Continuous Struggle (Italian:Lotta Continua, LC) was a far leftextra-parliamentary organization in Italy. It was founded in autumn 1969 by a split in the student-worker movement of Turin, which had started militant activity at the universities and factories such as Fiat. The first issue of Lotta Continua's eponymous newspaper was published in November 1969, and publication continued until 1982 after the organization disbanded in 1976.
Focusing
Lotta Continua focused on spreading radicalisation from students and youth to workers, and played a large role in setting up social centres. Its influence was greatest among recently immigrated, young, unqualified workers in large factories, while the "traditional" working class kept its allegiance to the Italian Communist Party and the trade union movement.
Among the newspaper's enduring features was Roberto Zamarin's comic strip "Gasparazzo", which poignantly and humorously related the struggles of a worker at a Fiat plant.
The group's leadership included Adriano Sofri, Mauro Rostagno, Guido Viale, Giorgio Pietrostefani, Erri De Luca, Paolo Brogi and Marco Boato. Other notable contributors included Gad Lerner and Alexander Langer. Since Italian law required that every newspaper needed a professional journalist to act as its "responsible editor", for some time Pier Paolo Pasolini lent his name in order to allow Lotta Continua's publication.
Fessenheim : la folle histoire de la fermeture d'une entreprise en bonne santé
Alors que la centrale fonctionne très bien et que cela risque d'avoir des conséquences économiques comme écologiques, le premier réacteur de la centrale de Fessenheim sera arrêté la nuit prochaine à la demande du gouvernement qui souhaite adresser un message aux écologistes. Selon Nicolas Beytout, c'est une mauvaise décision.
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published: 21 Feb 2020
Fessenheim, la centrale sacrifiée - Docunews
A 2h du matin, cette nuit, le réacteur numéro 1 de la centrale de Fessenheim sera éteint après 43 ans d’activité.
A la rencontre de ceux qui y ont travaillé et celles qui l’ont combattue : les fameuses « guêpes » de Fessenheim.
published: 25 Feb 2020
Pourquoi la fermeture de Fessenheim revient comme un boomerang sur Macron?
POLITIQUE - Fessenheim à la Une. Avec la crise énergétique, le débat autour de la fermeture de la centrale nucléaire alsacienne refait surface. Emmanuel Macron est accusé par certains élus pro-nucléaire, surtout à droite ou à l’extrême droite de l’échiquier politique, d’être en partie responsable des difficultés de la France à l’orée d’un hiver de « sobriété. »
Son erreur, selon eux ? Avoir mis un terme à l’exploitation de la fameuse centrale nucléaire, la plus vieille du parc français en février puis en juin 2020. Les deux réacteurs, en activité depuis la fin des années 70, fournissaient pourtant à l’époque un peu moins de 3 % de la production électrique d’origine nucléaire française.
Malgré des débats éruptifs, aujourd’hui encore, le président de la République assume son choix, « le pl...
published: 08 Sep 2022
Fermeture de Fessenheim: les pro-nucléaire qui dénoncent un "contre-sens écologique"
Une fausse bonne idée? La fermeture de la centrale de Fessenheim provoque l'ire des pro-nucléaires qui jouent "au plus écolo".
published: 30 Jun 2020
Sarkozy ironise sur les risques à la centrale de Fessenheim
"On a peur de quoi? D'un tsunami sur le Rhin?", a moqué mardi Nicolas Sarkozy en allusion àla catstrophe de Fukushima. Il a redit son opposition à la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, au cours d'une journée de travail de Les Républicains sur l'environnement. La fermeture de Fessenheim a été confirmée par François Hollande pour cette année la semaine dernière lors d'une conférence environnementale, assurant que la transition énergétique du pays était bel et bien engagée.
Alors que la centrale fonctionne très bien et que cela risque d'avoir des conséquences économiques comme écologiques, le premier réacteur de la centrale de Fess...
Alors que la centrale fonctionne très bien et que cela risque d'avoir des conséquences économiques comme écologiques, le premier réacteur de la centrale de Fessenheim sera arrêté la nuit prochaine à la demande du gouvernement qui souhaite adresser un message aux écologistes. Selon Nicolas Beytout, c'est une mauvaise décision.
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A 2h du matin, cette nuit, le réacteur numéro 1 de la centrale de Fessenheim sera éteint après 43 ans d’activité.
A la rencontre de ceux qui y ont travaillé et ...
A 2h du matin, cette nuit, le réacteur numéro 1 de la centrale de Fessenheim sera éteint après 43 ans d’activité.
A la rencontre de ceux qui y ont travaillé et celles qui l’ont combattue : les fameuses « guêpes » de Fessenheim.
A 2h du matin, cette nuit, le réacteur numéro 1 de la centrale de Fessenheim sera éteint après 43 ans d’activité.
A la rencontre de ceux qui y ont travaillé et celles qui l’ont combattue : les fameuses « guêpes » de Fessenheim.
POLITIQUE - Fessenheim à la Une. Avec la crise énergétique, le débat autour de la fermeture de la centrale nucléaire alsacienne refait surface. Emmanuel Macron ...
POLITIQUE - Fessenheim à la Une. Avec la crise énergétique, le débat autour de la fermeture de la centrale nucléaire alsacienne refait surface. Emmanuel Macron est accusé par certains élus pro-nucléaire, surtout à droite ou à l’extrême droite de l’échiquier politique, d’être en partie responsable des difficultés de la France à l’orée d’un hiver de « sobriété. »
Son erreur, selon eux ? Avoir mis un terme à l’exploitation de la fameuse centrale nucléaire, la plus vieille du parc français en février puis en juin 2020. Les deux réacteurs, en activité depuis la fin des années 70, fournissaient pourtant à l’époque un peu moins de 3 % de la production électrique d’origine nucléaire française.
Malgré des débats éruptifs, aujourd’hui encore, le président de la République assume son choix, « le plus rationnel », disait-il lundi 5 septembre. Mais qu’en est-il vraiment ? Fallait-il prendre cette décision ? Et surtout quelles sont les conséquences de ces stratégies aujourd’hui ? Voici quelques éléments de réponse, dans la vidéo en tête de l’article.
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POLITIQUE - Fessenheim à la Une. Avec la crise énergétique, le débat autour de la fermeture de la centrale nucléaire alsacienne refait surface. Emmanuel Macron est accusé par certains élus pro-nucléaire, surtout à droite ou à l’extrême droite de l’échiquier politique, d’être en partie responsable des difficultés de la France à l’orée d’un hiver de « sobriété. »
Son erreur, selon eux ? Avoir mis un terme à l’exploitation de la fameuse centrale nucléaire, la plus vieille du parc français en février puis en juin 2020. Les deux réacteurs, en activité depuis la fin des années 70, fournissaient pourtant à l’époque un peu moins de 3 % de la production électrique d’origine nucléaire française.
Malgré des débats éruptifs, aujourd’hui encore, le président de la République assume son choix, « le plus rationnel », disait-il lundi 5 septembre. Mais qu’en est-il vraiment ? Fallait-il prendre cette décision ? Et surtout quelles sont les conséquences de ces stratégies aujourd’hui ? Voici quelques éléments de réponse, dans la vidéo en tête de l’article.
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"On a peur de quoi? D'un tsunami sur le Rhin?", a moqué mardi Nicolas Sarkozy en allusion àla catstrophe de Fukushima. Il a redit son opposition à la fermeture ...
"On a peur de quoi? D'un tsunami sur le Rhin?", a moqué mardi Nicolas Sarkozy en allusion àla catstrophe de Fukushima. Il a redit son opposition à la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, au cours d'une journée de travail de Les Républicains sur l'environnement. La fermeture de Fessenheim a été confirmée par François Hollande pour cette année la semaine dernière lors d'une conférence environnementale, assurant que la transition énergétique du pays était bel et bien engagée.
"On a peur de quoi? D'un tsunami sur le Rhin?", a moqué mardi Nicolas Sarkozy en allusion àla catstrophe de Fukushima. Il a redit son opposition à la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, au cours d'une journée de travail de Les Républicains sur l'environnement. La fermeture de Fessenheim a été confirmée par François Hollande pour cette année la semaine dernière lors d'une conférence environnementale, assurant que la transition énergétique du pays était bel et bien engagée.
Alors que la centrale fonctionne très bien et que cela risque d'avoir des conséquences économiques comme écologiques, le premier réacteur de la centrale de Fessenheim sera arrêté la nuit prochaine à la demande du gouvernement qui souhaite adresser un message aux écologistes. Selon Nicolas Beytout, c'est une mauvaise décision.
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POLITIQUE - Fessenheim à la Une. Avec la crise énergétique, le débat autour de la fermeture de la centrale nucléaire alsacienne refait surface. Emmanuel Macron est accusé par certains élus pro-nucléaire, surtout à droite ou à l’extrême droite de l’échiquier politique, d’être en partie responsable des difficultés de la France à l’orée d’un hiver de « sobriété. »
Son erreur, selon eux ? Avoir mis un terme à l’exploitation de la fameuse centrale nucléaire, la plus vieille du parc français en février puis en juin 2020. Les deux réacteurs, en activité depuis la fin des années 70, fournissaient pourtant à l’époque un peu moins de 3 % de la production électrique d’origine nucléaire française.
Malgré des débats éruptifs, aujourd’hui encore, le président de la République assume son choix, « le plus rationnel », disait-il lundi 5 septembre. Mais qu’en est-il vraiment ? Fallait-il prendre cette décision ? Et surtout quelles sont les conséquences de ces stratégies aujourd’hui ? Voici quelques éléments de réponse, dans la vidéo en tête de l’article.
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Continuous Struggle (Italian:Lotta Continua, LC) was a far leftextra-parliamentary organization in Italy. It was founded in autumn 1969 by a split in the student-worker movement of Turin, which had started militant activity at the universities and factories such as Fiat. The first issue of Lotta Continua's eponymous newspaper was published in November 1969, and publication continued until 1982 after the organization disbanded in 1976.
Focusing
Lotta Continua focused on spreading radicalisation from students and youth to workers, and played a large role in setting up social centres. Its influence was greatest among recently immigrated, young, unqualified workers in large factories, while the "traditional" working class kept its allegiance to the Italian Communist Party and the trade union movement.
Among the newspaper's enduring features was Roberto Zamarin's comic strip "Gasparazzo", which poignantly and humorously related the struggles of a worker at a Fiat plant.
The group's leadership included Adriano Sofri, Mauro Rostagno, Guido Viale, Giorgio Pietrostefani, Erri De Luca, Paolo Brogi and Marco Boato. Other notable contributors included Gad Lerner and Alexander Langer. Since Italian law required that every newspaper needed a professional journalist to act as its "responsible editor", for some time Pier Paolo Pasolini lent his name in order to allow Lotta Continua's publication.
na na na donne-moi ton coeur na na na chaque fois je suis dans la rue et avec tout mes pleurs je resiste chaque fois je danse avec toi nos parfum ne se melange pas chaque fois tu es dans ma memoire et j'appelle le plaisir de la nuit quand je deviendrai très douce tu cherchera ma bouche c'est mieux pour moi na na na un tango qui fait na na na mirages qui seront dans tes bras ton ame et passion son pour moi donne-moi ton coeur na na na chaque fois je pense au passé déja tu appartient au dossier classés chaque fois je pense au present et je te deviens tout tout doucement chaque fois je pense au futur et tu disparais dans une tres grande allure font j'en perd la raison je sens en moi la passion c'est mieux pour moi na na na un tango qui fait na na na mirages qui seront dans tes bras ton ame et passion son pour moi donne-moi ton coeur na na na ce soir danse avec moi suis mes pas suis mes pas je te seduirais na na na