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Huisseau-sur-Cosson

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Huisseau-sur-Cosson
De haut en bas, de gauche à droite : Pont du bourg sur le Cosson ; Pont du bourg sur le Cosson ; Lavoir du bourg ; Eglise Saint Etienne ; Chapelle Saint-My ;
Moulin des Landes ; Château des Grotteaux.
Blason de Huisseau-sur-Cosson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Blois
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Chambord
Maire
Mandat
Joël Debuigne
2020-2026
Code postal 41350
Code commune 41104
Démographie
Gentilé Huissellois[1]
Population
municipale
2 308 hab. (2021 en évolution de +1,27 % par rapport à 2015)
Densité 101 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 35′ 36″ nord, 1° 27′ 13″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 97 m
Superficie 22,79 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Blois
(banlieue)
Aire d'attraction Blois
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chambord
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Huisseau-sur-Cosson
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Huisseau-sur-Cosson
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Huisseau-sur-Cosson
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Huisseau-sur-Cosson
Liens
Site web http://www.huisseausurcosson.fr

Huisseau-sur-Cosson est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Localisation

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Huisseau-sur-Cosson est située dans le Val de Loire ainsi qu'en Sologne, plus particulièrement, au cœur du triangle d'or des châteaux de la Loire Chambord, Blois et Cheverny. Ce village est niché à 170 km au sud de Paris, à 10 km à l’est de Blois et à 2,5 km de l'entrée du parc du château de Chambord. Il est scindé en trois parties : Le Chîteau, le bourg et La Chaussée-le-Comte.

Huisseau-sur-Cosson fait partie de la communauté de communes du Grand Chambord qui compte 16 communes et est rattaché à l'unité urbaine, l'aire urbaine, la zone d'emploi et le bassin de vie de Blois[2].

Communes voisines de Huisseau-sur-Cosson :

Géologie et relief

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Huisseau-sur-Cosson se situe à l'extrémité nord-est de la Sologne viticole[3]. En dehors de la forêt qui occupe 28,7% des sols et la zone urbanisée qui est de 8,4%, la majeure partie du territoire se compose de terres arables, zones agricoles hétérogènes et cultures permanentes[4].

Le point culminant de la commune se situe au nord-est du territoire, à l'intersection de la rue de Saumery et de la D177, à une altitude de 97 mètres. Le point le plus bas se situe le long du Cosson à l'ouest du bourg, entre le château de la Motte et celui des Grotteaux, à 72 mètres d'altitude.

Hydrographie

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Le Cosson, sous-affluent de la Loire, traverse la commune d'est en ouest. Il a lui-même un affluent qui vient de Tour-en-Sologne pour se jeter dans le Cosson au niveau du cimetière après un parcours de 7 km[5]. Ce sous-affluent du Cosson reçoit les eaux de trois autres ruisseaux. La longueur cumulée des cours d'eau sur la commune est de 9,83 km[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 650 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cheverny à 10 km à vol d'oiseau[9], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 675,8 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communication et transports

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La D33 qui relie Vineuil et Chambord traverse la commune.

La ligne de cars numéro 2 qui va de Blois à Lamotte-Beuvron passe par Huisseau-sur-Cosson.

Voies et lieux-dits

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64 odonymes recensés à Huisseau-sur-Cosson
au 29 mai 2019
Allée Ave. Bld Chemin Clos Cours Imp. Montée Pass. Place Pont Quai Rd-point Route Rue Ruelle Square Autres Total
4 [N 1] 0 0 10 [N 2] 0 0 1 [N 3] 0 0 3 [N 4] 0 0 0 2 [N 5] 31 0 0 13 [N 6] 64
Notes « N »
  1. Allée de Boulogne, Allée des Champs de Ligny, Allée Jean François Deniau et Allée Maurice Genevoix.
  2. Chemin de la Borde, Chemin de la Fontaine du Receveur, Chemin du Chêne Plain, Chemin des Champs Houlans, Chemin de Chatillon, Chemin de la Touche, Chemin de Trompe Souris, Chemin des Galliots, Chemin de l'Oisillière et Chemin des Pierrières.
  3. Impasse du Petit Chîteau.
  4. Place de l'Église, Place de la Mairie et Place du 19 mars 1962.
  5. Route de Chambord et Route des Grotteaux.
  6. Autres voies non identifiées en relation avec des écarts, lieux-dits, hameaux, zones industrielles, lotissements, résidences, quartiers, parcs, etc.
Sources : OpenStreetMap

