Montfort-sur-Argens
Montfort-sur-Argens | |||||
Le village vu du parking de l'église. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Brignoles | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Provence Verte | ||||
Maire Mandat |
Éric Audibert 2020-2026 |
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Code postal | 83570 | ||||
Code commune | 83083 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montfortais | ||||
Population municipale |
1 466 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 123 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 28′ 30″ nord, 6° 07′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 129 m Max. 344 m |
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Superficie | 11,92 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Cotignac (banlieue) |
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Aire d'attraction | Brignoles (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Brignoles | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | montfort-sur-argens.fr | ||||
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Montfort-sur-Argens est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le Centre-Var, entre Carcès et Correns, au nord de Brignoles.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Selon le tableau des risques identifiés dans le Var, la commune est concernée par les risques : Feux de forêt, inondation, Transport Gazoduc Oléoduc et TMD (la canalisation d'hydrocarbures (pipeline SPMR) traverse la commune)[1].
La commune est située en région forestière départementale « Dépression varoise »[2]. Elle est labellisée dans le nouveau schéma de certification forestière PEFC (Programme for the Endorsement of Forest Certification) visant à améliorer la gestion durable des forêts françaises[3]. La taille des forêts communales est relativement faible et est de l'ordre de 33 hectares[4].
Sismicité
[modifier | modifier le code]La commune se situe en zone de sismicité faible : bâtiment neuf de catégorie d'importance III[5].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]La commune est traversée[6] :
- par l'Argens,
- et le ruisseau de la Ribeirotte, affluent de l'Argens. Leur confluence se situe sur le territoire de Montfort,
- les vallons de Robernier et des Saintes-Vierges.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 844 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 2,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 14,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 789,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −11 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1,2 | 3,5 | 6,2 | 10 | 13,4 | 15,5 | 15,4 | 11,9 | 9 | 5,1 | 2 | 7,9 |
Température moyenne (°C) | 6,9 | 7,5 | 10,5 | 13,2 | 17,3 | 21,2 | 23,8 | 23,7 | 19,3 | 15,3 | 10,6 | 7,4 | 14,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 12,5 | 13,9 | 17,5 | 20,3 | 24,6 | 29 | 32,1 | 32 | 26,8 | 21,7 | 16 | 12,7 | 21,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−11 08.01.1985 |
−9,8 12.02.12 |
−10,6 02.03.05 |
−4,9 08.04.21 |
1 07.05.1981 |
3,6 01.06.1986 |
6,6 17.07.00 |
5 28.08.1985 |
2,6 21.09.17 |
−4 30.10.1997 |
−8 25.11.1988 |
−9,3 30.12.1980 |
−11 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22,7 28.01.08 |
24,8 03.02.20 |
28,6 31.03.12 |
30,3 09.04.11 |
35,2 28.05.1997 |
42,5 28.06.19 |
41 21.07.1983 |
41,2 23.08.23 |
35,6 04.09.16 |
33,7 08.10.23 |
24,8 06.11.1992 |
23,6 30.12.21 |
42,5 2019 |
Précipitations (mm) | 65,3 | 45,8 | 43,2 | 68,8 | 63,6 | 51,2 | 25,4 | 31 | 85,6 | 114,4 | 122,7 | 72,3 | 789,3 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
12,5 1,3 65,3 | 13,9 1,2 45,8 | 17,5 3,5 43,2 | 20,3 6,2 68,8 | 24,6 10 63,6 | 29 13,4 51,2 | 32,1 15,5 25,4 | 32 15,4 31 | 26,8 11,9 85,6 | 21,7 9 114,4 | 16 5,1 122,7 | 12,7 2 72,3 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]La commune est accessible par les départementales n°222 depuis Carcès et D22 depuis Correns[13].
