Bonjour
Au début j’étais un peu pessimiste car je ne faisais pas confiance aux offres de prêt sur le net. Mais après qu’un ami à moi aie bénéficié d’un prêt auprès d’eux, ma curiosité m’a poussée à prendre son contact par mail et après leur avoir posé mon problème ils acceptèrent et m’ont octroyé un prêt de 40000€ avec un taux d’intérêt vraiment faible de sa part et j’ai reçu l’argent 24H après sans protocole sur mon compte. Vous qui êtes dans le besoin d’argent dans l’urgence, vous pouvez vous adresser à eux et vous serez satisfait en 24h maximum si vous suivez bien ses directives.
Voici leur mail:
agenceglcc @ gmail. com
1 message - 1 participant(e)
]]>Bravo à vous pour avoir lancé ça !
J’ai lu avec attention l’histoire de la création, et c’est pratiquement les mêmes questions qui nous on traversé lors de nombreuses discussions dans des collectifs de libristes/maker en tiers lieux.
Dans ces lieux collectifs, les réunions sont souvent aussi nombreuses que les projets de zinzin qui trouvent de la ressource humaine pour les réaliser 🙂
Et le travail de compte rendu est très souvent harassant … épuisant … et pourtant, impossible de faire communauté si il n’existe pas de documentation.
Whipser n’est pas une IA générative, vous avez raison de le souligner, nous ne sommes pas du tout dans le même ordre de grandeur de gabegie écologique et sociale.
Ici, on parle d’une technologie qui existe depuis très longtemps et qui permet à de nombreux collectifs de trouver du temps pour créer, pour s’émanciper.
J’ai beaucoup tourné avec du whisper + pyannote et longtemps rêvé d’une interface graphique que chacun puisse utiliser.
J’ai pas mal utilisé Linto Studio aussi de Linagora.
Peut être un peu complexe encore pour tout un chacun.
Du coup, merci d’avoir fabriqué Lokas !
Merci de participer à l’émancipation de nos structures collectives 🙂
Lachez rien, longue vie à Framasoft 🙂
Incredibly well done! Outstanding effort! Sincerely appreciate it, team!
]]>En réponse à Pierre.
I don’t see what could prevent it from working offline (well, if you use the client app, it will still have to be able to exchange with the server).
The client part and the server part are free.
On the other hand, the documentation for setting it up is brief (not least because running software like whisper is not always easy). https://framagit.org/framasoft/lokas/
So, for the time being, the answer is ‘yes, but you need good technical knowledge’.
If we have the financial resources, we can free up some time to improve the documentation and document different installation scenarios.
En réponse à Hugo.
(j’ai quasi arrêté Facebook/Twitter et même Mastodon, mais on me dit dans l’oreillette qu’on s’y fait cracher dessus, donc merci d’exposer vos arguments aussi posément. C’est idiot de le rappeler, mais ce sont des humain⋅es qui se prennent les commentaires en pleine face. Bref, c’est pas le sujet 🙂 )
> Je suis un peu partagé.
Ah, mais nous le sommes aussi, hein !
C’est pas parce qu’on ne fait pas un site sur l’IA avec un design-qui-fait-peur, ou parce qu’on sort une application permettant de faire du speech-to-text, que nous sommes « POUR » l’IA.
> À la fois expérimenter permet de mieux appréhender la technique et les usages éventuels.
C’est cela. Je l’explique en réponse à un autre commentaire au-dessus : https://framablog.org/2024/12/03/enregistrer-et-transcrire-vos-reunions-avec-lokas/#comment-148676
> Et en même temps, j’ai un grand sentiment de « fatigue » face à la hype autour de l’AI, y compris du côté de Nextcloud.
De nouveau : sentiment TRES partagé !
En tant que coordinateur du projet Framaspace, ça me saaoooooule les annonces de Nextcloud autour de l’IA
Je ne crois pas (et je crois que personne à Framasoft ne croit) en une « IA Ethique » (pas plus qu’il y aurait un « smartphone éthique »). On peut tout au plus limiter la casse sur certains domaines (genre la réparabilité, lutter contre l’obsolescence programmée, etc). MAIS toute IA, comme tout smartphone, est écocidaire. Point. Et je ne connais aucun processus numérique qui ne le soit pas, avec des proportions variables (afficher cette page dans votre navigateur, sur votre ordinateur, avec votre electricité, etc EST écocidaire).
Par contre, si on reste sur le projet Framaspace par exemple, vous aurez noté que nous avons désactivé TOUTES les fonctionnalités liées à l’IA (alors que si on avait été IA-béat⋅es, ça ne nous aurait pas coûté grand chose de les activer).
> Est-ce que la retranscription de réunion répond à un vrai besoin exprimé ?
Clairement, quand la question est posée (et on l’a posée à un paquet de membres d’asso) : oui.
Maintenant, la réponse était surtout : « oui, mais il faut que ça marche « bien » ! »
Et là, tout aussi clairement, Lokas est un prototype : l’app ne fait pas de traduction temps réel, et de mauvaises conditions (bruit, etc) nuisent grandement à la transcription.
> Je trouve que ça noie un peu le message de l’association que de faire du « on aime pas ça, mais on le fait quand même, parce que, rendez-vous compte, c’est waouh ».
Sur ce point, je suis en désaccord. On ne le fait pas parce que « rendez-vous compte, c’est waouh ».
On le fait parce que le milieu du libre a regardé passer le train de l’IA (comme celui du smartphone, comme celui du SaaS, etc), avec un sentiment d’arrogance, voir de morgue, pendant des années.
On le fait parce que les communautés « alter » (parmi lesquelles on peut placer Framasoft) ont BESOIN de débattre de l’IA et de la place du numérique en général. Et que le débat à coup d’articles univoques, c’est bien (d’autant qu’on est plutôt de la team « L’IA, c’est caca »), MAIS à notre avis insuffisant pour sortir de l’entresoi où l’on se sent bien entre privilégiés à pouvoir boycotter l’IA (ce qui est mon cas, hein).
On le fait parce que l’IA, c’est pas **une** technologie, mais un champ de recherche, avec des centaines de technologies différentes. Certaines récentes, d’autres cinquantenaires. Certaines librement choisies, d’autres imposées à notre insu. Et que ça, ben c’est aussi notre boulot de tenter de l’expliquer.
Tout comme un⋅e journaliste se doit de croiser ses sources, Framasoft se doit de confronter ses publics aux usages et enjeux du numérique.
Le seul fait que vous, Hugo, nous interrogiez sur ce qui nous mène à cela, est pour moi la possibilité d’une dépolarisation du débat. Ce qui ne signifie pas qu’avoir une position polarisée soit mauvaise en soit, ça me va tout à fait que des personnes soient totalement contre l’usage de l’IA. Par contre, que le **débat** soit polarisé me pose souci. Parce qu’on pousse les gens à choisir une position, sans qu’iels aient nécessairement les différents arguments.
> Je suis pas contre dans l’absolu, mais alors on devrait pouvoir orienter nos dons vers « du sans IA » ; sinon vous risquez de perdre pas mal de soutien de gens qui ne voient pas l’intérêt de voir ce genre de projets soutenus. Je sais que vous n’avez jamais trop voulu orienter les dons vers tel ou tel projet. Peut-être que le raisonnement a atteint une limite ?
C’est un point de vue intéressant. Ca pourra faire partie de nos reflexions pour de prochaines campagnes (même si clairement, on préfère la notion de « pot commun » à celui de « financement par projets » 😛 )
De nouveau, je rappelle que Lokas à eu un coût total de 7 500€ environ. Ce n’est PAS un projet prioritaire pour Framasoft. En tout cas, il est loin derrière PeerTube, Framaspace, les interventions, etc.
Donc, si vous faites un don de 10€ à Framasoft, je peux d’ores et déjà vous assurer que la part de Lokas sera en gros entre 0,5€ et… 0€. Car rien ne dit, pour le moment, que nous travaillerons sur Lokas en 2025.
C’est un prototype servant à la fois à dire : « Les startups qui vous disent qu’il faut des millions de dollars et des milliers de GPU pour faire une app utilisant l’IA vous mentent : une micro-asso, avec 3 péquins et 7% du prix du prix de la Porsche Cayenne du CEO de la dite startup peuvent y arriver », mais aussi à dire « OK, ça fait des années qu’on a PAS ce débat sur l’IA, alors, parlons en sur pièce ». Typiquement, en discutant de Lokas ce midi (je bosse dans un tiers lieu), 80% des gens n’avaient aucune idée de la différence entre « IA spécialisée » et « IA généraliste ». Et bien, sans Lokas, ce débat n’aurait PAS eu lieu 🤷 (alors qu’on a déjà eu plein de débats sur l’IA et son impact écologique, par exemple).
> En tout cas c’est une tentative audacieuse 🙂
Merci de cette remarque. J’ai bien noté que vous étiez partagé, mais reconnaître « le geste » comme audacieux, nous aide à encaisser le courroux de certains.
]]>Ah, et ajoutons, spécifiquement pour Mastodon, que vous pouvez probablement soutenir les personnes qui maintiennent la plateforme sur laquelle vous êtes (par exemple pour Piaille : https://blog.piaille.fr)
]]>À Framasoft, association loi 1901, nous croyons dans le rôle des associations au sein de la société, et nous pensons que leurs actions au sein du tissu social sont fondamentales.
C'est le cœur de ce qui nous amène à proposer un projet comme Framaspace, comme décrit ici :
https://framablog.org/2022/11/15/frama-space-du-cloud-pour-renforcer-le-pouvoir-dagir-des-associations/
Le Mouvement Associatif lance également une alerte en s'adressant aux sénateurs et sénatrices, et reprenant l'avis du CESE voté en mai : https://lemouvementassociatif.org/lettre-ouverte-aux-senateurs-et-senatrices-alerte-sur-le-financement-des-associations/
]]>Grâce au soutien financier de ses donateurs et donatrices, Framasoft a la chance de ne pas subir ces attaques directement et de pouvoir continuer ses actions.
Merci infiniment pour vos dons qui nous permettent d'envisager le futur plus sereinement.
Apparemment c'est le #GivingTuesday, et comme les attaques sur le financement des associations n'ont de cesse dans un contexte de rigueur sans limite et de marchandisation des associations, on vous encourage à aider les associations qui vous tiennent à cœur, de quelque manière que ce soit.
]]>Pour en lire plus sur le sujet, allez voir par exemple du côté du Collectif des Associations Citoyennes, avec par exemple leur communiqué sur ce qu'il se passe en Pays de la Loire : https://www.associations-citoyennes.net/pays-de-la-loire-laboratoire-neoliberal/
]]>En réponse à Froggy01.
> Une fonctionnalité intéressante serait de pouvoir utiliser un fichier audio qu’on a déjà plutôt que d’accepter uniquement les enregistrements.
C’est envisagé en conclusion :
« Possibilité de (re)transcrire le fichier de son choix (par exemple issu d’une vidéo ou d’une autre application) ; »
En réponse à Cédric L.
Bonjour Cédric.
Pas de souci si vous voulez ne pas faire de don.
Comme nous l’écrivions :
> Malgré cela, nous respectons le point de vue des personnes qui souhaitent boycotter l’IA, et nous entendons la contradiction qu’iels pourraient trouver à ce qu’une asso technocritique comme Framasoft propose des projets utilisant l’I.A.
> Notre objectif est justement de proposer un outil qui permette d’avoir une réflexion concrète, afin de se forger un avis autonome, permettant à chacun et chacune de se construire sa propre position.
Cependant, je reviens sur 2 de vos phrases :
> Déjà, y’en a d’autre pour financer l’IA.
Alors, Framasoft ne finance pas l’IA. Nous ne louons pas des GPU chez Amazon, et nous ne payons pas Whisper (qui reste un logiciel libre, mais j’entends que ça n’est pas votre point).
