Barbey-Seroux
Barbey-Seroux | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Saint-Dié-des-Vosges |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges |
Maire Mandat |
Bernard Liegeois 2020-2026 |
Code postal | 88640 |
Code commune | 88035 |
Démographie | |
Gentilé | Barbey-Serouxois(es) |
Population municipale |
144 hab. (2021 ) |
Densité | 20 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 08′ 33″ nord, 6° 50′ 24″ est |
Altitude | 600 m Min. 545 m Max. 870 m |
Superficie | 7,32 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Gérardmer (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Gérardmer |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Barbey-Seroux ([baʁbɛsʁu] Écouter) est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.
Ses habitants sont appelés les Barbey-Serouxois à la suite d'une décision du conseil municipal en juillet 2016.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située à flanc de coteau dans la vallée de la Vologne, à 13 km de Gérardmer et à 13 km de Bruyères.
On y accède par la départementale 31 reliant Granges-sur-Vologne à Corcieux par le col des Arrentès (684 m). L'altitude culmine à 870 m et le point le plus bas est à 545 m.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La forêt occupe 91 hectares et la densité de population n'est que de 16 hab./km². La principale entreprise locale est une scierie. Lieu de tranquillité et de verdure, la commune offre un terrain de camping et deux centres de colonies de vacances. C'est une des 201 communes du parc naturel régional des Ballons des Vosges, réparties sur quatre départements : les Vosges, le Haut-Rhin, le Territoire de Belfort et la Haute-Saône[1].
La commune compte plusieurs hameaux : Au-Delà-de-l'Eau, le Champ-de-l'Épine et la Grande-Roche. Elle possède également un nombre important de censes, dispersées dans tout le territoire communal, dont voici une liste non exhaustive : le Bas-Béninfaing, la Behaie, Chababois, la Cire-au-Soleil, la Creuse, Derrière-Hompont, Devant-l'Aile, l'Étang-d'Oron, Flandimpré, Frémois, Giropaire, le Haut-Béninfaing, le Haut-Bois, Herqueville, Hompont, Maillegoutte, le Pinchesté, le Pré-de-Vologne, le Rond-Pré, les Tronces, la Vieille-Grange, le Vieux-Pré, etc[2]. Ces censes, qui datent pour la plupart des XVIIIe et XIXe siècles, sont classées comme Patrimoine Historique[3].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]La Chapelle-devant-Bruyères | ||||
Granges-sur-Vologne (Cne déléguée de Granges-Aumontzey) |
N | Arrentès-de-Corcieux | ||
O Barbey-Seroux E | ||||
S | ||||
Gérardmer |
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau la Corbeline et le ruisseau de l'Etang d'Oron[4],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 11,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gérardmer », sur la commune de Gérardmer à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 797,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20,5 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Barbey-Seroux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gérardmer, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[13]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (89,6 %), prairies (8,9 %), terres arables (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La commune est née de la fusion de deux villages : Barbey et Seroux. Le toponyme de Seroux semble attesté depuis 1457. Certains pensent que le hameau de Barbey, ou Barbay, tire son origine d'une famille de la noblesse lorraine, originaire du village de Barbas, auquel on a ajouté les finales -ey[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Sous l'Ancien Régime, la seigneurie appartenait au duc de Lorraine et aux seigneurs de Barbay. Seroux constitue le centre du village, encore à ce jour. Deux titres, datant de 1615 et de 1698, établissent les droits d'usages des habitants dans les forêts de Nayemont et de Lenvergoutte[2].
En 1710, la commune ressortissait au bailliage de Bruyères. En 1751, elle dépendait du bailliage de Bruyères et de la maîtrise de Saint-Dié (coutume de Lorraine), avant de dépendre, pendant la Révolution, du district de Bruyères, canton de Granges.
Au spirituel, Barbey-Seroux dépendait de la paroisse de Granges, annexe de Champs, doyenné d'Épinal, diocèse de Toul puis de Saint-Dié.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2022
[modifier | modifier le code]En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[18] :
- total des produits de fonctionnement : 133 000 €, soit 878 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 100 000 €, soit 663 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 203 000 €, soit 1 346 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 172 000 €, soit 1 138 € par habitant.
- endettement : 195 €, soit 1 288 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 23,66 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 38,00 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 20,26 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 510 €[19].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelage
[modifier | modifier le code]Au 25 novembre 2020, Barbey-Séroux n'était jumelée avec aucune commune[20].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2021, la commune comptait 144 habitants[Note 3], en évolution de +0,7 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]L'enseignement était assuré depuis au moins 1845 par une école mixte, pouvant contenir 100 élèves. Elle se situait à Chababois. Celle-ci n'est plus en activité, étant donné que la population a été divisée par deux depuis le début du XXe siècle.
Établissements d'enseignements[25] :
- Écoles maternelles et primaires à Granges-Aumontzey, Corcieux, Gerbépal, Gérardmer.
