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Charles Lassailly

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Charles Lassailly
Naissance
Orléans (Loiret)
Décès (à 36 ans)
Ancien 12e arrondissement de Paris
Activité principale
Auteur
Langue d’écriture Française
Mouvement Romantisme
Genres

Œuvres principales

Les Roueries de Trialph

Charles Lassailly, né le à Orléans et mort le à Paris[1],[2], est un écrivain français.

Classé généralement parmi les « petits romantiques » et les « romantiques frénétiques », comme Philothée O'Neddy ou Xavier Forneret, il est surtout connu comme auteur des Roueries de Trialph.

Un jeune orléanais

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Né le , à 2 heures, au no 16 de la rue Royale, à Orléans, Charles Lassailly est le fils aîné de Louis-Prosper Lassailly, un courtier de commerce, et de Louise-Angélique Margoullier. Il a deux frères : Jules-Alexandre-Victor, né le , qui ne survit pas, et Henri-Émile, né le , qui devient journaliste, maître de pension et littérateur, avant de mourir à Saint-Pétersbourg le , avec lequel il ne semble pas avoir été intime. En revanche, il a toute sa vie été très lié avec sa sœur, Anne-Angélique-Léonide, née le et morte célibataire le à Arcueil-Cachan[3].

Le père de l'auteur est né à Orléans le . Fils de Charles Lassailly, négociant, et de Madeleine Husson, il est marié depuis le 27 brumaire an XIV () à Louise-Angélique Margouiller, d'une famille de Coulommiers, née en 1784 et morte à Paris à une date inconnue, avec laquelle il s'installe au 17, rue des Trois-Marie, avant de déménager rue Royale, au 16 en 1806, puis au 8 en 1814. Ses affaires ayant périclité, il sombre dans l'endettement et finit par se suicider en se jetant dans la Loire le . Son corps est retrouvé près de La Baule, où un procès-verbal est dressé deux jours après[3].

Après de bonnes études, alors que sa famille pensait qu'il s'orienterait vers la prêtrise, en particulier sa mère, il entre comme commis dans la pharmacie de Jacques Montagnier, dont la boutique se trouve 8, place du Grand-Marché[3]. Après avoir entrevu Hugo et Nodier de passage à Orléans en 1825, il décide de quitter la pharmacie et part, en , avec 50 francs accordés par son père en échange de la promesse d'aider son frère Émile et sa sœur Léonide, tenter sa chance à Paris, où il connaît la vie de bohème[3].

La bohème romantique

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À Paris, Lassailly parvient à placer plusieurs poèmes dans le mensuel La Psyché, puis dans la Tribune romantique, jusqu'à leur disparition. Par la suite, L'Almanach des Muses l'accueille dans ses colonnes ; il y publie en 1832 les 120 vers de son « Hommage à M. de Lamartine », écrit en réponse au poème « À Monsieur de Lamartine » paru le dans La Némésis de Barthélemy et Méry et justification de l'auteur des Méditations[4],[5].

Se distinguant par son dandysme, il rencontre Victor Cousin, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, est admis en 1833 aux samedis de Gavarni, où il fait la connaissance de Balzac en 1834, et au salon de la duchesse d'Abrantès[6]. En , après les Trois Glorieuses, recommandé par Cousin, Lamartine et Hugo, il rencontre Villemain, membre du Conseil royal de l'Instruction publique, afin d'obtenir un emploi de bibliothécaire, en vain. Devenant journaliste, il s'épuise dans des travaux alimentaires[7], est publié dans l'Indépendant, L'Artiste, assure la rubrique des spectacles à L'Intransigeant, devient secrétaire à la Revue des deux Mondes, donne des recensions bibliographiques au Messager de 1838 à 1840[6]. Toutefois, le caractère épisodique de ces contributions ne lui permet pas de vivre réellement de sa plume.