Au , Huisseau-sur-Cosson est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Blois[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[14],[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blois, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[2]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Le logement à Huisseau-sur-Cosson en 2016
Huisseau-sur-Cosson[17] Loir-et-Cher[18] France entière[19]
Résidences principales (en %) 86,6 81,7 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,2 7,9 9,6
Logements vacants (en %) 8,2 10,4 8,1

Le nom de Huisseau dérive de « huis », rappelant l'activité de l'ermite My délivrant ses conseils dans un « huis étroit »[20]. Il s'agit donc d'un hagiotoponyme caché.

Au Moyen Âge, le village est dénommé « Oscellensis » (parfois écrit « Oscalensis » ou « Oscilensis »)[21] ; il ne prit le nom de Huisseau qu’au XIIIe siècle[source insuffisante].

C'est en 1812 que la commune adopta, pour se différencier de ses deux homonymes en France[Note 4],[Note 5], le nom unique de Huisseau-sur-Cosson[22].

Quelques sites archéologiques (menhir des Grotteaux et les ruines de la Motte Boulogne), tous deux situés sur la rive gauche du Cosson à environ 1 500 m en aval du centre du bourg, attestent que le village existait déjà à l'époque des Carnutes[source insuffisante].

À l'époque gallo-romaine, une voie semblait déjà exister entre Camboritu (Chambord) et Blesum (Blois), suivant le cours du Cosson. Selon l'historien Benjamin Guérard, la première partie du nom du hameau de La Chaussée-le-Comte rappelle cette voie romaine[23], à l'instar de La Chaussée-Saint-Victor.

Un « trésor de Huisseau-sur-Cosson », avec un total d'environ 300 pièces romaines, a été mis au jour en 1834[20],[source insuffisante].

Moyen Âge et Ancien Régime

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La légende de l'ermite My, qui aurait entamé la christianisation du village, remonte au Haut Moyen Âge[source insuffisante]. Avec le temps, la chapelle qu'il aurait fondée se serait développée autour d'une église paroissiale et d'un prieuré relevant de l'abbaye de Bourg-Moyen, à Blois[24]. Dépendant de l'Église par l'intermédiaire de l'abbaye, le village a échappé à la féodalité pourtant courante en val de Loire.

C’est à la Renaissance, sous le règne de François Ier, que le village prit son véritable essor lors de l’édification du château de Chambord. À l'image de Saint-Dyé qui servait alors de base aux mariniers de la Loire, de nombreux artisans qui œuvrèrent à ce gigantesque chantier s'installèrent au bord du Cosson, à Huisseau[source insuffisante].

Le château des Grotteaux fut construit dans la commune en 1620[25].

Révolution française et Empires

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Nouvelle organisation territoriale

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Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[26], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de Huisseau devient formellement « commune de Huisseau »[26],[27].

En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Bracieux, au district de Blois, et au département du Loir-et-Cher[27].

Les cantons sont supprimés en tant que découpage administratif par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[28],[29]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[28].

Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[30]. Huisseau est alors rattachée au canton de Blois-Est et à l'arrondissement de Blois par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[31],[27],[32]. Cette organisation va rester inchangée pendant plus de 150 ans.

Époque récente

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L'histoire de la commune est connue par deux ouvrages[33],[34].

Au niveau du bourg, le pont sur le Cosson jusqu'alors en bois est remplacé par un pont en pierre en 1831[35].

