La Roquebrussanne
La Roquebrussanne | |||||
L'église Saint-Sauveur. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Brignoles | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Provence Verte | ||||
Maire Mandat |
Michel Gros 2020-2026 |
||||
Code postal | 83136 | ||||
Code commune | 83108 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 192 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 59 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 20′ 28″ nord, 5° 58′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 311 m Max. 827 m |
||||
Superficie | 37,05 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | La Roquebrussanne (ville isolée) |
||||
Aire d'attraction | Toulon (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Garéoult | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
| |||||
Liens | |||||
Site web | la-roquebrussanne.fr | ||||
modifier |
La Roquebrussanne est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le village de la Roquebrussanne est situé sur les contreforts de la Sainte-Baume et au pied de la Loube, en pays de la Provence Verte.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune, membre du Parc naturel régional de la Sainte-Baume, se découpe en trois grandes entités naturelles :
- la plaine,
- le plateau d’Agnis,
- le massif de la Loube.
Le massif de La Loube culmine à 834 m, dominant La Roquebrussanne et le plateau de l'Issole[1],[2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) terrestre de type II :
- Montagne de la Loube,
- Mourré d’Agnis et la forêt domaniale de Mazaugue,
- Plaine de La Roquebrussanne,
- Ripisylves et annexes des vallées de l’Issole et du Caramy,
- Forêt de Vautruite et de Saint-Julien Collines de Tourves.
Les zones humides recensées sur le territoire de La Roquebrussanne :
- Grand Laoucien,
- Petit Laoucien,
- Prairie humide de Saint Julien.
Sismicité
[modifier | modifier le code]La commune est en Zone de sismicité 2 (sismicité faible)[3].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :
- Rivière l'issole,
- Ruisseaux de l'escarelle, du cendrier, de lamanon, de laouron, du riolet, des pourraques, de la foux.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 784 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cuers », sur la commune de Cuers à 14 km à vol d'oiseau[7], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 778,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,3 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La Roquebrussanne fait partie des 39 communes du Pays de la Provence Verte labellisé Pays d’art et d’histoire et de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte qui compte 28 communes membres.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Roquebrussanne est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Roquebrussanne[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,5 %), cultures permanentes (24,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,4 %), zones urbanisées (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]La commune est accessible par la route départementale 5 entre Tourves et Méounes-lès-Montrieux.
L'A8 traversant la commune de Brignoles desservie par la sortie no 35.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Le réseau régional de transport en commun "Zou !" dessert la commune[18].
Lignes SNCF
[modifier | modifier le code]- Les gares SNCF les plus proches sont :
- Lignes Express Régionales (LER).
- La gare la plus proche se trouve à Brignoles (TER).
- la gare d'Aix-en-Provence (TER).
- La gare de Marseille-Saint-Charles (TER/Intercités/TGV).
- La gare des Arcs - Draguignan (TER/Intercités/TGV).
- La Gare de Toulon (TER/Intercités/TGV);
Aéroport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
[modifier | modifier le code]En particulier :
En particulier :
- La rade de Toulon,
- Le port de Marseille,
- Port Hercule (port de Monaco),
- Port Lympia (port de Nice).
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune en provençal est La Roco-brussano, le mot roco désignant un rocher isolé ou à pic[19].
Histoire
[modifier | modifier le code]De l’âge du fer aux occupations romaines, La Roquebrussanne recèle de nombreux vestiges archéologiques[20].
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La communauté soutient les Duras jusqu’en 1386, puis change de camp pour rejoindre les Angevins grâce aux négociations patientes de Marie de Blois, veuve de Louis Ier et régente de leur fils Louis II. La reddition d’Aix a également pu jouer un rôle dans la volte-face de la communauté[21].
En 2020 s'est déroulée la commémoration du 76e anniversaire de la Libération de La Roquebrussanne après la Seconde Guerre mondiale[22].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du parc naturel régional de la Sainte-Baume, créé par décret du [28].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2021, la commune comptait 2 192 habitants[Note 4], en évolution de −13,7 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Budget et fiscalité 2019
[modifier | modifier le code]En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[33] :
- total des produits de fonctionnement : 3 461 000 €, soit 1 326 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 2 416 000 €, soit 926 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 1 683 000 €, soit 685 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 1 520 000 €, soit 582 € par habitant.