Il appartient au groupe des Bousingos, groupe de jeunes romantiques excentriques des années 1830, parmi lesquels on trouve Pétrus Borel, Alphonse Esquiros, Théophile Gautier ou Gérard de Nerval. Avec ses camarades, il participe à la bataille d'Hernani (), où, vêtu d'un gilet vert tendre et de la casquette rouge à chaînette des Bousingos, « un énorme camélia » à la boutonnière, il a un échange virulent avec l'académicien François-Auguste Parseval-Grandmaison au sujet d'une réplique, selon Alexandre Dumas, et démolit les banquettes du parquet pour en faire une arme contre les « philistins »[8],[9]. On le retrouve aussi aux premières de Marion de Lorme au théâtre de la Porte-Saint-Martin () et du Roi s'amuse ()[5],[10].

En 1832 paraît chez Renduel et Fournier, l'éditeur des romantiques, Poésie sur la mort du fils de Bonaparte, qui annonce en quatrième de couverture la parution prochaine de deux romans, Robespierre, roman politique, et Jésus-Christ, roman philosophique, qui ne verront jamais le jour[11].

Le , le roman Les Roueries de Trialph paraît chez Sylvestre, mais ne rencontre pas le succès escompté ; La France littéraire et le Journal général de la littérature de France l'éreintent, la Revue des deux Mondes et la Revue encyclopédique en font une recension assez critique[12]. Par la suite, il prépare avec Gavarni et Antony Deschamps la création du Journal des gens du monde, journal artiste, fashionable, consacré à la littérature et à la mode, le 15 octobre. Rédacteur en chef, il est bientôt contraint de démissionner, mais continue à publier des articles, avant la disparition du périodique, en , au bout de 19 numéros. En 1834, il collabore au magazine d'Édouard Pouyat, Les Étoiles, où paraît notamment un poème de 400 vers intitulé « Le Cadavre », ainsi qu'à d'autres publications, notamment féminines, ainsi qu'au Monde dramatique de Gérard de Nerval, et participe, avec Borel, au Livre de beauté de Louis Janet[11],[13].

En 1836, il rencontre lors d'un bal la comtesse de Magnencourt[n 1], qui lui inspire une passion muette[14]. Cette idylle aurait inspiré l'intrigue de Ruy Blas à Hugo, selon André Lebois[15], le personnage de Michel Chrestien à Balzac dans les Illusions perdues, selon Jean-Hervé Donnard[16], ou celui de Ferrante Palla dans La Chartreuse de Parme de Stendhal, selon Maurice Tourneux[17]. De son côté, André Ferran suggère un rapprochement avec Samuel Cramer, le héros de La Fanfarlo de Charles Baudelaire[18].

À plusieurs reprises, il tente de fonder ses propres revues, toutes au destin éphémère malgré leur ambition, faute d'abonnés, qu'il s'agisse d’Ariel, journal du monde élégant, créé avec Théophile Gautier et à laquelle contribuèrent Vigny et Musset, mais qui ne parut que du 2 mars au [19],[20], ou de la Revue critique, dont il était à la fois le directeur, le propriétaire et l'unique rédacteur[7], en (ce mensuel n'eut que quatre numéros).

En 1839, il est employé comme secrétaire par Balzac, alors installé à la Maison des Jardies, pour l'aider dans la rédaction de l'École des ménages et collabore à Mercadet, ou Le Faiseur[21]. Revenant sur cet épisode de sa vie, Lassailly expliquera avoir été réveillé « le pistolet sous la gorge »[22], jusqu'à huit fois par nuit, pour inventer « le sujet d'un drame qui fasse courir tout Paris ». Toutefois, il décline l'offre de François Guizot, alors ministre de l'Intérieur, qui, en 1830, lui propose de devenir sous-préfet, de même que celle de Villemain, alors ministre de l'Instruction publique, qui, en 1839, lui ouvre les portes de l'enseignement, car, l'une comme l'autre, elles l'auraient éloigné de Paris et contraint à renoncer à une carrière littéraire, alors qu'il est encore persuadé que justice sera rendue à son talent. En même temps, s'il persiste dans l'activité journalistique, c'est qu'à ses yeux, l'art peut influer sur le réel[23].

