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Montfort-sur-Argens

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Montfort-sur-Argens
Montfort-sur-Argens
Le village vu du parking de l'église.
Blason de Montfort-sur-Argens
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Provence Verte
Maire
Mandat
Éric Audibert
2020-2026
Code postal 83570
Code commune 83083
Démographie
Gentilé Montfortais
Population
municipale
1 466 hab. (2021 en évolution de +11,82 % par rapport à 2015)
Densité 123 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 30″ nord, 6° 07′ 21″ est
Altitude Min. 129 m
Max. 344 m
Superficie 11,92 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Cotignac
(banlieue)
Aire d'attraction Brignoles
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brignoles
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Montfort-sur-Argens
Géolocalisation sur la carte : France
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Montfort-sur-Argens
Géolocalisation sur la carte : Var
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Montfort-sur-Argens
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Montfort-sur-Argens
Liens
Site web montfort-sur-argens.fr

Montfort-sur-Argens est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le Centre-Var, entre Carcès et Correns, au nord de Brignoles.

Géologie et relief

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Selon le tableau des risques identifiés dans le Var, la commune est concernée par les risques : Feux de forêt, inondation, Transport Gazoduc Oléoduc et TMD (la canalisation d'hydrocarbures (pipeline SPMR) traverse la commune)[1].

La commune est située en région forestière départementale « Dépression varoise »[2]. Elle est labellisée dans le nouveau schéma de certification forestière PEFC (Programme for the Endorsement of Forest Certification) visant à améliorer la gestion durable des forêts françaises[3]. La taille des forêts communales est relativement faible et est de l'ordre de 33 hectares[4].

La commune se situe en zone de sismicité faible : bâtiment neuf de catégorie d'importance III[5].

Hydrographie et les eaux souterraines

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La commune est traversée[6] :

  • par l'Argens,
  • et le ruisseau de la Ribeirotte, affluent de l'Argens. Leur confluence se situe sur le territoire de Montfort,
  • les vallons de Robernier et des Saintes-Vierges.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 844 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 2,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 14,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 789,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −11 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Statistiques 1991-2020 et records MONTFORT-SUR-ARGENS_SAPC (83) - alt : 141m, lat : 43°28'10"N, lon : 6°07'37"E
Records établis sur la période du 01-01-1980 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,2 3,5 6,2 10 13,4 15,5 15,4 11,9 9 5,1 2 7,9
Température moyenne (°C) 6,9 7,5 10,5 13,2 17,3 21,2 23,8 23,7 19,3 15,3 10,6 7,4 14,7
Température maximale moyenne (°C) 12,5 13,9 17,5 20,3 24,6 29 32,1 32 26,8 21,7 16 12,7 21,6
Record de froid (°C)
date du record
−11
08.01.1985
−9,8
12.02.12
−10,6
02.03.05
−4,9
08.04.21
1
07.05.1981
3,6
01.06.1986
6,6
17.07.00
5
28.08.1985
2,6
21.09.17
−4
30.10.1997
−8
25.11.1988
−9,3
30.12.1980
−11
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
22,7
28.01.08
24,8
03.02.20
28,6
31.03.12
30,3
09.04.11
35,2
28.05.1997
42,5
28.06.19
41
21.07.1983
41,2
23.08.23
35,6
04.09.16
33,7
08.10.23
24,8
06.11.1992
23,6
30.12.21
42,5
2019
Précipitations (mm) 65,3 45,8 43,2 68,8 63,6 51,2 25,4 31 85,6 114,4 122,7 72,3 789,3
Source : « Fiche 83083001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
12,5
1,3
65,3
 
 
 
13,9
1,2
45,8
 
 
 
17,5
3,5
43,2
 
 
 
20,3
6,2
68,8
 
 
 
24,6
10
63,6
 
 
 
29
13,4
51,2
 
 
 
32,1
15,5
25,4
 
 
 
32
15,4
31
 
 
 
26,8
11,9
85,6
 
 
 
21,7
9
114,4
 
 
 
16
5,1
122,7
 
 
 
12,7
2
72,3
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communications et transports

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Voies routières

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La commune est accessible par les départementales n°222 depuis Carcès et D22 depuis Correns[13].

Transports en commun

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Le transport collectif est assuré par le réseau régional Mouv'enbus du réseau "Zou ![14].

Au , Montfort-sur-Argens est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cotignac[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brignoles, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[17]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (43,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (27,7 %), forêts (19 %), zones urbanisées (10 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Communes voisines

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Montfort apparaît dans les archives dès le XIIIe siècle sous le nom de Mons Fortis et de Monte Forti (le « mont fort », la « butte fortifiée »)[21].

Le nom de la commune devient Montfort-sur-Argens en 1904[22]. Ses habitants sont appelés les Montfortais.

