Saint-Sever-Calvados
Saint-Sever-Calvados | |
L'hôtel de ville, l'église Notre-Dame et son clocher. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Vire |
Intercommunalité | Communauté de communes Intercom de la Vire au Noireau |
Statut | commune déléguée |
Maire délégué Mandat |
Olivier Jeanneau 2020-2026 |
Code postal | 14380 |
Code commune | 14658 |
Démographie | |
Gentilé | Séverins |
Population | 1 236 hab. (2021) |
Densité | 44 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 50′ 26″ nord, 1° 02′ 52″ ouest |
Altitude | Min. 144 m Max. 350 m |
Superficie | 27,92 km2 |
Élections | |
Départementales | Vire |
Historique | |
Fusion | |
Commune(s) d'intégration | Noues de Sienne |
Localisation | |
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Saint-Sever-Calvados est une ancienne commune française, ancien chef-lieu de canton, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 236 habitants[Note 1], devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noues de Sienne.
Géographie
[modifier | modifier le code]Couvrant 2 792 hectares, le territoire de Saint-Sever-Calvados, majoritairement occupé par la forêt de Saint-Sever, était le plus étendu de son canton, le plus occidental du Bocage virois. Son bourg est 13 km à l'ouest de Vire et à 14 km à l'est de Villedieu-les-Poêles. L'atlas de paysages de la Basse-Normandie localise la presque totalité du territoire à l'ouest de l'unité du Bassin de Vire caractérisée par « un ancien bocage fortement dégradé par les mutations agricoles » et un « habitat dispersé […] de schiste aux toits d’ardoise »[1]. Seule une petite partie sud se situe dans l'unité du Haut Bocage transparent : des « hauteurs copieusement arrosées [qui] se distinguent par la présence de hauts talus lessivés »[2].
La commune est traversée par la route départementale no 524 (ancienne route nationale 24bis) menant de Vire à Villedieu-les-Poêles et qui passe par le bourg, Elle y croise la D 91 joignant Sept-Frères et Landelles-et-Coupigny au nord et Le Gast et Saint-Pois au sud. Du bourg part également la D 77 qui permet de rejoindre Courson, Montbray et Percy au nord-ouest. Se greffant sur la D 91 en forêt de Saint-Sever, la D 299 et la D 300 mènent respectivement à Champ-du-Boult au sud-est et vers Coulouvray-Boisbenâtre au sud-ouest. L'A84 est accessible à 16 km à l'ouest à Fleury vers Rennes (sortie 37) ou à La Colombe (sortie 38) ou au nord à Pont-Farcy (sortie 39, 15 km au nord) vers Caen.
Saint-Sever, et en particulier son bourg, est sur une ligne de partage des eaux séparant les bassins de deux fleuves côtiers : la Vire, à l'est (par son affluent la Brévogne), et la Sienne, à l'ouest, qui, comme la Brévogne, prend sa source dans la forêt, sur le territoire. Les premiers affluents de la Sènène, elle-même affluent de la Sienne, collectent les eaux du nord-ouest de la commune, la Cunes, sous-affluent de la Vire par la Drôme, celles du nord-est.
Le point culminant (350/351 m) se situe au sud, au lieu-dit les Lorencières. Le point le plus bas (144 m) correspond à la sortie de la Cunes du territoire, au nord-est. Le sud du territoire est sur le massif granitique de Vire-Carolles, le nord sur le sous-sol schisteux du bassin du Bocage virois[3]. En dehors de la forêt, la commune est bocagère.
Le climat est océanique, comme dans tout l'Ouest de la France. La station météorologique la plus proche est Granville-Pointe du Roc, à 40 km, mais Caen-Carpiquet est à moins de 60 km[4]. Le Bocage virois s'en différencie toutefois pour la pluviométrie annuelle qui, à Saint-Sever-Calvados, avoisine les 1 150 mm[5].
Les lieux-dits sont, du nord-ouest à l'ouest, dans le sens horaire : la Bersairie, les Déserts, la Braiserie, Saint-Blaise, la Caverie, les Broderies, la Lande, le Bourg (au nord), la Guertière, la Guibellière, la Bunoudière, la Basse Fosse, la Haute Fosse, le Mouton, les Houlettes, le Beauregard, la Maquellerie, le Souchet, la Jourdanière, les Closets, le Vieux Château, le Clos, la Clairière, la Davière, la Faverie, la Jardière, la Rigoussière, la Quetterie, la Nellerie, la Vermondière, la Clergerie (à l'est), la Tournerie, le Mesnil, la Mennetière, la Jancellière, la Capucière, les Lorencières, la Noue de Sienne, l'Ermitage (au sud), le Valet, Brundou, la Jouardière, la Reinière, la Guermonderie, la Pédevinière, les Rivages, Cotigny, Plate Bourse, le Clos du Pôt, la Fieffe, la Porte de Cotigny, la Gablerie, le Bois de Cotigny, le Courbillon (à l'ouest) et le Richelieu[6].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme S. Severus en 1278[8]. La paroisse est dédiée à Sever, évêque d'Avranches qu'une légende lie à la forêt locale.
En 1889, Saint-Sever devient Saint-Sever-Calvados[9]. L'adjonction du nom du département permet de contourner l'homonymie avec Saint-Sever, commune landaise liée à un autre Sever.
Le gentilé est Séverin.
Histoire
[modifier | modifier le code]L'abbaye Sainte-Marie-et-Saint-Sever est fondée au Xe siècle par Richard Goz et son fils Hugues le Loup[10].
En 1436-1437, à la suite de la révolte générale de paysans du bocage virois consécutive à l'occupation anglaise pendant la guerre de Cent Ans, l'armée composée de quatre à cinq milles insurgés, conduite par Jean Boschier, est taillée en pièces près de Saint-Sever[11].
Dans la nuit du au , un bombardier anglais s'écrase sur des maisons de la commune, faisant neuf victimes civiles. Cinq des six occupants de l'avion sont également tués dans le drame[12].
Lors de la bataille de Normandie, après un bombardement d'artillerie, le bourg de Saint-Sever est libéré le par la 28e division d'infanterie américaine, suivie de la 2e division blindée, libération facilitée par les mouvements de repli de l'armée allemande pour la contre-attaque de Mortain[13].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections politiquement significatives.
- Régionales 2015[14] :
- 1er tour (48,18 % de votants) : Union de la droite (Hervé Morin) 36,06 %, FN (Nicolas Bay) 29,33 %, Union de la gauche (Nicolas Mayer-Rossignol) 18,99 %, DLR (Nicolas Calbry) 5,29 %, EÉLV (Yanic Soubien) 5,05 %.
- 2e tour (57,91 % de votants) : Union de la droite (Hervé Morin) 44,47 %, Union de la gauche (Nicolas Mayer-Rossignol) 28,16 %, FN (Nicolas Bay) 27,38 %.
- Européennes 2014[15] (43,13 % de votants) : FN (Marine Le Pen) 26,29 %, UMP (Jérôme Lavrilleux) 24,48 %, UDI - MoDem (Dominique Riquet) 11,34 %, PS-PRG (Gilles Pargneaux) 10,57 %, EÉLV (Karima Delli) 7,99 %, DLR (Jean-Philippe Tanguy) 7,73 %.
- Législatives 2012[16] :
- 1er tour (60,83 % de votants) : Jean-Yves Cousin (UMP 48,53 %, Alain Tourret (PRG) 36,10 %, Marie-Françoise Lebœuf (FN) 8,46 %.
- 2e tour (65,21 % de votants) : Jean-Yves Cousin (UMP) 57,44 %, Alain Tourret (PRG) 42,56 %.
- Présidentielle 2012[17] :
- 1er tour (78,63 % de votants) : Nicolas Sarkozy (UMP) 33,56 %, François Hollande (PS) 24,93 %, Marine Le Pen (FN) 13,88 %, François Bayrou (MoDem) 11,59 %, Jean-Luc Mélenchon (FG) 9,43 %.
- 2e tour (81,22 % de votants) : Nicolas Sarkozy (UMP) 53,44 %, François Hollande (PS) 46,56 %.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal était composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[19].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21],[Note 2].
En 2021, la commune comptait 1 236 habitants, en évolution de +0,9 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,58 %, France hors Mayotte : +2,49 %). La démographie de Saint-Sever-Calvados montre une stabilité de la population, le nombre d'habitants au cours des deux derniers siècles s'inscrivant entre 1 704 (atteint en 1936) et 1 325 (en 1999).
Économie
[modifier | modifier le code]Tourisme
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Sever-Calvados est située au cœur du Bocage normand. Visite de l'abbaye, forêt de domaniale de Saint-Sever, camping. Commune typique du bocage en granite bleu.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame-de-Saint-Sever, ancienne abbatiale du XIIIe siècle classée au titre des monuments historiques[23]. Il s'agit d'une abbaye gothique réédifiée postérieurement à l'édifice initial roman du XIe siècle, dont il ne reste rien. L'église actuelle est la partie qui était autrefois réservée aux moines bénédictins. L'ancienne partie paroissiale ayant été détruite au début du XIXe siècle, le clocher subsistant (fin XVIIe) offre la particularité d'être séparé de la nef actuelle[24]. L'église abrite de nombreuses œuvres classées à titre d'objets[25].
- Hôtel de ville, occupant les anciens bâtiments monastiques (XVIIe siècle).
- Forêt de Saint-Sever.
- Motte castrale du Vieux Château, classée au titre des monuments historiques[26].
- Chapelle de l'Ermitage (XVIIe siècle), en forêt de Saint-Sever. Un retable, un haut-relief, des rinceaux et un buste du Christ sont classés[25].
- La gare de Saint-Sever.
- Château de Launay, propriété de la famille Tardif de Petiville, dont Guillaume Charles Sosthène Tardif de Petiville, né le à Vire et mort le à Saint-Sever, maire de Saint-Sever vers 1881, conseiller général du Calvados, lieutenant de Louveterie.
- Château de la Braiserie.
- Château Chenel.
- Sanatorium, construit en 1929, pour répondre au fléau de la tuberculose. Âgé de 38 ans, Abraham Drucker, jeune médecin, arrive comme interne. Le sanatorium a répondu parfaitement à sa mission de santé, avant d'être réorienté en 1954 vers un objectif d'éducation spécialisé, en prenant le statut d'IMP (Institut médico pédagogique).
Sports
[modifier | modifier le code]L'Union athlétique de Saint-Sever fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[27].
Un hippodrome avait été aménagé près de la gare en 1926[28], géré par la Société des courses de Saint-Sever. Il était situé sur le territoire de Sept-Frères[29] et remplaçait l'hippodrome du Pont-Busnel[30] qui était utilisé depuis 1923[31]. Des courses eurent lieu à Saint-Sever jusqu'en 1939[32].
Jumelages
[modifier | modifier le code]- Niederdorfelden (Allemagne) depuis 1973.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pierre Lemonnier (Saint-Sever, 1675 - 1757), philosophe et mathématicien.
- Abraham Drucker (1903-1983), né le à Davideni près de la ville de Czernowitz en Bucovine du Nord (à l’époque dans l'empire austro-hongrois, puis en Roumanie après 1918 et actuellement en Ukraine), émigré en France en 1925 où il poursuit ses études de médecine et naturalisé français en 1937[33]. Il avait épousé en 1934 Lola Schafler (née le à Vienne), d'origine autrichienne, avec qui il a eu trois fils (Jean, Michel, Jacques). Cette même année, après avoir travaillé en Bretagne, il obtient un poste de médecin-interne au sanatorium de Saint-Sever, en spécialité tuberculose osseuse. Sa femme est, quant à elle, employée comme infirmière. Deux ans plus tard (en septembre), il est mobilisé sous le drapeau français en tant qu'infirmier puis médecin, jusqu’en . Après la Libération, le « médecin de famille et de campagne » s'installe à Vire où un bâtiment de l'hôpital, porte désormais son nom (« le frère d’Abraham, Maurice, interne lui aussi à Saint-Sever entre 1937 et 1939, serait mort en Roumanie après son arrestation fin 1944… »).
- Jean Drucker (1941-2003), haut responsable de la télévision française.
- Michel Drucker (né en 1942), présentateur de télévision.
- Allain Gaussin (né en 1943 à Saint-Sever-Calvados), compositeur.
- Arnold Turboust (né en 1959 à Saint-Sever-Calvados), compositeur, chanteur, musicien et producteur français.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune de Saint-Sever-Calvados se blasonnent ainsi : D'azur aux trois gerbes de blé d'or[34]. Ce blason est celui de la famille Goz, seigneurs d'Avranches, puis comtes de Chester, anciens seigneurs de la baronnie de Saint-Sever (éteinte). |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale 2021.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
- « Les unités de paysage : Unité 4.4.1 - Le Bassin de Vire dans son écrin de hauteurs boisées » [PDF], sur basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr, Dreal Basse-Normandie (consulté le ).
- « Les unités de paysage : Unité 4.4.4 - Le Haut Bocage transparent, aux talus en dentelle » [PDF], sur basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr, Dreal Basse-Normandie (consulté le ).
- « Géologie du territoire de Saint-Sever-Calvados » sur Géoportail.
- Distances orthodromiques selon le site Lion 1906
- « Pluviométrie interannuelle. Normale 1970-2000 » (consulté le ) (archive Wikiwix du site www.basse-normandie.ecologie.gouv.fr).
- « Saint-Sever-Calvados » sur Géoportail.
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- André Laroze, Saint-Sever et son abbaye, Villedieu-les-Poêles, , p. 6.
- Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 143.
- « L'Ouest-Éclair : journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercial », sur Gallica, (consulté le ).
- « Saint-Sever-Calvados (14 Calvados) La Libération », sur normandie44lamemoire.com (consulté le ).
- « Résultats des élections régionales 2015 », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Résultats des élections européennes 2014 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
- « Résultats des élections législatives 2012 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
- « Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
- « Jean-Pierre Nourry succède à Claude Leménorel », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- Réélection 2014 : « Saint-Sever-Calvados (14380) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
- « Église », notice no PA00111721, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'Église Abbatiale — Site officiel de la Mairie de Saint Sever Calvados » (consulté le ).
- « Œuvres mobilières à Saint-Sever-Calvados », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Motte castrale », notice no PA00111722, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – U.A. St-Sever » (consulté le ).
- L'Ouest-Éclair du 13 juillet 1926 sur Gallica
- L'Ouest-Éclair du 14 juillet 1927 sur Gallica
- L'Ouest-Éclair du 4 septembre 1924 sur Gallica
- L'Ouest-Éclair du 22 août 1923 sur Gallica
- L'Ouest-Éclair du 4 avril 1939 sur Gallica.
- « La famille Drucker », sur memoire-viretuelle.fr (consulté le ).
- « GASO, la banque du blason - Saint-Sever-Calvados »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le )
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- Résumé statistique de Saint-Sever-Calvados sur le site de l'Insee
- Inventaire des archives communales sur le site des Archives départementales du Calvados