort le )
20 ans
François Briquet (d)années 1950
Lucien Bourdon (d)
( - )
6 ans
René Mercier (d)[36]6 ans Parti communiste français
Lucien Bourdon (d)[37]
( - )

(mort en cours de mandat)
7 ans
Patrick Vanandrewelt (d)[38],[39],[40]
( - )

(mort en cours de mandat)
16 ans divers droite
Léon Brevière (d)[41]
( - )
2 ans
Henri Fontaine (d)[42]1 an et 7 mois Parti communiste français
Joël Pierrache (d)[43],[44],[45],[46]
(né le )
En cours15 ans et 1 mois indépendant
divers gauche

Instances judiciaires et administratives

[modifier | modifier le code]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[48].

En 2021, la commune comptait 6 232 habitants[Note 8], en évolution de +4,88 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3291 2691 2611 3041 3341 3001 3531 4381 350
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3661 4261 4271 3601 4051 3241 2591 2751 259
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3811 4171 3451 3293 0183 7134 2635 1116 555
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8 7728 9117 9347 3876 7186 3616 0405 9395 950
2018 2021 - - - - - - -
6 0506 232-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 943 hommes pour 3 107 femmes, soit un taux de 51,36 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[51]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,1 
5,2 
75-89 ans
9,7 
13,3 
60-74 ans
15,7 
18,3 
45-59 ans
17,1 
20,1 
30-44 ans
19,0 
18,5 
15-29 ans
17,3 
24,0 
0-14 ans
20,1 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[52]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Pecquencourt fait partie de l'académie de Lille.

Le team Athlé Pecquencourt, club d'athlétisme spécialisé en courses hors stade et trail, organise chaque 3ème dimanche de septembre, une course pédestre depuis 2015, « Les foulées pecquencourtoises »[53].

Le club de football ; US Pecquencourt

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

La commune a acquis une certaine notoriété grâce au Salon de la Moto qui s'y déroule chaque année.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Saint Gossuin abbé, mort à l'abbaye en 1169.
  • Jean Degros, international de basket-ball, né à Pecquencourt en 1939
  • Patrick Vanandrewelt, 1944-2006, président de l'US Pecquencourt durant 13 ans, premier adjoint à partir de 1983 puis maire à partir de 1990 jusqu'en 2006. Vice-président du Syndicat Intercommunal des Eaux du Nord, Conseiller régional pour le mandat de 1992 à 1998 dans le groupe formé autour de Jean-Louis Borloo. Président du syndicat des transports du Douaisis de 1995 à 2002. Chevalier dans l'ordre de la légion d'honneur en 2004[réf. nécessaire].
  • Boguslaw Konieska, ancien défenseur du LOSC , né à Pecquencourt en 1938.
  • Joseph Kolasniewski, ancien joueur professionnel du Sporting Club de Douai (ex SA Douai), né à Pecquencourt en 1925.

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armes de Pecquencourt se blasonnent ainsi : « D'azur semé de fleurs de lis d'or, au cerf d'argent passant sur le tout. »

Ce sont celles de l'ancienne abbaye d'Anchin, qui se trouvait jusqu'en 1792 sur le territoire de la commune.

Pecquencourt a pour géant Fery de Guyon[54].

