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Vence

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Vence
Vence
Vence
Blason de Vence
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Régis Lebigre
2020-2026
Code postal 06140
Code commune 06157
Démographie
Gentilé Vençois, Vençoise
Population
municipale
19 415 hab. (2021 en évolution de +5,56 % par rapport à 2015)
Densité 495 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 21″ nord, 7° 06′ 43″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 1 033 m
Superficie 39,23 km2
Type Centre urbain intermédiaire
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vence
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Vence
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Vence
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Vence
Liens
Site web vence.fr

Vence est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Vençois.

Géographie

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Localisation

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Situé à environ 20 km de Nice, entre mer et montagnes, surplombée par le col de Vence, Vence fait partie de ce que l'on appelle le moyen pays.

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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Vence offre un relief assez irrégulier lorsque l'on passe des petites collines des Baous à des pentes raides.

Ces montagnes calcaires, les « baous », donnent à la région un relief très accidenté.

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[1].

Hydrographie et les eaux souterraines

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Cours d'eau sur la commune ou à son aval[2] :

  • Plusieurs petits cours d'eau traversent la commune de Vence :
    • fleuve la Cagne (qui se jette dans la Méditerranée),
    • ruisseau la Lubiane, (affluent de la Cagne), la Cagnette,
    • vallon du Clarel,
    • le Malvan, le Claret, la Billoire, le Suveran, le Riou...
    • La Foux est une petite rivière qui fait partie de l'hydrographie de Vence une station de pompages des eaux y est aussi installée et cette eau se retrouve aux robinets des habitants et des fontaines.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 994 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 2,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 15,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 920,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −3,3 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communications et transports

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Réseau routier

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Commune accessible par la D36-M36, depuis Cagnes-sur-Mer, située à 10 km.

Réseau ferroviaire

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En 1881, Nice obtient l'ajout d'une liaison reliant Nice à Grasse par Vence à la Ligne Central-Var. Exploitée à partir de 1892 par la Compagnie des chemins de fer du Sud de la France, puis par les Chemins de fer de Provence. La liaison disparaitra en 1944 avec la destruction du Viaduc du Pont-du-Loup par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale.

Il n'existe plus aujourd'hui de Voie ferrée à Vence, celle-ci ayant été requalifiée en route.

Transports en commun

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Une catégorie est consacrée à ce sujet : Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur.

De 1911 à 1932, Vence était reliée à Cagnes sur Mer par les Tramways des Alpes-Maritimes.

Aujourd'hui, la ville est desservie par les lignes de bus 9, 46, 47, 400 et 510 des Lignes d'Azur et dispose d'une station d'autopartage Auto Bleue.

Depuis les années 1970[10], plusieurs Phénomènes aérospatiaux non-identifiés (dont un certain nombre étudiés par le GEIPAN) ont été observés à Vence. Notamment, des bateaux volants lumineux (le 9 octobre 2016) [11] ,[12]; ou encore des points lumineux en forme de triangle (le 5 mars 1994) [13],[14].

La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le [15].

Au , Vence est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[18]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (73,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,6 %), forêts (29 %), zones urbanisées (26,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (11 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[21].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Attestée sous les formes Ouintion au IIe siècle, Civitas Vintiensium vers 400, De Ventio en 585.

En provençal : Vença selon la norme classique ou Vènço selon la norme mistralienne.

Le territoire de la commune de Vence a livré des indices d'occupation remontant aux époques les plus anciennes[22]. Certaines grottes des baous semblent avoir été occupées au Paléolithique et au Néolithique[23]. Certaines d'entre elles semblent avoir servi de bergerie ou d'abris de bergers durant l'âge du bronze et l'âge du fer. Elles sont aussi fréquentées durant l'Antiquité, le Moyen Âge et l'époque moderne.

