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Cosnes-et-Romain

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Cosnes-et-Romain
Cosnes-et-Romain
Église Saint-Martin de Cosnes.
Blason de Cosnes-et-Romain
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Briey
Intercommunalité CA Grand Longwy Agglomération
Maire
Mandat
Cédric Aceti
2020-2026
Code postal 54400
Code commune 54138
Démographie
Gentilé Cosnois[1]
Population
municipale
2 775 hab. (2021 en évolution de +4,64 % par rapport à 2015)
Densité 171 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 12″ nord, 5° 42′ 43″ est
Altitude Min. 262 m
Max. 400 m
Superficie 16,23 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Longwy (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Longwy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mont-Saint-Martin
Législatives 3e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Localisation
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Cosnes-et-Romain
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Cosnes-et-Romain
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Cosnes-et-Romain
Liens
Site web http://www.mairie-cosnes.fr/

Cosnes-et-Romain [kon e ʁɔmɛ̃] est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie

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Description

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La commune est délimitée au nord par la frontière franco-belge qui la sépare de la province de Luxembourg.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont, en France, Cons-la-Grandville, Fresnois-la-Montagne, Gorcy, Lexy, Longwy, Mont-Saint-Martin, Saint-Pancré, Ville-Houdlémont, Villers-la-Chèvre, et, en Belgique, Musson et Aubange (cette dernière, par sa section de Halanzy).


Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Parivaux et le ruisseau du Coulmy[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Cosnes-et-Romain[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Vaux (0,7 ha)[Carte 1],[3].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Les bassins versants concernés sont celui de la Chiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (la Crusnes, la Pienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de la Fensch, le Veymerange, la Kiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[4].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 896 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 13 km à vol d'oiseau[7], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Plan hydrographique et des voies de communication de la commune en 2022.

Au , Cosnes-et-Romain est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Longwy (partie française)[Note 3], une agglomération internationale regroupant onze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[13],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Longwy, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (53,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,9 %), forêts (35,5 %), zones urbanisées (11,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %), prairies (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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L’entité communale est composée de trois villages : Cosnes, Romain et Vaux-Warnimont.

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 1 302, alors qu'il était de 1 210 en 2015 et de 1 076 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 91,8 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 7,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 18,3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cosnes-et-Romain en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (2,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,4 % en 2015), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Cosnes-et-Romain en 2020.
Typologie Cosnes-et-Romain[I 2] Meurthe-et-Moselle[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 91,8 88,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 2,1 9,7
Logements vacants (en %) 7,2 9,3 8,2
  • Cosnes : Du mot gaulois Connos ou du suffixe latin Cuneus. Koëne (1293), Koesne (1301), Cozsne (1304), Connes (1308), Cône (1749), Cosne (1612 et 1793), Cosnes-et-Romain (1812).
  • Romain : Romanas (1049).

Temps modernes

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Cosnes-et-Romain faisait partie de l'ancienne province du Barrois.

La forge de Vaux-sur-Cosnes a dû posséder un haut fourneau dans la seconde moitié du XIVe siècle. Il semblerait qu'elle ait disparu au début du XVIIe siècle, mais c'est sur son emplacement que se développeront les forges de Gorcy.

Révolution française et Empire

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La commune, instituée par la Révolution française sous le nom de Cosne, absorbe en 1790 celles de Vaux et Warnimont, puis en 1812 celle de de Romain. Elle prend, sans doute à cette époque, sa dénomination actuelle de Cosnes-et-Romain[17].

Époque contemporaine

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En 1817, Cosnes, qui avait pour annexes les hameaux de Vaux et Warnimont et les fermes de la Colombe de Soxey (grande et petite), avait une population de 592 habitants répartis dans 123 maisons.

La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].

En octobre 2007, des vestiges de la Seconde Guerre mondiale sont retrouvés : plus de 200 obus étaient enterrés devant le château d'eau de Cosnes.

Politique et administration

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Briey du département de Meurthe-et-Moselle.

Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Longwy, année où elle intègre le canton de Mont-Saint-Martin[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Mont-Saint-Martin porté à 32 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Meurthe-et-Moselle.

