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Araux

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Araux
Araux
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Jean-Jacques Montreer
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64033
Démographie
Gentilé Aragnais
Population
municipale
131 hab. (2021 en évolution de −7,75 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 11″ nord, 0° 48′ 23″ ouest
Altitude Min. 98 m
Max. 188 m
Superficie 5,40 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Araux
Géolocalisation sur la carte : France
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Araux
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Araux
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Araux

Araux est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Araux se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[I 1].

Elle se situe à 47 km par la route[Note 1] de Pau[1], préfecture du département, à 26 km d'Oloron-Sainte-Marie[2], sous-préfecture, et à 21 km de Mourenx[3], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Viellenave-de-Navarrenx (1,2 km), Araujuzon (1,2 km), Audaux (1,4 km), Bugnein (2,1 km), Ossenx (2,3 km), Bastanès (3,1 km), Narp (3,2 km), Castetnau-Camblong (3,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Araux fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Araujuzon, Audaux, Charre et Viellenave-de-Navarrenx.

Communes limitrophes d’Araux[6]
Araujuzon Audaux
Araux
Charre Viellenave-de-Navarrenx

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Araux.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Lausset, le Cassou Dou Boue, le ruisseau de Lescuncette, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il longe la commune sur son extrémité nord-est et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[8].

Le Lausset, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source dans la commune de Sauguis-Saint-Étienne et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Narp, après avoir traversé 14 communes[9].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 279 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein à 11 km à vol d'oiseau[13], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 323,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[18], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[19].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[20],[Carte 2] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[21].

Au , Araux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[23],[24].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37 %), forêts (31,3 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %), prairies (5 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits et hameaux

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Voies de communication et transports

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Araux est desservie par les routes départementales 836 et 936.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Araux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et le Lausset. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[29],[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Araux.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[30]. 83,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[31].

Attestations anciennes

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Le toponyme Araux apparaît sous les formes Araus (1223[26], titres de Taragone[32]), Sente-Angne d'Araus (vers 1350[26], notaires de Lucq-de-Béarn[33]), lo paged d'Araus (1376[26], montre militaire de Béarn[34]), Araus-Susoo (1385[26], censier de Béarn[35]), Sent-Johan d'Araux (1411[26], notaires de Navarrenx[36]) et Araus-Susson (1547[26], réformation de Béarn[37]) et Araux sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[38]).

Étymologie

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Brigitte Jobbé-Duval[39] propose deux origines au toponyme Araux, soit le basque arrantz, qui signifie 'buisson', soit le basco-aquitain aran, qui désigne une vallée.

Autres toponymes

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Domec est un fief vassal de la vicomté de Béarn, cité au XIIIe siècle[26] par le for de Béarn, et en 1863[26] par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

Montquoueilles est une ferme d’Araux, dont le nom apparaît sous les graphies Mon-Coeyle (1385[26], censier de Béarn[35]), Moncoeyla (1397[26], notaires de Navarrenx[36]) et Moncoueyle (1863[26], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

Graphie béarnaise

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Son nom béarnais est Araus.

Paul Raymond[26] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. En 1385, Araux comptait 27 feux. Elle devint une dépendance de la baronnie de Jasses, datant de 1644, qui comprenait, outre Araux, Araujuzon, Jasses, Montfort et Viellenave.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2001 Louis Casenave    
2001 2008 Michel Couturejuzon    
2008 2020 Nadine Lambert DVD
puis DVG[40]
Conseillère départementale
2020 En cours Jean-Jacques Montreer    

Intercommunalité

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La commune fait partie de sept structures intercommunales[41] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

En 2021, la commune comptait 131 habitants[Note 6], en évolution de −7,75 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
224247257285296319312313286
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
287290255246242229242236216
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
198194190183168156153119106
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
115115109123110115118120129
2014 2019 2021 - - - - - -
139134131------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dispose d'une école élémentaire.

Un fronton[46] (pelote basque) se dresse au centre du village.

L'activité est principalement agricole (élevage et polycultures). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine civil

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Le site de la commune[46] mentionne trois ponts remarquables, le pont de Rèquamale, le pont dit de pierre (1888) et le pont de Cameich (1891), ainsi que deux lavoirs, l'un du XIXe siècle (Canfranc) et l'autre des années 1950, à proximité du fronton.

Patrimoine religieux

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Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
  2. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Araux », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».

Références

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Araux et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Araux et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Araux et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Araux », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u et v Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Araux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  9. Sandre, « le Lausset ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Araux et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Araux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Araux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a b c d e f g h i j k l et m Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
  27. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Araux », sur Géorisques (consulté le ).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  32. Titres de Taragone, d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  33. Notaires de Lucq-de-Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  34. Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques - Le paged d'Araus était une juridiction judiciaire comprenant Araus et Araujuzon.
  35. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  36. a et b Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  38. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
  39. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
  40. http://www.politiquemania.com/forum/elections-senatoriales-2017-f47/elections-senatoriales-2017-pyrenees-atlantiques-t5912.html
  41. Cellule informatique préfecture 64, « Intercommunalité des Pyrénées-Atlantiques » (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. a et b Araux sur le site de la communauté de communes du canton de Navarrenx