Notre boulot, en tant qu’asso d’éducation populaire aux enjeux du numérique, ce n’est pas d’être « guide suprême », gourou, ou quelque autorité que ce soit qui vous dira quelle technologie utiliser ou pas.
(par exemple, personnellement, je suis **contre** le développement et la généralisation de l’IA, et ça fait plusieurs années que je dis que j’aurai souhaité un moratoire sur l’IA, comme il y en a un sur le clonage humain. Ca n’a pas été le cas, ça ne sera pas le cas, et tout ce qu’on aura, ce sont des textes de loi de fausse régulation tardive, a posteriori).
Notre boulot, donc, c’est d’une part de donner de l’information, qu’on espère aussi objective que possible, sourcée, factuelle. C’est à ça que sert le site https://framamia.org
N’imaginez donc pas que nous ayons envie de « financer l’IA ». Sinon, nous n’aurions pas cité (parmi d’autres) le lien https://www.contretemps.eu/humanite-survivre-ia/ dans l’article 🙂
Mais notre boulot, c’est aussi de « sortir du discours ». Parce que des articles « pour » « contre » « on va toustes mourir » « c’est génial » « c’est la merde » sur l’IA, il y en a déjà des milliers.
Il y a 20 ans, Framasoft faisait la promotion du libre sur Windows, et on se faisait (déjà) cracher dessus. Aujourd’hui, même si ~~Macron~~ Framasoft ne le veut pas, l’IA est là 🎵 (et Windows est toujours là)
Et nous pensons donc (et j’entends que c’est à tort selon vous), que juste dire « l’IA c’est caca », ça a beau être ce que l’on pense à titre personnel, ça ne suffit pas pour générer un vrai débat dans la société.
Il y a déjà plein d’assos de plaidoyer (lisez par exemple la campagne de La Quadrature, sur l’IA : https://www.laquadrature.net/donner/ : si ce discours vous convient mieux, alors soutenez les elles et eux plutôt que Framasoft ! C’est 1000 fois OK).
Framasoft, elle, s’est toujours « imposée » de rester dans le concret. Que ça soit l’annuaire, les Framabooks, les Framakeys, ou Framadate/Framapad/etc : nous voulons que les gens puissent expérimenter, sans pour autant nourrir les géants du net. Et c’est ce que, modestement, Lokas fait. Aucun fichier n’est transmis à des tiers. Zéro publicité. Zéro traceur. Côté environnemental, on l’a dit et expliqué dans l’article : ça tourne sur « nos » machines, avec un Whisper installé par nos soins, ça n’entraine aucun modèle d’IA, et ça réclame un serveur dédié (pas des milliers) mutualisé pour potentiellement plusieurs milliers de personnes (car ce n’est PAS une IA généraliste).
Bref, nous accuser de financer l’IA avec Lokas, ça serait comme m’accuser de financer Total parce que mon covoitureur a mis de l’essence dans sa voiture le WE dernier. On ne peut pas dire qu’il n’y a aucun lien, mais il faut quand même aller le chercher tres tres tres loin. Cependant, si vous pensez être suffisamment informé, de nouveau, pas de souci pour nous. Un don doit se faire librement, et nous respectons évidemment votre choix.
> le traitement est déporté, c’est donc bien du cloud computing…
J’ai quand même un doute : vous êtes conscient que pour lire cette page web, et pour y laisser votre commentaire, vous avez aussi utilisé du « cloud computing » ?
Le Framablog tourne sur un serveur dédié. Vous demandez une page. Cette requête est envoyée sur notre serveur (en Allemagne), puis traitée par différents logiciels (un pare feu, un serveur ngnix, etc), puis calculée (WordPress/PHP/ etc) pour générer un contenu HTML, puis est renvoyée à votre ordinateur ou téléphone (où elle sera encore gérée par d’autres logiciels pour afficher HTML/CSS, images, etc).
Pour votre fichier audio dans Lokas, il y a certes des différences, mais le principe reste le même. Certes le traitement est plus important que de traiter le code PHP de quelques centaines de fichiers (oui, c’est WordPress, quoi 😅 ), mais ça reste un impact tout à fait maîtrisé. Vous envoyez un fichier audio, notre serveur (installé par **nos** soins) le traite, et vous le renvoie sous forme de texte. Le tout sans rien transmettre à qui que ce soit d’autre. Point.
Alors oui, on peut appeler ça « cloud computing », mais alors appelons aussi toute action web réclamant un calcul du « cloud computing ».
Tout ça pour dire que ce que je comprends de votre remarque (je peux me planter), c’est que vous auriez préféré que nous nous contentions de dénoncer les problèmes de l’IA.
Dénoncer nous paraît essentiel. C’est pour cela qu’il est écrit dans l’article « À Framasoft, nous ne sommes pas fans du tout de l’IA. Nous pensons que cette technologie (ou plutôt cet ensemble de technologies), pose plus de problèmes qu’elle n’apporte de solutions. ». C’est aussi pour cela que nous avons créé le site https://framamia.org
Mais dénoncer ne nous paraît pas suffisant (encore une fois, d’autres le font très très bien https://danslesalgorithmes.net/ ou https://affordance.framasoft.org/category/intelligence-artificielle/ pour ne citer que les copain⋅es).
Si vous avez décidé que « boycotter l’IA » était votre manière de lutter : alors c’est la bonne manière (je le pense sincèrement).
Nous, nous avons choisi une autre manière de créer du débat (vous noterez qu’au moins, c’est efficace pour générer du débat 😉 ). Elle ne vous convient pas ? Très bien. Je ne doute pas que vous trouverez, ailleurs, d’autres collectifs qui seront plus alignés avec vos valeurs et vos modalités d’action (et c’est tant mieux, non ?)
Hi,
It looks very neat!
Will it be usable as a self-hosted offline server-client application?
P.