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Le transport collectif est assuré par le réseau régional Mouv'enbus du réseau "Zou ![14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Montfort-sur-Argens est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cotignac[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brignoles, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[17]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (43,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (27,7 %), forêts (19 %), zones urbanisées (10 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Communes voisines
[modifier | modifier le code]Châteauvert | Cotignac | Entrecasteaux | ||
Correns | N | Carcès | ||
O Montfort-sur-Argens E | ||||
S | ||||
Le Val | Vins-sur-Caramy | Cabasse |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Montfort apparaît dans les archives dès le XIIIe siècle sous le nom de Mons Fortis et de Monte Forti (le « mont fort », la « butte fortifiée »)[21].
Le nom de la commune devient Montfort-sur-Argens en 1904[22]. Ses habitants sont appelés les Montfortais.
Montfort-sur-Argens s'écrit Mount-Fouart[23] en provençal de norme mistralienne. Le dictionnaire de Frédéric Mistral écrit Mount-Fort et Mount-Fouert alors que les classicistes écrivent Montfòrt d'Argens et possèdent la même prononciation. La diphtongue -oua en mistralien, uniquement oralisée en écriture classique est spécifique au Var alors que le niçois utilise -ouo (mais aussi -oua du fait des migrations d'Ouest vers l'Est provençal) et le marseillais -oue.
Histoire
[modifier | modifier le code]La création du castrum[24] de Montfort a lieu au Moyen Âge[25], en liaison avec le prieuré de Notre-Dame de Spéluque qui est une fondation de l’Antiquité tardive[26].
Les Templiers et les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]En 1197, le seigneur Foulques de Pontevès fait don de la seigneurie de Montfort-sur-Argens aux Templiers de la commanderie du Ruou[27],[28]. En 1207, Alphonse II de Provence fait don du domaine de Montfort aux chevaliers du Temple, qui y établiront une maison du Temple[29]. Pendant les croisades, Montfort-sur-Argens jouera un rôle important dans la présence des moines-soldats entre Argens et Verdon.
Après la disparition de l’ordre du Temple en 1308, la possession est transféré aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1319[30] qui la détruisent. En 1411, le domaine est érigé en commanderie et les Hospitaliers l'occupent jusqu'à la Révolution française[31],[32]. Il s'écoule plus d'un siècle avant que la construction de l'actuel château ne soit entreprise[33].
En 1793, le château est transformé en prison révolutionnaire et échappe ainsi à la destruction[34].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2021, la commune comptait 1 466 habitants[Note 5], en évolution de +11,82 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]- École maternelle et élémentaire sur la commune[39].
- Les collèges les plus proches sont à Carcès, Brignoles, Besse-sur-issole, Rocbaron, Le Luc, Le cannet-des-Maures, Lorgues[40].
- Les lycées les plus proches sont à Brignoles, La Celle, Lorgues.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[41] :
- médecins à Le Val, Carcès, Cotignac ;
- parmacies à Le Val, Carcès, Cotignac ;
- hôpitaux à Brignoles, Salernes, Le Luc.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique Notre Dame de la Purification, église Saint-Blaise[42], Diocèse de Fréjus-Toulon.
Économie
[modifier | modifier le code]Montfort-sur-Argens tire ses ressources de la viticulture, de l’artisanat et du tourisme, fait partie du territoire Provence Verte et de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte (anciennement communauté de communes Comté de Provence).
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- La cave coopérative vinicole La Montfortaise date de 1908[43],[44].
- La coopérative vinicole et coopérative agricole (coopérative d'approvisionnement et d'utilisation de matériel agricole) Les caves du Commandeur[45].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Plusieurs structures d’hébergement existent sur la commune : des gîtes ruraux et des chambres d’hôtes.
Commerces
[modifier | modifier le code]La commune dispose de quelques commerces[46] et services[47] de proximité.
Budget et fiscalité 2019
[modifier | modifier le code]En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[48] :
- total des produits de fonctionnement : 1 711 000 €, soit 1 270 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 519 000 €, soit 1 128 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 883 000 €, soit 656 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 913 000 €, soit 678 € par habitant.