- endettement : 1 895 000 €, soit 726 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 13,03 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 18,68 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 61,15 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 690 €[34].
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune compte 29 exploitations sur 33 qui exploitent des vignes dont 19 se sont spécialisées uniquement en viticulture, et cinq activités d’élevage[35].
- Coopérative vinicole La Roquière[36].
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Gîtes ruraux et chambres d'hôtes[37].
- Hôtel et village vacances Les Arbousiers[38].
- Bar, buvette[39].
Commerces, artisannat et services
[modifier | modifier le code]- Commerces de proximité[40].
- Résidence de retraite "Korian La provençale"[41].
- Artisannat d'art : Archéo Poterie, Styl'Vieil (Ebenisterie).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Deux dolines existent à la sortie ouest du village : le Grand Laoucien et le Petit Laoucien[42],[43].
Les ponts sur la rivière la Latte
[modifier | modifier le code]Au cours de la traversée du village de La Roquebrussanne la rivière Issole est nommée « la Latte » tant que cette rivière longe le village[44].
Depuis le pont de l'Orbitelle reconstruit en 1797, six ponts, construits entre 1850 et 1900, enjambent la rivière jusqu'à l'ancien moulin à huile. Certains sont privés et rejoignent les jardins sur l'autre rive[45].
L'église Saint-Sauveur
[modifier | modifier le code]Construite en 1340 à la demande des habitants, l'église Saint-Sauveur possède un chœur et un porche de style roman et une nef de style gothique. Le clocher a été reconstruit en 1659. La plus grosse des tois cloches fondue en 1751 pèse 528 kg[45].
Elle devient capitulaire en 2019, lorsque le chapitre collégial de Saint-Remi y est affecté par Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, de septembre 2019 à Noël 2020, afin de célébrer quotidiennement messes et office divin solennels dans la liturgie latine traditionnelle.
La Tour de l'horloge
[modifier | modifier le code]Construite en 1616 sous Louis XIII, la tour de l'horloge possède un campanile cosmologique. Le soleil entouré des six planètes connues à l'époque date de 1699 (Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne ; Uranus fut découverte en 1781 et la dernière, Neptune, en 1846). La cloche fondue en 1699 sonne en ré dièse. Le mécanisme actuel de l'horloge qui date de 1887 est remonté manuellement une fois par semaine[45].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Roche de calcaire dolomitique. -
La rue Georges-Clemenceau. -
La mairie. -
Vestiges du château. -
Ancien lavoir.
- Chapelle Notre-Dame-de-l’Inspiration et sa cloche de 1730[46].
- Chapelle Saint-Louis-des-Molières et sa cloche de 1694[47].
- Le chemin des oratoires.
- Bassins et lavoirs[48].
- La villa gallo-romaine[49] du Loou-Sambuc ou «Villa Marius»[50].
- Lacs d’effondrement du Petit et Grand Laoucien[51].
- Certaines espèces aquatiques uniques en France y ont été découvertes dont notamment un acarien subaquatique, Limnolegeria longiseta[52].
- Jardin d'Elie Alexis[53].
- Le monument aux morts[54].
- Le pigeonnier. Construit en 1687 et récemment restauré.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D’azur à la tour carrée donjonnée d’or, ouverte et ajourée de sable, posée sur un mont du même mouvant d’une champagne ondée d’azur et chargée d’une burelle ondée d’argent (site de la commune)[55]. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
|
Alias | D'azur à la transfiguration de Jésus Christ surmontant un mont mouvant de la pointe, accosté d'Élie et de Moïse affrontés, le tout d'or (d'Hozier). |
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Gaspard-André Jauffret, né le à La Roquebrussanne, était un évêque.
- Joseph Jauffret, né le à La Roquebrussanne, était une personnalité du Premier Empire.
- Louis-François Jauffret, né le à La Roquebrussanne, pédagogue, poète et fabuliste.
