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La Neuville-au-Pont

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La Neuville-au-Pont
La Neuville-au-Pont
l'église au début du XXe siècle.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Châlons-en-Champagne
Intercommunalité Communauté de communes de l'Argonne Champenoise
Maire
Mandat
Franck Zentner
2020-2026
Code postal 51800
Code commune 51399
Démographie
Gentilé Neuvillois, Neuvilloises
Population
municipale
516 hab. (2021 en évolution de −6,69 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 28″ nord, 4° 51′ 31″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 182 m
Superficie 15,11 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Sainte-Menehould
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argonne Suippe et Vesle
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Neuville-au-Pont
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La Neuville-au-Pont
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La Neuville-au-Pont

La Neuville-au-Pont est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Géographie

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Localisation

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Communes limitrophes de La Neuville-au-Pont
Courtemont Vienne-la-Ville
Maffrécourt La Neuville-au-Pont Moiremont
Chaudefontaine

Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine du confluent de l'Oise (inclus) à l'embouchure » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aisne, la Bionne, le Fossé des Pauvres Champs et le ruisseau de Saint-Pierre[1],[Carte 1].

L'Aisne est un cours d'eau naturel navigable de 256 km de longueur, traversant les cinq départements Meuse, Marne, Ardennes, Aisne, Oise. Elle est un affluent de rive gauche de l'Oise, ce qui fait d'elle un sous-affluent de la Seine[2].

La Bionne, d'une longueur de 15 km, prend sa source dans la commune de Somme-Bionne et se jette dans l'Aisne à Vienne-la-Ville, après avoir traversé six communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de la Neuville-au-Pont[Note 1].

Deux plans d'eau complètent le réseau hydrographique : la fosse Perrette (0,1 ha) et le plan d'eau 1 de la commune de la Neuville-au-Pont (0,8 ha)[Carte 1],[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 881 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Argers », sur la commune d'Argers à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 739,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , La Neuville-au-Pont est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sainte-Menehould, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,8 %), prairies (20,3 %), forêts (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), zones urbanisées (3,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes « Villa Nova que appellatur Pons Sancte Mariæ » ; Nova Villa ad Pontem (1207) ; Villa de Ponte, Pons (1212) ; Villa ad Pontem (1229) ; Nova Villa ad Pontem (1250) ; Le Pont (1253) ; La Vilenueve au Pont (1267) ; La Villenueve au Pont (vers 1300) ; La Nueve-Ville au Pont (1322) ; La Neuville au Pont (1327) ; Li Pons (1343) ; La ville du Pont (1366) ; La Nuefville au Pont (1359) ; Le Pont (1389) ; La Neuve-Ville à Pont (fin du xve siècle) ; La Neufville-au-Pont (1554) ; La Neufville-aux-Ponts (1651) ; La Neufville (1687)[17] ; Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Pont-sur-Aisne[18].

A l'origine « Pont-Sainte-Marie » (Pons Sancte Mariæ), un pont sur l'Aisne, a pris insensiblement la dénomination de La Neuville-au-Pont ( Nova villa ad Pontem en 1207 ).

Le nom Neuville dérive du latin novavilla, ou « nouveau domaine ». C'est un toponyme très répandu désignant une ville nouvelle (« neuve ville »). De l'adjectif de la langue d'oïl neuve et ville « village »[19].

Histoire de la commune[20].

Le procès de la Forêt des Hauts Bâtis, le plus long litige et procès de l'Histoire de France. Les communes de la Neuville au Pont, Moiremont, Florent et Maffrécourt se lancèrent, dès le XVIIe siècle, dans une procédure qui n'aboutira que vers la fin du XIXe siècle[pourquoi ?][21].

À la fin de la Première Guerre mondiale, la partie nord-est du village est considérée comme détruite[22], et la commune a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [23]..

Contrairement à ce que beaucoup pensent, les habitants de la commune se nomment les "Macas" et non pas les "Neuvillois et Neuvilloises", pratiquant beaucoup la pêche par le passé ils portent ce nom patois désignant le chabot, petit poisson vivant dans l'Aisne et souvent caché sous les pierres.

Politique et administration

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Par décret du , l'arrondissement de Sainte-Menehould est supprimée et la commune est intégrée le à l'arrondissement de Châlons-en-Champagne[24].

Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve depuis 1940 dans l'arrondissement de Sainte-Menehould du département de la Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la quatrième circonscription de la Marne.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Sainte-Menehould[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton d'Argonne Suippe et Vesle.

Intercommunalité

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La commune, antérieurement membre de la communauté de communes de la Région de Sainte-Menehould, est membre, depuis le , de la communauté de communes de l'Argonne Champenoise (CCAC).

En effet, conformément au schéma départemental de coopération intercommunale de la Marne du [25], cette communauté de communes de l'Argonne Champenoise est issue de la fusion, au , de :

Les communes isolées de Cernay-en-Dormois, Les Charmontois, Herpont et Voilemont ont également rejoint l'Argonne Champenoise à sa création[26].