]]>Hello,
Je suis un peu partagé. À la fois expérimenter permet de mieux appréhender la technique et les usages éventuels. Et en même temps, j’ai un grand sentiment de « fatigue » face à la hype autour de l’AI, y compris du côté de Nextcloud.
Est-ce que la retranscription de réunion répond à un vrai besoin exprimé ?
Je trouve que ça noie un peu le message de l’association que de faire du « on aime pas ça, mais on le fait quand même, parce que, rendez-vous compte, c’est waouh ».
Je suis pas contre dans l’absolu, mais alors on devrait pouvoir orienter nos dons vers « du sans IA » ; sinon vous risquez de perdre pas mal de soutien de gens qui ne voient pas l’intérêt de voir ce genre de projets soutenus. Je sais que vous n’avez jamais trop voulu orienter les dons vers tel ou tel projet. Peut-être que le raisonnement a atteint une limite ?
En tout cas c’est une tentative audacieuse 🙂
]]>Get #Lokas, our mobile app that record and transcribe your meetings, and leave your data alone!
It's a POC, it works, it's a way for Framasoft (bonjour !) to experiment and learn if some #AI can serve the #commons…
Learn everything our blog: https://framablog.org/2024/12/03/lokas-record-and-transcribe-your-meetings-in-complete-confidentiality/
]]>Get Lokas : https://lokas.app/en/
(still in testflight on iOS, because they are 🤬)
If our non-profit is free to experiment on Lokas, it's because we are funded though your donations! Framasoft needs your support: please go to and share https://support.framasoft.org
]]>Sur la page d’accueil de l’instance mobilizon.fr, le titre est en anglais :
« Gather ⋅ Organize ⋅ Mobilize ».
Serait-ce possible de le mettre en français pour ne pas intimider le public francophone ?
Par ailleurs, serait-il possible de retirer la phrase : « Rejoignez Mobilizon, une instance Mobilizon » qui perturbe beaucoup de monde, car elle ne veut rien dire.
S’il pouvait n’y avoir que « Mobilizon.fr est l’instance Mobilizon de Framasoft. », ce serait top !
2 messages - 2 participant(e)s
]]>Une fonctionnalité intéressante serait de pouvoir utiliser un fichier audio qu’on a déjà plutôt que d’accepter uniquement les enregistrements.
]]>🎈 Framasoft a 20 ans ! 🎈
En 2008, nous embauchons notre premier salarié (@pyg pour ne pas le citer).
(Et si vous regardez la capture d'écran de site internet de l'époque, vous y apercevrez des éléments assez étonnants)
]]>Et si nous sommes fiers d'avoir pu pérenniser une dizaine d'emplois depuis, cela aurait été totalement impossible sans vos dons.
🎈 Merci ! 🎈
https://soutenir.framasoft.org/fr/
Oh non. Alors non. Je veux bien faire un don à framasoft (que je fais déjà), mais si c’est pour financer l’IA c’est non !
« Cette démo fonctionnelle est aussi une expérimentation de Framasoft dans le domaine de l’IA ».
Déjà, y’en a d’autre pour financer l’IA. Ensuite est-ce que le speech-to-text, la reconnaissance vocale est de l’IA, je ne suis pas sûr. Ah ok, le traitement est déporté, c’est donc bien du cloud computing…
Hé ben, il est hors de question que je supporte cela !
Dégoutté !
I see something like this in my peertube-server’s logs:
ERROR: [youtube] lbaemWIljeQ: Sign in to confirm you’re not a bot. Use --cookies-from-browser or --cookies for the authentication.
How can I tell PeerTube to call yt-dlp with --cookies mycokies-extracted-from-my-desktop.browser.txt
I am using v6.3.3 and production.yaml
cointains this:
import:
# Add ability for your users to import remote videos (from YouTube, torrent...)
videos:
# Amount of import jobs to execute in parallel
concurrency: 1
# Set a custom video import timeout to not block import queue
timeout: '2 hours'
# Classic HTTP or all sites supported by youtube-dl https://rg3.github.io/youtube-dl/supportedsites.html
http:
# We recommend to use a HTTP proxy if you enable HTTP import to prevent private URL access from this server
# See https://docs.joinpeertube.org/maintain-configuration?id=security for more information
enabled: false
youtube_dl_release:
# Direct download URL to youtube-dl binary
# Github releases API is also supported
# Examples:
# * https://api.github.com/repos/ytdl-org/youtube-dl/releases
# * https://api.github.com/repos/yt-dlp/yt-dlp/releases
# * https://yt-dl.org/downloads/latest/youtube-dl
url: 'https://api.github.com/repos/yt-dlp/yt-dlp/releases'
# Release binary name: 'yt-dlp' or 'youtube-dl'
name: 'yt-dlp'
# Path to the python binary to execute for youtube-dl or yt-dlp
python_path: '/usr/bin/python3'
# IPv6 is very strongly rate-limited on most sites supported by youtube-dl
force_ipv4: true
# Magnet URI or torrent file (use classic TCP/UDP/WebSeed to download the file)
torrent:
# We recommend to only enable magnet URI/torrent import if you trust your users
# See https://docs.joinpeertube.org/maintain-configuration?id=security for more information
enabled: false
1 message - 1 participant(e)
]]>… et pour obtenir Lokas : https://lokas.app
(encore en version de test chez Apple, parce qu'ils sont 🤬)
Si nous pouvons expérimenter et proposer Lokas, (et le site-outil Framamia.org), c'est parce que vos dons garantissent notre liberté d'action ! Framasoft a besoin de vous pour boucler son budget 2025, aidez-nous sur https://soutenir.framasoft.org
]]>Voici #Lokas, une app mobile pour capter et transcrire vos réunions, sans risquer vos données !
C'est une démo, c'est fonctionnel, c'est Framasoft (coucou !) qui expérimente pour savoir si l'#IA peut servir les #communs…
...On vous explique tout sur le Framablog : https://framablog.org/2024/12/03/enregistrer-et-transcrire-vos-reunions-avec-lokas/
]]>Framamia (🎶 here we go agaiiin 🎶), Framasoft met les pieds dans l'#IA
#FramamIA est un site-outil qui permet de partager définitions, enjeux, veille et questionnements autour de l'Intelligence Artificielle.