Montfort-sur-Argens s'écrit Mount-Fouart[23] en provençal de norme mistralienne. Le dictionnaire de Frédéric Mistral écrit Mount-Fort et Mount-Fouert alors que les classicistes écrivent Montfòrt d'Argens et possèdent la même prononciation. La diphtongue -oua en mistralien, uniquement oralisée en écriture classique est spécifique au Var alors que le niçois utilise -ouo (mais aussi -oua du fait des migrations d'Ouest vers l'Est provençal) et le marseillais -oue.

La création du castrum[24] de Montfort a lieu au Moyen Âge[25], en liaison avec le prieuré de Notre-Dame de Spéluque qui est une fondation de l’Antiquité tardive[26].

Les Templiers et les Hospitaliers

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En 1197, le seigneur Foulques de Pontevès fait don de la seigneurie de Montfort-sur-Argens aux Templiers de la commanderie du Ruou[27],[28]. En 1207, Alphonse II de Provence fait don du domaine de Montfort aux chevaliers du Temple, qui y établiront une maison du Temple[29]. Pendant les croisades, Montfort-sur-Argens jouera un rôle important dans la présence des moines-soldats entre Argens et Verdon.

Après la disparition de l’ordre du Temple en 1308, la possession est transféré aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1319[30] qui la détruisent. En 1411, le domaine est érigé en commanderie et les Hospitaliers l'occupent jusqu'à la Révolution française[31],[32]. Il s'écoule plus d'un siècle avant que la construction de l'actuel château ne soit entreprise[33].

En 1793, le château est transformé en prison révolutionnaire et échappe ainsi à la destruction[34].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 2008 André Paul   vigneron
2008 En cours Éric Audibert DVD vigneron

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 1 466 habitants[Note 5], en évolution de +11,82 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9259659261 1341 1361 0371 0571 064994
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0221 0221 0051 0071 009936792776746
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
918805741707675701606490522
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
5375425025517058691 0411 0661 209
2015 2020 2021 - - - - - -
1 3111 4561 466------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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  • École maternelle et élémentaire sur la commune[39].
  • Les collèges les plus proches sont à Carcès, Brignoles, Besse-sur-issole, Rocbaron, Le Luc, Le cannet-des-Maures, Lorgues[40].
  • Les lycées les plus proches sont à Brignoles, La Celle, Lorgues.

Professionnels et établissements de santé[41] :

  • médecins à Le Val, Carcès, Cotignac ;
  • parmacies à Le Val, Carcès, Cotignac ;
  • hôpitaux à Brignoles, Salernes, Le Luc.

Montfort-sur-Argens tire ses ressources de la viticulture, de l’artisanat et du tourisme, fait partie du territoire Provence Verte et de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte (anciennement communauté de communes Comté de Provence).

Entreprises et commerces

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Agriculture

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  • La cave coopérative vinicole La Montfortaise date de 1908[43],[44].
  • La coopérative vinicole et coopérative agricole (coopérative d'approvisionnement et d'utilisation de matériel agricole) Les caves du Commandeur[45].

Plusieurs structures d’hébergement existent sur la commune : des gîtes ruraux et des chambres d’hôtes.

La commune dispose de quelques commerces[46] et services[47] de proximité.

Budget et fiscalité 2019

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En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[48] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 711 000 , soit 1 270  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 519 000 , soit 1 128  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 883 000 , soit 656  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 913 000 , soit 678  par habitant.
  • endettement : 1 239 000 , soit 920  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 13,00 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 20,00 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 88,00 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 730 [49].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Château des Commandeurs[50] : le château des Commandeurs est au sommet de la colline de ville vieille, avec la chapelle Saint-Blaise.
Ce fut aux XIIe et XIIIe siècles la Maison du Temple de Montfort appartenant aux Templiers, dépendante de la commanderie du Ruou[51]. Elle devint au XIVe siècle une commanderie hospitalière, propriété de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
Des premiers bâtiments, qui dataient des XIIe et XIIIe siècles et qui furent détruits à la fin du XIVe siècle, il ne subsiste qu’une partie des sous-sols. L'ensemble a été reconstruit au XIVe siècle puis transformé aux XVIe et XVIIIe siècles en château. Les façades et les toitures du château sont inscrites sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[52],[53]. Le château est aujourd’hui une propriété privée.
  • Église Notre-Dame-de-la-Purification[54] : Au XVe siècle, la ville s'étend hors-les-murs et un nombre croissant de maisons se trouvent éloigné de l'église Saint-Blaise. Une église dédiée à la purification de la vierge est alors construite à l'emplacement actuel et achevée en 1617.
  • Tour de l'Horloge : La tour de l’Horloge avec campanile possède une cloche datée de 1679[55].
  • Vieille ville : La vieille ville présente des ruelles, des passages voûtés, des vestiges de remparts et des fontaines.
  • Porte à herse : La porte à herse est datée du XIIIe siècle[56].
  • Château de Robernier[57] : Le château de Robernier possède des pigeonniers[58].
  • Prieuré Notre-Dame-des-Spéluques[59] : Le prieuré Notre-Dame-des-Spéluques, qui date du XIIIe siècle-XVIIIe siècle, est un sanctuaire souterrain. Ce prieuré a été édifié sur un ancien habitat gallo-romain[60],[61],[62].
  • Vestiges archéologiques :

Personnalités liées à la commune

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  • Joseph Lambot (1814-1887), inventeur du ciment armé, né à Montfort-sur-Argens.
  • Henri Sauvaire (1831-1896), épigraphe, numismate et photographe orientaliste, mort à Montfort-sur-Argens.
  • Octave Vigne (1867-1945), est un homme politique, né à Montfort-sur-Argens.