On note l'existence d'habitats fortifiés (oppidums) sur certaines hauteurs. Le plus grand nombre est occupé à la fin de l'âge du fer, les fouilles sur le site du Baou des Noirs ont cependant livré des traces d'occupation remontant à la fin de l'âge du bronze et au premier âge du fer[24]. Le Baou des Blancs semble fondé à la fin de l'âge du fer, mais fait l'objet d'une réoccupation importante durant l'Antiquité tardive[25].

Avant la conquête des Alpes par Auguste et la création de la province des Alpes maritimes dans le dernier quart du Ier siècle av. J.-C., le territoire de Vence est sous le contrôle de la tribu des Nerusii[26] dont le nom apparaît sur le Trophée des Alpes avec celui des autres tribus locales vaincues par Auguste.

À partir de l'ère chrétienne, Vence est fondée et devient chef-lieu de cité. Les restes antiques de la cité de Vence sont très mal connus à l'exception des bornes milliaires délimitant la voie romaine via Ventiana, et des inscriptions majoritairement mises au jour dans le sous-sol du centre-ville[27] et actuellement intégrées à la maçonnerie de la cathédrale de Vence datant des XIe et XIIe siècles dans sa forme actuelle.

Fondée par les Ligures[26], puis cité romaine de Vintium, elle vit croître sa puissance avec le christianisme et devint une importante ville épiscopale à partir du IVe siècle.

Au Ve siècle, Vence possède un évêché sous le règne de l'empereur Constance III. Le premier évêque de Vence dont l'existence est avérée est Severus (419-442[28]. D'après la tradition locale fondée sur des sources ecclésiastiques, la cathédrale aurait été édifiée à l'emplacement du temple de Mars Vintius dont l'existence est attestée par une inscription.

Selon la tradition, en 973, à la suite de sa victoire contre les Sarrasins à la bataille de Tourtour, Guillaume Ier de Provence crée l'un de ses capitaines, Léotger Ruffi ou Laugier, qui épouse par la suite, fille Odile, une proche du comte. À cette époque, la commanderie templière de Saint Martin est fondée[29], sur le territoire de la commune sur le Baou des Blancs.

Par le jeu du partage de l'empire de Charlemagne, Vence et la Provence sont rattachées au Saint-Empire romain germanique. En 1191, l'empereur Henri VI accorde à la république de Gênes la ville et le territoire de Monaco, ce qui conduira à la rébellion contre les comtes de Provence dans la ville de Nice. Le , le parti des aristocrates niçois prend le contrôle de Nice et proclame l'indépendance de la ville par rapport au comte de Provence. En 1228, inquiète de la nouvelle influence acquise par Raimond-Bérenger V de par son mariage avec Béatrice de Savoie, la ville de Nice conclut une alliance avec les villes de Grasse et de Draguignan et signe une convention avec la république de Pise. En réaction, Raimond-Bérenger envoie son armée[30] commandée par Romée de Villeneuve, viguier et baile de Provence[31]. Il soumet Nice en 1229 et Vence en 1230. En 1231, il fera construire les remparts de Vence.

La seigneurie de Vence est alors donnée par le comte de Provence à Romée de Villeneuve qui lui en rend hommage le [32].

La famille de Villeneuve-Vence et les évêques furent coseigneurs de Vence jusqu'à la Révolution française[33].

Durant les guerres d'Italie, la cité ainsi qu'une grande partie de la Provence passera sous la domination des troupes de Charles Quint. Une légende populaire rapporte qu'en 1538, présent dans la région pour la signature de la paix de Nice, François Ier visite Vence et offre à ses habitants un frêne, encore visible de nos jours sur la place du même nom [réf. nécessaire].

Parmi ses nombreux évêques, il y eut un pape, Paul III, deux académiciens, Godeau et Surian et trois saints, Prosper, Véran et Lambert. La Révolution chassa le dernier évêque, Mgr Pisani, qui refusa de prêter serment sur la Constitution, et supprima l'évêché.

