Émile Jourdan
Émile Jourdan | |
Émile Jourdan. | |
Fonctions | |
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Député français | |
– (12 ans, 11 mois et 30 jours) |
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Élection | 11 mars 1973 |
Réélection | 19 mars 1978 21 juin 1981 |
Circonscription | 1re du Gard |
Législature | Ve, VIe et VIIe (Cinquième République) |
Groupe politique | COM |
Prédécesseur | Paul Tondut |
Successeur | Proportionnelle par département |
Maire de Nîmes | |
– (18 ans) |
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Prédécesseur | Edgar Tailhades |
Successeur | Jean Bousquet |
Conseiller général du Gard | |
– (11 ans) |
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Circonscription | Canton de Nîmes-2 |
Prédécesseur | Gilbert Raynal |
Successeur | Alain Jourdan |
– (7 ans) |
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Circonscription | Canton de Saint-Ambroix |
Prédécesseur | Jean Blache |
Successeur | Édouard Thibault |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Chamborigaud |
Date de décès | (à 84 ans) |
Lieu de décès | Nîmes |
Nationalité | Française |
Parti politique | PCF |
Profession | Mineur |
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Maires de Nîmes | |
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Émile Jourdan est un homme politique français, né le à Chamborigaud et mort le à Nîmes.
Militant communiste gardois, il devient secrétaire de la fédération du département. Il est par la suite élu maire (PCF) de Nîmes de 1965 à 1983.
Biographie
[modifier | modifier le code]Il commence sa carrière politique comme maire de Saint-Florent-sur-Auzonnet et conseiller général du canton de Saint-Ambroix en 1951. Maire de Nîmes en 1965. Il est aussi conseiller général du canton de Nîmes-1 de 1967 à 1973. Candidat malheureux aux élections sénatoriales de 1971, un temps suppléant de Roger Roucaute, député-maire d'Alès, il devient à son tour député de la première circonscription du Gard en 1973. Il est réélu en 1978 avec comme suppléante Colette Attia, et il reste en place jusqu'en 1986.
Réélu aux municipales de 1977 face à Michel Grollemund, mais battu en 1983 par Jean Bousquet, il est encore conseiller général du canton de Nîmes-2 de 1989 à sa mort en 1999. Son fils, Alain, lui succède.
Aux élections législatives de 1993, il est encore suppléant d'Alain Clary[1].
Vie privée
[modifier | modifier le code]Il a une femme, Monique, fille d'immigrés espagnols[2], et un fils, Alain[3],[2], qui prend sa suite comme conseiller général à sa mort.
Mandat de député
[modifier | modifier le code]Mandats locaux
[modifier | modifier le code]- Adjoint au maire de Saint-Florent-sur-Auzonnet
- Conseiller général du canton de Saint-Ambroix en 1951
- Conseiller général du canton de Nîmes-1 de 1967 à 1973
- Maire (PCF) de Nîmes de 1965 à 1983.
- Conseiller général du canton de Nîmes-2 de 1989 à sa mort en 1999.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « 16 », humanite.fr.
- Jacques Maigne, « Les Jourdan - Une dynastie communiste », lexpress.fr.
- « JOURDAN Émile », histoire-contemporaine-languedoc-roussillon.com.
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Claude Chaminas, « La première municipalité d'Émile Jourdan à Nîmes (1965-1971) ou le mandat de l'audace », Revue d'histoire moderne et contemporaine de Nîmes et du Gard, SHNG, no 20, , p. 35-40 (ISSN 1763-4946, BNF 39081996)..
- Roland Andréani, « Un maire communiste dans une grande ville du Midi : Émile Jourdan (1965-1983) », dans Roland Andréani (dir.), Nouvelle histoire de Nîmes, Toulouse, Privat, (ISBN 2-7089-8340-7), p. 258-264.
- Claudine Galland, « Émile Jourdan », dans David Mataix (dir.), Les Maires de Nîmes depuis la Révolution, Nîmes, Lacour, coll. « Rediviva », (ISBN 978-2-7504-2885-3), p. 155-161.
Liens externes
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- Ressources relatives à la vie publique :
- Maire membre du Parti communiste français
- Député du Gard
- Député de la Ve législature de la Ve République
- Député de la VIe législature de la Ve République
- Député de la VIIe législature de la Ve République
- Député membre du Parti communiste français
- Conseiller général du Gard
- Maire de Nîmes
- Naissance en octobre 1914
- Naissance dans le Gard
- Décès en août 1999
- Décès à Nîmes
- Décès à 84 ans
- Conseiller régional élu dans le Gard