🤔 Présentation sur le blog : https://framablog.org/?p=36102
🤩 Découvrir : https://framamia.org
Si nous avons la liberté d'expérimenter autour de Framamia (et de Lokas #spoileralert), c'est grâce àr vos dons. Contribuez à cet élan de solidarité en allant sur https://soutenir.framasoft.org
]]>Framasoft vous propose d’essayer le prototype de Lokas, une nouvelle application de transcription « speech to text » qui respecte votre vie privée. Cette démo fonctionnelle est aussi une expérimentation de Framasoft dans le domaine de l’IA, accompagnée du site Framamia, que l’on présente ici.
🎈 Framasoft a 20 ans🎈 : Contribuez pour financer une 21e année !
Grâce à vos dons (défiscalisables à 66 %), l’association Framasoft agit depuis 20 ans pour faire avancer le Web éthique et convivial. Retrouvez un focus sur certaines de nos actions en 2024 sur le site Soutenir Framasoft.
➡️ Lire la série d’articles de cette campagne (nov. – déc. 2024)
Veuillez noter que cet article est aussi disponible en anglais.
Lokas est une application (sur smartphone Android ou iOS) qui permet de transcrire le son de voix en fichier texte.
En gros, pour une réunion : vous mettez le téléphone au centre de la table, vous appuyez sur le bouton « Enregistrer » en début de réunion, sur « Arrêter » en fin de réunion, et l’application vous renvoie quelques minutes après un fichier texte reprenant les phrases prononcées par chacun et chacune.
Lokas permet et surtout permettra pas mal d’autres choses, mais nous y reviendrons en fin d’annonce.
Lokas s’adresse à toute personne qui participe à des réunions. Autant dire un paquet de personnes sur la planète :)
Nous pouvons cependant partager quelques cas d’usages.
Imaginons une Assemblée Générale associative. Il y a 15 personnes dans la pièce, 2 animateur⋅ices, 1 personne à la prise de notes. Et une réunion de 2H.
Les soucis :
Ce qu’apporte Lokas ?
Lokas permet d’assister la personne qui prend les notes, et lui permettra de participer plus facilement (tout en autorisant la pause pipi !).
Un atelier de l’association « Les petits débrouillards ». 3 groupes de 5 adolescent⋅es. Une majorité de filles dans les groupes.
Les soucis :
Ce qu’apporte Lokas ?
Lokas permet de garder trace (sonore et écrite) de ce qu’il s’est dit. Et permet d’établir des statistiques de temps de paroles, notamment par genre, afin d’objectiver le fait que les garçons ne laissent que peu de temps de paroles aux filles.
Votre collectif militant est proche d’une association espagnole. C’est Camille, une bénévole de votre collectif, qui parle à peu près l’espagnol, qui fera la visio avec son interlocutrice madrilène. La visio a donc lieu dans une langue étrangère.
Les soucis :
Ce qu’apporte Lokas ?
Avec Lokas, Camille pourra réécouter la visio, la transcrire automatiquement en français, et la partager depuis votre smartphone (par mail, via Signal, Matrix, WhatsApp, Telegram, etc).
Lokas n’est qu’un outil. Il peut vous assister dans la prise de notes. Cependant, comme tout outil, il ne doit pas vous dispenser d’utiliser votre cerveau !
L’invention de l’écriture (une autre technologie, très perfectionnée) date d’au moins 3 000 ans. Cela fait donc au moins aussi longtemps que l’humanité est capable de se réunir et de garder des traces écrites. Sans IA. Sans smartphone. Ne jetez pas plusieurs millénaires de techniques avec l’eau de l’IA. Un outil comme Lokas pourra être utile dans certains cas, et complètement gadget, voire improductif, dans d’autres cas. Cela n’est pas sans rappeler le concept de Pharmakon, cher au philosophe Bernard Stiegler : Lokas, comme tout objet technique, est à la fois poison, remède, et bouc-émissaire.
Par exemple le web est « à la fois un dispositif technologique associé permettant la participation et un système industriel dépossédant les internautes de leurs données pour les soumettre à un marketing omniprésent et individuellement tracé et ciblé par les technologies du user profiling. ». Remède et poison.
De la même façon, Lokas pourra être émancipateur (en facilitant la participation plutôt que la prise de notes), ou au contraire contraignant (les réunions un peu foutraques dans un bar bruyant ont aussi leur intérêt, il ne faudrait pas s’en passer parce que l’outil fonctionne mieux dans un environnement calme), ou frustrant (« l’application a planté, je n’ai aucune note de secours ! La technologie, c’est de la mârde ! »).
Lokas, comme une voiture, un marteau, un stylo, n’est pas un outil « neutre ». À vous de voir, collectivement, si vous souhaitez l’utiliser, et comment.
Il nous semble intéressant de pouvoir vous raconter comment est née l’application Lokas. C’est lever un coin de rideau sur les coulisses de Framasoft, comprendre comment nous pouvons prendre la décision de faire (ou de ne pas faire) tel ou tel projet. C’est aussi montrer que parfois, avec un peu de chance et d’huile de coude clavier, on peut faire des choses qui pourraient paraître impossibles. Cependant, comme cette partie n’est pas indispensable, on vous laisse le choix d’en prendre connaissance ou pas.
Cela fait bien trois ou quatre ans que l’idée de Lokas traîne dans la tête de pyg, membre de Framasoft.
L’idée de départ (nom de code : « Brewawa »), c’était surtout d’imaginer une application qui serait capable de calculer le temps de parole de locuteur⋅ices dans une réunion. Le but (pas du tout caché) était de démontrer facilement que lors d’une discussion avec des personnes de genres différents, ce sont de façon très très majoritairement les hommes qui monopolisent la conversation.