Le cimetière alors situé près de l'église Saint-Etienne est déplacé rue de Châtillon (emplacement actuel) en 1860. Il est agrandi en 1975 puis en 2007.

Le bâtiment qui abrite la mairie et l'école du bourg est construit entre 1881 et 1884. Après des extensions, un nouvel ensemble scolaire est mis en service en 2001. L'école du Chîteau, prévue pour accueillir les enfants de Vineuil et Huisseau trop éloignés de leur bourg respectif est construite en 1885 grâce à une subvention du département[36]. Après une extension dans les années 1950, elle est fermée en 2001.

La décision de créer un bureau télégraphique est prise en 1889[37]. Le rattachement de la commune au réseau téléphonique a lieu en 1909. La construction du bureau de poste commence en 1913 et s'achève en 1918.

Le lavoir du bourg sur le Cosson est construit en 1897[38], comme celui de La Chaussée-le-Comte; celui du Chîteau le sera en 1899.

L'électricité arrive dans la commune en 1907 mais en 1920 seulement à La Chaussée-le-Comte.

La Première Guerre mondiale fait 67 victimes parmi les soldats huissellois. Le monument aux morts est érigé en leur mémoire et inauguré en 1923.

La salle des fêtes ou foyer familial est construit vers 1931-1932; elle est située entre la mairie et l'église Saint-Etienne.

Après l'occupation de Huisseau-sur-Cosson pendant la Seconde Guerre mondiale, la commune est libérée le 15 septembre 1944.

L'eau potable arrive dans la commune en 1950, d'abord grâce au forage de Saint-Claude-de-Diray puis, en 1973, grâce à un forage communal et la construction du château d'eau.

Les places de la Mairie et du 19 mars 1962 ainsi que les commerces du bourg sont aménagés en 1983.

En 1987, le stade de la Tonnelle est créé en remplacement de celui de l'Hardillet.

La déchetterie commune à Saint-Claude-de-Diray et Huisseau-sur-Cosson est ouverte en 1995.

La médiathèque est inaugurée le 21/09/2013 dans les locaux de l’ancien centre d’intervention des sapeurs-pompiers. Elle porte le nom de Muguette Bigot (1923-2012), poétesse, chevalier des Arts et Lettres, née à Huisseau-sur -Cosson[39].

Une passerelle pour piétons est installée à côté du pont du bourg en décembre 2015.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales

Résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours :

Référendums

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2 février 1790 20 novembre 1791 Joseph Blanvillain    
20 novembre 1791 2 décembre 1792 Claude Clément   Vigneron au bourg
2 décembre 1792 Jacques Guignard    
28 juin 1794 Antoine Houri   Officier municipal lors du précédente mandat
28 juin 1794 2 novembre 1795 Gentien Sébille    
2 novembre 1795 29 juin 1800 Vincent Mauguin    
29 juin 1800 2 août 1812 Pierre Fromet   Décédé pendant son mandat
2 août 1812 15 mai 1819 Michel Tassin   Notaire, décédé pendant son mandat
15 mai 1819 5 décembre 1819 Honoré Porcher   Maire par intérim
5 décembre 1819 15 janvier 1826 François Marie Louis Hérode   Notaire
15 janvier 1826 Gabriel Girard    
22 décembre 1834 François Marie Louis Hérode   Notaire
22 décembre 1834 9 août 1840 Jacques Porcher    
9 août 1840 10 août 1862 Louis Marie Auguste Bernard de Johanne de la Carré de Saumery   Marquis de Saumery, décédé pendant son mandat
10 août 1862 7 octobre 1870 Constant Moreau   Maire-adjoint des quatre précédents mandats
7 octobre 1870 14 mai 1871 Alexandre Lardier   Démissionnaire
14 mai 1871 15 mars 1874 Michel Bourgitteau   Maire-adjoint du précédent mandat, non démissionnaire, désavoué par le Préfet
15 mars 1874 8 octobre 1876 Louis Menard    
8 octobre 1876 15 mai 1892 Étienne Mathieu Rotté   Maire-adjoint de 1871 à 1874
15 mai 1892 19 janvier 1902 Émile Derouet   Buraliste
19 janvier 1902 15 mai 1904 Auguste Deniau   Élu maire en tant que doyen du conseil municipal
15 mai 1904 10 décembre 1919 Alexandre Victor Biémont-Silot   Maire-adjoint de 1900 à 1901
10 décembre 1919 19 mai 1929 Louis Frin-Racault   Maire-adjoint depuis 1904
19 mai 1929 26 octobre 1941 Julien Rotté   Maire-adjoint depuis 1925
26 octobre 1941 22 octobre 1944 Émile Malaval   Nommé par le Préfet après suspension du conseil municipal précédent
22 octobre 1944 6 mai 1953 Georges Boucher   Distillateur, conseiller municipal depuis 1941
6 mai 1953 27 mars 1977 Aimé Boucher    
27 mars 1977 17 mars 1989 Raymond Daudin    
17 mars 1989 24 mars 2001 André Guillemot    
24 mars 2001 14 mars 2008 Bernard Galliot    
14 mars 2008 En cours Joël Debuigne[50],[51] DVD Chef d'entreprise de dix salariés ou plus
Adjoint de 1995 à 2001

