Allanche
Allanche | |||||
Le village et les vestiges des remparts. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Cantal | ||||
Arrondissement | Saint-Flour | ||||
Intercommunalité | Hautes Terres Communauté | ||||
Maire Mandat |
Philippe Rosseel 2020-2026 |
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Code postal | 15160 | ||||
Code commune | 15001 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Allanchois | ||||
Population municipale |
794 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 16 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 13′ 48″ nord, 2° 56′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 784 m Max. 1 295 m |
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Superficie | 49,89 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Murat | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | http://www.allanche.fr | ||||
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Allanche est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est commune adhérente du parc naturel régional des Volcans d'Auvergne.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Allanche est située dans le sud du Cézallier, dans le nord du département du Cantal. La commune fait partie du parc naturel régional des Volcans d'Auvergne. À vol d'oiseau, Massiac se trouve 20 km à l'est, Aurillac à 54 km au sud-ouest et Clermont-Ferrand à 62 km au nord.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Ouest et nord-ouest du Massif Central » et « Nord-est du Massif Central »[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 105 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Marcenat à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 7,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 174,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Allanche est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[8],[9].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (36,5 %), prairies (24,2 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), forêts (17 %), zones urbanisées (1,9 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]- Quartiers du bourg : la place du Cézallier, la Grand'Rue de l'Abbé de Prat, la place du Marché, l'avenue du Puy-Mary, le Pont Romain, la place Saint-Jean, la rue des Forgerons, la rue du 19-Mars-1962, la rue du 11-Novembre-1918, le Faubourg Terre Vermeille, le Pont Valat, la rue Saint-Eloi, place Mercoeurs, place de l'Église, rue de la Pierre-Grosse…
- Lieux-dits et hameaux : le Baladour, Maillargues, Coudour, Lapeyrot, Romaniargues, Chastre, les Clauzels, Chavanon, Béteil, Feydit, Roche, le Bac, Lorillou Fourche, Fromageade, Donnenuit, Combalut, Gouay, les Planes, Rouchy, Lampres, Chameille.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 673, alors qu'il était de 677 en 2013 et de 691 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 59,4 % étaient des résidences principales, 19,5 % des résidences secondaires et 21,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 87,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,9 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Allanche en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (19,5 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (70,8 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Allanche[I 2] | Cantal[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 59,4 | 67,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 19,5 | 20,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 21,1 | 11,9 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]- Réseau routier :
- Allanche est traversée par la D 679 qui conduit à Marcenat, Condat en direction du nord-ouest et vers Neussargues en Pinatelle en direction du sud et de Saint-Flour ;
- la D 9 part vers l'ouest en direction de Vernols, Ségur-les-Villas et vers l'est pour mener à Vèze ou rejoindre la D 21 qui conduit à Massiac ;
- la D 39, en direction du nord, conduit à Pradiers puis vers le Cézallier, Puy-de-Dôme.
- Réseau ferroviaire : la ligne de Bort-les-Orgues à Neussargues passait par la gare d'Allanche mais la SNCF a fermé le trafic voyageur en 1990 et le trafic fret en 1991 (la voie ferrée est utilisée en été par le vélo-rail jusqu'à Landeyrat).
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté en 1332 sous la forme latine Alancha. Ernest Nègre l'interprète comme Alanica [villa], le domaine des Alains, peuple ayant participé aux grandes invasions[11].
En occitan auvergnat, le nom de la commune est Alancha en graphie classique de l'occitan[12],[13] ; l'altération de -l- intervocalique, typique de la Haute-Auvergne et d'une partie de la Basse, n'est pas notée en graphie classique[14],[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]À l'est du bourg d'Allanche, au puy de Mathonière, se trouve une agglomération antique d'au moins vingt hectares dotée d'un fanum[16].
Créée en 1790, elle intègre l'ancienne commune de Chanet le [I 7] dans le cadre d'une fusion simple. Elle est le chef-lieu du canton d'Allanche jusqu'en 2015.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune d'Allanche est membre de l'intercommunalité Hautes Terres Communauté[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le , dont le siège est à Murat, après avoir fait partie de la communauté de communes du Cézallier de 1998 à 2016. Cette intercommunalité est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Flour, à la circonscription administrative de l'État du Cantal et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Murat pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription du Cantal pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[18].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].
En 2021, la commune comptait 794 habitants[Note 1], en évolution de +4,61 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 16,4 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (26,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (51,9 %) est supérieur au taux départemental (36,6 %).
En 2021, la commune comptait 388 hommes pour 406 femmes, soit un taux de 51,13 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,1 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Tous les ans au mois de mai, la fête de l'Estive[27] célèbre la montée des troupeaux de bovins de race Salers dans les pâturages d'altitude. Les troupeaux défilent depuis le village de Maillargues jusqu'au centre d'Allanche, puis vers les estives.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Cascade des Veyrines, en limite avec Landeyrat.