Différents essais ont été réalisés ces dernières années (coucou Gee, coucou bjnbvr !) pour étudier la faisabilité d’une telle application. Mais le fait est qu’en 2020, même si les possibilités techniques étaient présentes, elles n’étaient pas vraiment accessibles pour notre toute petite association, surtout sur un projet parallèle à tous ceux que Framasoft menait déjà.
Cependant, avec le développement de logiciels tels que Vosk ou Whisper, les capacités de transcription audio (c’est-à-dire la capacité à transformer le son de phrases en texte) se sont largement améliorées.
À tel point qu’aujourd’hui, ces technologies sont utilisées par énormément de logiciels (de YouTube à PeerTube, en passant par BigBlueButton ou WhatsApp), et souvent même directement intégrée dans des appareils (Samsung en fait clairement un argument de vente).
Par ailleurs cette dernière décennie a aussi vu s’améliorer les processus de « diarisation ». Ce terme un peu barbare est en fait la technique qui permet d’identifier différent⋅es locuteur⋅ices dans une discussion. Par exemple, si Alex, Camille et Fred font une réunion, la diarisation saura attribuer à chacun⋅e les phrases qu’il ou elle aura prononcées (non, le logiciel ne va pas deviner le prénom de la personne, mais il saura – à peu près – identifier qu’il y avait trois participant⋅es, et dire « Cette phrase a été prononcée par la personne #1. Cette phrase a été prononcée par la personne #2. », etc.
C’est évidemment une phase essentielle pour pouvoir comprendre « qui a dit quoi » dans une réunion.
Ce processus est encore imparfait, mais s’améliore de mois en mois. Il faut donc se projeter en 2026 ou 2027 pour imaginer une diarisation vraiment fiable, mais elle est aujourd’hui « suffisante » dans 60 à 80 % des usages en « bonnes conditions ».
Il se trouve qu’au sein de Framasoft, les compétences nécessaires pour le développement d’une telle application étaient réunies.
Chocobozzz, le développeur de PeerTube, avait déjà beaucoup travaillé sur le processus d’intégration de Whisper à PeerTube, afin de pouvoir générer automatiquement les sous-titres d’une vidéo. Il connait donc bien Whisper, ses options de configuration, ses performances, etc.
Wicklow, le développeur de l’application PeerTube, travaille depuis plusieurs mois avec le langage Dart et le SDK Flutter qui permet de développer en une seule base de code une application pour différents terminaux (Android, iPhone, ordinateur/tablette, web, etc).
Luc, notre administrateur système préféré (c’est pas compliqué, remarquez, nous n’en avons qu’un 😅) gère l’intégralité de l’infrastructure technique de Framasoft (une soixantaine de serveurs informatiques physiques). Donc, mettre en place la machine qui gère les transcriptions, l’installer, la sécuriser, etc, était pour lui un jeu d’enfant.
pyg, anciennement directeur de Framasoft, aujourd’hui coordinateur des services numériques de l’association, a géré d’innombrables projets pour Framasoft ces 20 dernières années. Alors, un de plus, même en pleine campagne, ça n’allait pas l’arrêter.
Entre cet ensemble de compétences, et les capacités techniques des logiciels de transcriptions et diarisation, les planètes étaient donc alignées pour lancer un tel projet.
Cependant, comme souvent, il faut un peu compter aussi sur le hasard ou la chance.
En effet, pyg avait un peu laissé tomber l’idée de cette application, tout simplement par ignorance des avancées techniques en termes de diarisation.
C’est en évoquant l’idée de cette application lors du dernier Framacamp, en juillet 2024, que Wicklow a lâché une info au détour de la conversation : « Ah, mais tu sais, Whisper fait maintenant une diarisation correcte. »
BIM 💣
« Ah, super intéressant ! Mais j’imagine qu’il faudrait longtemps pour développer une telle application de transcription libre ? » lui demanda pyg.
« Oh, je dirais qu’en 3 jours, je peux avoir un prototype fonctionnel si Chocobozzz se charge de la partie serveur. »
BOUM 💥
Autant vous dire qu’au lieu de profiter de sa soirée à jouer au poker, pyg a filé dans sa chambre, préparé une présentation d’une douzaine de diapositives sur un potentiel projet d’application, qu’il a présenté à l’association le lendemain matin.
Certain⋅es membres étaient enthousiastes, d’autres moins. Et on les comprend : d’une part, c’était encore ajouter du travail à une association déjà particulièrement chargée et épuisée ; d’autre part, c’était un projet utilisant un logiciel issu de l’intelligence artificielle, une technologie sur laquelle nous sommes (unanimement) très critiques.
Cependant, cette application, qui allait devenir Lokas, nous semblait un bon moyen « d’incarner » l’objet social de Framasoft : faire de l’éducation populaire aux enjeux du numérique et des communs culturels.
Cela nous permettait en effet de sortir de l’aspect discours pédagogique, à la fois indispensable, mais insuffisant en termes d’appropriation et d’autodétermination. En créant un « objet numérique manipulable », nous pouvions faire de Lokas une occasion complémentaire de faire comprendre ce qu’est l’IA, ses possibilités, mais aussi ses faiblesses. Et revenir, donc, à notre « Pharmakon » évoqué plus haut.
Par ailleurs, en plus de pouvoir assister tout collectif faisant des réunions, cela nous permettait de mettre en œuvre, concrètement, une application portant nos valeurs : un outil convivial, n’exploitant pas les données des utilisateur⋅ices, sous licence libre, s’adressant avant tout aux personnes qui changent le monde pour plus de progrès social et de justice sociale.
Au final, la majorité des membres présent⋅es s’est exprimée : « Banco la caravane ! On se lance ! ».
Comme évoqué plus haut, les contraintes étaient fortes.
Un projet, ça coûte forcément en temps et en argent. Du temps et de l’argent qui ne pourront pas être utilisés ailleurs.
