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Spycker

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Spycker
Spycker
La mairie.
Blason de Spycker
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté urbaine de Dunkerque
Maire
Mandat
Jean-Luc Goetbloet
2020-2026
Code postal 59380
Code commune 59576
Démographie
Gentilé Spyckerois
Population
municipale
1 752 hab. (2021 en évolution de −0,57 % par rapport à 2015)
Densité 191 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 58′ 12″ nord, 2° 19′ 27″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 5 m
Superficie 9,19 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Spycker
(ville-centre)
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coudekerque-Branche
Législatives Quatorzième circonscription
Localisation
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Spycker
Géolocalisation sur la carte : France
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Spycker
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Spycker
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Spycker
Liens
Site web http://mairie-spycker.fr/

Spycker [spikɛʁ] est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Géologie et relief

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Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le canal de Bourbourg, le Langhegracht, la Duyckerdyck[1], la Meulen Dyck[2], le Bailleux Dyk[3], le Sparre Waerdyck[4], le Weemaers Dyck[5] et un autre petit cours d'eau[6],[Carte 1].

Le canal de Bourbourg relie l'Aa à l'ouest de Bourbourg aux ports intérieurs de Dunkerque[7].

La Langhegracht, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune de Looberghe et se jette dans le Canal de Bergues à Téteghem-Coudekerque-Village, après avoir traversé sept communes[8].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Spycker.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Delta de l'Aa ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 208 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Aa. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'Institution intercommunale des Wateringues[9].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dunkerque à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Voie de communication et transport

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Spycker est desservie par la ligne 15 du réseau DK'BUS.

Au , Spycker est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Spycker[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[18]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,7 %), zones urbanisées (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[21]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

On fait allusion en 1067 à Spicris, qui viendrait de spicarium = grenier à blé.

La commune porte le nom de Spijker en néerlandais[22].

Le village était situé sur une voie romaine venant de Cassel et menant à Mardyck à travers la Flandre maritime[23].

Vers 800, sur une carte de Malbrancq qui représente la partie orientale du delta de l'Aa, le village Grunberga (Bergues) est indiqué, entouré de Burgus in broco (Bourbourg), Ecclesia in broco (Brouckerque), Saint-Wilbrordi (Gravelines), Koudekerke (Coudekerque-Village), Spikere (Spycker) ou Loo berga (Looberghe)[24].

En 1186, le comte de Flandre confirme la donation d'un domaine situé près de Milham (Millam), à l'abbaye de Watten par Eustache, fils de Remold de Spicre[25]. En 1187, Mathilde, femme de Guillaume de Lille, en son château de Ruhout, a déclaré devant le comte de Flandre Philippe d'Alsace, qu'elle renonce en faveur de la même abbaye à ses droits sur un bien qu'elle avait reçu en don de son premier mari Guillaume, fils de Remold de Spicre[26]

En 1227, Guillaume, seigneur de Spycker, et Isabeau sa femme, fondent sous le vocable de sainte Élisabeth, un hôpital desservi par des religieuses appartenant aux béguines, et lui fait de nombreux dons[27]. En 1248, la comtesse de Flandre Marguerite de Constantinople transfère la maison à Bergues et elle devient en 1252, l'abbaye de Saint-Victor ou nouveau cloître[28].

Avant 1789, Spycker dépendait de la châtellenie de Bergues. La paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer[29].

En 1793, les terres de Spycker, Coudekerque-Branche et Armbouts-Cappel, ont subi des dégâts liés à l'envahissement d'eau salée dans les fossés et watergangs de ces communes. Cela résultait d'une expérience malheureuse visant à faire monter le niveau du canal de Bergues pour permettre à Bergues d'être atteinte par des vaisseaux venant de la mer (vieille revendication berguoise, abandonnée ensuite face à la réalité de Dunkerque mieux placée à cette fin). La solution vint d'une décision prise par les administrateurs du district d'interrompre la navigation sur le canal de Bergues, de le tirer à sec pour faire écouler les eaux salées[30].

En 1903, Spycker était sur la ligne de chemin de fer reliant Bourbourg à Dunkerque et disposait d'une gare ou à tout le moins d'un arrêt[31].

Pendant la Première Guerre mondiale, Spycker est à l'arrière du front qui part de Nieuport, suit le cours de l'Yser vers les monts des Flandres.