Héraldique

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Les armoiries de Montfort-sur-Argens se blasonnent ainsi[69] :

D'or à la pièce de canon de sable tournée à senestre, montée sur un affût de gueules et posée sur une montagne d'azur mouvant de la pointe.

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Cotignac comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Dossier départemental sur les risques majeurs dans le Var - DDRM
  2. Inventaire forestier national, Inventaire forestier, 1999, page 6
  3. Gestion durable des forêts : les normes de certification PEFC durcies
  4. Rapport de présentation du SCOT Provence verte, Etat initial de l'environnement
  5. Didacticiel de la règlementation parasismique
  6. Cours d'eau sur la commune ou à son aval
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Montfort-sur-Argens_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Montfort-sur-Argens_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. Itinéraires
  14. Le transport en commun
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Cotignac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Montfort-sur-Argens ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Brignoles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume II, Éditions Droz, Genève, 1991.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Montfort-sur-Argens », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  23. « Mountfaucoun • Tresor dóu Felibrige », sur lexilogos.com (consulté le ).
  24. « bourg castral d'Espeluque », notice no IA83001186, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Le bourg castral
  26. Archéologie du Midi médiéval, Volume 21, Centre d'archéologie médiévale du Languedoc, 2003
  27. Edmond F. Barbier, L’abbaye cistercienne du Thoronet au Moyen Âge, Éditions Équinoxe, 1994.
  28. Édouard Baratier, Enquêtes sur les droits et revenus de Charles Ier d’Anjou en Provence (1252 et 1278), Éditions de la Bibliothèque nationale, 1969.
  29. Jean-Luc Aubarbier, La France des Templiers, Éditions Sud Ouest, 2007.
  30. Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Éditions Publitotal, 1987.
  31. Maurice Agulhon, La vie sociale en Provence intérieure au lendemain de la Révolution, Éditions de la Société des études robespierristes, 1970.
  32. Jean Seillé, Histoire de Montfort, village templier, Éditions Terre Profonde, 1988.
  33. Joseph-Antoine Durbec, Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes, Le Mercure Dauphinois, , 430 p. (ISBN 978-2-913826-13-7, présentation en ligne), p. 23.
  34. Le guide des châteaux de France : Provence Côte d’Azur, Volume 183, Éditions Hermé, 1985.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. École primaire publique
  40. Liste des collèges et Lycées les plus proches de Montfort sur Argens
  41. Professionnels et établissements de santé.
  42. Paroisse de Montfort-sur-Argens
  43. Yves Rinaudo, Syndicalisme agricole de base : l'exemple du Var au début du XXe siècle, Le Mouvement social, juillet-septembre 1980.
  44. « coopérative vinicole et oléicole dite Cave coopérative agricole La Montfortaise », notice no IA83001349, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
  45. « coopérative vinicole et coopérative agricole (coopérative d'approvisionnement et d'utilisation de matériel agricole) Les caves du Commandeur », notice no IA83001348, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. Commerces à Montfort
  47. Services
  48. Les comptes de la commune
  49. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  50. Le château des Templiers
  51. Maison du Temple de Montfort-sur-Argens
  52. « Façades et toitures inscrites sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques », notice no PA00081681, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. Inscription monument historique par arrêté du 15 juin 1972.
  54. L'église Notre-Dame de la Purification
  55. Notice no PM83000388, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la tour de l'horloge
  56. Montfort-sur-Argent : un village templier
  57. (en) Le Château de Robernier
  58. Le château de Robernier
  59. Le terme de Spéluque a suscité de nombreuses légendes
  60. Gallia, Volume 21-30, CNRS Éditions, 1972.
  61. Monuments Chrétiens de Montfort-sur-Argens, Château des Commandeurs
  62. Montfort-sur-Argent, Var, grottes et sanctuaires : Ampus et Montfort-sur-Argent
  63. Hélène Barge et Eric Mahieu, Les Mégalithes du Var - 27 itinéraires de découverte, Actilia Multimédia, (ISBN 2-915097-02-X).
  64. Notes d'information et de liaison (7.1990), Direction des Antiquités de la région Provence-Alpes-Côte d'Azeur : L'existence de tombes à parois verticales bien conservées, comme c'est le cas pour le coffre du Puits des Quatre Points à Bauduen et à Montfort, Marseille 1991, page 135]
  65. Aqueduc Saint-Joseph
  66. Aqueduc Cadeton
  67. Monument aux morts
  68. Monumet aux morts, memoires-de-guerres.var.fr/
  69. Comté de Provence : Montfort-sur-Argens, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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