Cerizay
Cerizay | |||||
L'église Saint-Pierre, monumentale construction néogothique. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Deux-Sèvres | ||||
Arrondissement | Bressuire | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais | ||||
Maire Mandat |
Johnny Brosseau 2020-2026 |
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Code postal | 79140 | ||||
Code commune | 79062 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cerizéens, Cerizéennes | ||||
Population municipale |
4 797 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 259 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 49′ 20″ nord, 0° 39′ 48″ ouest | ||||
Altitude | Min. 143 m Max. 217 m |
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Superficie | 18,55 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Cerizay (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Cerizay (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cerizay (bureau centralisateur) |
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Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Cerizay est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.
Ses habitants s'appellent les Cerizéens et Cerizéennes.
Géographie
[modifier | modifier le code]La ville de Cerizay située dans le nord-ouest des Deux-Sèvres, à 15 km de Bressuire comme de Pouzauges en Vendée et à 37 km de Cholet, s’étend sur les rives vertes d’un petit ruisseau qui, coulant est-ouest, se jette à quelques kilomètres dans la Sèvre Nantaise.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Cerizay possède une halte, cependant mal desservie, ne possédant qu'un seul aller-retour TER Pays de la Loire Tours - La Roche-sur-Yon. L'aller-retour se croisant à Thouars, aucune possibilité de retour n'est possible en train, et même en car SNCF. L'été, l'aller-retour est remplacé par un aller-retour Saumur - Sables-d'Olonne, avec des horaires plus confortable, permettant de passer la journée à la mer. Cerizay est aussi desservie en autocars par le réseau Tréma (lignes 5, 102, 114, 115 et 116) et par la ligne 15 de la région.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique « Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée » et « Moyenne vallée de la Loire »0[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 924 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bressuire à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 852,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Cerizay est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cerizay[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cerizay, dont elle est la commune-centre[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,7 %), terres arables (24,5 %), prairies (20,4 %), zones urbanisées (15 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Cerizay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Sèvre Nantaise et le ruisseau du Sevreau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1995, 1999, 2000, 2010 et 2018[16],[14].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de terrains, notamment des tassements différentiels[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 31 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[19].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Cerizay est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].
Histoire
[modifier | modifier le code]L’origine du nom serait gallo-romaine. Le centre de la ville était, au Moyen Âge, situé au pied du château féodal. Les deux dernières tours de ce château ainsi que son ancienne chapelle romane du XIIe siècle sont démolies lors de la construction, en 1890, de l’église actuelle.
La litre ou ceinture d'armoiries du chœur de la chapelle présentait les blasons des seigneurs du XVIIe siècle, dont celui du maréchal Urbain de Maillé (1597-1650), marquis de Brézé, baron de Trèves et sgr. de Milly. On s’aperçut lors de la construction de la nouvelle église de l’existence d’un cimetière mérovingien près de la chapelle, des sarcophages en pierre coquillière ayant été mis au jour.
Cerizay appartenait aux Maingot de Surgères. Par exemple, Jehanne Maingot de Surgères, fille de « très noble sire Jacques de Surgères, seigneur de Cerizay », qui épousa en 1493 Gaston 1er de Montferrand, seigneur de Langoiran (leur petit-fils Charles Ier de Montferrand fut père de Charles II Gaston et Guy de Montferrand), était la fille de Jacques de Surgères, seigneur de la Houlière, Cérizay et Saint-Paul, et de dame Renée/Marie de Maillé, fille d'Hardouin VIII de Maillé et de Pernelle d'Amboise (fille d'Ingelger II et petite-fille d'Ingelger Ier).
Cerizay passa à la branche des Surgères de La Flocellière, puis par mariage en 1516 aux Hamon de La Flocellière. En 1567, l'héritière Robinette Hamon, fille de Jean Hamon, se maria avec Claude de Maillé-Brézé, faisant passer la Flocellière et Cerizay dans cette puissante famille[21],[22] : ils sont les parents de Charles de Maillé, et les grands-parents du maréchal Urbain rencontré plus haut, beau-père du Grand Condé et ancêtre de Louis-Philippe. Mais en fait, Cerizay était passé à Jacques de Maillé-Brézé († 1641), marquis de la Flocellière, frère cadet de Charles et oncle paternel du maréchal. Jacques mourut sans postérité de sa femme Julienne d'Angennes de Poigny († 1614), et transmit la Flocellière et Cerizay à la famille de cette dernière, dont la sœur Françoise d'Angennes († 1635) avait épousé en 1604 Urbain de Morais († 1635), sgr. de Fontaine-Henry et de Brézolles[23]. Leur fils Paul-Philippe de Morais († 1669) devint marquis de Cerizay et de la Flocellière en juin 1645.
