Samatan (Gers)
Samatan | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Auch | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Savès | ||||
Maire Mandat |
Hervé Lefebvre 2020-2026 |
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Code postal | 32130 | ||||
Code commune | 32410 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Samatanais, Samatanaises | ||||
Population municipale |
2 429 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 72 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 29′ 37″ nord, 0° 55′ 54″ est | ||||
Altitude | 165 m Min. 155 m Max. 252 m |
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Superficie | 33,53 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Samatan (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Val de Save (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Samatan (Samatan en gascon) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Savès, une petite province gasconne correspondant au cours moyen de la Save.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Save, l'Aussoue, la Lieuze, l'Espienne, l'Esquinson, le ruisseau des tachouères et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Samatan est une commune rurale qui compte 2 429 habitants en 2021. Elle est dans l'unité urbaine de Samatan et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Samatanais ou Samatanaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château de Latour, inscrit en 1974 et classé en 1974, et la fontaine, inscrite en 1993.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Samatan est une commune située à 36 km au sud-est d'Auch et à 45 km au sud-ouest de Toulouse. Elle fait partie du Pays du Savès et du pays Portes de Gascogne.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Samatan est limitrophe de onze autres communes.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]L’altitude varie de 320 m dans les coteaux du sud-ouest à 140 m au nord. Des collines, par temps clair, donnent une vue sur les Pyrénées, avec dans l’axe de la vallée, les pics de l'Aneto (sommet des Pyrénées : 3 404 m), l’Arbizon et du Midi de Bigorre. Le paysage harmonieux et varié, verdoyant, calme et tranquille, est parsemé de petits bois, bouquets d’arbres et fermes isolées, au milieu du damier des cultures[réf. nécessaire].
Samatan se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Save, l'Aussoue, la Lieuze, l'Espienne, l'Esquinson, le ruisseau des tachouères, un bras de la Save, la canal la Savère, le ruisseau de la Garenne, le ruisseau de la Hount, le ruisseau d'en Barat, le ruisseau d'en Briolé et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 56 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Save, d'une longueur totale de 143 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 46 communes[5].
L'Aussoue, d'une longueur totale de 33,7 km, prend sa source dans la commune de Lilhac et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans La Save à Labastide-Savès, après avoir traversé 16 communes[6].
La Lieuze, d'une longueur totale de 15,9 km, prend sa source dans la commune du Pin-Murelet et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aussoue à Nizas, après avoir traversé 8 communes[7].
L'Espienne, d'une longueur totale de 17,5 km, prend sa source dans la commune de Saint-Frajou et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aussoue sur le territoire communal, après avoir traversé 9 communes[8].
L'Esquinson, d'une longueur totale de 13,8 km, prend sa source dans la commune de Sauveterre et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Save sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[9].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lahas à 8 km à vol d'oiseau[12], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[16] : les « bois de Campan et du château du Pradel » (31 ha)[17].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Samatan est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Samatan[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %), zones urbanisées (4 %), forêts (1,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Principaux accès : par la route départementale D 632 qui rejoint Saint-Lys vers l'Est et Lombez en direction du Sud (ancienne route nationale 632), par la route départementale D 149 qui rejoint Auch ou encore par la D 119 en direction de Monblanc et Rieumes. À la sortie de la ville, la route départementale D 39, qui borde le lit de la Save depuis Cazaux-Savès, rejoint directement le centre historique de Lombez.
La ligne 365 du réseau liO Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Boulogne-sur-Gesse, et la ligne 954 du réseau liO relie la commune à la gare de L'Isle-Jourdain depuis Lombez.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Samatan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'une digue[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Save, l'Aussoue, l'Esquinson, l'Espienne et la Lieuze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1989, 1993, 1999, 2000, 2009, 2012, 2014 et 2018[22],[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 091 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 091 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 1998, 2002, 2003, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[19].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Des digues sont présentes sur le territoire communal[Note 4]. En cas de destruction partielle ou totale de l'une d'entre elles soit par surverse, soit par effet de renard, soit par affouillement de sa base, soit par rupture d'ensemble progressive ou brutale, des dégâts importants peuvent être occasionnés aux habitations et personnes situées sur le parcours de l'onde de submersion. Le risque est en principe pris en compte dans les documents d'urbanisme. Il n'existe par contre pas de système d'alerte en cas de rupture de digue[25].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Samatan étant en Gascogne, la plupart des lieux-dits y sont explicables par le gascon, par exemple Escoubas, la Batcrabère, las Téchénères, Portoteni, Tépérot, As Boussuts, le Bernissa, le Brana, le Castex, le Herrolèbe, le Tépé, les Péchédés, les Tachouères, Cantegraouille, la Hontette, le Couloumé, En Pérès, En Cago-rèdé, En Sahuquet, la Hount, la Lanne, le Tuco[26]...
