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La Roche-sur-Grane

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La Roche-sur-Grane
La Roche-sur-Grane
Le village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Drôme
Maire
Mandat
Christian Bonnet
2020-2026
Code postal 26400
Code commune 26277
Démographie
Gentilé Rochois
Population
municipale
181 hab. (2021 en évolution de +4,02 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 41′ 00″ nord, 4° 56′ 28″ est
Altitude Min. 198 m
Max. 497 m
Superficie 12,23 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Crest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crest
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Roche-sur-Grane
Géolocalisation sur la carte : France
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La Roche-sur-Grane
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La Roche-sur-Grane

La Roche-sur-Grane est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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La Roche-sur-Grane est située à 12 km au sud-ouest de Crest (chef-lieu du canton), à 17 km au sud-est de Loriol et à 26 km au nord-est de Montélimar.

Relief et géologie

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Sites particuliers :

  • Le pont culminant est la colline du Fayn (497 m), située en limite sud-est de la commune.
  • Col de Deves (panorama)[1].
  • Col de Tartaiguilles (panorama)[1].

Hydrographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Alpes du sud »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 929 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 4,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Puy-Saint-Martin », sur la commune de Puy-Saint-Martin à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 923,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports

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La commune dispose d'un héliport[8]. Son territoire est traversé par la LGV Sud-Est.

Au , La Roche-sur-Grane est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Crest, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (53,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,4 %), zones agricoles hétérogènes (34,3 %), prairies (13,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Village perché[1].

Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carte IGN)[8] :

  • Albrand
  • Baret
  • Benoît
  • Blanc
  • Boiffis
  • Brunel
  • Maison Girardon
  • Chaix
  • Chaix
  • Chapelle Saint-Bonnet
  • Courbière
  • Darlande
  • Dupont
  • Gronlier
  • Issartel
  • la Seauve
  • le Berger
  • le Bompart
  • le Chanchaneau
  • le Mouras
  • le Platet
  • le Rang
  • les Amanins
  • les Buis
  • les Charous
  • les Jouves
  • les Plantiers
  • les Brésillons
  • les Chirouzes
  • les Fayes
  • les Micouleaux
  • les Rouins
  • les Treilayes
  • le Terron
  • Maraude
  • Mestron
  • Pelette
  • Pourtier
  • Saint-Étienne
  • Teissier
  • Veyrier

Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

  • les Amanins est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé herme des Amanens en 1760 (Royanné, notaire à Crest)[14].

Projets d'aménagement

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Risques naturels et technologiques

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • 1279 : Ruppis prope Granam (inventaire de la chambre des comptes).
  • 1332 : Rocha prope Granam (Gall. christ., XVI, 130).
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : ecclesia de Ruppe (pouillé de Valence).
  • 1391 : Roche emprès Grane (choix de documents, 214).
  • 1395 : castrum Ruppis supra Granam (archives municipales de Grane).
  • 1498 : castrum de Ruppe Valentinis (Homm. de Clérieu).
  • 1549 : mention de l'église Saint-Jacques et Saint-Christophe : ecclesia Sancti Jacobi prope Granam (rôle de décimes).
  • 1555 : La Roche dessus Grâne (Homm. de Clérieu).
  • 1891 : La Roche-sur-Grâne, commune du canton de Crest-Sud.

(non daté)[réf. nécessaire] : La Roche-sur-Grane.

Étymologie

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Du Moyen Âge à la Révolution

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La seigneurie[15] :

  • Au point de vue féodal, La Roche-sur-Grane était une terre du patrimoine des comtes de Valentinois.
  • 1289 : elle est donnée aux Baix en échange de la terre de ce dernier nom.
  • 1381 : passe (par mariage) aux (du) Puy de Rochefort (ou Dupuy-Rochefort).
  • 1628 : passe aux Beaumont, derniers seigneurs.

Avant 1790, La Roche-sur-Grane était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation et sénéchaussée de Crest.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence, dont l'église, dédiée à saint Jacques et saint Christophe, dépendait du prieuré de Grane, dont le titulaire avait la collation de la cure et les dîmes de cette paroisse[15].

De la Révolution à nos jours

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En 1790, la commune est comprise dans le canton de Chabrillan. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Crest-Sud[15].

Politique et administration

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Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1978 ?    
1978
(élection ?)
1983 Christian Bonnet    
1983 1989 Christian Bonnet   maire sortant
1989 1995 Christian Bonnet   maire sortant
1995 2001 Christian Bonnet   maire sortant
2001 2008 Christian Bonnet   maire sortant
2008 2014 Christian Bonnet   maire sortant
2014 2020 Christian Bonnet   maire sortant
2020 En cours
(au 26 février 2021)
Christian Bonnet[16][source insuffisante],[17]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux

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La commune est intégrée à la communauté de communes du Val de Drôme.

Politique environnementale

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La commune dispose d'une station de traitement des eaux[8].

Finances locales

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

En 2021, la commune comptait 181 habitants[Note 2], en évolution de +4,02 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
301273325394362333336356337
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
329312314272245240213206198
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
210210202171177169171162127
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
119105113118137121150168174
2021 - - - - - - - -
181--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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La commune relève de l'académie de Grenoble.

Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête : le dernier dimanche de juillet[1].

Le territoire de la commune se situe dans l'aire de diffusion de plusieurs médias :

  • Presse écrite
    • Le Dauphiné libéré, quotidien régional qui consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de « Romans et Drôme des collines » un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
    • L'Agriculture Drômoise, journal d'informations agricoles et rurales, couvre l'ensemble du département de la Drôme.
    • Drôme Hebdo (ancien Peuple Libre), hebdomadaire chrétien d'informations.
  • Presse audio-visuelle
    • France Bleu est une radio publique diffusée sur son territoire.

La communauté catholique de La Roche-sur-Grane fait partie de l'Unité Pastorale Crestois Diois[22].

Agriculture

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En 1992 : pâturages, lavande[1].

Revenus de la population et fiscalité

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine culturel

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  • Site agro-écologique les Amanins créé en 2004 par Michel Valentin et Pierre Rabhi. Le but (non lucratif) de ce centre et de l'association les Amanins est de travailler autour de trois axes (agriculture, éducation et construction). Son thème est « Quelle planète laisserons-nous à nos enfants, quels enfants laisserons-nous à la planète ? »[réf. nécessaire].

Patrimoine naturel

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  • La Colline du Fayn, point culminant de la commune, tire son nom d'un bouquet de hêtres issu d'un hêtre isolé qui a réussi à pousser sur un lieu qui ne lui était a priori pas favorable. Ces hêtres sont restés en place depuis plusieurs siècles. Ils ont servi de borne permanente à la limite de plusieurs communes (La Roche-sur-Grane, Roynac et La Répara-Auriples[23].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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La Roche-sur-Grane possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d e f g h i et j Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Roche-sur-Grane.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre La Roche-sur-Grane et Puy-Saint-Martin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Puy-Saint-Martin », sur la commune de Puy-Saint-Martin - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Puy-Saint-Martin », sur la commune de Puy-Saint-Martin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. a b et c « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Crest », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Les Amanins).
  15. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 313 (La Roche-sur-Grâne).
  16. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr (consulté le ).
  17. [1], Le Dauphiné Libéré
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. « Saint Marcel en Diois - Paroisse de l'Eglise catholique en Drôme », sur cef.fr via Internet Archive (consulté le ).
  23. F. Monteiller, « Enquêtes sur les arbres remarquables de la Drôme », Études drômoises, no 69,‎ , p. 53-55.