Rainans
Rainans | |||||
Église Saint-Antoine | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Jura | ||||
Arrondissement | Dole | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Dole | ||||
Maire Mandat |
Pascal Sancey 2020-2026 |
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Code postal | 39290 | ||||
Code commune | 39449 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Rainantais | ||||
Population municipale |
260 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 09′ 23″ nord, 5° 28′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 199 m Max. 310 m |
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Superficie | 3,67 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Dole (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Authume | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Jura
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Rainans est une commune française située dans le département du Jura, dans la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.
Label "Villes et Villages Fleuris" (3 fleurs).
Géographie
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]- Les Brues
- Le Buoton
- Le Remondans
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bourgogne, vallée de la Saône » et « Jura »[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 984 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dole », sur la commune de Dole à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 023,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Rainans est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dole, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 87 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49 %), forêts (25,7 %), prairies (13,3 %), zones urbanisées (7,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Économie ancienne
[modifier | modifier le code]- Viticulture du XIIIe au XXe siècle
- Les carrières furent exploitées vers 1900 par la famille Guenne.
- Café Gey ou café du Centre (avec débit de tabac) au pied de La Chaux. Café tenu par la famille Gey dans la première moitié du XXe siècle. Au XXI La salle principale du café est devenue un lieu d'animation culturel "le café décintré"
Histoire
[modifier | modifier le code]Commune viticole du XIIIe au début du XXe siècle.
- 1263 : première mention du nom du village.
- 1767 : la seigneurie de Rainans est achetée par Marie-Augustin de Toytot(1712-1805), écuyer, docteur en droit, avocat, subdélégué de l'Intendant de Franche-Comté, conseiller au Parlement de Besançon à Charlotte de Champagné, veuve de François Potier par devant Me Jean-Baptiste Rabusson, notaire royal à Dole de 1755 à 1791.
- 1836 : réalisation du cadastre.
- 1866 : érection du clocher de l'église.
- 1900 : refonte de la cloche fêlée, par Ferdinand Farnier, fondeur à Robécourt (Vosges).
- 16 février 1901 : dissolution de la subdivision de sapeurs-pompiers.
- 1901-1933 : Gare de Rainans sur la ligne des Chemins de fer vicinaux de Haute-Saône (section Pesmes-Dole). Elle était sise Aux Brues. Démolition : 1949.
- 1903 : installation d'un poids public.
- 1921 : érection du Monument aux Morts.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Sources : La rainette (Bulletin municipal) de juillet 2009 et état civil.
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[15].
En 2021, la commune comptait 260 habitants[Note 3], en évolution de −0,76 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bourgogne, vallée de la Saône » et « Jura »[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 984 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dole », sur la commune de Dole à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 023,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24 °C, atteinte le [Note 4],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Rainans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dole, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 87 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49 %), forêts (25,7 %), prairies (13,3 %), zones urbanisées (7,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].
Économie
[modifier | modifier le code]La fête des Plantes, un marché annuel aux plantes créé en 1996 a lieu chaque premier dimanche d'avril.
Depuis décembre 2021, la commune de Rainans organise chaque deuxième du mois un marché de producteurs et d’artisans locaux.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L’Église Saint-Antoine a été construite en 1850 aux frais des habitants (15 000 francs). Le clocher a été élevé en 1866 par Roger Gabriel de Toytot, sous la direction de M. Jacquemart, architecte à Dole, et grâce aux deniers de Guy-François-Hubert de Toytot et de sa femme née Wilhelmine Broch d'Hôtelans. L'église se compose d'une tribune, d'une nef, d'un chœur et d'une sacristie.
Objets classés Monument Historique : un reliquaire en argent du XVIe siècle, une statue de saint Antoine en bois polychrome du XVIIe siècle et deux tableaux et leurs cadres (art populaire du XVIIIe siècle) représentant saint Antoine et saint Vernier.
- Croix du XVIe siècle.
- Oratoire dédié à Notre-Dame.
- Chapelle Pierre-Pfister (monument privé construit en 1946) avec ses fenêtres à meneaux du XVIe provenant du château de Chevigny. Reproduction de l'art des catacombes romaines (fresques).
- Fontaines
- Source et lavoir du Buoton.
- Ruisseaux : Les Brues, Le Buoton et Le Remondans
- La Mare
- Monument aux Morts érigé en 1921. Il comporte 15 noms : 1 du conflit de 1870-1871 et 14 de 1914-1918.
- Jardin de la collection Annabelle (label Jardin Remarquable et refuge LPO): collection d'hortensias et hydrangea (agréée CCVS).
-
La fontaine rue de l'église.
-
Le lavoir du Buoton.
Voies
[modifier | modifier le code]14 Odonymes recensés à Rainans | ||||||||||||
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Allée | Avenue | Boulevard | Chemin | Impasse | Montée | Passage | Place | Route | Rue | Ruelle | Autres | Total |
0 | 0 | 0 | 2 | 0 | 0 | 0 | 1 | 0 | 10 | 1 | 0 | 14 |
Sources : [1] |
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean Nicolas Dalloz [Saint-Claude (Jura) 17/04/1761 - 25/02/1846 Rainans]: Prêtre, professeur d'humanités au collège de Mâcon, puis professeur de philosophie au collège de Saint-Claude, professeur de physique expérimentale et de chimie à l'école centrale du Jura - Secrétaire de la Société d'Agriculture de Dole (rédaction des mémoires) - Maire de Rainans et membre du conseil d'arrondissement de Dole. Ce savant œnologue et agronome a écrit un ouvrage sur l'art de la vinification vers 1820 et a perfectionné le pressoir ainsi que les instruments aratoires usités dans le pays. On lui doit une machine portative à battre le grain (mise en mouvement par un cheval), un appareil pour économiser le combustible dans les poêles de fonte ou de faïence... Il fait réaliser le cadastre communal en 1836 et fait construire à ses frais une maison d'école en 1849[19].
