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It's Raining in the House
Synopsis
Under a scorching sun, seventeen-year-old Purdey and his fifteen-year-old brother Makenzy are left to fend for themselves. While Purdey cleans houses in a hotel complex, Makenzy makes some money by stealing tourists. Between the recklessness of adolescence and the harshness of adulthood, they will have to support each other in this heartbreakingly sweet journey, which seems to be the last summer of their youth.
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[J'annonce que mon compte letterboxd prend aujourd'hui un tournant : je vais noter les siestes que je fais devant les films plutôt que les films. Cette décision mûrie depuis longtemps est en adéquation avec ma personne et, surtout, est réaliste quant au temps que je dédie à dormir au cinéma]
Sieste profonde mais avec acoups car parfois le son du film était trop fort et me réveillait, pas cool, merci à la réalisatrice d'y penser à l'avenir.
-1 point pour le strapontin car sans accoudoir pour me retenir j'ai failli m'écrouler par terre pendant mon sommeil. En vrai ça aurait fait une anecdote au moins.
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espèce de flamand va tellement devenir mon injure préférée
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l’impression d’avoir fumé quatre paquets de cigarettes
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Ceux qui ont mis une mauvaise note vous vivez pas dans la campagne Wallone c'est clair
C'est la première fois que j'ai pu me sentir aussi proche des persos, ça fait du bien de voir au grand écran un quotidien à coté de chez soi. Dès la première scène je me vois en été à faire des tournantes avec ma sœur pour porter le sac de courses. Les accents renforcent aussi cette proximité et ça fait du bien bordel. C'est doux, c'est pas dans le mélo drama et j'ai beaucoup ri.
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je l’ai regardé à cause du joli titre, et vu que personne me l’a demandé je vais vous faire une liste de mes titres préférés des sorties 2024 :
- il pleut dans la maison
- la mère de tous les mensonges
- septembre sans attendre
- les graines du figuier sauvage
- à poings et à cœurs
- miséricorde
- all we imagine as light
- les reines du drame
- vampire humaniste cherche suicidaire consentant
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Europeans are just better at making decently fine family dramas. Doesn’t really go anywhere but the chemistry between the siblings is electric and riveting to watch. Sometimes painfully real but never a dull moment.
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je sais pas quelle note mettre enft c con comme principe de noter les trucs nan ? on est au high school ou quoi ??
bref encore un movie de bandeurs de ploucs qui bouffent des spaghettis la bouche ouverte (Cannes allez vous faire foutre ammendonné), un peu lourdeau et longuet mais les acteurs sont dar en vrai et ils sont vrmt frères et sœurs c un peu une dinguerie
pas le tuto makeup de sananassss🥹
Purdey reine 🫶 (elle a grave des airs de SML en +)
en soi le sujet est archi pertinent mais traité un peu grossièrement avec bcp de clichés, j’aimerais bien avoir + de détails sur les inspi de la cinéaste, lire sa note d’intention finalement comme je suis jury à Cannes
y’a quand même de très belles séquences et la fin est mimi 🫂
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Plus qu'une chronique estivale, plus qu'un film sur le passage à l'âge adulte, c'est vraiment un long-métrage sur les violences symboliques et les rapports de classe, qui vont constamment structurer le récit sans pour autant que ce soit didactique. La caméra de Paloma Sermon-Daï, souvent en plans fixes, filme cette réalité injuste à travers des saynètes qui résonnent avec une authenticité rare, notamment grâce à la spontanéité des comédiens. Même des passages plus évidents comme la confrontation avec l'ado bourgeois s'avère crédible car assez finement écrit pour que l'évolution de la scène fonctionne. Bref, le long-métrage m'a paru férocement politique, quand bien même il donne cette curieuse impression de flottement et de légèreté.
À la limite, je regrette juste la…
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Youss rebeu distingué qui fait du padel
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Tout ceux qui ont mis des vieux commentaires la dégagez bien loin
Le film il m’a brisé en mille
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Film tout en simplicité, au ton naturel et dépeignant à la fois la routine, l’addiction, l’absence ainsi que la relation entre frères et sœurs.
On a parfois l’impression que le métrage ne sait pas trop où aller, mais en réalité il se joue aussi sur le hors-champ et les non-dits.
Ces personnages sont touchants d’autant plus lorsque l’on sait qu’ils ont été inspirés de la personnalité respective de ces derniers.
Sacré budget clopes par contre
En présence de la réalisatrice, tout aussi touchante, qui nous inspire par les méthodes qu’elle a déployées pour réaliser son métrage aux côtés de Purdey et Makenzy, des proches à elle.
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Writer/director Paloma Sermon-Daï’s first narrative feature is very reminiscent of Ursula Meier’s Sister which I saw at MIFF2012, although Meier’s is a much stronger film.
Teenage siblings Purdey and Makenzy (played by real life siblings Purdey and Makenzy Lombet who are Sermon-Daï’s half-siblings) spend their summer holidays hanging out at the local beach in Belgium’s Wallonia province and trying to deal with their alcoholic mother (Louise Manteau) and her frequent absences. The three of them live in their grandmother’s leaky old house which seems to be a metaphor for their lives.
Seventeen year old Purdey takes a menial job as a housemaid at a local tourist hotel while 15 year old Makenzy hangs out with his mates doing petty thefts from…