Henri Matisse s'installe à Vence, villa « Mon Rêve » en 1943, il y conçoit tout l'intérieur de la chapelle du Rosaire de Vence dite aussi « chapelle Matisse », et c'est l'artiste Jean Vincent de Crozals qui lui sert de modèle pour les dessins du Christ[34].

Depuis 1945

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En , elle est classée quatrième dans la liste des plus belles communes d'Europe publiée par le magazine National Geographic. Vence est membre de l’Association Française du Conseil des Communes et Régions d'Europe (AFCCRE)[35].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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En 2010, la commune de Vence a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[36].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 mars 1959 Émile Hugues[37] PRRRS Notaire
Ministre/Secrétaire d'État (1952 → 1958)
Député des Alpes-Maritimes (1945 → 1958)
Sénateur des Alpes-Maritimes (1959 → 1966)
Conseiller général de Vence (1945 → 1966)
mars 1959 mars 1983 Jean Maret CR Avocat au barreau de Nice
Conseiller général de Vence (1966 → 1976)
mars 1983 novembre 1983 Jacques Falcoz
(1927-1983)
RPR Médecin
Conseiller général de Vence (1982 → 1983)
Décédé en fonction
novembre 1983 mars 1989 Bernard Demichelis[38]
(1929-2018)
RPR Médecin, ancien adjoint au maire
Conseiller général de Vence (1983 → 1994)
mars 1989 mars 2001 Christian Iacono UDF (app.) Radiologue
mars 2001 mars 2008 Pierre Marchou[39]
(1931-2024)
RPR
puis UMP
Avocat au barreau de Grasse
mars 2008 août 2009 Christian Iacono[40] PRV Radiologue retraité
Démissionnaire
septembre 2009[41] mars 2014 Régis Lebigre UMP[42]
PRV
Agent d'assurance, ancien premier adjoint
Vice-président de la Métropole Nice Côte d'Azur
Président du SIVOM du Pays Vençois
mars 2014 juillet 2017 Loïc Dombreval SE puis
LREM
Chef d'entreprise
Député des Alpes-Maritimes (2e circ.) (2017 → 2022)
Conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur[43] (2015 → 2017)
Vice-président de la Métropole Nice Côte d'Azur
Président du SIVOM du Pays de Vence
Démissionnaire après son élection comme député
juillet 2017[44] juillet 2020 Catherine Le Lan LREM Experte socio-éducative, ancienne adjointe au maire
Présidente du SIVOM du Pays de Vence
juillet 2020[45] En cours Régis Lebigre[46] LR Agent d'assurance
Vice-président de la Métropole Nice Côte d'Azur

Politique environnementale

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Vence dispose de deux stations d'épuration :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[49],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 19 415 habitants[Note 4], en évolution de +5,56 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 6152 6573 0203 0453 6123 1563 1653 1012 974
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 7332 7102 7552 8282 7702 7612 9033 1033 043
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 1243 2083 4983 0904 1924 8765 4955 6856 278
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
7 8749 42011 38513 11915 33016 98218 93119 16018 599
2021 - - - - - - - -
19 415--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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  • Écoles maternelles
    • École maternelle du Suve
    • École maternelle du Centre
    • École maternelle Lei Bigaradie
    • École maternelle Signadour
    • École maternelle de l'Ouest (maternelle des Baous)
  • Écoles élémentaires
    • École élémentaire St-Michel
    • École élémentaire Toreille
    • École élémentaire du Suve
    • École élémentaire Marc Chagall
    • École élémentaire Célestin Freinet (école publique à statut spécifique)
  • Collège
    • Collège de La Sine
  • Lycée
    • Lycée Henri Matisse.