A la veille de la Révolution, le seigneur de Cerizay était Henry Armand Célestin de la Fontenelle, Seigneur de Vaudoré, Saint Jouin de Milly, Puy-Mary, Puy-Papin, Cerizay et la Frelandière, Mousquetaire de la garde ordinaire du roi, capitaine de cavalerie, né à St Jouin de Milly le 03/04/1748 et mort le 16/06/1795 à Jersey (GB). Devenu seigneur de Cerizay par son mariage le 06/02/1776 avec sa cousine germaine Bénigne Antoinette Marguerite de Morais qui tenait ce fief de son père Alexandre Henri René de Morais de Cerizay. C’était le père de l’historien Armand Désiré De La Fontenelle De Vaudoré (St Jouin de Milly 1784-Poitiers 1847).
Le , une colonne allemande revenant de la côte, bombarde en représailles et met le feu à la ville, maison par maison, faisant cinq victimes parmi la population et détruisant 172 maisons.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement :
D’azur au chêne d’or mouvant de la pointe, chargé d’un écusson de gueules fretté de vair de six pièces, au comble bastillé aussi d’or chargé de cinq flammes aussi de gueules issant de cinq créneaux[24].
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Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[27].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2021, la commune comptait 4 797 habitants[Note 5], en évolution de +0,27 % par rapport à 2015 (Deux-Sèvres : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'abbaye Notre-Dame de Beauchêne, dans laquelle le président de la République française peut prétendre à une stalle au titre de « premier et unique chanoine d'honneur » de l'archibasilique Saint-Jean de Latran.
- L'église Saint-Pierre de Cerizay, érigée de 1892 à 1896 (gros œuvre) et consacrée en 1930. De style néogothique, ce grand vaisseau de pierre se base sur un plan en croix latine. Les trois tympans de la façade sont ornés de céramiques réalisées en 1966. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[32].
- La poste, un bâtiment dû à l'architecte Jean-François Milou. La poste a édité un timbre EUROPA n°YT 2643 (lien dans références).
Économie
[modifier | modifier le code]Le site Technypôle (ex-Heuliez) est situé à Cerizay. C'est là qu'était assemblée la MIA, véhicule électrique commercialisé par MIA Electric. Cette société a fait faillite en 2014. Il y reste la production de la Nosmoke, qui est un véhicule de plage.
Sports
[modifier | modifier le code]Le football reste un sport important dans la commune depuis la fin du XIXe siècle. Le Cercle olympique de Cerizay fut en 1977 au palmarès du championnat de division d'honneur de la ligue du Centre-Ouest[33].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Philippe Duplessis-Mornay, théologien réformé, écrivain et homme d'État français.[pourquoi ?]
- Raoul Giraudo, (1932-1995), footballeur français y est mort.
- Jean Grellier, (1947-), député et ancien maire de la ville.
Jumelages
[modifier | modifier le code]- Chipping Ongar (Angleterre) depuis 1984[34].
- Montemor-o-Velho (Portugal) depuis 1988.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Cerizay comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Cerizay et Bressuire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bressuire » (commune de Bressuire) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bressuire » (commune de Bressuire) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Cerizay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Cerizay ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cerizay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Cerizay », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- « La succession de Cerizay, des Hamon de la Flocellière aux Morais, p. 421 », sur Chroniques fontenaisiennes, par Armand-Désiré de La Fontenelle de Vaudoré, in Archives historiques du Bas-Poitou, chez Gaudin Fils, à Fontenay-le-Comte, 1841.
- « Maillé de Brézé, p. 516-517 », sur Histoire généalogique et chronologique de la Maison royale de France, t. VIII, par les Pères Anselme, Ange et Simplicien, et Honoré Caille du Fourny, à la Compagnie des Libraires associés, à Paris, 1733.
- « Maison d'Angennes, branche de Poigny, p. 13 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2005 et 2021.
- Gaso.fr
- Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
- Permanence d'accueil d'information et d'orientation.
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Eglise paroissiale Saint-Martin », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Football, Championnat de Division d'Honneur
- (en) « British Towns Twinned with French Towns », Complete France (consulté le ).
- la litre de l'église : Abbaye de la Sainte-Trinité de Mauléon de Dom Fourier BONNARD P: 151
- http://www.phil-ouest.com/Timbre.php?Nom_timbre=Europa_1990_2 Timbre Europa Poste de Cerizay
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes des Deux-Sèvres
- Communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais
- Liste des anciennes communes des Deux-Sèvres
- Liste de massacres perpétrés par les forces allemandes en France durant la Seconde Guerre mondiale
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie de Cerizay
- Cerizay sur le site de l'Institut géographique national