Un conseil municipal des jeunes existe depuis 2008. Il est élu par les élèves des classes de CM1 et CM2 et se compose de 18 jeunes. Le mandat est de 2 ans. Parmi les actions les plus courantes : participation aux différentes commémorations et manifestations organisées par la municipalité, participation au service lors du repas des aînés, nettoyage de printemps en 2018 et 2019, organisation des olympiades parents-enfants, etc.

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les ''Huissellois'', gentilé officialisé par vote du conseil municipal le .

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].

En 2021, la commune comptait 2 308 habitants[Note 6], en évolution de +1,27 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1631 0741 1861 3791 5301 5311 5151 5451 555
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5271 4841 5451 4561 3741 4781 4241 4091 383
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3421 2641 2291 1201 0901 0981 0281 1311 145
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2481 2021 2861 7381 8341 9062 0992 2312 280
2021 - - - - - - - -
2 308--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,9 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 126 hommes pour 1 171 femmes, soit un taux de 50,98 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,45 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[56]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,9 
4,8 
75-89 ans
5,0 
20,0 
60-74 ans
18,5 
21,5 
45-59 ans
22,5 
19,2 
30-44 ans
20,2 
14,6 
15-29 ans
15,0 
19,3 
0-14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2021 en pourcentage[57]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,2 
75-89 ans
11,9 
19,7 
60-74 ans
20,4 
20,7 
45-59 ans
20 
16,5 
30-44 ans
16,2 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17,6 
0-14 ans
15,7 

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie d'Orléans-Tours. Trois structures accueillent les enfants :

  • Crèche des Petits Loups
  • École maternelle des Petits Cartables
  • École élémentaire

Manifestations culturelles et festivités

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Diverses manifestations ont lieu tous les ans : carnaval, fête des écoles, fête de la musique, les 10 bornes (course à pied), randonnée gourmande, brocante, marché de Noël entre autres.

Un médecin généraliste[58] exerce sur la commune. Une pharmacie et un établissement psychiatrique, la clinique de Saumery, sont implantés sur son territoire.

Équipements sportifs

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  • Stade de la Tonnelle : stade municipal de football.
  • Aire de l'Hardillet : terrains de pétanque, basket, jeux pour enfants.
  • Courts de tennis couverts.

Activités sportives

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Plusieurs clubs sportifs sont actifs sur la commune :

  • Athletic club de Chambord (ACC), pour pratiquer le football, la randonnée ou la course à pied.
  • Bushido Iaïdo 41
  • La Pétanque Huisselloise
  • Le Tennis du Grand Chambord, issu de la fusion des clubs de Mont-près-Chambord, Saint-Claude-de-Diray et Huisseau-sur-Cosson.