- endettement : 1 239 000 €, soit 920 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 13,00 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 20,00 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 88,00 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 730 €[49].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château des Commandeurs[50] : le château des Commandeurs est au sommet de la colline de ville vieille, avec la chapelle Saint-Blaise.
- Ce fut aux XIIe et XIIIe siècles la Maison du Temple de Montfort appartenant aux Templiers, dépendante de la commanderie du Ruou[51]. Elle devint au XIVe siècle une commanderie hospitalière, propriété de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
- Des premiers bâtiments, qui dataient des XIIe et XIIIe siècles et qui furent détruits à la fin du XIVe siècle, il ne subsiste qu’une partie des sous-sols. L'ensemble a été reconstruit au XIVe siècle puis transformé aux XVIe et XVIIIe siècles en château. Les façades et les toitures du château sont inscrites sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[52],[53]. Le château est aujourd’hui une propriété privée.
- Église Notre-Dame-de-la-Purification[54] : Au XVe siècle, la ville s'étend hors-les-murs et un nombre croissant de maisons se trouvent éloigné de l'église Saint-Blaise. Une église dédiée à la purification de la vierge est alors construite à l'emplacement actuel et achevée en 1617.
- Tour de l'Horloge : La tour de l’Horloge avec campanile possède une cloche datée de 1679[55].
- Vieille ville : La vieille ville présente des ruelles, des passages voûtés, des vestiges de remparts et des fontaines.
- Porte à herse : La porte à herse est datée du XIIIe siècle[56].
- Château de Robernier[57] : Le château de Robernier possède des pigeonniers[58].
- Prieuré Notre-Dame-des-Spéluques[59] : Le prieuré Notre-Dame-des-Spéluques, qui date du XIIIe siècle-XVIIIe siècle, est un sanctuaire souterrain. Ce prieuré a été édifié sur un ancien habitat gallo-romain[60],[61],[62].
- Vestiges archéologiques :
- Tumulus, dit Coffre mégalithique de Collorgues : découvert en 1994 par Jean-Michel Michel vide de tout contenu ; il est délimité par quatre dalles de 0,88 m de long sur 0,74 m de large pour 1 m de profondeur. 43° 30′ 04″ N, 6° 06′ 57″ E[63],[64].
- Aqueduc Gallo-Romain Saint-Joseph[65].
- Aqueduc Cadeton[66].
- Monument aux morts[67]. Conflits commémorés : Guerre franco-allemande de la Première Guerre mondiale et de la Seconde[68].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Joseph Lambot (1814-1887), inventeur du ciment armé, né à Montfort-sur-Argens.
- Henri Sauvaire (1831-1896), épigraphe, numismate et photographe orientaliste, mort à Montfort-sur-Argens.
- Octave Vigne (1867-1945), est un homme politique, né à Montfort-sur-Argens.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armoiries de Montfort-sur-Argens se blasonnent ainsi[69] : |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Cotignac comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Dossier départemental sur les risques majeurs dans le Var - DDRM
- Inventaire forestier national, Inventaire forestier, 1999, page 6
- Gestion durable des forêts : les normes de certification PEFC durcies
- Rapport de présentation du SCOT Provence verte, Etat initial de l'environnement
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- Cours d'eau sur la commune ou à son aval
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montfort-sur-Argens_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Montfort-sur-Argens_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
- Itinéraires
- Le transport en commun
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Cotignac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Montfort-sur-Argens ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Brignoles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume II, Éditions Droz, Genève, 1991.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Montfort-sur-Argens », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « Mountfaucoun • Tresor dóu Felibrige », sur lexilogos.com (consulté le ).
- « bourg castral d'Espeluque », notice no IA83001186, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le bourg castral
- Archéologie du Midi médiéval, Volume 21, Centre d'archéologie médiévale du Languedoc, 2003
- Edmond F. Barbier, L’abbaye cistercienne du Thoronet au Moyen Âge, Éditions Équinoxe, 1994.