-
Ancien hôtel Modern Hotel, de style Art déco devenu Maison des services.
- L'église Saint-Jean-Baptiste[28]
- L'église Saint-Julien-de-Chanet[29]
- Chapelle de Maillargues[30]
- Ancien hôtel Modern Hotel (hôtel Bonnal), de style Art déco, devenu Maison des services
- Ancien château de Mercœur, à Maillargues[31]
- La gare d'Allanche, accueille le vélo-rail du Cézallier, une activité touristique, en mai, juin, juillet, août et septembre.
- À proximité, se trouve le massif de la pinatelle d'Allanche et le lac du Pêcher.
- Espace nordique d'Allanche dispose de plusieurs kilomètres de piste de ski de fond et raquettes à neige, sur le massif du Cézallier.
Autrefois (1971/1989), sur les pentes du puy de Mathonière, se trouvait un téléski avec 2 pistes pour pratiquer le ski alpin.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- François Armand (1734-1812), homme politique, député du Cantal au Conseil des Cinq-Cents.
- Guillaume Peuvergne (1754-1812), homme politique, maire d'Allanche, député du Cantal de 1792 à 1793.
- Dominique Dufour de Pradt (1759-1837), dit l'abbé de Pradt, né à Allanche ;
- Charles Ganilh (1758-1836), économiste, né à Allanche ;
- Jean Joseph Benoid, homme politique né le à Allanche et mort le à Murat (Cantal).
- Armand Bory (1844-1931), député du Cantal (1891-1898) et (1910-1914), né à Allanche ;
- Sœur Marie-Angèle (née Jeanne Dessaigne) et sœur Marie-Étienne (née Philomène Rolland), directrice et enseignante, pendant la Seconde Guerre mondiale, de l'école Saint-Joseph, y ont caché, de 1942 à 1945, des enfants juifs. Elles ont été reconnues Justes parmi les Nations par le comité français pour Yad Vachem en 2002[32] ;
- Jean-Paul Belmondo (1933-2021), comédien, séjourna à Allanche dans sa jeunesse[33].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or aux deux clefs de sable passées en sautoir[34]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Nos ancêtres auvergnats, L'immigration auvergnate en Bretagne, Serge Duigou, Éditions Ressac, Quimper, 2004. [le mouvement migratoire qui partit du Cézallier vers la Bretagne aux XVIIIe et XIXe siècles - et notamment d'Allanche avec les Albaret, Chabrier, Laymet, Mainhes, etc.]
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site internet de la commune d'Allanche
- Les Amis du Vieil Allanche
- Insee : Commune d'Allanche (15001)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Allanche » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Allanche - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Allanche - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Modifications de communes : suppressions/fusions pour le Cantal de 1943 à 2019. », sur Insee (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2020 - Commune d'Allanche (15001) », (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Allanche et Marcenat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Marcenat », sur la commune de Marcenat - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Marcenat », sur la commune de Marcenat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1, Genève, Droz, , p. 423 (n° 6300).
- Cristian Omelhièr, Petit Dictionnaire français-occitan d'Auvergne, Éd. L'Ostal del Libre, Aurillac, 2003, p. 291
- (oc) Josiane Guillot, Tiène Codert, Daniel Brugès, Parlem ! Vai-i qu'as paur ! : Revista trimestrala auvernhata, t. 18 : Los iganauds en Auvèrnha, Clermont-Ferrand / Thiers, Institut d'études occitanes, (lire en ligne).
- Jean Roux, L'auvergnat de poche, Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), Assimil, coll. « Assimil évasion », , 246 p. (ISBN 978-2-7005-0319-7).
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie nord-occitane (Périgord, Limousin, Auvergne, Vivarais, Dauphiné), Bordeaux, Éditions Sud Ouest, coll. « Sud-Ouest université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-507-1, présentation en ligne)
- Maxime Calbris, « L’évolution du lieu de culte de l’agglomération antique de Mathonière à Allanche (Cantal) : apports des prospections pédestres, aériennes et géophysique », Siècles, no 48, (ISSN 2275-2129, lire en ligne, consulté le ).
- « Hautes Terres Communauté - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral du Cantal (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
- « Christian Léoty démissionne de son poste de maire. », sur La Montagne, .
- « Les nouveaux conseillers se sont réunis. », sur La Montagne, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
- Fête de l'Estive à Allanche.
- « Église Saint-Jean-Baptiste d'Allanche », notice no PA00093429, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Julien-de-Chanet », notice no PA00093430, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Chapelle de Maillargues à Allanche (15). », sur petit-patrimoine.com (consulté le ).
- « Ancien château de Mercoeur, à Maillargues », notice no PA00093428, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Dossier n°9625. », sur Comité français pour Yad Vashem. (consulté le ).
- « Belmondo a le souvenir de "journées formidables" dans le Cantal. », sur La Montagne, .
- Charles d'Hozier, Armorial général de France dressé en vertu de l'édit de 1696 (lien sur Gallica)