Histoire
[modifier | modifier le code]Samatan a conservé peu de choses de son passé. C'est un ancien village castral, fief des comtes de Comminges, dont le château a totalement disparu. Jusqu'à la Révolution, Samatan fut une châtellenie du comté de Comminges.
Samatan a été ravagée par le Prince Noir en 1355 lors de la guerre de Cent Ans et les rescapés allèrent alors grossir la population de Lombez, distant d'à peine deux kilomètres et qui avait été épargnée par la chevauchée du Prince Noir car c'était un évêché, contrairement à Samatan, ville commerçante.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de dix neuf[27],[28].
Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Commune faisant partie de l'arrondissement d'Auch, de la Communauté de communes du Savès et du canton de Val de Save (avant le redécoupage départemental de 2014, Samatan était le chef lieu de l'ex-canton de Samatan).
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2021, la commune comptait 2 429 habitants[Note 5], en évolution de +2,19 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[35] | 1975[35] | 1982[35] | 1990[35] | 1999[35] | 2006[36] | 2009[37] | 2013[38] |
Rang de la commune dans le département | 11 | 12 | 11 | 13 | 12 | 11 | 11 | 11 |
Nombre de communes du département | 466 | 462 | 462 | 462 | 463 | 463 | 463 | 463 |
Enseignement
[modifier | modifier le code]La ville de Samatan dispose d'un groupe scolaire (toutes classes maternelles et élémentaires), d'un collège (François de Belleforest) et d'un lycée professionnel : le lycée Clément Ader.
Elle dispose également d'une médiathèque [1]
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Marchés
- Marché au foie gras : les lundis matin d'octobre à avril ;
- Marché de volailles vivantes : tous les lundis matin ;
- Foire au matériel agricole le troisième week-end de mars.
- Festivités
- Vide-grenier le troisième week-end de mars ;
- La Semaine verte : semaine d'animations, expositions, projections et conférences - débats, autour de l'environnement et de la ruralité. troisième semaine de mars ;
- soirées gourmandes : 2 soirées en juillet et 2 soirées en août avec repas de rue proposés par les producteurs locaux, animations musicales, etc. ;
- festival de théâtre la troisième semaine de juillet : théâtre de rue, spectacles, stages , etc. ;
- Sam'Africa : festival de musique africaine (musique, stages, expositions) qui se déroule le deuxième week-end de septembre ;
- Salon de l'automobile, en octobre ;
- Gasconh'a Table, salon, rencontres et démonstrations en gastronomie, le dernier week-end de novembre concours départemental des producteurs de foie gras, repas de galas , etc.
Santé
[modifier | modifier le code]La ville de Samatan, malgré son implantation rurale, dispose d'une véritable offre en matière de santé : plusieurs médecins généralistes (seuls ou en regroupements), une clinique de chirurgiens dentaires, un cabinet de radiologie, un laboratoire d'analyses, une clinique de kinésithérapie (dotée d'une piscine pour soins aquatiques), des ostéopathes, une naturopathe.
Sports
[modifier | modifier le code]Le , la ville accueillait le départ de la 15e étape du Tour de France 2012, qui eut pour arrivée la ville de Pau.
La ville est, avec sa voisine Lombez, le siège du Lombez-Samatan-Club de rugby, club amateur et surtout club formateur (l'école de rugby, du niveau mini-poussins au niveau juniors, possède l'un des plus importants effectifs du comité Armagnac-Bigorre).
L'équipe fanion du club a connu des heures de gloire (années 1970 et 80) en jouant, sans démériter, en championnat national contre des clubs de grandes villes : Racing Club de Toulon, Stade Toulousain, A.S. Béziers, R.C. Narbonne, C.A.Brive, Mont-de-Marsan, PUC, etc.
Pour la saison 2018-2019, l'équipe 1 seniors du club évolue en championnat de France de fédérale 2.
La ville dispose aussi d'un club de tennis (tournoi en juillet), d'une piscine récente, d'un club de pétanque doté d'un boulodrome couvert, d'un pas de tir à l'arc, d'un groupe de cyclotourisme et, toujours avec sa voisine Lombez, d'un club de Handball (équipes masculines et féminines).
Écologie et recyclage
[modifier | modifier le code]La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM)[39].
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 096 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 2 306 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 460 €[I 6] (20 820 € dans le département[I 7]). 49 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 7] (43,9 % dans le département).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 8] | 5,4 % | 5,6 % | 8,5 % |
Département[I 9] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 313 personnes, parmi lesquelles on compte 78,2 % d'actifs (69,6 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 21,8 % d'inactifs[Note 8],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 1 036 emplois en 2018, contre 1 027 en 2013 et 982 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 933, soit un indicateur de concentration d'emploi de 111 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53 %[I 12].
Sur ces 933 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 373 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 84,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 7,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]303 établissements[Note 9] sont implantés à Samatan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 15].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 303 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
28 | 9,2 % | (12,3 %) |
Construction | 42 | 13,9 % | (14,6 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
78 | 25,7 % | (27,7 %) |
Information et communication | 7 | 2,3 % | (1,8 %) |
Activités financières et d'assurance | 8 | 2,6 % | (3,5 %) |
Activités immobilières | 14 | 4,6 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
42 | 13,9 % | (14,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
54 | 17,8 % | (12,3 %) |
Autres activités de services | 30 | 9,9 % | (8,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,7 % du nombre total d'établissements de la commune (78 sur les 303 entreprises implantées à Samatan), contre 27,7 % au niveau départemental[I 16].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[40] :
- Samatandis, supermarchés (5 831 k€)
- ETS Chauche, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en grandes surfaces (400 m2 et plus) (2 050 k€)
- Reseau Motival, conseil pour les affaires et autres conseils de gestion (1 203 k€)
- Société Commerciale Construction Bâtiment Piscines - Sccobapi, commerce de gros (commerce interentreprises) de bois et de matériaux de construction (659 k€)
- Chaussures Bei, commerce de détail de la chaussure (546 k€)
La plus grande partie de la population active se livre à l’agriculture, céréales traditionnelles : blé, orge, maïs, oléagineux ; élevage important : vaches, veaux, porcs, poules, dindes, canards et oies dont les confits et foies gras sont aussi renommés.
L'activité est aussi tournée sur le tourisme vert. Samatan offre une zone de loisirs de 17 hectares, aménagée en bordure d'un lac de 9 hectares possédant une plage de sable fin. Le plan d'eau est situé à la sortie de Samatan, sur la route de Lombez.
Samatan est la « capitale de l'or rose » dite aussi la « Mecque du foie gras ». En effet, du 1er octobre jusqu'à fin avril, se tient tous les lundis, le marché au gras. Plus qu'un marché, il s'agit en fait d'une foire, d'une fête bruyante et colorée. Les étalages se mesurent en kilomètres et les ventes de foie par tonnes (jusqu'à 3 tonnes).
C'est le plus important marché au foie gras du Gers voire de France[réf. nécessaire].
La foire suit toujours le même rituel : les producteurs se pressent aux portes des halles et attendent fébrilement 8 h, heure à laquelle on procède à l'installation des foies et du pesage. À 10 h, les portes s'ouvrent pour les acheteurs. À 11 h 45, ouverture du marché des oies et des canards pleins (avec leur foies). Toutes ces transactions donnent lieu à des accords de vente et des marchandages obéissant à des lois de marché particulières.
Il existe d'autres marchés au gras importants dans le Gers : à Seissan, le vendredi matin avec les mêmes horaires ; à Gimont, le dimanche matin de novembre à avril à partir de 10 h.
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du département du Gers, un quart de sa superficie, et correspondant au pied de lʼéventail gascon[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 97 | 59 | 55 | 39 |
SAU[Note 12] (ha) | 2 902 | 3 079 | 3 351 | 2 761 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 97 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 59 en 2000 puis à 55 en 2010[43] et enfin à 39 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 60 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[44],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 902 ha en 1988 à 2 761 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 30 à 71 ha[43].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Jean-Baptiste de style néo-gothique dans laquelle se trouvent les fresques de 1925 du peintre toulousain Galey représentant la vie de sainte Germaine de Pibrac. Plusieurs objets (buste-reliquaires, tableaux) sont référencer dans la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine[45].
- Chapelle de la maison de retraite de Samatan.
- La place principale est située devant l'hôtel de ville et comprend une fontaine en brique (inscrite à l'inventaire des monuments historiques du Gers) ornée de terres cuites, datant de 1850.
- Le Pradel, belle demeure gasconne du XVe siècle, maison natale de François de Belleforest.
- Le château de Latour est situé à 3 km au nord - nord-est de Samatan par la D 632.
La tradition attribue à un membre de la famille Pellegrin, gouverneur de Samatan,la reconstruction du château dans les années 1697. Acquis par la famille Belloc, membres du parlement de Toulouse, il fut alors transformé dans le gout du style Louis XVI.
L'esplanade est précédée par deux pigeonniers jumeaux de type gascon, c'est-à-dire de plan carré sur des arcades, couronné par un toit pyramidal à quatre pentes égales avec des tuiles plates à forte déclivité dont le couronnement se compose d'épis en céramique. Les lucarnes d'envol sont orientées vers l'est et le sud, c'est-à-dire non exposées aux actions des vents et tournées vers le maximum d'ensoleillement. Elles sont pourvues d'ouvertures rondes de 10 à 12 centimètres de diamètre afin d'éviter l'accès aux oiseaux de proie. Les corniches en saillie font un barrage aux rongeurs.
La cour d'honneur du château est encadrée de deux ailes parallèles en rez-de-chaussée en équerre, postérieures au corps de logis aux extrémités duquel elles viennent se greffer. Celui-ci est double, à étage et attique. Il est flanqué de tourelles.
Au sud-est du bâtiment, les communs s'élèvent autour d'une cour en forme de U.
L'ensemble des constructions est en grandes briques, avec des élévations ponctuées de pilastres doriques, de corniches, de ressauts légers et, enfin, de larges baies. Les terres cuites sont de qualité. Les toitures sont très douces à tuiles creuses, la tuile plate à crochets n'apparait que dans la couverture des pavillons très aigus.
À l'intérieur du château, on peut admirer la grande cage d'escalier avec sa rampe en fer forgé réalisé par Bertin de Samatan en 1791 dans un style de transition entre le style rocaille et le style néo-classique. Les cheminées sont en stuc de style Louis XVI.
Belle chapelle à décor de pilastres ioniques et de panneaux en trompe-l'œil.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Bertrand de Chanac (?-1401) : recteur de l'église de Samatan au XIVe siècle ;
- François de Belleforest (1530-1583) : écrivain et traducteur né à Samatan ;
- Yves Duffaut (1932-) : joueur de rugby à XV né à Samatan ;
- Serge Marsolan (1945-) : joueur de rugby à XIII né à Samatan ;
- André Guerlin homme politique né à Samatan ;
- Pierre Galin musicien né à Samatan ;
- Louis Germain Duplan homme politique né à Samatan ;
- Marcel Dartigues Résistant né à Samatan.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Écartelé de gueules à quatre otelles d'argent posées en sautoir, et du premier à trois sceptres fleurdelisés d'or posés en pal et rangés en fasce, au chef cousu de France[48].
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | Écartelé d'or à trois pals de gueules et de gueules à quatre otelles d'argent posées en sautoir ; à l'écusson de France brochant sur le tout[46]. | |
Écartelé: aux 1er et 4e d'argent à quatre otelles de sinople appointées et posées en sautoir, aux 2e et 3e de gueules à trois sceptres fleurdelisés d'or, posés en pal et rangés en fasce; le tout sommé d'un chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'argent[47]. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)
- René Daubriac (maire de Samatan), Samatan, d’hier à aujourd’hui[Quand ?]
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Samatan (Site officiel)
- Samatan sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les digues de protection intéressant la sécurité publique sont des ouvrages répondant à au moins un des critères suivants : des pertes en vies humaines déjà survenues dans le passé à la suite de leur rupture, la présence d‘une zone habitée à moins de 100 m de la digue ou dans les espaces d’écoulement préférentiel de ses déversoirs, une hauteur d’eau supérieure à 1 m prévue par l’atlas des zones inondables ou tout autre document hydraulique validé dans les zones habitées, une vitesse de courant supérieure à 1 m/s prévue par l’atlas des zones inondables ou tout autre document hydraulique validé dans les zones habitées.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Samatan » sur Géoportail (consulté le 12 décembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Samatan », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Samatan ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Samatan » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Samatan » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Samatan » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Samatan » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Samatan », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « la Save »
- Sandre, « l'Aussoue »
- Sandre, « la Lieuze »
- Sandre, « l'Espienne »
- Sandre, « l'Esquinson »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Samatan et Lahas », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lahas » (commune de Lahas) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lahas » (commune de Lahas) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Samatan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « bois de Campan et du château du Pradel » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Samatan », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Samatan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur gers.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de digue.
- « Lòcs / Lieux-dits gascons », sur gasconha.com (consulté le )
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Les maires de Samatan », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- Site de la préfecture - Fiche de Samatan
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les SICTOM du Gers - Trigone », sur trigone-gers.fr (consulté le ).
- « Entreprises à Samatan », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Samatan - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
- « Recherche - POP », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
- https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=6333
- Banque du blason.