- Guy François Hubert de Toytot de Rainans [Gissey-le-Vieil (Côte d'Or) 1789 - 1872 Rainans]: capitaine-commandant au 2e Régiment de Carabiniers de Monsieur. Période : 1805-1825. Campagnes de l'Empire napoléonien : Prusse et Pologne (1806-1807), Autriche (1809), Russie (1812), Saxe (1813) et France (1814). Décorations octroyées : chevalier de Saint-Louis, chevalier de la Légion d'Honneur et médaille de Sainte-Hélène. Distingué à la bataille de Friedland (1807). Propriétaire du "Château de Rainans" (actuellement la SOGERIM).
- Roger Gabriel de Toytot (château de Rainans 16/09/1832-15/04/1906 Dole): comte, conseiller général du Jura, maire de Rainans (24 ans), vice-président du syndicat agricole pour l'arrondissement de Dole et président du Comité légitimiste de Franche-Comté jusqu’en 1883. Riche propriétaire, il fut l’auteur de plusieurs ouvrages sur le vignoble, l’élevage et le droit social. Une rue de la commune porte son nom.
- Pierre Pfister (Besançon 1895 - 1963 Rome) : Prêtre (ordonné en 1924) devenu chanoine français de Saint-Jean-de-Latran (nommé le 13 décembre 1947). Il fut professeur et Directeur au Grand Séminaire de Besançon de 1929 à 1946, professeur d'art sacré à Rome et Camérier Secret Surnuméraire du pape Pie XI en 1936. Mgr. Pfister a écrit : Les catacombes et les premiers chrétiens (éditions SPES, Paris, 1943) - Notre-Dame de Jouhe (imprimerie Delcey, Dole, 1947) - Pages de Rome immortelle (éditions Arthaud, 1954). Amateur de peinture et passionné d'archéologie chrétienne, il a réalisé les fresques du chœur de l’église de Rainans de 1919 à 1923. Monseigneur passait régulièrement ses vacances à Rainans où il fit construire une chapelle dans la maison familiale maternelle, dite maison Gauthier (en face de l'église). Aussi, la "chapelle Saint-Pierre" fut bâtie en 1946 avec des pierres provenant du château de Chevigny.
- Joseph Thoret (Dole 1892 - 1971 Saint-Rémy-de-Provence) : pionnier de l'aviation. Il vécut une partie de son enfance dans sa maison paternelle (l'actuelle mairie) et fut élève à l'école communale de Rainans (instituteur : Ardiot).
- Renato Angelo Lorenzo Vercelli (Turin 05/10/1907 - 1988 Monaco) : Artiste peintre italien - paysagiste (bois, étangs...) et portraitiste. Il travailla et résida à Rainans dans les années 1950, 1960, 1970 et 1980. Fils de Giulio Romano et de Maria Frizone. Le 19 août 1952, Renato se marie en la maison commune à Germaine LANCE (Rainans 27/12/1911), sans profession, fille de Claude François, vigneron et de Jeanne Françoise Marguerite Gérard.
- Philippe Hartmann (1928-2014) : facteur d'orgue havrais, résidait à Rainans dans les années 1950, 1960 et 1970. Il a restauré à cette époque l'orgue de l'église Saint-Martin à Baume-les-Dames (Doubs), de 1960 à 1967, l'orgue de chœur de la collégiale Saint-Hippolyte à Poligny (Jura),en 1970 ,construit celui de la chapelle de Vaux-sur-Poligny (1963) et a reconstruit avec Jean Deloye, l'orgue Callinet de la Co-cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation de Bourg-en-Bresse entre 1976 et 1981. Il a fait aussi un orgue «de salon » pour le compositeur Olivier Bernard ,qui est maintenant au Conservatoire de Marseille.
- Dominique Lalmand : facteur d'orgue, réside à Rainans bien que son atelier soit à Dole. Il a restauré notamment le grand orgue de la collégiale Saint-Hippolyte à Poligny (Jura), en 1990.
- David Marcuz : ingénieur du son, musicien (guitariste - bassiste) et compositeur (De Si de La), installé à Rainans depuis 1984.
- VTM : Vraiment Très Méchants était un groupe de Rock punk (style : steak-rock saignant!) formé à Rainans, actif de 1996 à 2004.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Les records sont établis sur la période du au .
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Rainans et Dole », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Dole », sur la commune de Dole - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Dole », sur la commune de Dole - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Rainans ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dole », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Franck David rejoint l’UDI », Le Progrès, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Rousset A. Dictionnaire géographique, historique et statistique..., 1853-1858
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Marquiset A.: Statistique historique de l'arrondissement de Dole, Ch. Deis, Imp.-Lib., Besançon, 1842. Rousset A.: Dictionnaire géographique, historique et statistique..., 1853-1858.