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Synopsis
The lives of the average Quebecois Plouffe family during the final years of the depression and through World War II.
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Director
Director
Producers
Producers
Writer
Writer
Original Writer
Original Writer
Cinematography
Cinematography
Composers
Composers
Country
Language
Alternative Title
Theatrical
07 Apr 1981
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CanadaG
Canada
More
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Je vais vous le dire : j'ai vraiment aimé ça!
J'avais vu Le crime d'Ovide Plouffe, que j'avais bien aimé, mais je ne m'attendais pas à voir ici un aussi beau portrait de famille. Au départ, je trouvais les personnages ordinaires, et plus le film défilait, plus ils se développaient et plus je m'attachais. C'est rare que je sympathise à la cause des longs films (est-ce que ça existe, une cause des longs films?) mais à la fin des Plouffe, j'aurais pris une heure supplémentaire. Vous me direz sans doute comme mon collègue Olivier : «Regarde la série.» (après m'avoir recommandé Le crime d'Ovide Plouffe). Mais je doute vraiment que ce soit aussi bon. Je devrai tenter ma chance avec…
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La scène du souper, où Ovide Plouffe lâche sa fameuse phrase, est très puissante, émouvante, et vaut le visionnement du film à elle seule. Un grand film québécois. Un long film aussi, mais ça passe super vite. Merci à Michelle Rochette de m'avoir donné le goût de le regarder!
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Y'a pas de place, nulle part, pour les Ovide Plouffe du monde entier!
Oui, en ce monde, y'a une place pour toi mon beau Ovide : une place dans mon cœur ❤
Pis dans ma collection de VHS scraps 📼♻️
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* Spécial St-Jean - partie 1 *
Certains passages ont bien vieilli, d’autres moins. C’était, somme toute, loin d’être ennuyeux!
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Vous laissez entrer les femmes mais pas les bicycles????
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Un film de 2 h 49 pendant lequel on s'ennuie pas, c'est bien.
J'ai aimé voir ce film tourné en grande partie à Québec et où Québec tient un rôle central
Excellents Gabriel Arcand, Pierre Curzi, Juliette Huot, Denise Filiatrault
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un film de science-fiction dans lequel ils ont réussi à mettre un tramway à québec
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Y'a des films comme celui-là qui, je sais pas pourquoi, me donnent le motton dans gorge en les écoutant. C'est juste tellement wholesome Les Plouffe. Les personnages sont des archétypes, mais c'est écrit et joué d'une façon si sincère et senti que ça me met vraiment vulnérable émotionnellement. C'était si pire que je passais proche de brailler à des moments qui étaient même pas tristes*.
D'ailleurs, pour un film de 3h, Les Plouffe s'écoute très bien. Je crois qu'après qu'Ovide s'éclipse pour aller au monastère, le film perd un peu son rythme qu'il avait installé depuis le début, le récit tournant davantage son attention vers les autres membres de la famille désormais, mais vers la fin, j'étais rendu tellement attaché…
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À soir, j’ai écouté Les Plouffe.
Notre p’tit Once Upon a Time in America à nous autres!
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Il va toujours y avoir une place dans mon coeur pour toi Ovide
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À se damner, la Rita ! À se damner !