Or, il ne vous a pas échappé que Framasoft vit des dons. Il faut donc faire des campagnes de dons. Et la fin de l’année était déjà particulièrement chargée par la finalisation de différents projets et leurs annonces
En discutant avec Thomas et Pouhiou, codirecteurs de l’association, il a donc été décidé que Lokas devrait rester un projet sous contraintes fortes : coûter moins de 10 000€ tout compris ; ne pas impacter fortement les missions de Chocobozzz, pyg, ou Wicklow ; être réalisé (à « temps perdu », donc) entre mi-septembre et mi-novembre (notamment à cause des délais de validation des stores Android et iOS, que nous ne maîtrisons pas).
Avec de telles contraintes, impossible pour nous de réaliser un produit bien finalisé. Nous avons donc décidé de viser plutôt la mise à disposition d’un prototype. Voyez ce prototype comme un appartement témoin. Nous avons produit cette version non pas en nous focalisant sur un projet de long terme, avec des fondations solides, mais plutôt comme une « preuve de concept », développée rapidement, pour voir si le concept est suffisamment attirant et intéressant pour qu’en 2025 nous priorisions le développement de cette application (si les dons sont suffisants, donc !).
Afin de vous donner suffisamment « envie » de voir un jour une version 1.0 de Lokas arriver, nous avons fait appel aux compétences de l’Atelier Domino pour la création d’un logotype et d’une charte graphique. Ce qui nous a guidés pour réalisé en interne le site web du projet : lokas.app
En parallèle, Wicklow et Chocobozzz se sont attaqués au développement du prototype, ainsi qu’à la partie serveur de transcription.
Une quinzaine de jours de travail plus tard (et un coût estimé à 7 500€ tout compris, avec en gros moitié de temps de travail Framasoft, et moitié prestations : Atelier Domino, location du serveur, des noms de domaines, validation des stores), nous pouvons présenter, avec fierté et un peu d’anxiété, notre prototype !
Lokas, comme tous les outils de transcription, d’ailleurs, est imparfait. Des bruits extérieurs, une mauvaise articulation, une voix fluette en fond de salle, des personnes qui se coupent la parole… Autant de raisons qui peuvent nuire à la transcription.
En conséquence, prévoyez de vous mettre au calme, de placer le téléphone au centre de la table (meilleure est la qualité sonore, meilleure est la transcription), n’ayez pas plusieurs discussions en même temps, et… prenez des notes « à l’ancienne » à côté (papier+crayon, ordinateur+pad, etc) en cas de souci.
Une fois cela fait, le fonctionnement est très simple.
Cliquez simplement sur le bouton « Enregistrement ». Placez le téléphone de façon à ce qu’il puisse capter au mieux les échanges. Et commencez votre réunion.
Afin de limiter les abus, les enregistrements sont limités à 5 par jour et par appareil.
Notez que le modèle de langue géré par Lokas permet de l’utiliser d’ores et déjà dans une cinquantaine de langues, notamment : Néerlandais, espagnol, coréen, italien, allemand, thaïlandais, russe, portugais, polonais, indonésien, mandarin, suédois, tchèque, anglais, japonais et bien entendu français ! D’autres langues sont supportées, mais la reconnaissance sera moins performante.
À la fin de la réunion, cliquez sur « Finaliser ».
Vous pourrez éventuellement réécouter votre fichier avant de cliquer sur « Envoyer ».
Votre fichier est alors envoyé sur notre serveur où il sera placé dans la file d’attente pour sa transcription.
Cette étape pourra prendre de quelques minutes à quelques heures, suivant le nombre de fichiers en attente.
Vous pourrez vérifier manuellement si votre fichier a bien été transcrit, ou attendre tranquillement la notification (dont la tâche de vérification est exécutée toutes les 15mn)
Une fois la transcription reçue, vous pourrez l’afficher dans Lokas.
Vous pourrez évidemment la partager (avec l’application de votre choix : mail, Signal, WhatsApp, etc) pour la corriger.
Vous pourrez aussi voir les statistiques de temps de parole (NB : cette fonctionnalité est relativement expérimentale). Si vous le souhaitez, pour une meilleure lecture des notes, vous pouvez attribuer un prénom (ou pseudo) aux participant⋅es. Pour obtenir des temps de parole par genre, vous pouvez aussi les attribuer manuellement, en vous assurant évidemment du consentement des personnes concernées à communiquer cette information. Notez que ces informations sont volontairement manuelles, et ne quittent pas votre téléphone, et ne sont donc pas transmises à Framasoft ou qui que ce soit.
Point confidentialité : l’une des particularités de Lokas est que nous respectons votre vie privée : le fichier audio est enregistré sur votre téléphone. Il est envoyé, à votre demande, sur nos serveurs, qui se chargeront alors de sa transcription. Une fois la transcription terminée, une notification est envoyée sur votre téléphone ; lorsque vous ouvrez (dans « Mes fichiers ») la réunion en question, la transcription est alors téléchargée sur votre téléphone. Une fois cette étape réalisée, et après un léger délai pour s’assurer que tout s’est bien passé techniquement, tout est supprimé de notre serveur : le fichier audio ainsi que la transcription. Par ailleurs, si vous attribuez des noms, pseudos ou genres, pour les statistiques, sachez que ces informations ne font l’objet d’aucun traitement de notre côté.
À Framasoft, nous ne sommes pas fans du tout de l’IA. Nous pensons que cette technologie (ou plutôt cet ensemble de technologies), pose plus de problèmes qu’elle n’apporte de solutions. Nous avons d’ailleurs essayé de présenter une synthèse de notre position sur l’I.A. au sein du site Framamia, que nous présentons ici sur le Framablog.
Alors, n’est-ce pas contradictoire d’utiliser l’IA au sein d’applications Framasoft, comme Lokas ou PeerTube ?
À notre sens, non. Et ce pour plusieurs raisons.
D’abord, comme nous l’écrivions dans le site Framamia, tous les modèles d’intelligence artificielle ne se valent pas. Whisper, le logiciel qui sert à la transcription, est une IA « spécialisée », et non une IA « généraliste » comme ChatGPT par exemple.
