La ville de Saint-Amand-Montrond a été bâtie dans une cuvette naturelle autour de la Marmande, en amont de son confluent avec le Cher. Le site s'élève au nord, en direction de Bourges, vers la Champagne berrichonne, et au sud en direction de Montluçon, juste après le canal de Berry qui traverse la ville du sud-est au sud-ouest.
La ville est la capitale du Boischaut Sud, zone de bocages et d'élevage. Elle est installée au contact de deux régions à vocations agricoles complémentaires : au sud, la région du Boischaut (bocage, bovins) ; au nord, le secteur de la Champagne berrichonne (culture de céréales). La commune se situe au pied du front de la cuesta.
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Saint-Amand-Montrond, commune comprise entre 148 et 312 m d'altitude, est surplombée au nord par les hauteurs de la Tour (matérialisée par la tour Malakoff), et au sud par le Petit Tertre et le Grand Tertre.
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[2].
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La ville est implantée de part et d'autre du lit de la Marmande, qui se jette en aval dans le Cher. L'eau affleurant sur la commune, site d'anciens marécages, de nombreux jardins disposent d'un trou d'eau, dont le niveau varie néanmoins fortement en fonction de la pluviométrie.
La rivière du Cher délimite la frontière occidentale de la commune avec la commune voisine d'Orval, à laquelle elle est reliée par deux ponts routiers.
Le canal de Berry, alimenté en eau par le Cher, se trouve plus au sud et légèrement surélevé par rapport à la Marmande.
Le lac de Virlay forme un plan d'eau de plaisance à l'ouest de la commune.
Le transport public urbain est assuré depuis par une navette gratuite, nommée Pepita[3]. Elle dessert 35 arrêts répartis dans toute la ville. La commune est desservie par la ligne 150 du réseau de transport départemental du Cher Lignes 18, de Châteaumeillant à Bourges[4].
La commune est à proximité de l'autoroute A71. La gare de péage est située sur la commune d'Orval.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 725 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orval à 2 km à vol d'oiseau[7], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Statistiques 1991-2020 et records ORVAL (18) - alt. : 165 m, lat : 46°43'18"N, lon : 2°28'59"E Records établis sur la période du 01-09-1990 au 31-12-2020
Au , Saint-Amand-Montrond est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Amand-Montrond, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Amand-Montrond, dont elle est la commune-centre[Note 1],[13]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
prairies (50,4 %), zones urbanisées (28,7 %), forêts (6,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,2 %)[16].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[20]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 4 194 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 4194 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2018, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[17].
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[22].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].
La commune est en outre située en aval du barrage de Rochebut, de classe A[Note 2] et faisant l'objet d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].
Deux cités se partagent son territoire au Moyen Âge : Saint-Amand-le-Chastel et Saint-Amand-sous-Montrond, les deux villes sont dominées par la forteresse de Montrond qui soutint le siège de l'armée royale lors de la fronde des princes en 1652.
Pendant onze mois, l'ensemble souffrit de démolitions sur les enceintes fortifiées, le logis seigneurial magnifiquement restauré et meublé par le duc de Sully, puis par Louis Ier et le Grand Condé, survécut dans l'indifférence de ses propriétaires jusqu'aux années 1775. Là, il servit de carrière de pierre au descendant du Grand Condé, puis à la population lors de la Révolution et dans la première moitié du XIXe s. Les lambeaux du château furent rasés vers 1830 et un parc y fut aménagé par la suite. Les ruines ressortent de terre depuis 1971 grâce à l'action de l'association locale de sauvegarde du Cercle d'Histoire et d'Archéologie du Saint-Amandois (CHASA) qui a fortement contribué à restituer les élévations de l'ancienne forteresse et y propose des visites.
Deux autres petits châteaux existaient aussi :
Le petit château de Saint-Amand le Chastel (XIe s.) a été détruit à la fin du XVIIe s. Il était le plus ancien et était un sous-fief de la seigneurie de Charenton-du-Cher.
Un sous-fief de Montrond, le château du Vernet datant du XIVe/XVe s., s'est illustré modestement lui aussi lors de la Fronde en 1652. Bien plus tard, il abrita des soldats américains qui résidèrent entre 1918 et 1919 à Saint-Amand, puis, par ce biais fut vendu à un antiquaire parisien à destination d'un milliardaire des Amériques. Certaines pierres y auraient été remontées dans une construction moderne, le dernier petit château, aujourd'hui disparu, a été rasé en deux temps entre 1920 et 1921, une première phase de récupération des pierres de : cheminées, fenêtres, lucarnes et autre éléments architecturaux, puis destruction complète.