L'internement

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Esprit tourmenté par la religion, obsédé par la pureté, enfermé dans l'illusion d'un dialogue avec de grandes figures de l'histoire, alors qu'il vit dans la misère, il sombre dans la folie au début de , à la suite du naufrage de la Revue critique. Grâce à l'intervention de Vigny, qui fait ce qu'il peut pour aider un Lassailly qu'il considère comme « encore un désolant exemple des supplices d'un travail excessif dans une organisation faible »[7], il obtient un secours du ministère de l'Intérieur et, le , Lamartine organise une quête à la Chambre des députés en sa faveur[24]. Il est admis dans la maison de santé du docteur Blanche, au no 4 de la rue Traînée devenu le 22-22bis rue Norvins. Puis, le 26 mai, à l'initiative de Vigny, il devient pensionnaire du docteur Brière de Boismont, au 21 rue Neuve Sainte-Geneviève, près du Panthéon, où il demeure, hormis quelques absences, jusqu'à sa mort, en 1843, à l'âge de 36 ans[25],[26].

Postérité

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Républicain, il a facilité la formation de la légende napoléonienne avec ses poésies qui ont remporté un succès populaire. Surtout, il est l'auteur d'un roman où le héros reflète la tendance suicidaire de la génération romantique.

Pour Tristan Tzara, Lassailly est, avec Borel, de ceux qui « nous communiquent […] l'incapacité de la parole en tant que véhicule de la logique, d'exprimer des sentiments » (Essai sur la situation de la poésie, 1927)[23].

  • Poésie sur la mort du fils de Bonaparte, Paris, Eugène Renduel, 1832, 15 pages.
  • Les Roueries de Trialph, notre contemporain avant son suicide, Paris, Silvestre, 1833, XXXII-338 pages (réimpression de l'édition de 1833 : Genève, Slatkine Reprints, 1973 ; réédition : Paris, Plasma, 1978, 191 pages, et Arles, Sulliver, 2006, 221 pages).

Auteur de quelques articles dans la Revue des Deux Mondes, il a publié en feuilleton plusieurs nouvelles dans le Siècle[27] :

  • Une éducation de jeune homme au XVIIIe siècle,  ;
  • La Trahison d'une fleur,  ;
  • Grégorio Banchi,  ;
  • Un secrétaire du XVIIIe siècle, ou le Griffon de la vicomtesse de Solanges, 6 et  ;
  • Louisette, 8 et  ;
  • Les Gouttes de digitale, .

Il a également collaboré au Livre de beauté, souvenirs historiques[n 2], à la Morale en action du christianisme[n 3], et publié l’Insouciance dans Le Dahlia, le Cadavre en 1834 et le Prolétaire dans la revue Les Étoiles, la nouvelle l'Homme de trente ans en 1837 dans la Chronique de Paris, journal de Balzac.

Le Camélia[28]

Chaque fleur dit un mot du livre de nature :
La rose est à l'amour et fête la beauté,
La violette exhale une âme aimable et pure,
Et le lis resplendit de sa simplicité.
Mais le Camélia, monstre de la culture,
Rose sans ambroisie et lis sans majesté,
Semble s'épanouir aux saisons de froidure
Pour les ennuis coquets de la virginité.
Cependant, au rebord des loges de théâtre,
J'aime à voir, évasant leurs pétales d'albâtre,
Couronne de pudeur, de blancs camélias
Parmi les cheveux noirs des belles jeunes femmes
Qui savent inspirer un amour pur aux âmes,
Comme les marbres grecs du sculpteur Phidias.