Le "sentier de grande randonnée 3" qui relie le mont Gerbier de Jonc à La Baule en suivant la vallée de la Loire traverse la commune au niveau de La Chaussée-le-Comte[59].

Les circuits balisés 8 et 9 passent par Huisseau-sur-Cosson et font partie des itinéraires des châteaux à vélo[60], le circuit 9 est relié à la Loire à Vélo.

Revenus de la population et fiscalité

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Les indicateurs de revenus et de fiscalité à Huisseau-sur-Cosson et dans l'ensemble du Loir-et-Cher sont présentés ci-dessous.

Revenus des ménages à Huisseau-sur-Cosson en 2016
Huisseau-sur-Cosson[61] Loir-et-Cher[62]
Nombre de ménages fiscaux 935 145 025
Nombre de personnes dans les ménages fiscaux 2 286 325 228
Médiane du revenu disponible par unité de consommation (en euros) 22 496 20 525
Part des ménages fiscaux imposés 62 % 50,4 %
Évolution de l'emploi entre 2011 et 2016
Commune[63] Loir-et-Cher[64] Région Centre-Val de Loire[65]
2016 2011 2016 2011 2016 2011
Nombre % Nombre % Nombre % Nombre % Nombre % Nombre %
Agriculture 0 0,0 5 2,7 5 550 4,4 5 673 4,5 34 495 3,5 37 238 3,7
Industrie 15 5,2 12 6,3 22 589 18,0 23 019 18,2 152 990 15,6 165 678 16,6
Construction 72 24,9 33 17,4 9 311 7,4 9 630 7,6 67 819 6,9 74 248 7,4
Commerce, transports, services divers 66 23,0 39 20,6 48 865 39,0 49 967 39,5 404 686 41,4 406 410 40,8
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 135 46,9 101 53,0 39 084 31,2 38 091 30,1 317 880 32,5 313 700 31,5
Ensemble 288 100 190 100 125 399 100 126 380 100 977 869 100 997 274 100

Entreprises et commerces

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Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2015[66],[67]
Total %
commune
%
Loir-et-Cher
0
salarié
1 à 9
salarié(s)
10 à 19
salariés
20 à 49
salariés
50 salariés
ou plus
Ensemble 164 100,0 100,0 138 21 3 1 1
Agriculture, sylviculture et pêche 8 4,9 11,8 6 2 0 0 0
Industrie 10 6,1 6,5 8 2 0 0 0
Construction 20 12,2 10,3 15 4 0 1 0
Commerce, transports, services divers 100 61,0 57,9 89 10 1 0 0
dont commerce et réparation automobile 31 18,9 17,5 27 4 0 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 26 15,9 13,5 20 3 2 0 1

Agriculture

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Au début du XXe siècle, Huisseau-sur-Cosson produisait en particulier des pommes de terre de consommation, des prunes, des pommes et poires à cidre, des vins de Sologne[68].

Artisanat et industrie

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Activités de service

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Culture locale et patrimoine

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Vie culturelle

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Différentes associations animent la commune :

  • Amicale du chien de recherche du pays de Chambord
  • Arts et loisirs
  • Association intercommunale pays de Chambord / Tanghin au Burkina Faso
  • Bien naître en famille
  • Société de chasse
  • Comité des fêtes
  • Club thérapeutique de Saumery
  • CPP (Collectionneurs Passionnés Passionnants)
  • Dansons
  • DDH (Danse et Détente à Huisseau)
  • Erebos association
  • FEH (Fête des Enfants Huissellois)
  • FNACA (Fédération Nationale des Anciens Combattants en Algérie)
  • IMAGE'IN, club photo
  • Initiative Huisseau, organisation du salon Art et Artisanat, lequel a fêté son 40e anniversaire en 2019[69]
  • Mil'et une notes, école de musique, harmonie de 25 musiciens et banda Miluz'band
  • Temps libre : marche, loto, belote, voyages et sorties
  • Yoga

Patrimoine civil

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Une petite partie du domaine national de Chambord (« tour d’échelle » du parc) se situe sur la commune[70].