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté d'agglomération dénommée depuis 2021 Grand Longwy Agglomération, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2017 sous le nom de communauté d'agglomération de Longwy par transformation de la communauté de communes de l'Agglomération de Longwy et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette communauté de commune avait elle-même été créée en 2002 par transformation d'un district constitué en 1960 et qui avait progressivement intégré d'autres communes.

La commune est également membre de l'Agglomération transfrontalière du pôle européen de développement.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1971 février 2013 André Ferrari[19] UDF-PRV
puis UMP
paysagiste et horticulteur
Conseiller régional de Lorraine (1978 → 2004)
Président du District de Longwy[Quand ?]
Vice-président de la CC de l’agglomération de Longwy[Quand ?]
Démissionnaire
mars 2013 En cours
(au 6 juin 2023)
Cédric Aceti DVD Chef d'agence
Vice-président de la CA de Longwy (2020[20] → 2022)
Réélu pour le mandat 2020-2026[21]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 2 775 habitants[Note 6], en évolution de +4,64 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1872
4403915667609009191 0641 0791 083
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
1 0501 1071 1711 1781 1571 1541 1841 217992
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
1 2061 3691 3831 1941 2441 3771 4171 5421 859
1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021 -
2 0532 0892 1042 0842 4622 6352 7412 775-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie associative

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Comités des fêtes, Fep, Arpa, Edelweiss, Créa cosnes, etc[réf. nécessaire].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Une nécropole franque fouillée en 1892.
  • Maison forte au lieu-dit Soxey du XVe siècle dont il subsiste la chapelle, remplacée par un château au XVIIIe siècle.
  • Ossuaire de Romain, monument inauguré le en hommage aux morts de l'attentat du .
  • Église paroissiale Saint-Martin à Cosnes reconstruite de 1824 à 1826 ; la tour clocher est datée 1825 sur la façade ouest et mesure 25 m de hauteur ; on y trouve des marques de tâcheron.
  • Chapelle Saint-Clément à Romain. Église dite chapelle car annexe de l'église paroissiale de Cosnes, construite en 1427 ; la date qui aurait été portée par la porte d'entrée, d'après une lettre de l'architecte Varin d'octobre 1858 adressée au préfet à l'issue d'une visite effectuée à la chapelle est 1783. Restaurée en 1862 puis en 1878, reconstruction de la façade ouest, du pignon et de la charpente.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Cosnes-et-Romain Blason
Écartelé: au 1er de sinople à la tierce ondée alésée d'argent en pal, au 2e de pourpre à l'épi de blé d'or, au 3e d'azur à la hache d'argent emmanchée de sable en barre fendant une souche arrachée du même, au 4e d'or au wagonnet de sable enflammé de gueules; sur le tout, d'azur semé de croisettes recroisetées au pied fiché d'or, à deux bars adossés de même brochants[25].
Détails
Adopté en 1980.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Longwy (partie française) comprend deux villes-centres (Longwy et Mont-Saint-Martin) et neuf communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Cosnes-et-Romain » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. « Fiche communale de Cosnes-et-Romain », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  4. « SAGE Bassin ferrifère », sur gesteau.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Cosnes-et-Romain et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Longwy (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Longwy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Journal officiel du 11 février 1921, p. 1866.
  19. « Retour sur les « décennies André Ferrari » : Décédé mercredi 1er juillet, André Ferrari, maire de Cosnes-et-Romain durant quarante-deux ans, élu de l’agglomération et conseiller régional, a été inhumé ce samedi matin au cimetière de Romain », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Cet opposant au socialiste Jean-Paul Durieux, membre de l’UDF-PR, puis de l’UMP, a en effet été premier magistrat de Cosnes-et-Romain de 1971 à 2013, mais également conseiller régional du temps de Jean-Jacques Servan-Schreiber, président du District, ou encore vice-président de la communauté de communes de l’agglomération de Longwy ».
  20. « L’environnement et la jeunesse, priorités de Cédric Aceti : Élu en 2013, le maire repart pour un nouveau mandat. Outre ses fonctions de premier magistrat, il est aussi 5e vice-président de la communauté d’agglomération de Longwy, en charge de l’économie locale. Ses priorités seront l’environnement, la jeunesse et la sécurité », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Cédric Aceti retrouve son fauteuil de maire », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.