De cet ensemble il ne reste que la Bonne-Dame-de-la-Pitié, route de Meillant, petit oratoire du XVe, élevé par le seigneur Le Borgne du Lac, alors propriétaire des lieux, à son retour de Croisade, et les bâtiments agricoles et des métayers attenant au château. Pratiquement à son emplacement existe aujourd'hui le vélodrome de la ville.
En parallèle, des moines s'installent sur un site et créent la Maison Dieu (aujourd'hui la bibliothèque). Une première abbaye aurait été fondée par saint Théodulphe sur une île de la rivière de la Marmande. La cité (Saint-Amand-le-Chastel) s'est développée autour du monastère, fondé au VIIe siècle ; saint Amand, disciple de saint Colomban et évêque de Maastricht, aux Pays-Bas, a évangélisé la région et aurait vécu un temps ici.
Après bien des vicissitudes, la ville est intégrée au Cher lors de la création des départements. Elle est considérée actuellement comme appartenant au Berry. Les deux villes de Saint-Amand-le-Chastel et Saint-Amand-sous-Montrond, furent tantôt dans le Berry, tantôt dans le Bourbonnais, tantôt l'une en Berry alors que l'autre en Bourbonnais. Seule la Révolution mit un terme à cela et unifia les deux différentes villes qui au gré de leurs seigneurs et de ses propriétés (alliances, unions, achats, guerres) glissaient dans une province ou dans l'autre.
Le , les troupes de résistants locaux arrêtent au siège de la milice locale, Simone Bout de l’An, épouse de Francis Bout de l’An, secrétaire général de la Milice française. Elle est retenue comme otage, ainsi que treize miliciens et six autres femmes de leurs amies[28]. Le 8 juin, les troupes de soldats parachutistes allemands entrent dans la ville tôt le matin, guidées par des miliciens locaux, et incendient le centre-ville, exécutent des civils contre un mur, tirent sur la population[29]et rassemblent 300 otages dont 120 sont envoyés à Vichy.[réf. nécessaire]
Les résistants fuient et se réfugient dans le maquis de la Creuse : poursuivis par la Wehrmacht, ils échangent les six femmes contre soixante prisonniers de Saint-Amand-Montrond, puis fusillent les miliciens le [28]. Aussitôt, les miliciens de Saint-Amand procèdent à l’arrestation de 76 personnes dont les juifs vivant à Saint-Amand depuis la débâcle, ceux-ci étant originaires de Paris, du Nord, de Lorraine ou d’Alsace.
Après un tri, 70 sont mis en prison. Ils sont massacrés petit à petit : 36 d’entre eux sont extraits progressivement et jetés vivants dans les puits de Guerry à Savigny-en-Septaine. Leurs dépouilles ne seront retrouvées que six mois plus tard, sur le témoignage du seul survivant de ce massacre, Charles Krameisen, et seront exhumées afin de leur rendre une sépulture décente[28].
En 1952, la ville est décorée de la Croix de Guerre avec étoile d'argent[30].
Un monument construit par Georges Jeanclos, a été érigé à l'initiative du maire Thierry Vinçon, avec l’aide de Monique Audry. Il est inauguré le en présence de Georges Kiejman, « enfant caché dans le pays », Didier Cerf, délégué régional du comité français pour Yad Vashem, et Shlomo Morgan, ministre-conseiller à l’information près l’ambassade d’Israël en France.
L'année 1946 est marquée par la fermeture de la maison close du Petit Moulin Rouge, rue du Cheval-Blanc dans le quartier du Cheval-Blanc, qui fut une plaque tournante de la prostitution dans le sud du Cher. L'ancien hôtel des Trois Perdrix, alors rue d'Austerlitz, était malgré son standing l'un des autres endroits de la ville fréquentés par les prostituées[31].
La ville a majoritairement été menée par des personnalités de droite au cours des dernières décennies, dont Maurice Papon, Serge Vinçon et Thierry Vinçon.
En 1971, Maurice Papon devient maire de Saint-Amand-Montrond, fonction qu'il occupe jusqu'en 1983. Se proposant comme son successeur, Serge Vinçon devient alors l'édile de la ville de 1983 à 2007, année durant laquelle ses conditions de santé l'empêchent de se représenter.
En 2020, Marie Blasquez et Emmanuel Riotte décident de se porter têtes de deux listes sans étiquette. C'est Emmanuel Riotte qui est élu au premier tour des élections municipales.
Sa femme et son enfant, accompagnés d'un équipage et d'un médecin, tentent de le rejoindre, mais tous périssent terrassés par la faim et la fatigue pendant le voyage, sauf Isabel qui parvient à retrouver son mari 21 ans plus tard. Jean et Isabel s'installent alors à Saint-Amand où ils vécurent jusqu'à leur mort en 1792[33].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[36],[Note 3].
En 2021, la commune comptait 9 459 habitants[Note 4], en évolution de −4,64 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Au niveau de l'enseignement primaire[39], la ville abrite l'école maternelle Mallard, les écoles maternelles et élémentaires des Buissonnets et du Vernet, ainsi que l'école élémentaire Marceau.
