Saint-Arnoult-des-Bois
Saint-Arnoult-des-Bois | |||||
Église Saint-Arnoult, vue de la route de Billancelles. Sur la droite, le lit à sec du Coisnon. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | CC Entre Beauce et Perche | ||||
Maire Mandat |
Bertrand de Lacheisserie 2023-2026 |
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Code postal | 28190 | ||||
Code commune | 28324 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Arnolphiens | ||||
Population municipale |
887 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 43 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 29′ 36″ nord, 1° 15′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 163 m Max. 247 m |
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Superficie | 20,67 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Chartres (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Illiers-Combray | ||||
Législatives | 3e circonscription d'Eure-et-Loir | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | https://saintarnoultdesbois.fr/ | ||||
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Saint-Arnoult-des-Bois est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la vallée du Coisnon[Note 1], affluent en rive gauche de l'Eure donc de la Seine, dont la confluence est à Saint-Luperce, ainsi que par la vallée du Petit Coisnon.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thimert », sur la commune de Thimert-Gâtelles à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 634,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Arnoult-des-Bois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), forêts (3 %), zones urbanisées (1,3 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]On peut citer : La Charmoie, Goinville, Besnez, Chigneaux, les Rostys, le Tronchay, le Brosseron, le Breuil Saint-Nicolas, Fleurfontaine.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 400, alors qu'il était de 382 en 2015 et de 367 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 87,4 % étaient des résidences principales, 6,3 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,3 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Arnoult-des-Bois en 2020 en comparaison avec celle d'Eure-et-Loir et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,3 %) supérieure à celle du département (5,8 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,8 % en 2015), contre 66,2 % pour d'Eure-et-Loir et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Saint-Arnoult-des-Bois[I 2] | Eure-et-Loir[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 87,4 | 85,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 6,3 | 5,8 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,3 | 8,9 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Courville-sur-Eure, desservie par des trains du réseau TER Centre-Val de Loire reliant Paris-Montparnasse ou Chartres et Le Mans ou Nogent-le-Rotrou.
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Saint-Arnoult-des-Bois est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vallée. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1996 et 1999[13],[11].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 77,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 414 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 413 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[11].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctus Arnulfus en 1218[16], Saint-Arnoult-des-Bois en 1801[17].
Saint-Arnoult est un hagiotoponyme. Saint Arnoul : martyr au diocèse de Reims, vivait au VIe siècle. Il voulait être enterré à Tours mais au cours du voyage, on du laisser le corps dans la Forêt d'Yveline. Cela explique l’existence du bourg de Saint-Arnoult (Yvelines)
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Geoffroy de Lèves, évêque de Chartres de 1115 à 1149, donne avec son frère Gosselin de Lèves[Note 3], seigneur de Lèves, sur leurs terres familiales[18],[19]., en 1117 pour la fondation de l'abbaye Notre-Dame de Josaphat, les cures de Saint-Arnoult-des-Bois et de Saint-Martin d'Orouër, et d'autres terres dans le Perche[20]
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Chartres du département d'Eure-et-Loir.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Courville-sur-Eure[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Illiers-Combray
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription d'Eure-et-Loir.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Saint-Arnoult-des-Bois était membre de la communauté de communes du pays Courvillois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Entre Beauce et Perche, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 887 habitants[Note 4], en évolution de −0,45 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Arnoult
- Vestiges du canal inachevé de l'Eure :
Deux arches marquant le chemin suivi par le canal sont visibles sur la commune de Saint-Arnoult-des-Bois :- une petite arche se trouve au lieu-dit le Brosseron en dessous de la route D139 qui suit ici exactement l'emplacement du canal48° 28′ 38″ N, 1° 15′ 14″ E.
- une arche plus importante appelée l'arche à Mulet (panneau sur place) est située à l'est du Brosseron. Elle devait permettre au canal d'enjamber la rivière le Coisnon48° 28′ 55″ N, 1° 16′ 07″ E.
« À l’ouest, dans la direction de Chuisnes et Pontgouin, au nord, à côté de Saint-Arnoult-des-bois et de Fontaine-la-Guyon, on remarque dans les environs de Courville les traces d’un ancien canal que la tradition populaire appelle encore la Rivière neuve : c’est l’ancien aqueduc de Maintenon ou canal de Louis XIV.