La Pâquerette[28]

Pâquerettes des prés, vos couleurs assorties
Ne brillent pas toujours pour égayer les yeux ;
Elles disent encor les plus chers de nos vœux
En un poème où l'homme apprend ses sympathies :
Vos étamines d'or par de l'argent serties
Révèlent les trésors dont il fera ses dieux ;
Et vos filets, où coule un sang mystérieux,
Ce que coûte un succès en douleurs ressenties !
Est-ce pour être éclos le jour où du tombeau
Jésus, ressuscité sur un monde plus beau,
Fit pleuvoir des vertus en secouant ses ailes,
Que l'automne revoit vos courts pétales blancs
Parlant à nos regards de plaisirs infidèles,
Ou pour nous rappeler la fleur de nos vingt ans ?

Le Cadavre (1834)

(extrait)[13]

Les prudes de boudoir qui veulent de la gaze,
Et leurs gents troubadours qui satinent la phrase,
Osent me reprocher l'attentat inouï
De trop sentir le Peuple en mes vers... Eh bien ! oui,
Je suis du Peuple, moi; je suis de la canaille ;
Et comme Job le gueux, je chante sur la paille ;
Mon inspiration hurle à travers les mots ;
Mais j'ai beaucoup d'amour ; c'est par là que je vaux ! [...]

Notes et références

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  1. Marie-Élisabeth-Claudine Destutt de Tracy, fille unique de Victor Destutt de Tracy et de Sarah Newton, nièce du physicien, née à Paris le , mariée le à Flavien-Césaire-Emmanuel Henrion de Staal de Magnencourt (né à Dole le - mort à Paris le ), remariée le à Victor-Gabriel de Bay (né à Paris le ).
  2. Le Livre de beauté : souvenirs historiques, par Mme Tastu, MM. Bouilly, Gustave Drouineau (« Agnès Sorel »), Henry Martin (« Mlle de Montpensier »), Jean-Pierre-François Lesguillon (« Mme de La Vallière »), Étienne Casimir Hippolyte Cordellier-Delanoue (« Charlotte-Marguerite de Montmorency »), Prosper Poitevin (« Mme de La Fayette » et « Mme de Montespan »), Pétrus Borel (« Anne de Bretagne »), Eugène Garay de Monglave (« Marguerite de Valois »), Philippe Lavergne (« Anne de Beaujeu »), Lassailly et Étienne Léon de Lamothe-Langon (« La Déesse de Fontanges ») ; avec une préface de Charles Nodier, Paris, L. Janet, 1834, XV-239 pages.
  3. Morale en action du christianisme. Journal des beaux traits inspirés par la religion, où les faits viennent seuls démontrer la précieuse influence de la foi sur la conduite des hommes et sur le bonheur de la société, mensuel dirigé par A. Loyau de Lacy, 1835.