Manifestations culturelles et festivités

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  • Week-end de Pâques, avec le dimanche danse folklorique et le lundi Bataille de fleurs .
  • La Fête des Fontaines.
  • Fête de la Saint Elisabeth.
  • Fête de la Musique traditionnelle depuis 30 ans, le 1er samedi de juillet au parc de la Conque organisée pas l'association Lo Cepon.
  • Nuits du Sud, festival de musiques du monde qui se tient fin juillet début août place du Grand-Jardin.
  • Depuis 1971, le groupe folklorique La Brissaudo maintient la culture et les traditions vençoises.
  • Médiathèque

Professionnels et établissements de santé[52] :

  • Médecins,
  • Pharmacies,
  • Hôpitaux de Vence, Saint-Jeannet.
  • EHPAD

Entreprises et commerces

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Agriculture

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  • Les marchés hebdomadaires[57].

Il y a à Vence, dans la Cité historique et ses abords, de nombreuses galeries d'art (plus de 35) ainsi que deux musées.

Hôtel de voyageurs (ancien) et parc de la Conque, maison de retraite[58].

Revenus de la population et fiscalité

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Budget et fiscalité 2019

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En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[59] :

  • total des produits de fonctionnement : 22 153 000 , soit 1 170  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 20 283 000 , soit 1 072  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 7 407 000 , soit 391  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 8 165 000 , soit 431  par habitant ;
  • endettement : 18 606 000 , soit 983  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 17,40 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 14,61 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 12,01 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 820 [60].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Édifices religieux

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  • Cathédrale de la Nativité-de-Notre-Dame, XIIe siècle[75] et son orgue de tribune[76],[77].
  • Chapelle des Pénitents Blancs, 40 avenue Henri Isnard [78], avenue [79], construite en 1614, Issue de la confrérie de la miséricorde 1523, la confrérie des pénitents blancs[80] est fondée en 1567 sous le patronage de Saint Bernardin (devenu lieu d'exposition).
  • Chapelle Notre-Dame des Missions, avenue des Alliés (moderne)[81].
  • Chapelle Sainte-Anne, chemin du Baric placée sous le vocable de Notre Dame des Douleurs, consacrée en 1617.
  • Chapelle rurale Saint-Raphaël, ruines de la première chapelle, chemin des Plantiers construite au XIVe siècle (rénovée en 1988). Centre religieux de l’ancienne commune des Malvan rattachée à Vence en 1792.
  • Chapelle rurale Saint-Lambert, chemin de Vosgelade construite en 1881
  • Chapelle rurale Sainte-Colombe, chemin de Sainte-Colombe construite durant le Haut Moyen Âge.
  • Chapelle rurale Sainte-Élisabeth[82], ancien chemin de Saint-Paul XIVe siècle[83].
  • Chapelle Sainte-Bernadette, 14 rue Saint-Michel à la maison de retraite La Vençoise.
  • Chapelles du calvaire, six chapelles le long du chemin du grand Calvaire[84].
  • Chapelle du Rosaire de Vence, dite « Chapelle Matisse »[85], avenue Matisse[86]. La première pierre de la chapelle fut posée, le [87]. L’inauguration et la consécration à Notre Dame du Rosaire, eurent lieu le .
  • Chapelle Sainte-Croix, devenue propriété privée.
  • Chapelle Saint-Pons, avenue du colonel Meyere, face à la médiathèque devenue propriété privée.
  • Chapelle Saint-Crépin, avenue des Alliés.
  • Chapelle Notre-Dame de Bon Voyage, 521 chemin des Anciens Combattants[88].
  • Chapelle Saint-Martin, domaine Saint-Martin, 2197 avenue des Templiers.
  • Chapelle des Crottons devenue Notre Dame des Fleurs, au château Notre-Dame des Fleurs, allées des Cerisiers.
  • Chapelle des Pénitents Noirs, a été démolie en 1911 pour laisser passer le tramway, qui lui aussi a disparu.
  • Chapelle Saint-Pancrace ou Saint Michel (détruite en 1926). Offerte par les seigneurs de Villeneuve.
  • Chapelle Saint-Laurent au château Baou des Blancs (ruines).
  • Chapelle Saint-Pierre rue Henri Isnard, détruite dans les années 1950.
  • Chapelle Bérény[89].
  • Temple protestant et anglicane Saint Hugh's [90] 21 rue de la Résistance.
  • Les statues du Calvaire de Vence : Bois polychrome des XVIIe et XVIIIe siècles[91].