Liste des maires

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Liste de maires d'Ancien Régime
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1387   Perrot Bernart[27]    
1519   Jacquemin Crouet[28]    
1578   Nicolas Arnould[27]    
1593   Jean Jansson[27]    
1599   Philippe Hanchelin[27]    
1613   Jean Patizel[27]    
1617   Pierre HANCHELIN[27]    
1621   Jacques Colsenet[27]    
1650   François Bollet[27]   notaire royal
1652   Claude Bollet[27]   notaire royal
1653   François Bollet[27]   notaire royal
1656   Claude Bollet[27]   notaire royal
1661   Remy Cazin[27]    
1667   François Collin[27]    
1671   Estienne Carré[27]    
1672   Quentin Beautemps[27]    
1682   Remy Cazin[28]    
1689   Germain Jacquesson[27]    
1691   Germain Jacquesson[27]    
1705   Claude Charbonnier[27]    
1707   Claude Lignot[27]    
1723   Jean Buache l'ainé[27]    
1727   Remy Cazin[27]   notaire royal
1733   Jean Soudant[28]    
1737   Jean Buache[28]    
1739   Jean Buache[27]    
1744   Nicolas Rouyer[27]    
1745   Nicolas Rouyer[28]    
1747   Jean Arnould[27]    
1762   Buache[28]    
1780   Jean Arnould[28]    
1788   Jean Collin[27]    
Liste des maires successifs depuis la Révolution française
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1789   Jean-Louis Rouyer[27]    
1790   Charles Aumignon[28]    
1791 1792 Claude Jozellet[27]    
1792   Jean Buache[28]    
1795   Pierre Dieu[28]    
1800 an XII Bertrand Louis Darré[28]    
an XII 1812 Jean-François Godfroy[28]    
1812 1815 Pierre François Servais Darré[28]    
1815 1840 Jean Rouyer[28]    
1840 1852 Bernard Boucher[28]    
1852 1871 Charles Aumignon[28]    
1871 1878 Jean Simon[28]    
1878 1884 Frédéric Thiery[28]    
1887 1892 Jean-Baptiste Blot[28]    
1892 1906 Emile Letache[28]    
1906 1919 Gustave Artoise[28]    
1919 1929 Gustave Bourgeois[28]    
1929 1956 René Thomas[28]    
1956 1966 Fernand Troizier[28]    
1966 1976 Adolphe Marsan[28]    
1976 1989 Roger Boileau[28]    
1989 juillet 2020 Jean-Louis Mabire   Réélu pour le mandat 2014-2020[29],[30]
juillet 2020 En cours Franck Zentner[31]    

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 516 habitants[Note 4], en évolution de −6,69 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2101 3031 2891 3401 3601 3811 4381 4441 298
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2431 2121 2031 1261 1341 2531 1361 1161 010
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
885908870767753744741723657
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
646556547509578580588589555
2017 2021 - - - - - - -
546516-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Mairie, inaugurée le . L’un des architectes était Eugène Rouyer, enfant du pays.
  • Église.
  • Côte à Vignes. Au Ve siècle, Manehould, fille du comte qui administrait Château-sur-Aisne avait sur cette colline un petit ermitage. La tradition populaire rapporte qu'elle aurait fait jaillir une source en frappant le sol de sa quenouille.
  • Lavoirs.

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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  • Carte spéciale des régions dévastées : 35 SO, Verdun [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de la Neuville-au-Pont » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de la Neuville-au-Pont », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. Sandre, « l'Aisne »
  3. Sandre, « la Bionne »
  4. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre La Neuville-au-Pont et Argers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Argers », sur la commune d'Argers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Argers », sur la commune d'Argers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Neuville-au-Pont ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sainte-Menehould », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Auguste Longnon, Dictionnaire topographique de la Marne, Paris, (lire en ligne), p. 199.
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genéve, Droz, , p. 1426.
  20. Sur l’histoire de La Neuville-au-Pont, voir : Daniel HOCHEDEZ et Catherine SCHUSTER, « Deux visites estivales : La Neuville-au-Pont et Vienne-le-Château » ; revue Horizons d’Argonne ; no 92 ; 2015 ; publication du Centre d’études argonnais disponible en ligne : http://centretudargonnais.org/
  21. Sources: archives départementales de la Marne, Manuscrits d'époque collection privée
  22. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  23. Journal officiel du 3 octobre 1920, p. 14741.
  24. Décret no 2017-453 du 29 mars 2017 portant suppression de l'arrondissement de Sainte-Menehould (département de la Marne), publié au JORF du .
  25. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
  26. « Arrêté préfectoral du 3 mai 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes du canton de Ville-sur-Tourbe, de la Communauté de communes de la région de Givry- en-Argonne et de la Communauté de communes de la région de Sainte-Ménehould en y incluant les communes isolées de Cernay-en-Dormois, Les Charmontois, Herpont et Voilemont », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la préfecture de la Marne, no 5 bis,‎ , p. 16-24 (lire en ligne [PDF]).
  27. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z et aa Liste Complémentaire des maires de La Neuville-au-Pont, par Jérôme Zyta, 2018.
  28. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y et z Histoire de La Neuville-au-Pont, par Jean-Claude Leger, Ed. Dominique Gueniot, 2006, p30
  29. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Liste des maires au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008
  30. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
  31. « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. a et b Olivier Chapuis, A la mer comme au ciel: Beautemps-Beaupré & la naissance de l'hydrographie moderne, 1700-1850 : l'émergence de la précision en navigation et dans la cartographie marine, Presses Paris Sorbonne, (ISBN 978-2-84050-157-2, lire en ligne)
  36. Sur le séjour de Marc Bloch en Argonne, voir Daniel HOCHEDEZ, « Un historien au front : Marc Bloch en Argonne (1914-1916) » ; revue Horizons d'Argonne, no 89 ; juin 2012, p. 61 ; publication du Centre d'études argonnais ; http://www.centretudargonnais.org/