L'enseignement secondaire est assuré par plusieurs établissements :
le collège Jean-Moulin et le collège Jean-Valette[40]. L'actuel Collège Jean-Valette a été construit en 1990, après avoir déménagé depuis ses anciens locaux situés à proximité de l'Hôtel de Ville. Celui-ci peut se servir des installations sportives aux alentours comme le gymnase Baraton, le gymnase de l'Étoile ou encore le terrain de tennis. Au centre du bâtiment se trouve le CDI (centre d'information et de documentation). Aucune classe n'est rectangulaire et il y a de grandes baies vitrées. Le « Dépit du Poète », œuvre du sculpteur Jean Valette, est la statue située sur le parking devant le collège[41] ;
les lycées professionnels Jean-Moulin et Jean-Guéhenno, et le lycée d'enseignement général Jean-Moulin[42].
La ville héberge en outre un institut médico-social (APEI de Saint-Amand-Montrond).
Saint-Amand-Montrond se présente comme une ville de cyclisme. Elle possède son propre vélodrome, dit Gesset, et a notamment été ville d'arrivée du Tour de France, en 2001, lors de la 18e étape depuis Montluçon. Il s'agissait d'un contre-la-montre individuel de 61 km. L'étape a été remportée par l'américain Lance Armstrong (Équipe cycliste Discovery Channel).
La ville héberge l'Étoile Saint Amandoise, avec en 2011, une équipe « Détente » teamgym championne de France. Cette équipe a changé de catégorie en 2013 et s'est placée vice-championne de France en catégorie passion, face à des équipes évoluant en international. L'équipe 2 teamgym elle aussi montée de catégorie et évoluant en « détente », est championne de France.
Les ruines du château de Montrond, ancienne plus grande forteresse de France (XVIIe siècle), successivement propriété des d'Albret, Culan, Sully, princes de Condé[48].
L'église de l'ancien couvent des Capucins datant des années 1630/1660 consacrée à saint Roch, attenante à l'hôpital actuel.
Le musée Saint-Vic, installé dans une demeure du XVIe siècle, et son jardin public : collections locales, de −100 000 à nos jours. Arbre aux sabots (création de Louis Touzet, bois, 1re moitié du XXe siècle), descente de Croix, Charles II d'Amboise (huile sur bois par Bernardino de Conti, XVIe siècle), buste du Grand Condé, tête d'enfant (sculpture provenant du site antique de Drevant).
Le marché couvert ou halle (milieu du XIXe siècle).
Le centre ville ancien. Nombreux hôtels particuliers XVIIe – XVIIIe siècle.
L'esplanade des Justes, inaugurée le mercredi .
La tour Malakoff, érigée par le général-marquis de Rochechouart-Mortemart en l'honneur des troupes victorieuses de Napoléon III durant la campagne de Crimée. Elle porte la mention « Gloire immortelle à l'Armée d'Orient - ».
Saint-Amand-Montrond est historiquement une ville de bijouterie et d'orfèvrerie.
L'école municipale d'art Théogène-Chavaillon dispense des cours de dessin, peinture, reliure, calligraphie, sculpture, céramique et autres techniques d'arts plastiques.
En 2023, le musée du Louvre récupère La chasse au cerf sur l’île de Java, une toile de Raden Saleh que le musée a prêté à la mairie en 1912. De façon inattendue, le décrochage du tableau fait apparaitre un plan de la ville marouflé sur le mur et portant la date de 1935[50],[51].
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Les Foires d’Orval, créées en 1431[53], se déroulent chaque année à l’automne. Elles débutent un mercredi en commençant par la course de cyclisme, dont la première édition a eu lieu en 1946. Les foires d’Orval comportent de nombreux manèges : 120 à 130 attractions comme la chenille, le musée hanté, le train fantôme, le Discovery. Il y a aussi des défilés (le défilé des attelages, le défilé des orchestres), et la grande braderie. Des concerts sont organisés à la Cité de l’Or. Le dernier dimanche une brocante vient clore les foires[54].
Le festival de la magie a lieu tous les ans depuis 2012. Il se déroule à la Cité de l'or en automne. Les après-midis, il y a des ateliers pour les enfants : sculptures de ballons, ateliers de magie... Pendant ce festival, de nombreux artistes renommés viennent se présenter[55].
Les Affouages, festival d'arts et de traditions populaires créé en 1985 à Saint-Amand-Montrond. Les Affouages reçoivent en alternance des groupes de danses folkloriques français ou étrangers. On compte déjà plus de 6 000 participants en 2017[56].
Yvonne Maëlec (1881-1971), née à Saint-Amand-Montrond, chanteuse lyrique et actrice de théâtre et de cinéma.
