La nuit couvre les cieux !
Quel funeste ravage !
Quel funeste ravage !
Vaste empire des mers où triomphe l'horreur,
Vous êtes la terrible image
Du trouble de mon coeur.
Des vents impétueux vous éprouvez la rage,
D'un juste désespoir j'éprouve la fureur.
Vous êtes la terrible image
Du trouble de mon coeur.
Des vents impétueux vous éprouvez la rage,
D'un juste désespoir j'éprouve la fureur.