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jeudi 28 janvier 2010
favicon www.counterpunch.org Non, monsieur, vous ne pouvez pas partager ma douleur, par John Maxwell (Couterpunch via Des bassines et du zèle 28/01)
C’était un acte si révol­tant, si bes­tial et si abject que vos jour­na­lis­tes et vos agen­ces de presse, vos diplo­ma­tes et vos élus n’ont pas réussi à ce jour à se résou­dre à décrire ou à admet­tre en toute hon­nê­teté le crime qui a été commis quand l’ambas­sa­deur US James Foley, diplo­mate de car­rière, est arrivé devant la rési­dence du pré­si­dent Jean-Bertrand Aristide avec une bande de voyous de la CIA et des Marines amé­ri­cains pour enle­ver le pré­si­dent d’Haïti et sa femme.
Les Aristide ont été embar­qués à bord d’un avion de la CIA qui sert en géné­ral à trans­por­ter les ter­ro­ris­tes pré­su­més qui ont été kid­nap­pés pour être emme­nés au goulag mon­dial des Etats-Unis cons­ti­tué de pri­sons et de cham­bres de tor­ture.
L’avion, où les Aristide ont été enre­gis­trés comme « ’car­gai­son », s’est envolé pour Antigua, à une heure de là, et est resté au sol à Antigua pen­dant que le Département d’Etat de Colin Powell et la CIA essayaient de faire chan­ter et de sou­doyer divers pays afri­cains pour qu’ils accueillent (...)
Source : Couterpunch via Des bassines et du zèle
Thème(s) : haïti, impérialisme