Amédée Ponceau (1884-1948), né à Saint-Amand-Montrond, philosophe.
Louis Lecoin (1888-1971), né à Saint-Amand-Montrond, militant pacifiste et libertaire.
Jean-Joseph-Léonce Villepelet (né le à Saint-Amand-Montrond et mort le 23 janvier 1982), est un prélat français, évêque de Nantes de 1936 à 1966.
Robert Lazurick (1896-1968), avocat, député-maire SFIO de Saint-Amand-Montrond, embarqué sur le Massilia en 1940, révoqué en 1942, puis créateur et directeur du journal L'Aurore.
Paul Mousset (1907-1981), écrivain et journaliste, né à Saint-Amand-Montrond.
Maurice Papon (1910-2007), ancien député-maire de Saint-Amand-Montrond (1971-1983), condamné en 1998 pour complicité de crime contre l'humanité.
Michel Blanc-Dumont (1948-), dessinateur de bande dessinée "Cartland", "Colby", "La jeunesse de Blueberry".
Serge Vinçon (1949-2007), professeur de collège, maire de Saint-Amand-Montrond (1983-2007), président du Conseil général du Cher (1998-2001), sénateur (1989-2007), vice-président du sénat (2001-2004), président de la commission de la défense et des affaires étrangères du sénat (2004-2007).
Les armes de Saint-Amand-Montrond se blasonnent ainsi :
Écartelé d'or aux trois fasces de gueules et de gueules plain[57].
Par ailleurs, Malte-Brun donne : De sinople à l'épée en pal d'argent, la pointe en l'air, la poignée en or, accostée de fleurs de lis de même[58]. En fait, jusqu'en 1945, la ville a porté par erreur le blason de Saint-Amand-les-Eaux.
Édouard Brody de Lamotte, « Le culte de la Nouvelle Jérusalem à Saint-Amand-Montrond (1837-1937) », Mémoires de la Société des antiquaires du Centre 1936-1937, Bourges, vol. XLVII, 1938, p. 133-173 (lire en ligne)
Fernand Dumonteil, Une ville seigneuriale en 1789, Saint-Amand-Montrond, Bourges, impr. de H. Sire, 1887, 286 p. (SUDOC064578402, lire en ligne).
Jean Guerin, Un demi-siècle d'élections municipales à Saint-Amand-Montrond 1945 - 1995.
Micheline Hugues, La vie citadine en Berry et Bourbonnais au XVIIIe siècle : Agnès Fouquet, une bourgeoise de Saint-Amand, 1711-1797, Issoudun, A. Lyner, 2012, 311 p. (ISBN978-2-918352-24-2, BNF42606632, SUDOC159912172).
Victor Mallard, Histoire des deux villes de Saint-Amand et du château de Montrond [Fac-sim. de l'éd. de Saint-Amand-Montrond : Impr. Destenay, 1895], Péronnas, les Éd. de la Tour Gile, 1998, 509 p. (ISBN2-87802-333-1, BNF37067992, SUDOC184295610, lire en ligne).
Raymond Soulat, Saint-Amand-Montrond et le Saint-Amandois, Saint-Amand, R. Soulat, 1975 (BNF34723082, SUDOC000659355).
Une Ville et son terroir : Saint-Amand-Montrond : colloque 28 et 29 septembre 1985, Association des Amis du Musée Saint-Vic, 1987, 157 p. (SUDOC022100806).
Léandre Boizeau, "Le 1er Régiment de France à Saint-Amand-Montrond et Le Blanc", La Bouinotte, no 85, p. 16-19, 2003.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, 18 juin 2010 (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 28 décembre 2023)
↑Roger de Figuères, Les Noms révolutionnaires des communes de France: listes par départements et liste générale alphabétique, 1901, page 15
↑B. Vannier et P. Abauzit, « Découverte d'une nécropole de la civilisation des champs d'urnes à Orval, près St-Amand-Mont Rond (Cher) », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 4, no 2, 1965, p. 125-140 (lire en ligne, consulté le 11 juillet 2018), p. 125.
↑« La répression en France à l’été 1944 », Fondation de la Résistance « Actes du colloque organisé par la Fondation de la Résistance et la ville de Saint-Amand-Montrond », 8 juin 2005 (lire en ligne [PDF], consulté le 11 juillet 2018).
↑Olivier Trotignon, « Le livre de Meslon » [PDF], Extraits du registre de contrôle de police de la circulation des prostituées de l’ancienne maison close de Saint-Amand-Montrond, sur le-livre-de-meslon.com (consulté le 11 juillet 2018).
↑Centre France, « Environnement - Saint-Amand-Montrond perd sa quatrième fleur », www.leberry.fr, novembre 2016 (lire en ligne, consulté le 11 novembre 2016)