Les châteaux

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Ils sont tous privés; seul le château des Grotteaux se visite.

  • Château de Biou (XIXe siècle) : lieu de naissance de Jacques de Morgan; il est occupé par les Prussiens en 1870 et sert alors d'hôpital militaire.
  • Château des Grotteaux : le domaine des Grotteaux abrite un château du XVIIe siècle. Il est inscrit aux monuments historiques pour son château et son parc, lequel contient entre autres des cyprès chauves et un menhir[71].
  • Château de la Motte-Boulogne[72] : il est construit à la fin du XVe siècle puis est remanié au XIXe siècle.
  • Château de Nanteuil[73] : propriété de la famille Courtin au XVIIe siècle, reconstruit au XVIIIe siècle. Ses propriétaires ont participé à la résistance pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • Château de Saumery (XVIe siècle)[74] : propriété de la famille de Johanne de la Carre (ancien gouverneur de Chambord et maire de Huisseau); c'est aujourd'hui un établissement psychiatrique.

A noter :

  • Le château de Villeneuve[75] construit dans la deuxième moitié du XVIe siècle n'a plus ce titre aujourd'hui mais ses tours et sa muraille sont toujours visibles.
  • Le château de l'Orme[76] construit au XVIIIe siècle a brûlé vers 1850 et n'a pas été reconstruit. Il ne subsiste aucun vestige.

Les lavoirs sur le Cosson

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Autres curiosités

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  • Quatre ponts permettent de franchir le Cosson; ils se situent au niveau de La-Chaussée-le Comte, du bourg, du château des Grotteaux et de Nanteuil. Entre ces deux derniers se trouve un ancien pont ferroviaire.
  • La fontaine Saint-My.
  • La croix Bourreau a été construite en hommage à un fait d'armes de la guerre de 1870.
  • Le moulin des Landes, moulin à vent construit au XVIIIe siècle, lieu de parachutage en juillet 1944[77].

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Étienne

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Elle possède les reliques de saint My dans une châsse en forme de chapelle réalisée par le sculpteur Nicolas Saget vers 1548[78]. Les vitraux contemporains ont été faits par le maître verrier Henri Guérin.

La chapelle Saint-My (Saint-Medicus), dite la vieille église

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Ce bâtiment est aujourd'hui en ruine et en cours de remise en valeur[79]. Il se compose d'une nef carrée (XIIe et XIIIe siècles), d'un chœur voûté en berceau et d'une abside en cul-de-four (Xe et XIe siècles)[80]. Une chapelle latérale a été ajoutée au XIIIe siècle côté sud, de même qu'un arc ogival entre la nef et le chœur. Les deux arcs en plein cintre donnant sur la nef sont aujourd'hui murés[81].

Patrimoine environnemental

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Huisseau fait partie de la zone Sologne de Natura 2000[82].

Héraldique

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Les armoiries de Huisseau-sur-Cosson se blasonnent ainsi :

De sinople à la cotice d'argent, aux trois barres d'or brochant, à la tête de cerf arrachée de gueules allumée d'or, brochant sur le tout.

Création J.P. Fernon à partir des projets de M. Leroy, Mlle Regnier et M. Faivre-Royo (1990).

Explication : Le vert, la bande d'argent, les trois barres d'or et le cerf représentent respectivement la forêt, le Cosson, les trois ponts sur le Cosson (le Chîteau, le bourg et La-Chaussée-le-Comte) et la Sologne.

Personnalités liées à la commune

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Blois, il y a une ville-centre et six communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Voir Huisseau Ce lien renvoie vers une page d'homonymie.
  5. Les communes de Huisseau-en-Beauce (Loir-et-Cher) et Huisseau-sur-Mauves (Loiret) se trouvent également en région Centre-Val de Loire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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