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
  5. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  6. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Pecquencourt » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Sandre, « la Grande Traitoire »
  2. Sandre, « le Courant de Beaurepaire »
  3. Sandre, « le Courant des Fientons »
  4. Sandre, « le marais »
  5. « Fiche communale de Pecquencourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  6. Sandre, « la Scarpe canalisée »
  7. Sandre, « la Grande Traitoire »
  8. « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  12. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d'outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le ).
  15. « Fiche du Poste 59456001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Pecquencourt ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 788 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  23. « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  24. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome 9. Année 1339.
  25. GPS 50° 23' 1.44 N 3° 13' 10.23 E
  26. E. A. Escallier : l'Abbaye d'Anchin 1079 - 1792 (Lille, chez L. Lefort Libraire Imprimeur de Monseigneur l'Archevêque de Cambrai 1852) téléchargeable librement sur GoogleBooks ; toutes ne sont toutefois pas visibles car, microfilmées, certaines pages ne sont pas toujours dépliées avant cette opération ; ainsi la page 36 de 574.
  27. Il y a aussi une belle représentation de l'Abbaye d'Anchin dans les Albums de Croy — J.-M. Duvosquel, Albums de Croÿ, 26 vol. grand in-4°, Bruxelles, Crédit communal de Belgique, 1985-1996 (pour les t. I à XXV, il existe également un tirage daté de Lille, Conseil régional du Nord Pas-de-Calais, 1985-1991). Le t. XXVI (Bruxelles, 1996) qui clôture l'édition, regroupe une série d'études sur les albums. L'édition totalisant 7 510 pages reproduit les 2 544 planches d'albums et les 28 planches d'un carnet de croquis ainsi que plusieurs centaines d'illustrations enrichissant les textes introductifs qui ouvrent chaque volume. Bernard Delmaire a collaboré à cette vaste entreprise en rédigeant plusieurs études relatives au comté d'Artois (t. XVII, XX, XXI, XXIII à XXV).
  28. Jean-Luc Rochat, « Joël Pierrache présente un programme dans la continuité de son mandat », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , B.
  29. « Élections municipales, Pecquencourt », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 34.
  30. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Pecquencourt », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 10.
  31. « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
  32. « Maire depuis 2009, Joël Pierrache a été réélu », L'Observateur du Douaisis, no 907,‎ , p. 16.
  33. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
  34. « Annuaire statistique du Département du Nord. Année 1807. », p. 144-145..
  35. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2-3..
  36. Julien Dufurier, « Pecquencourt : il lance une pétition pour qu’Iris Mittenaere soit la future Marianne », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « René Mercier est un personnage étonnant. À 80 ans, il explique avoir été maire de Pecquencourt, près de Douai, de 1977 à 1983, à l’origine de la création du gigantesque Salon de la moto de sa commune et aimer relever les défis. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  37. « Pecquencourt : Paul Delannoy amer d’être écarté de la liste de Joël Pierrache », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « La liste l’emporte de peu et M. Bourdon est élu maire en 1983. M. Vanandrewelt lui succédera en 1990, à son décès. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  38. « Pecquencourt : le nouveau square porte le nom de l’ancien maire Patrick Vanandrewelt », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Situé à deux pas de la mairie, sa deuxième maison de 1990 à 2006, un square porte désormais le nom de l’ancien maire, Patrick Vanandrewelt, décédé en cours de mandat. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  39. Annuaire des mairies du Nord (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, , 282 p. (ISBN 2-35258-159-1), p. 199 :

    « Appartenance politique : DVD »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  40. Bernard Dolez (dir.), Annie Laurent (dir.) et Christian-Marie Wallon-Leducq (dir.), La Revanche de la Gauche : Les élections législatives de 1997 dans la région Nord-Pas-de-Calais, Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, , 193 p. (ISBN 978-2-85939-547-6), p. 69 :

    « Finalement, Jean-Pierre Lemay (Nord, 9e ; ex-PPDF) et Patrick Vanandrewelt (Nord, 16e) ont été exclus. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  41. « Pecquencourt : une rue au nom de Léon-Brévière à la cité des pâtures », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « L’on remarquait la présence d’une nombreuse assistance dont la proche famille du regretté maire. Il fut élu à ce poste en 2006 jusqu’en 2008. [...] En 1971, il est élu sur la liste de Lucien Bourdon. Une coupure de 1977 à 1983, il revient avec à nouveau Lucien Bourdon puis Patrick Vanandrewelt, dont il était le premier adjoint jusqu’en mai 2006. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  42. J.-L. R., « Pecquencourt: Joël Pierrache a conquis la confiance des électeurs », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « La fusion des listes d’Henri Fontaine et de Jean-Jacques Bracq avait donné la mairie au communiste M. Fontaine avec 51,71 % des voix. Mais quelques mois plus tard, une grave mésentente au sein de la majorité avait conduit M. Bracq à se rapprocher de M. Pierrache (non inscrit mais qui vote contre la gauche à la CCCO). Leurs deux groupes avaient démissionné conduisant, faute d’un quorum suffisant au sein du conseil, à de nouvelles élections. Ce scrutin partiel, en octobre 2009, M. Pierrache l’avait remporté contre M. Fontaine par une différence de… 17 voix. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  43. Jean-Luc Rochat, « Pecquencourt : Joël Pierrache sera candidat à sa succession », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Joël Pierrache, le maire, a donc cédé à la tentation. Il se présentera aux prochaines municipales. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  44. Bertrand Bussière, « Pecquencourt : Joël Pierrache retrouve le poste de maire qu’il occupe depuis 2009 », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Histoire de compter ses soutiens, Rémy Vanandrewelt a présenté sa candidature au poste de maire. Les bulletins décomptés, il a eu ses sept voix. Élu, Joël Pierrache a présenté au vote sa garde rapprochée pour les six années à venir. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  45. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Pecquencourt : divers gauche »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  46. Bruno Place, « Cœur d’Ostrevent : le président Frédéric Delannoy s’entoure de 14 vice-présidents », L'Observateur du Douaisis,‎ (ISSN 0183-8415 et 1639-2221, lire en ligne) :

    « 1er vice-président, Joël Pierrache, maire de Pecquencourt, délégué au développement économique, au commerce et aux nouvelles technologies »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pecquencourt (59456) », (consulté le ).
  52. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  53. « 4ème foulées pecquencourtoises », sur pecquencourt.fr, (consulté le ).
  54. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15