Maspie-Lalonquère-Juillacq
Maspie-Lalonquère-Juillacq | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Nord-Est Béarn | ||||
Maire Mandat |
Eliane Capdevielle 2020-2026 |
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Code postal | 64350 | ||||
Code commune | 64369 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Maspiegeois-Lalonquèrois-Juillacquais | ||||
Population municipale |
241 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 25′ 26″ nord, 0° 08′ 51″ ouest | ||||
Altitude | Min. 179 m Max. 336 m |
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Superficie | 10,76 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Maspie-Lalonquère-Juillacq (en béarnais Maspièr-La Lonquèra-Julhac ou Maspiè-La Lounquère-Yulhac) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 30 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 27 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Samsons-Lion (2,6 km), Simacourbe (2,7 km), Gerderest (2,7 km), Anoye (3,2 km), Peyrelongue-Abos (3,5 km), Monassut-Audiracq (4,0 km), Abère (4,3 km), Lembeye (4,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Maspie-Lalonquère-Juillacq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Anoye, Gerderest, Samsons-Lion, Simacourbe et Lembeye.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par le Léez, le ruisseau de Labadie, le ruisseau du Hour et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et traverse le territoire communal dans sa partie est. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[8].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 158 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 15 km à vol d'oiseau[12], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17]. Un espace protégé est présent sur la commune : le « coteau de Lembeye », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 97,5 ha[18].
Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[20], d'une superficie de 220 ha, présentant des pelouses calcaires riches en orchidées et autres plantes rares régionalement, globalement bien conservées[21],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[22],[Carte 3] : les « coteaux calcaires du Béarn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du département[23].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Maspie-Lalonquère-Juillacq est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[25],[26].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,7 %), prairies (22,8 %), forêts (16,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), zones urbanisées (2,7 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
[modifier | modifier le code]- l'Église ;
- Juillacq : Coume, Houradat ;
- Lalonquère : Haü, Junca, Moulin ;
- Larribère ;
- Maspie : Dibat, Frérou, Hounta, lacrout, Moura, Pape.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Elle est desservie par les routes départementales 143, 207, 604 et 943.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 2007, 2009 et 2018[30],[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[31]. 65,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[32].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Maspie apparaît sous la forme Mespie (1385[33], censier de Béarn[34]).
Le toponyme Lalonquère, village de Maspie, est mentionné en 1385[33] (censier de Béarn[34]) et apparaît sous les formes La Loncquera (1538[33], réformation de Béarn[35]), Lalonquere (1793[36] ou an II) et Lalonguerre (1801[36], Bulletin des Lois).
Le toponyme Juillacq, village de Maspie, apparaît sous les formes Jullac et Saint-Pierre de Julhac (respectivement XIIe siècle[33] et 1227[33], d'après Pierre de Marca[37]), Jullaq (1777[33], terrier de Gerderest[38]) et Juillac (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[33]).
Le nom béarnais de la commune est Maspièr-La Lonquèra-Julhac[39] ou Maspiè-La Lounquère-Yulhac[40].
Histoire
[modifier | modifier le code]Paul Raymond[33] note qu'en 1385 Maspie comptait seize feux, Lalonquère dix et Juillacq vingt-trois. Les trois paroisses dépendaient du bailliage de Lembeye. Lalonquère était un membre de la commanderie de l'ordre de Malte de Caubin et Morlaàs. Il y avait à Juillacq une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
Juillacq fut annexé à l'ensemble Maspie-Lalonquère en 1842[33], lui-même créé en 1833 par l'union de Maspie et Lalonquère.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Maspie-Lalonquère-Juillacq fait partie de trois structures intercommunales[41] :
- la communauté de communes du Nord-Est Béarn ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montanérès.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43].
En 2021, la commune comptait 241 habitants[Note 7], en évolution de −6,23 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]À Maspie, les vestiges d'un ensemble fortifié[46] du XIIe siècle témoignent du passé ancien de la commune. Il en est de même à Lalonquère, où au haut Moyen Âge se dressait une fortification seigneuriale[47].
La maison, dite château[48], à Juillacq, date du XVIe siècle. On y trouve une girouette[49] du XVIIIe siècle inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
La commune présente un ensemble de maisons et de fermes[50] des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. L'une des demeures du lieu-dit Coume à Juillacq possède une peinture monumentale[51] de la fin du XIXe siècle représentant Pau et ses environs.
Le moulin[52] de Lalonquère fut construit au XVIIe siècle.
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Martin[53], à Maspie, date partiellement du XIIe siècle et celle de Juillacq, l'église Saint-Jean-Baptiste[54], du XVIe siècle. Cette dernière recèle du mobilier[55], des objets[56] et des statues[57], ainsi que des tableaux[58] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel. L'église Saint-Martin est également riche en éléments remarquables inventoriés par le ministère de la Culture, tels que des verrières[59], des sculptures[60], des meubles[61], des peintures[62] et autres objets[63] à usage religieux.
L'église Saint-Germain[64], à Lalonquère, date quant à elle du XVIIIe siècle. On y trouve du mobilier[65], des tableaux[66], une statue[67] et des objets[68] également référencés par les monuments historiques.
Équipements
[modifier | modifier le code]- Éducation
La commune dispose d'une école primaire.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Maspie-Lalonquère-Juillacq » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq ».
- Stephan Georg, « Distance entre Maspie-Lalonquère-Juillacq et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Maspie-Lalonquère-Juillacq et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Laas ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Maspie-Lalonquère-Juillacq et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « le « Coteau de Lembeye » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200779 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « coteaux calcaires du Béarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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- « Les risques près de chez moi - commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Lalonquère », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
- Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié de Maspie
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié de Lalonquère
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château de Juillacq
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la girouette du château de Juillacq
- [1][2][3][4][5][6][7][8][9][10] [11][12][13][14][15][16] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les maisons et fermes anciennes
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la peinture monumentale du lieu-dit Coume
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le moulin de Lalonquère
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste
- [17][18][19][20][21][22][23][24][25][26] [27][28][29][30][31][32][33][34][35][36] [37][38][39][40][41][42][43][44][45][46] [47] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Jean-Baptiste
- [48][49][50][51] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Jean-Baptiste
- [52][53][54][55][56] Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les statues de l'église Saint-Jean-Baptiste
- [57][58][59] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'église Saint-Jean-Baptiste
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les verrières de l'église Saint-Martin
- [60][61][62][63] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les statues de l'église Saint-Martin
- [64][65][66][67][68][69][70][71][72][73][74][75] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Martin
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le tableau de l'église Saint-Martin
- [76][77][78] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Martin
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Germain
- [79][80][81][82][83][84][85] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Germain
- [86][87] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'église Saint-Germain
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la statue de l'église Saint-Germain
- [88][89][90][91] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Germain
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :