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Sainte-Livrade-sur-Lot

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Sainte-Livrade-sur-Lot
Sainte-Livrade-sur-Lot
L'église de Sainte-Livrade-sur-Lot.
Blason de Sainte-Livrade-sur-Lot
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Villeneuvois
Maire
Mandat
Pierre-Jean Pudal
2020-2026
Code postal 47110
Code commune 47252
Démographie
Gentilé Saint-Livradais
Sainte-Livradaises
Population
municipale
6 496 hab. (2021 en évolution de +3,14 % par rapport à 2015)
Densité 210 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 56″ nord, 0° 35′ 25″ est
Altitude 50 m
Min. 37 m
Max. 194 m
Superficie 30,94 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Villeneuve-sur-Lot
(banlieue)
Aire d'attraction Villeneuve-sur-Lot
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Livradais
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Sainte-Livrade-sur-Lot
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Sainte-Livrade-sur-Lot
Liens
Site web Site de la mairie

Sainte-Livrade-sur-Lot (en occitan : Senta Liurada d'Òlt) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

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Localisation

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Bastide de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot située dans la large vallée du Lot (à une trentaine de kilomètres de son confluent avec la Garonne), sur la D 811 (ex-route nationale 111) et RD 667 (ex-route nationale 667) au cœur du pays du pruneau d'Agen, à une dizaine de kilomètres de Villeneuve-sur-Lot et dans l'ancienne province de Guyenne.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Casseneuil, Allez-et-Cazeneuve, Bias, Dolmayrac, Pinel-Hauterive, Saint-Étienne-de-Fougères et Le Temple-sur-Lot.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 801 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1989 à 2015 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records SAINTE-LIVRADE-SUR-LOT (47) - alt : 49 m 44° 25′ 48″ N, 0° 36′ 48″ E
Statistiques établies sur la période 1989-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1989 au 11-11-2015
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,1 2,3 4,5 6,6 10,6 13,6 15,2 15,2 11,7 9,4 5,2 2,6 8,3
Température moyenne (°C) 6 7,3 10,2 12,3 16,7 19,9 21,8 22 18,2 14,7 9,3 6,4 13,8
Température maximale moyenne (°C) 10 12,2 16 18 22,8 26,1 28,5 28,7 24,8 19,9 13,5 10,1 19,3
Record de froid (°C)
date du record
−9,1
13.01.03
−13
09.02.12
−9,7
01.03.05
−3,4
22.04.1991
0,8
06.05.02
4
01.06.06
7,5
04.07.1990
6,2
29.08.1998
1,4
25.09.02
−4,5
25.10.03
−9
17.11.07
−11,2
25.12.01
−13
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,9
02.01.03
24,6
15.02.1998
27,1
20.03.05
30,7
30.04.05
34,7
30.05.01
39,7
25.06.01
40,2
21.07.1990
41,6
04.08.03
37
03.09.05
32,1
04.10.04
25,6
07.11.15
20,1
15.12.1989
41,6
2003
Ensoleillement (h) 78 119,5 167,7 190,9 213,9 259 268,9 239,6 214,2 136,8 83,7 75 2 047,2
Précipitations (mm) 58,3 48,2 49,5 75,6 68,6 60,8 59,3 60 63,5 68,5 80,4 64,9 757,6
Source : « Fiche 47252002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Au , Sainte-Livrade-sur-Lot est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant treize communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[11]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (46 %), cultures permanentes (27,5 %), zones urbanisées (12,3 %), terres arables (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), prairies (3,1 %), eaux continentales[Note 7] (2,5 %), forêts (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Sainte-Livrade-sur-Lot est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot et le Ruisseau du Pic. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2006, 2009, 2018 et 2021[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[18]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Livrade-sur-Lot.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2003, 2005, 2009, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2009[15].

Risque technologique

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La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].

Sainte livrade à droite sur le tableau de Carpaccio.

Le territoire actuel de la commune a été occupé par l'homme dès la plus haute Antiquité et plus particulièrement depuis le premier âge du fer.[Passage contradictoire] Les origines du village de Sainte-Livrade d'Olt remontent à la période gallo-romaine et il fut érigé en bastide en l'an 1289.

La dénomination occitane Santa Liurada disparut, après avec la conquête de l'Occitanie par la croisade des albigeois[réf. nécessaire], par l'application de l'édit de 1539 qui imposa le français ; ainsi Santa Liurada devint Sainte-Livrade-d'Agenais ou Sainte-Livrade. En , pour différencier de deux ou trois autres hameaux et villages de Haute-Garonne et Tarn-et-Garonne portant aussi le nom de Sainte-Livrade, le gouvernement français imposa la dénomination de Sainte-Livrade-sur-Lot.

Sainte-Livrade est devenue une ville multiculturelle étant la terre d'accueil de nombreux :

La ville est le berceau du pruneau d'Agen (comme son nom ne l'indique pas)[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires depuis 1965
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1965 mars 2001 Charles de Cacqueray Rad. puis UDF Conseiller général (1963-1998)
Conseiller régional (1986-1998)
Premier vice-président du conseil général de Lot-et-Garonne
Vice-président du conseil régional d'Aquitaine
mars 2001 mars 2008 Gérard Zuttion DVD puis UMP Secrétaire général de mairie
mars 2008 mars 2014 Claire Pasut[25] PS Fonctionnaire
Conseillère générale (1998-2015)
Vice-présidente du conseil général de Lot-et-Garonne[26]
mars 2014
(réélu en mai 2020[27])
En cours Pierre-Jean Pudal LR Médecin
Conseiller départemental (2015-2016)

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 6 496 habitants[Note 10], en évolution de +3,14 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 6272 5662 7502 8753 1433 0873 2093 1112 993
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 0583 0182 9022 8642 8182 7492 7622 6442 565
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 6122 6712 6802 4492 5982 7802 8923 4743 624
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
5 2895 9265 7875 7855 9385 8656 1186 1426 074
2017 2021 - - - - - - -
6 4596 496-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'agriculture et notamment l'arboriculture sont très présentes dans le secteur de Sainte-Livrade. L'industrie agro-alimentaire (à préciser) représente une part importante de l'activité industrielle.

Rugby à XV
Football
  • Association Sportive Livradaise (ASL)

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Sainte-Livrade-sur-Lot Blason
D’azur à Sainte Livrade auréolée d’or tenant dans sa dextre une palme du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot comprend une ville-centre et douze communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 47252002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Villeneuve-sur-Lot », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Sainte-Livrade-sur-Lot ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sainte-Livrade-sur-Lot », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sainte-Livrade-sur-Lot », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. Article R214-112 du code de l’environnement
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  24. Catherine Rollot, « Indochine-sur-Lot », Le Monde magazine, no 83, 16 avril 2011, p. 26-29
  25. Claire Pasut, élue en mars 2008 face à la candidate UMP Marthe Geoffroy avec plus de 58 % des voix, est la première femme élue maire de la ville. C'est également le premier maire de gauche depuis la Révolution.
  26. http://www.adm47.asso.fr/annuaire.php?fiche=396&type=0
  27. Christelle Creton, « Pierre-Jean Pudal réélu », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 18.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Église Sainte-Livrade », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  33. rapatries-vietnam.org
  34. « Camp du Moulin du Lot », notice no PA47000081, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Inventaire général : Camp d'accueil du Moulin du Lot », notice no IA47002705, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Ville de Sainte-Livrade ».
  37. « Référence Palissy IM47003627 ».
  38. Les Verts de Sèvres : Hommage à Alphonse LOUBAT
  39. senat.fr
  40. gallimard.fr