On sait que le grand roi, désirant procurer de l’eau vive aux jardins du château et à la ville de Versailles, conçut le projet de s’emparer du cours de l’Eure à Pontgouin[29], et ce au moyen d’un vaste barrage de maçonnerie […] d’une hauteur de 12 à 15 mètres, fermant hermétiquement la vallée d’une colline à l’autre ; ce barrage, arrêtant sur ce point le volume d’eau, devait le forcer à l’amener dans un canal creusé à côté de la rivière. […]
Sous la direction de Vauban[30] et de La Hire[31], les travaux commencèrent en 1684 et furent poussés avec activité : 30 000 ouvriers dont un tiers de maçons et terrassiers, et les deux autres tiers de soldats […] travaillèrent à cette gigantesque entreprise.
Sur toute la ligne des ouvrages, des régiments entiers vinrent cantonner pendant 3 ou 4 ans ; à Pontgouin, à Chuisnes, à Courville des camps furent établis. […]
L’entreprise, dit M. de Noailles, fut si rapidement conduite qu’en moins d’un an le canal depuis Pontgouin jusqu’à Berchères fut établi et que le , l’académie s’y transporta dans la personne de La Hire, Cassini[32], Sédileau et de plusieurs membres, pour assister à l’entrée dans le canal qui devait avoir lieu, comme épreuve, ce même jour. L’épreuve réussit complètement, et l’eau arriva sans obstacle de Pontgouin à Berchères.
Quelques jours après, le , le roi Louis XIV lui-même vint à Courville pour examiner l’entreprise […].
Cependant pendant la durée des travaux, les maladies qui décimèrent les troupes, puis la guerre qui éclata à la fin de l’année 1688 firent abandonner ce projet grandiose. »
— Armand Pelé, Courville, Essais historiques, collection Monographies des villes et villages de France.
.
-
L'arche à Mulet permettant le franchissement du Coisnon.
-
Panneau d'information no 2.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Saint-Arnoult-des-Bois (28324) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 14/11//2023 (consulté le ).
- « Saint-Arnoult-des-Bois » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- À distinguer du Coinon, également affluent en rive gauche de l'Eure, dont la confluence est à Lèves.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Ne pas le confondre avec son neveu Gosselin de Lèves qui lui succéda sur le siège épiscopal de Chartres de 1149 à 1155
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Saint-Arnoult-des-Bois » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Saint-Arnoult-des-Bois - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Saint-Arnoult-des-Bois - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Eure-et-Loir » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Arnoult-des-Bois et Thimert-Gâtelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Thimert », sur la commune de Thimert-Gâtelles - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Thimert », sur la commune de Thimert-Gâtelles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chartres », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Arnoult-des-Bois », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1529.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Eugène-Louis-Ernest de Buchère de Lépinois, « Couvents dans la ville et sa banlieue : 4-Abbaye Notre-Dame de Josaphat », dans Histoire de Chartres, t. 1, Garnier, (lire en ligne).
- Métais 1911, p. VII.
- Abbé Charles Métais, Cartulaire de Notre-Dame de Josaphat, 2 vol. 1911
- « Saint-Arnoult-des-Bois », Histoire des communes, sur perche-gouet.net, Centre de recherches généalogiques du Perche-Gouët (consulté le ).
- Décret du 30 janvier 2008 portant promotion et nomination, sur Légifrance.
- Alain Thibaud, « Joël Racinet, un mandat et puis s’en va », L'Écho républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- « Christian Meunier, le maire de Saint-Arnoult-des-Bois, est décédé : Christian Meunier, maire de Saint-Arnoult-des-Bois, s’est éteint dimanche 25 juin dans la matinée, à l’âge de 72 ans, suite à une crise cardiaque », L'Écho républicain, (lire en ligne, consulté le ) « Le Saint-Arnolphien a commencé sa carrière politique en 1989 en tant que conseiller municipal. Il devient second adjoint au maire en 1995 puis premier adjoint en 2001. Christian Meunier est élu maire de Saint-Arnoult-des-Bois en 2014 avant d’être réélu en 2020. L’élu a également siégé, pendant plusieurs années, au sein de la communauté des communes Entre Beauce et Perche ».
- « Un nouveau maire dans la commune », L'Écho républicain, (lire en ligne, consulté le ) « Depuis début octobre, Bertrand de Lacheisserie est le nouveau maire de Saint-Arnoult-des-Bois, suite au décès brutal de Christian Meunier fin juin. Ce dernier était maire de la commune depuis mars 2014 ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Au lieudit « les écluses de Boizard »
- Vauban, maréchal de France, il dirigea plusieurs sièges et fortifications de frontière
- La Hire, astronome et mathématicien français, son nom est resté attaché aux grands travaux géodésiques de l’époque
- Cassini, astronome et géodésien, organisateur de l’Observatoire de Paris