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Maman, je suis vivant

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Maman, je suis vivant

Titre original Mama, ich lebe
Réalisation Konrad Wolf
Scénario Konrad Wolf
Wolfgang Kohlhaase
Acteurs principaux

Peter Prager (de)
Uwe Zerbe (de)

Sociétés de production Deutsche Film AG
Lenfilm
Sovinfilm
Pays de production Drapeau de l'Allemagne de l'Est Allemagne de l'Est
Drapeau de l'URSS Union soviétique
Genre Film de guerre romantique
Durée 103 minutes
Sortie 1976

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Maman, je suis vivant (Mama, ich lebe) est un film de guerre romantique soviéto-est-allemand réalisé par Konrad Wolf, sorti en 1976.

Dans un camp de prisonniers de guerre soviétique, les soldats allemands Becker, Pankonin, Koralewski et Kuschke choisissent de collaborer avec l'Armée rouge contre les troupes allemandes. Le major balto-soviétique Mauris accompagne les nouveaux camarades, qui portent désormais l'uniforme soviétique, vers le front.

Au cours de leur long voyage dans un train très confortable pour la guerre, les quatre hommes font connaissance des habitants et des conditions de vie du pays qu'ils ont autrefois combattu et réfléchissent à leur situation. Le spectateur découvre peu à peu l'histoire de chacun d'entre eux et peut suivre leur évolution intérieure.

Arrivés au front, seuls trois d'entre eux décident de s'engager dans la lutte armée contre leurs compatriotes. Mais au moment décisif, ils hésitent à tirer sur ces derniers, tuant ainsi leur camarade et ami soviétique Kolja.

Pendant ce temps, le quatrième d'entre eux, Pankonin, s'est vu confier la tâche d'écouter les messages radio allemands en compagnie de Svetlana, une militante de l'Armée rouge. Svetlana et lui tombent amoureux.

Finalement, trois d'entre eux, tirés au sort, sont déposés derrière les lignes ennemies pour une opération commando en uniforme allemand et meurent en tentant de revenir du côté soviétique. Parmi les morts se trouve l'amant de Svetlana, Pankonin.

Seul Becker a survécu. Dans le camp de prisonniers, il avait reçu d'un codétenu allemand un papier sur lequel figurait l'adresse de ce dernier et la phrase « Maman, je suis vivant ».

Fiche technique

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Distribution

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Notes et références

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  1. (de) « Mama, ich lebe », sur defa-stiftung.de (consulté le )
  2. Bernard Eisenschitz, « Valse avec la censure », sur monde-diplomatique.fr,

Liens externes

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