Larribar-Sorhapuru
Larribar-Sorhapuru | |||||
Paysage dans les environs du village de Larribar. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays basque | ||||
Maire Mandat |
Daniel Heuguerot 2020-2026 |
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Code postal | 64120 | ||||
Code commune | 64319 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Larribartar | ||||
Population municipale |
183 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 17′ 36″ nord, 1° 00′ 47″ ouest | ||||
Altitude | Min. 54 m Max. 245 m |
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Superficie | 10,65 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Palais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Larribar-Sorhapuru est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-aquitaine.
Le gentilé est Larribartar[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Larribar-Sorhapuru se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 91 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 62 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 6,4 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Uhart-Mixe (1,6 km), Lohitzun-Oyhercq (3,5 km), Béhasque-Lapiste (3,5 km), Orsanco (4,1 km), Saint-Palais (4,2 km), Arhansus (4,3 km), Aïcirits-Camou-Suhast (4,9 km), Domezain-Berraute (5,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Larribar-Sorhapuru fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Béhasque-Lapiste, Domezain-Berraute, Lohitzun-Oyhercq, Saint-Palais et Uhart-Mixe.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par la Bidouze, Ispatchoury erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[12],[Carte 1].
La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Guiche, après avoir traversé 26 communes[13].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 383 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 5 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[23],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[25].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Larribar-Sorhapuru est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle est située hors unité urbaine[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[27],[28].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49 %), zones agricoles hétérogènes (34,6 %), forêts (16,4 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
[modifier | modifier le code]Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Larribar-Sorhapuru est desservie par les routes départementales D 242 et D 933.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Larribar-Sorhapuru est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Izpaxuriko erreka et la Bidouze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1990, 2009 et 2014[32],[30].
Larribar-Sorhapuru est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[33]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[34],[35].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[36]. 98,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[37].
Toponymie
[modifier | modifier le code]- Mentions anciennes
Le toponyme Larribar apparaît sous les formes Sancta Maria de Larreivare (1160[38]), Larrayvat (1304[38]), Larrayvar (1309 et 1350[38]), Larraybar (1413[38]), Nostre-Done de Larribar (1472[39], notaires de Labastide-Villefranche[40]) et Larriba (1513[39], titres de Pampelune[41]).
Le toponyme Sorhapuru apparaît sous les formes Sanctus-Martinus de Sorhapuru (XIIe siècle[39], collection Duchesne volume CXIV[42]), Soharpuru in Mixia et Soarpuru (XIIe siècle[39] pour ces deux formes, cartulaire de Sorde[43]), Soarpuru et Sorhapuru (1150[38]), Sorhaburu (1304[38]), Sorhapure (1472[39], notaires de Labastide-Villefranche[40]), Sorhaburu (1665[39], règlement des États de Navarre[44]) et Sorhapura (1801[45], Bulletin des lois).
Jean-Baptiste Orpustan[38] indique que Larribar signifie « val de lande » et Sorhapuru « limite des terres (cultivées) ».
- Graphie basque
Son nom basque actuel est Larribarre-Sorhapürü[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]La commune a été créée le [46] par la réunion des communes de Larribar et de Sorhapuru.
Sorhapuru était sous l´obédience de la famille d´Uhart dont les membres étaient barons de Sorhapuru. La famille d´Uhart était localement puissante et alliée à Florence de Belsunce () qui avait épousé en premières noces Bertrand d´Harambure (Aramburu) puissante famille locale installée à Lantabat non loin de là. Bertrand d´Harambure fit l´acquisition de la seigneurie de Picassary par le biais de son frère Gratian d´Harambure seigneur d´Elizeche le (1)(2). Le vendeur était Roger de Cheraute (3). Un peu plus tard il achètera encore le la dîme d´Olhaby de la famille Gramont. Florence de Belsunce et Bertrand d´Harambure seront les parents de Jean d'Harambure dit « le Borgne ».
(1) Au plaisir de se battre. p 45 et 46
(2) Mauléon Procuration à Bertrand de Sohescun conseiller du roi de Navarre
(3) Contrat du notaire Arnaud de Genssane notaire royal
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune appartient à six structures intercommunales[47] :
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le syndicat AEP du pays de Mixe ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat de regroupement pédagogique intercommunal Ispachoury ;
- le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.
Larribar-Sorhapuru accueille le siège du syndicat de regroupement pédagogique intercommunal Ispachoury.
Population et société
[modifier | modifier le code]En 1350, 12 feux sont signalés à Larribar[48].
Le recensement[49] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[50] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[51], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Larribar la présence de 9 feux, le second de 19 feux.
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[52] dénombre 42 feux à Larribar.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[54].
En 2021, la commune comptait 183 habitants[Note 8], en évolution de −4,69 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une école élémentaire publique. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[57].
Économie
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]L’église Saint-Martin de Sorhapuru recèle une statue en bois[58], représentant saint Martin, et datant du XVIe siècle.
Larribar possède également une église, l’église de l'Assomption.
Équipements
[modifier | modifier le code]Éducation
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une école élémentaire.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Larribar-Sorhapuru » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Larribar-Sorhapuru », sur geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Larribar-Sorhapuru », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- - Académie de la langue basque
- Insee, « Métadonnées de la commune de Larribar-Sorhapuru ».
- Stephan Georg, « Distance entre Larribar-Sorhapuru et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Larribar-Sorhapuru et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Larribar-Sorhapuru et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Larribar-Sorhapuru », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Larribar-Sorhapuru », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « la Bidouze ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Larribar-Sorhapuru et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station Météo-France « Aicirits » (commune d'Aïcirits-Camou-Suhast) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Larribar-Sorhapuru », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque, Presses universitaires de Bordeaux 2006 (ISBN 2 86781 396 4).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
- Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sorhapuru », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- Ordonnance du 12 mai 1841 (Bulletin des lois de la République française).
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze : Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 978-2-909262-05-5 et 2-909262-05-7), page 77
- Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
- Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
- Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
- Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1%5bcommune%5d=96&tx_ecoles_pi1%5bcdc%5d=0&tx_ecoles_pi1%5bprovince%5d=0&tx_ecoles_pi1%5bcategory%5d=16&tx_ecoles_pi1%5btype%5d=0&tx_ecoles_pi1%5beducation_mode%5d=0&tx_ecoles_pi1%5bsubmit%5d=Rechercher&id=183&L=0.
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la statue de saint Martin
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :