Durant la présidence de Xi Jinping qui a débuté il y a onze ans, en 2013, le gouvernement chinois a intensifié sa répression dans tout le pays. Les autorités ont arrêté arbitrairement des défenseurs des droits humains, renforcé leur contrôle sur la société civile, les médias et Internet, et déployé des technologies de surveillance de masse invasives. Le gouvernement impose un contrôle particulièrement sévère au Xinjiang et au Tibet. La persécution culturelle et la détention arbitraire d’un million d’Ouïghours et d’autres musulmans turciques au Xinjiang depuis 2017 constituent des crimes contre l’humanité. À Hong Kong, le gouvernement a imposé en 2020 une loi draconienne sur la sécurité nationale et a systématiquement démantelé les libertés d’expression, d’association et de réunion.

Le gouvernement chinois continue de s’efforcer de faire taire les voix critiques dans d’autres pays. Les diplomates chinois agissent pour réduire au silence les critiques sur le bilan du gouvernement en matière de droits humains, et pour affaiblir les organes des droits humains de l’ONU.

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