La commune dépend en 1916 du commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front, de Grand-Millebrugghe

De janvier à septembre 1917, Spycker est elle-même le siège d'un commandement d'étapes, dit de Spycker-Steene, car transféré à Steene en juillet, puis transféré à Armbouts-Cappel pendant quelque temps, avant de revenir à Spycker. Les communes faisant partie du commandement d'étapes sont Steene, Looberghe, Mardyck, Armbouts-Cappel, Pitgam, Capelle, Brouckerque, Eringhem, Crochte, Bierne, Saint-Pierre-Brouck, Drincham, Grande-Synthe (à partir de ), Coudekerque, Hoymille[32]. De ce fait stationnent sur Spycker le capitaine responsable du commandement d'étapes, ainsi que quatre gendarmes. Des troupes y passent ou y sont cantonnées, comme par exemple en , deux compagnies d'un régiment de zouaves au pont de Spycker[33].

Le 24 mai 1916, sont signalées sur le territoire de la commune, une bombe d'avion non éclatée, et à différents endroits trois traces d'obus de 75 dont au moins un pouvait ne pas avoir éclaté. Des moyens sont demandés pour les faire exploser ou les rendre inoffensifs[34].

Le 2 avril 1917, est retrouvé dans un fossé, sur le territoire de la commune, un obus non éclaté[35].

Au début mai 1917, les troupes anglaises comptent un poste d'artillerie contre avions à Spycker, un autre à Looberghe-Lynck, un poste de projecteurs photo-électriques à Brouckerque et un autre à Pitgam, ainsi qu'un poste de guet à Pitgam[36].

Le , une voiture d'un régiment d'artillerie cantonné à Brouckerque a heurté une habitante de Spycker, Madame veuve Spriet âgée de 87 ans, laquelle est décédée. La gendarmerie a ouvert une enquête[37].

Le , un avion anglais de l'escadrille 57 de Cassel a atterri sur la commune à 18 h 00. Il est reparti le lendemain à 7 h 00 du matin[38].

Le , une femme et trois enfants ont été blessés par les éclats d'une grenade avec laquelle jouait un 4e enfant. celui-ci a dit avoir trouvé l'objet dans une grange qu'un régiment d'artilleurs venait d'évacuer. Un médecin, envoyé par un autre régiment d'artilleurs, cantonné à Steene, a examiné les victimes et a demandé leur hospitalisation[39].

À la mi-septembre 1917, l'aviation maritime britannique a loué à Spycker, près du château de l'Afgand, une pâture où elle compte faire construire des baraquements pour officiers[40].

Le jeudi , à trois heures du matin, un incendie s"est déclaré à Spycker chez Mme veuve Depoers, dans un local abritant chaque soir la voirure d'un mercier en gros de Dunkerque et des produits inflammables. La présence de soldats, des artilleurs cantonnés dans le bâtiment voisin, et des Anglais, ainsi que l'aide de la pompe de Dunkerque appelée par téléphone a permis de limiter les conséquences à des dégâts matériels[41].

De mai à juillet 1916, Spycker dépend encore du commandement d'étapes de Grand-Millebrugghe et en 1917-1918, du commandement d'étapes de Téteghem[32].

Combat de Spycker, du au , durant la bataille de France, ou le 1er bataillon du 225e régiment d'infanterie bloque l'avancée allemande permettant le rembarquement lors de l'opération Dynamo[42],[43].

Politique et administration

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Le village est membre de la communauté urbaine de Dunkerque (Dunkerque grand littoral).

Situation administrative

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Spycker dans son canton et son arrondissement.

Tendance politique

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Administration municipale

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Liste des maires

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Maire de 1802 à 1807 : Jacques Vereecke[44],[45].

Maire en 1881 : Vandevelde[46].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  1854 Mr Wemaere[47]    
  1883 J. Depoers[48]    
1887 1913 J. Depoers[48]    
1913 1925 Eugène Delabaere[49]    
1925 1935 Albert Depoers[50]    
1935 1939 Joseph Dannoot[51]    
         
1951 1954 M. Coevoet[52]    
1954 1965 Roger Baes[53],[54]    
1965 1978 au moins Étienne Dekeister[55],[56]    
En cours Jean-Luc Goetbloet
Réélu pour le mandat 2020-2026[57]
PS  
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives

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Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[59].

