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Loïc Hennekinne

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Loïc Hennekinne
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Fonctions
Ambassadeur de France en Italie
-
Jacques Blot (d)
Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères
-
Ambassadeur de France au Canada
-
Alfred Siefer-Gaillardin (d)
Denis Bauchard (d)
Inspecteur général des Affaires étrangères
-
Daniel Contenay (d)
Ambassadeur de France au Japon
-
Ambassadeur de France en Indonésie
-
Jean Soulier (d)
Patrick O'Cornesse (d)
Biographie
Naissance
Décès
Nationalité
Formation
Activité
Enfant
Alexandre Hennekinne (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Distinctions

Loïc Hennekinne, né le à Caudéran (Gironde) et mort le à Paris[1],[2], est un haut fonctionnaire français.

Il étudie à l'Institut d'études politiques de Paris et à l'École nationale d'administration. En 1962, il est placé en garde à vue après avoir participé à une réunion de Patrie et Progrès[3].

Il est conseiller du ministère des Affaires étrangères Roland Dumas de 1988 à 1989, puis conseiller diplomatique du président de la République François Mitterrand de 1989 à 1991.

Il est ambassadeur de France en Indonésie de 1986 à 1988, au Japon de 1991 à 1993, au Canada de 1997 à 1998 et en Italie de 2002 à 2005. Il est inspecteur général des affaires étrangères de 1993 à 1996 et secrétaire général du ministère des Affaires étrangères de décembre 1998 à juillet 2002[4]. En 1999, il se voit conférer la dignité d'ambassadeur de France.

Après la fin de sa carrière diplomatique, il participe aux activités de la Fondation Res Publica créée par Jean-Pierre Chevènement, et siège à son conseil scientifique. En 2017, il conseille le candidat à la primaire citoyenne en vue de l'élection présidentielle de 2017 Arnaud Montebourg sur les questions de politique étrangère[5].

Décorations

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Notes et références

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  1. [1]
  2. [2]
  3. Le Monde, « Six élèves de l'Institut d'études politiques de Paris gardés à vue », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  4. Loïc Hennekinne, Les Échos, le 4 juin 1998.
  5. Intégré dans l'équipe de Montebourg à son insu, Guy Bedos finit par accepter, Le Figaro, le 2 janvier 2017.

Liens externes

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