Héraldique

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Blason d'Aspremont

D'azur à une tour crènelée de cinq pièces d'argent, maçonnées de sable[92].

Personnalités liées à la commune

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Religieuses

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Littéraires

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Plaque sur la maison de Gombrowicz.

Artistiques

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Pédagogues

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  • Célestin Freinet (1896-1966), mort à Vence, et Élise Freinet (1898-1983) ont créé sur la colline du Pioulier une école expérimentale en 1935, à la suite d'un conflit violent avec la mairie de Saint-Paul-de-Vence où Freinet enseigna de 1928 à 1932. L'École Freinet fut fermée pendant la guerre, après l'internement de Freinet en . Après la guerre, Freinet et Élise Freinet ouvrirent à nouveau leur école. Mondialement connue, cette école fut rachetée par l'État à la suite d'un accord entre Madeleine Freinet et Lionel Jospin (ministre de l'Éducation nationale). Cette école publique à statut expérimental accueille 66 élèves de la maternelle au CM2. L'Institut Freinet de Vence, en lien avec des laboratoires universitaires, a pour mission la sauvegarde de la pédagogie spécifique de cette école.
  • Joseph Fisera,
  • Eugène Francone,
  • Marguerite Francone,
  • Émile Hugues,
  • Lucie Laffitte Hugues,
  • Adrienne Michel,
  • Joseph Ordan,
  • Antoinette Picco,
  • Delphon Picco,
  • Duska Milewski[96].
  • Yvon Lambert (1946), galeriste et marchand d'art contemporain.
  • Joseph Alech (1919-1980), coureur cycliste (le Grand Prix de la Ville de Vence lui est dédié)[54].

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Didacticiel de la réglementation parasismique
  2. Cours d'eau sur la commune ou à son aval
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Vence et Valbonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. OVNIS, Enquête sur un secret d'État (Egon Kragel, Yves Couprie · 2010)
  11. La dépêche
  12. Site du GEIPAN
  13. Nice Matin
  14. Site du GEIPAN
  15. Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)
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  80. Chapelle des Pénitents blancs
  81. Vence et sez chapelles : Parcourt de l'Art Sacré
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Bibliographie

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  • G. Castellan, Une cité provençale dans la Révolution
  • Verrier, Petite histoire de Carros et du canton de Vence
  • Les Gouaches découpées de la chapelle de Vence : quatre volumes de Henri Matisse
  • Edmond Brun, Antoine Léandre Sardou, « Vérification des inscriptions romaines de Vence », dans Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes, 1877, tome 4, p. 173-180 (lire en ligne)
  • Philippe de Beauchamp, Photographies Loïc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)
    Pays de Vence et Côte Est : Vence, L'ancienne cathédrale de la Nativité-de-notre-Dame, pp. 137 à 138
  • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
    Canton de Vence : pp. 956 à 967 : Vence
  • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
    Vence, p. 1206
  • Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
    Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Vence, pp. 81-82
  • Vence : Aven de la Cavetière; chancel de la cathédrale; chapelle nd de bon voyage; murs de pente; murs et linteaux; sarcophages à compartiments; site des Graus; tumulus présumé; voie romaine Vence Castellane; Moulins de la Cagne; château du Malvan
  • Vence : histoire
  • Cavités souterraines naturelles et ouvrage civil
  • Edmond Rossi, Histoires et légendes des Balcons d'Azur, éditions Campanile, 2011 (ISBN 978-2912366832)
  • Edmond Rossi, Les Châteaux du Moyen-Age dans les Alpes-Maritimes, éditions des régionalismes, 2015 (ISBN 978-2824005553)

Articles connexes

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Liens externes

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