En 2021, la commune comptait 1 752 habitants[Note 4], en évolution de −0,57 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
385485563541558648665701631
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
659660672694676670676670660
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
657668632625583602584360499
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6216791 6431 4851 4021 3141 5081 6411 807
2021 - - - - - - - -
1 752--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee à partir de 2006[61].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 888 hommes pour 916 femmes, soit un taux de 50,78 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[62]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,4 
5,1 
75-89 ans
7,2 
12,8 
60-74 ans
14,2 
21,6 
45-59 ans
20,8 
23,5 
30-44 ans
21,5 
12,3 
15-29 ans
13,8 
24,5 
0-14 ans
22,1 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[63]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Enseignement

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Spycker fait partie de l'académie de Lille.

Le ministère des sports a décompté 16 équipements sportifs sur le territoire de la commune en 2013[64].

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de Spycker se blasonnent ainsi :

« D'argent semé de billettes de sable, et un lion du même, armé et lampassé de gueules, brochant sur le tout. » (identique à l'ancien blason de Loon-Plage)

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l'agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Spycker comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Spycker » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « la Duyckerdyck »
  2. Sandre, « la Meulen Dyck »
  3. Sandre, « le Bailleux Dyk »
  4. Sandre, « le Sparre Waerdyck »
  5. Sandre, « le Weemaers Dyck »
  6. « Fiche communale de Spycker », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  7. Sandre, « le canal de Bourbourg »
  8. Sandre, « la Langhegracht »
  9. « SAGE Delta de l'Aa », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Spycker et Dunkerque », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Dunkerque » (commune de Dunkerque) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Dunkerque » (commune de Dunkerque) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Spycker », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Spycker ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dunkerque », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  23. Mr Bergerot, <<Vie de Saint-Folquin>>, dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1855, p 90 à 131, lire en ligne
  24. Aymard Drieux et Yves Lemaire, Brouckerque, Coppenaxfort, 2005, (ISBN 2-9525621-0-5).
  25. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome II Année 1186
  26. A. Wauters, op. cit., Tome II Année 1187
  27. M.A. Bonvarlet, « Chronique de l'abbaye des dames de Saint-Victor, dite du nouveau cloître à Bergues », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1857, publié en 1858, p. 262-263, lire en ligne
  28. M.A. Bonvarlet, « Chronique de l'abbaye des dames de Saint-Victor, dite du nouveau cloître à Bergues », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1857, publié en 1858, p. 260, lire en ligne.
  29. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.
  30. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1866-1867, douzième volume, p. 312-313, lire en ligne.
  31. Le Journal de Bourbourg et du canton de Gravelines, n°1158 du 4 mars 1903
  32. a et b « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  34. Commandement d'étapes de Grand-Millebrugghe, mai à juillet 1916, p. 26, lire en ligne.
  35. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker, p. 22, lire en ligne.
  36. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, janvier-septembre 1917, p. 31, lire en ligne.
  37. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, septembre 1917- mars 1918, p. 67, lire en ligne.
  38. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, septembre 1917- mars 1918, p. 70, lire en ligne.
  39. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, septembre 1917- mars 1918, p. 79, lire en ligne.
  40. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, septembre 1917- mars 1918, p. 88, lire en ligne.
  41. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, septembre 1917- mars 1918, p. 153, lire en ligne.
  42. Spycker : un hommage aux 75 hommes du 225e RI tombés en 1940
  43. Carnet de route du lieutenant Marius Weber; les combats de Spycker
  44. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 272, lire en ligne.
  45. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807. », p. 150-151 (images 180-181)..
  46. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2..
  47. Almanach du commerce Département du Nord 1854
  48. a et b Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1883 et de 1887 à 1913
  49. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1914 et 1922 à 1925
  50. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1925 à 1935
  51. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1936 à 1939
  52. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 1954
  53. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1955 à 1965
  54. Magazine de la commune de SPYCKER N°20 2018 page 2
  55. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1966 à 1979
  56. Aînés ruraux du secteur de Dunkerque: Étienne Dekeister quitte la présidence, Nicole Fermon lui succède
  57. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598919
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  59. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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