Références

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  1. Eldon Kaye (1962), p. 135.
  2. Charles Louis Lesur, Ulysse Tencé, Victor Rosenwald, Hippolyte Desprez, Armand Fouquier, A. Thoisnier Desplaces, Annuaire historique universel, ou Histoire politique pour 1843, Paris, A. Thoisnier Desplaces, 1844, p. 403 : « ? [jour du décès inconnu] Charles Lassailly, homme de lettres, mort à Paris ».
  3. a b c et d Eldon Kaye (1962), p. 9-11.
  4. Eldon Kaye (1962), p. 15-29.
  5. a et b « Charles Lassailly, repères chronologiques », in Gustav Landauer, La Révolution, Éditions Sulliver, 2006, p. 217.
  6. a et b Michel Brix, Nerval journaliste (1826-1851), problématique, méthodes d'attribution, Presses universitaires de Namur, 1986, 616 pages, p. 205-206 (ISBN 2870371535).
  7. a b et c Loïc Chotard, « Pourquoi j'aime La Flûte » (p. 327-339), dans Approches du XIXe siècle, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, p. 333 (ISBN 2-84050-168-6).
  8. Eldon Kaye (1962), p. 20-22.
  9. Alexandre Dumas, Mes Mémoires, Paris, Michel Lévy frères, 1863, p. 17.
  10. Correspondance de Balzac, Paris, Garnier, 1969, tome 3, p. 828 (ISBN 2737001935).
  11. a et b Thierry Galibert, « Charles Lassailly, repères biographiques », dans Charles Lassailly, Les Roueries de Trialph: Notre contemporain avant son suicide, Éditions Sulliver, 2006, 224 pages, p. 217 et alii (ISBN 291119988X).
  12. La France littéraire, Paris, tome 6, 1833, p. 448 ; Journal général de la littérature de France, Paris, Treuttel & Würtz, 1833, tome 36, p. 68 ; La Revue des deux mondes, 2e série, tome 3, 1833 p. 127-128 ; Revue encyclopédique, ou Analyse raisonnée des productions les plus remarquables, Paris tome 58, avril-mai 1833, p. 499.
  13. a et b Eldon Kaye (1962), p. 34.
  14. Eldon Kaye (1962), p. 121.
  15. Maurice Tourneux, Revue d'histoire littéraire de la France, Paris, Armand Colin, 1894, p. 235 : « Ruy Blas est-il… Charles Lassailly? Cette idée est suggérée à M. Lebois par l'amour muet de Lassailly pour la comtesse de Magnencourt, tel que le rapporte la comtesse Dash », pseudonyme d'Anne-Gabrielle de Cisternes de Coutiras, vicomtesse de Poilloüe de Saint-Mars (1804-1872).
  16. Jean-Hervé Donnard, Balzac, les réalités économiques et sociales dans la Comédie humaine, Armand Colin, 1961, 488 pages, p. 107.
  17. Revue d'histoire littéraire de la France, Armand Colin, 1960, p. 236.
  18. Eldon Kaye (1962), p. 88.
  19. Marcel Voisin, « La Pensée de Théophile Gautier », in Freeman G. Henry (dir.), Relire Théophile Gautier, le plaisir du texte, Rodopi, 1998, 263 pages, p. 89, note 46 (ISBN 904200682X)
  20. Louise Bulkley Dillingham, The Creative Imagination of Théophile Gautier : A Study in Literary Psychology, Bryn Mawr College, 1927, 356 pages, p. 343. Lassailly est « chef de rédaction ».
  21. Edmond Texier, Critiques et récits littéraires, Paris, Michel Lévy frères, 1853, 342 pages, p. 107.
  22. Métaphore sexuelle.
  23. a et b Thierry Galibert, « Charles Lassailly, l'an I du frénétisme littéraire », dans Charles Lassailly, Les Roueries de Trialph: Notre contemporain avant son suicide, p. 7-25.
  24. Eldon Kaye (1962), p. 88 et 128.
  25. Il s'installe chez le docteur de Boismont en pour Eldon Kaye (1962), p. 131-132.
  26. Laudyce Retat, Jean Balcou, Tivadar Gorilovics, Madeleine Aubrière (dir.), Bretagne et romantisme: mélanges offerts à M. le professeur Louis Le Guillou, Brest, CNRS, Université de Bretagne occidentale, 1989, 455 pages, p. 337, note 1.
  27. Charles Monselet (1862), p. 60.
  28. a et b Ce sonnet est paru dans les Illusions perdues de Balzac (1837). Voir la Correspondance de Balzac, Paris, Garnier, 1969, tome 3, p. 600-601.

Article lié

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Bibliographie

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Éditions récentes
  • Les Roueries de Trialph, notre contemporain avant son suicide, Sulliver, .
Ouvrage de référence
  • Eldon Kaye, Charles Lassailly (1806-1843), Genève, Librairie E. Droz, , 145 p. (lire en ligne).
Passages ou notices sur Lassailly

Liens externes

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