- Édouard Baratier, Enquêtes sur les droits et revenus de Charles Ier d’Anjou en Provence (1252 et 1278), Éditions de la Bibliothèque nationale, 1969.
- Jean-Luc Aubarbier, La France des Templiers, Éditions Sud Ouest, 2007.
- Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Éditions Publitotal, 1987.
- Maurice Agulhon, La vie sociale en Provence intérieure au lendemain de la Révolution, Éditions de la Société des études robespierristes, 1970.
- Jean Seillé, Histoire de Montfort, village templier, Éditions Terre Profonde, 1988.
- Joseph-Antoine Durbec, Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes, Le Mercure Dauphinois, , 430 p. (ISBN 978-2-913826-13-7, présentation en ligne), p. 23.
- Le guide des châteaux de France : Provence Côte d’Azur, Volume 183, Éditions Hermé, 1985.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- École primaire publique
- Liste des collèges et Lycées les plus proches de Montfort sur Argens
- Professionnels et établissements de santé.
- Paroisse de Montfort-sur-Argens
- Yves Rinaudo, Syndicalisme agricole de base : l'exemple du Var au début du XXe siècle, Le Mouvement social, juillet-septembre 1980.
- « coopérative vinicole et oléicole dite Cave coopérative agricole La Montfortaise », notice no IA83001349, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- « coopérative vinicole et coopérative agricole (coopérative d'approvisionnement et d'utilisation de matériel agricole) Les caves du Commandeur », notice no IA83001348, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Commerces à Montfort
- Services
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Le château des Templiers
- Maison du Temple de Montfort-sur-Argens
- « Façades et toitures inscrites sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques », notice no PA00081681, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Inscription monument historique par arrêté du 15 juin 1972.
- L'église Notre-Dame de la Purification
- Notice no PM83000388, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la tour de l'horloge
- Montfort-sur-Argent : un village templier
- (en) Le Château de Robernier
- Le château de Robernier
- Le terme de Spéluque a suscité de nombreuses légendes
- Gallia, Volume 21-30, CNRS Éditions, 1972.
- Monuments Chrétiens de Montfort-sur-Argens, Château des Commandeurs
- Montfort-sur-Argent, Var, grottes et sanctuaires : Ampus et Montfort-sur-Argent
- Hélène Barge et Eric Mahieu, Les Mégalithes du Var - 27 itinéraires de découverte, Actilia Multimédia, (ISBN 2-915097-02-X).
- Notes d'information et de liaison (7.1990), Direction des Antiquités de la région Provence-Alpes-Côte d'Azeur : L'existence de tombes à parois verticales bien conservées, comme c'est le cas pour le coffre du Puits des Quatre Points à Bauduen et à Montfort, Marseille 1991, page 135]
- Aqueduc Saint-Joseph
- Aqueduc Cadeton
- Monument aux morts
- Monumet aux morts, memoires-de-guerres.var.fr/
- Comté de Provence : Montfort-sur-Argens, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Maison du Temple de Montfort-sur-Argens, bâtiment Hospitaliers
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Montfort-sur-Argens, p. 792
- Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, début du XVe siècle à la fin du XVe siècle, Éditions Publitotal, 1987.
- Catalogue illustré du Musée des antiquités nationales au château de Saint-Germain-en-Laye, par Salomon Reinach,.... Tome 2 - 1917-1921 : Sur le palier, fragment d'une grande stèle archaïque avec gravures inexpliquées, de Robernier, commune de Montfort, Var. Salle XVIII L'art de l'Italie et des provinces (spécimens) : Salle IV, page 193 : Robernier
- Jean Seillé, Histoire de Montfort, village templier, Éditions Terre Profonde, 1988.
- Jean-Paul Revertégat, La soupe courte : souvenirs d'un enfant de Montfort-sur-Argens, Éditions Cheminements, 1998.
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités naturelles souterraines
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Var
- Communauté d'agglomération de la Provence Verte
- Huile d'olive de Provence AOC
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : Montfort-sur-Argens