Když jsem byla dítě, manipulovali s námi. Mysleli jsme si, že nás Izrael bude bombardovat. Ale dnes si i na vesnicíchlidé uvědomují, že naším hlavním nepřítelem není Izrael, ale náš režim. Boj o vliv se odehrává na sociálních sítích. Quand j’étais enfant, nous étions manipulés. On pensait qu’Israël allait nous bombarder. Mais aujourd’hui, même dans les villages, les gens sont conscients que ce n’est pas Israël mais notre régime qui est notre principal ennemi. » Le combat d’influence se joue sur les réseaux sociaux.[1] — Zar Amir Ebrahimi
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Zar Amir Ebrahimi (« Tatami ») : « Tous les Israéliens ne sont pas des diables ». parismatch [online]. 2024-09-09 [cit. 2024-09-10]. Dostupné online.