- Collèges à Corcieux, Gérardmer, Le Tholy, Fraize, Bruyères.
- Lycées à Gérardmer, Bruyères.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[26] :
- Médecins à Granges-sur-Vologne, Corcieux, Gérardmer, Laveline-devant-Bruyères, Le Tholy.
- Pharmacies à Granges-sur-Vologne, Gérardmer, Le Tholy, Xonrupt-Longemer, Bruyères, Fraize.
- Hôpitaux à Gerbépal, Gérardmer, Bruyères, Fraize.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Notre-Dame-de-la-Corbeline[27], Diocèse de Saint-Dié.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- La principale activité du village était l'agriculture, jusqu'à il y a peu.
- On y cultivait surtout le seigle, l'avoine, la pomme de terre et le lin, mais on produisait également du chanvre, du foin, et de l'huile[2]. Un moulin fournissait la farine et un four communal était disposé à proximité de Béninfaing.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Hébergements et restauration à Barbey-Seroux, Arrentès-de-Corcieux, Granges-sur-Vologne, Corcieux.
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité à Plainfaing, Corcieux, Bruyères, Gérardmer.
- Il faut souligner également l'importance de la carrière de granite de Barbey-Seroux[28].
- Celle-ci est située à proximité du hameau des Tronces, où un nombre important de carriers venant des villages voisins travaillaient. Cette carrière attirait beaucoup de travailleurs, et à la fin du XIXe siècle, on peut remarquer sur la commune un nombre important d'immigrés belges venus y travailler. On y fabriquait essentiellement des pavés[29].
- Le textile eut aussi son importance au XXe siècle, ainsi que le travail du bois.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Outre ses fermes et ses censes, l'intérêt de Barbey-Seroux réside surtout en un extraordinaire champ de roches[30], situé sur les hauteurs de la commune et dont l'origine est encore énigmatique. Des blocs de granite de forte taille, de l'ordre du mètre, sont finement agencés pour former un rectangle de 400 mètres sur 40, légèrement incliné vers le nord-ouest et que la végétation n'a pas réussi à coloniser au fil des millénaires. L'action des glaciers est l'hypothèse la plus partagée quant à la constitution de cette curiosité. Pourtant l’origine du champ de roches suscite des interrogations car les pierres ne présentent pas de traces de frottement ; elles n’ont donc parcouru qu’une faible distance lors de l’avancée des glaciers. De plus, elles ne semblent pas avoir été arrachées aux massifs voisins. La fonte brutale d'un glacier puissant pourrait en être l'explication.
La tradition populaire, quant à elle, donne une autre explication. À l'époque où Barbey et Seroux étaient encore deux villages, ce champ de granite était une clairière où se rendaient les sorcières pour faire leur sabbat. Curés, contre-sorciers et d'autres furent envoyés pour tenter de trouver une solution à cette situation. Un jour le curé de Granges-sur-Vologne invoqua le saint-patron de son église, saint Georges, qui apparut un soir de sabbat dans le ciel et pétrifia les sorcières sur place, donnant ainsi naissance au Champ de Roches[31].
C'est l'un des douze sites ayant bénéficié d'une aide financière du conseil général pour être protégés et aménagés pour un accueil pédagogique du public. Un circuit de découverte a été balisé.
Début 2017, la commune est « réputée sans clochers »[32].
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Historique du diocèse, Modification des paroisses
- Archives communales de Barbey-Seroux (1740-1977)
- Terre de conquêtes : la forêt vosgienne sous l'Ancien Régime, Emmanuel Garnier, 2004
- Le Département des Vosges : statistique historique et administrative, Henri Lepage, 1847
- Contes, légendes et croyances des Vosges, Roger Maudhuy, 2010
- Le mystère de Barbey-Seroux « Champ de Roches »
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines : les caves
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Barbey-Seroux sur le site de l'Institut géographique national
- Le Champ de Roches
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Barbey-Seroux » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Liste des 201 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
- Villes et villages du département des Vosges, Henri Lepage, 1845
- Site Patrimoine de France
- « Fiche communale de Barbey-Seroux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Barbey-Seroux et Gérardmer », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Gérardmer », sur la commune de Gérardmer - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Gérardmer », sur la commune de Gérardmer - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Barbey-Seroux ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gérardmer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Toponymie générale de la France, volume III : Formations dialectales (suite) et françaises, Ernest Nègre, 1998
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures » sur le site du Ministère des Affaires étrangères.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Notre-Dame-de-la-Corbeline
- Le granite de Barbey-Seroux, pages 18 et 19
- Archives départementales des Vosges
- Une rivière de roches au cœur de la forêt
- La Lorraine sorcière. Histoire, légendes et croyances, Roger Maudhuy, 2010
- « Recherches sur critères », Clochers de France.