- Jean-Baptiste Reboul (1862 à La Roquebrussanne –† 1926 à Marseille), auteur en 1897 du livre La Cuisinière provençale, référence pour les cuisiniers : il y propose 1 120 recettes simples et complètes, 365 menus (un pour chaque jour de l’année). Frédéric Mistral demanda à Jean Baptiste Reboul d'ajouter les noms provençaux des recettes à ce livre qui est écrit en langue française, ce qui fut fait en sa sixième édition. L'édition du livre n'a jamais cessé.
- Victor Reymonenq (1858 à La Roquebrussanne –† 1933 à Toulon), homme politique français, proche et soutien de Georges Clemenceau, sénateur, député, conseiller général du Var, maire de la Roquebrussanne de 1907 à 1913.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Histoire de La Roquebrussanne et des Roquiers en leur temps, François-Francis Bus.
- L'agonie du temps, roman dont l'action se déroule en assez grande partie sur le site de La Roquebrussanne. Auteur : Alain Callès. Jacques Flament éditions.
- Le lac du Grand Laoutien
- Bourgs castraux :
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Roquebrussanne (LA), p. 988
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- La Roquebrussanne sur le site de l’Institut géographique national.
- Office de Tourisme de La Provence Verte.
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : La Roquebrussanne
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Montagne de La Loube
- Le Mons Pennicus antique, de penna, pointes, serait devenu montagne de la Loube
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- L'eau dans la commune
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Roquebrussanne et Cuers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cuers », sur la commune de Cuers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cuers », sur la commune de Cuers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de La Roquebrussanne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de La Roquebrussanne ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Les communes desservies par les cars "VarlIb"
- Lou tresor dóu Felibrige / Le trésor du Félibrige, F. Mistral, t2 p797, éditions CPM 1979
- Photothèque Archéologie : Peybouloun, Le Grand Loo
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes p. 417-418 et p. 419.
- Commémoration libération de La Roquebrussanne
- Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques, Draguignan, 1897, pp.367-368 [1]
- La fiche biographique de CAUVIN Louis, Félix, Gustave sur le Maitron en ligne
- « Mise en service en 1992, l’école porte le nom de feu Fernand Reynaud, maire de la commune de 1959 à 1977. » [2]
- B.G., « La Roquebrussanne a dit adieu à son ancienne maire Monique Caulet », Var-Matin, (lire en ligne)
- [3]
- décret de constitution du Parc naturel régional de la Sainte-Baume
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- 1.a. Les caractéristiques des exploitations agricoles
- « coopérative vinicole La Roquière », notice no IA83001367, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Hébergemens sur la commune
- Hôtel et village vacances Les Arbousiers
- Commerces
- Commerces
- Korian La Provençale
- Le Grand et le Petit Laoucien
- Un phénomène naturel exceptionnel : les lacs du Laoucien, par P. COURBON (Spéléo-Club de Sanary)
- Le patrimoine bâti de la Provence Verte « Entre bourgs et villages » L’eau apprivoisée
- Panneau d'informations touristiques municipales
- Notice no PM83000453, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle Notre-Dame de l'Inspiration
- Notice no PM83000452, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle Saint-Louis-des-Mollières
- Lavoirs du Var : La Roquebrussanne
- La villa Marius - ou villa du Loou (du nom du domaine) - à La Roquebrussanne (Var).
- « Villa Marius », sur la-roquebrussanne.fr (consulté le ).
- Liste des sites et monuments naturels classés sous le régime de la loi du 21 avril 1906 et reconnus par la loi du 2 mai 1930. Loi codifiée aux art. L. 341-1 et s. du code de l'environnement, 23 août 1932
- Diagnostic et étude du patrimoine naturel de La Roquebrussane
- Base Mistral - Mémoire
- Monument aux mort, Conflits commémorés : 1914-18 et 1939-45
- Val d'Issole : La Roquebrussanne, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- « bourg castral de Castellum Gardinum (?) », notice no IA83001231, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « bourg castral de la Garde », notice no IA83001230, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « bourg castral », notice no IA83001229, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.