« Les modèles spécialisés, quant à eux sont optimisés pour résoudre efficacement une tâche précise. Leur impact est souvent maîtrisé, et peut correspondre à celui d’un autre logiciel. ».
Framasoft, sur le site Framamia.org
Whisper est certes une IA, mais qui tourne « en vase clos » sur nos serveurs.
Les algorithmes utilisés sont plus complexes qu’un filtre « Enlève les yeux rouges de cette photo » avec GIMP ou Photoshop, mais cela reste un modèle relativement simple (avec un processus d’entrées/sorties) infiniment moins énergivore qu’un modèle d’entraînement. En effet, l’inférence (le processus d’utiliser le modèle pour effectuer une tâche) consomme bien moins d’énergie que l’entraînement. Par exemple, exécuter Whisper pour transcrire un fichier audio de quelques minutes nécessite une puissance de calcul relativement modeste.
Ensuite, un projet comme Lokas ne nécessite pas d’acheter 350 000 puces GPU pour 9 milliards de dollars, comme l’a fait récemment Meta/Facebook, ce qui représente en gros le PIB du Togo en 2023. Nous ne pensons pas participer à la croissance de la bulle financière autour de l’IA, ou à faire faire s’emballer le capitalisme algorithmique.
Enfin (et surtout), avec Lokas ou PeerTube, nous demeurons cohérent⋅es avec une des valeurs au cœur de Framasoft, à savoir le respect de la confidentialité de vos données. En effet, nous ne faisons aucune exploitation de vos fichiers, en dehors de la tâche explicitement demandée, par exemple la transcription. Elles ne servent pas à enrichir un modèle d’IA à partir de vos discussions, de votre identité, etc. Nous ne conservons pas les fichiers audio ou texte, nous n’avons pas accès aux noms/prénoms/genres que vous attribuez manuellement aux participant⋅es d’une discussion (ça reste sur votre téléphone), etc. Et, évidemment, vos données ne sont JAMAIS monétisées.
Bref, Framasoft se fiche du contenu de vos données, elles vous appartiennent et ne regardent que vous.
Malgré cela, nous respectons le point de vue des personnes qui souhaitent boycotter l’IA, et nous entendons la contradiction qu’iels pourraient trouver à ce qu’une asso technocritique comme Framasoft propose des projets utilisant l’I.A.
Notre objectif est justement de proposer un outil qui permette d’avoir une réflexion concrète, afin de se forger un avis autonome, permettant à chacun et chacune de se construire sa propre position.
Vous pouvez d’ores et déjà télécharger l’application Lokas sur le Play Store, iOS (toujours en testflight chez Apple, parce qu’ils sont 🤬… disons tatillons), f-droid (en cours), ou avoir l’apk Android en téléchargement direct ici. Notez cependant que Lokas est un prototype (si ce n’est pas déjà fait, prenez deux minutes pour lire « L’histoire de Lokas » et comprendre pourquoi), et il est donc normal que plein plein plein de choses ne fonctionnent pas !
Nous avons déjà pris du temps, de l’énergie, et un peu d’argent sur des ressources pourtant limitées (on vous a déjà dit qu’on ne vivait que de vos dons ? ;-) ). De plus, comme toujours, le code est libre, nous l’avons publié ici sur notre forge logicielle.
Avant d’aller plus loin, nous avons donc besoin de confirmer que ce projet vous intéresse. Si les dons ne sont pas assez importants, ou si les contradictions sont trop fortes : nous nous arrêterons là. (le code est libre, donc ça ne sera pas « perdu »).
Si, par contre, vous trouvez ça pertinent, les possibilités de développements futurs sont innombrables. Citons par exemple :
Mais pour cela, il va nous falloir du temps salarié, et donc de l’argent. Donc, au risque de paraître insistant, nous vous invitons, si vous le pouvez, à nous faire un don.
Faire une don pour soutenir Lokas
Framasoft est financée par vos dons ! Chaque tranche de 20 euros de dons sera un nouveau ballon pour célébrer 20 d’aventures et nous aider à continuer et décoller une 21e année.
Framasoft, c’est un modèle solidaire :
À ce jour, nous avons collecté 58 625 € sur notre objectif de campagne. Il nous reste 29 jours pour convaincre les copaines et récolter de quoi faire décoller Framasoft.
Alors : défi relevé ?
]]>Framasoft invites you to try out the prototype of Lokas, a new speech-to-text transcription application that respects your privacy. This functional demo is also an experiment by Framasoft in the field of AI, accompanied by the Framamia website, which we present here (in French).
🎈Framasoft is 20 years old🎈 : Contribute to finance a 21st year !
Thanks to your donations (66 % tax-free), the Framasoft association has been working for 20 years to advance the ethical and user-friendly Web. Find out more about some of our actions in 2024 on the Support Framasoftwebsite .
➡️ Read the series of articles from this campaign (Nov. – Dec. 2024)
Please note that this article is also available in French here.
Lokas is an application (for Android or iOS smartphones) that allows you to transcribe the sound of your voice into a text file.
Basically, during a meeting : you put the phone in the middle of the table, press the ‘Record’ button at the start of the meeting and the ‘Stop’ button at the end. A few minutes later, the application sends you a text file containing the sentences spoken by everyone.
Lokas can and will do many more things, but we’ll come back to that at the end of this announcement.
Lokas is aimed at anyone who takes part in meetings. That’s a lot of people on the planet :)
However, we can share a few usecases.
Let’s imagine a nonprofit AGM. There are 15 people in the room, 2 moderators and 1 note taker. And a 2-hour meeting.
Concerns :
What does Lokas offer ?
Lokas assists the note-taker, making it easier for him or her to participate (while still allowing for a pee break !).
Example of a transcription of a voice exchange using the Lokas application.
A workshop run by the ‘ Les petits débrouillards ’ association. 3 groups of 5 teenagers. A majority of girls in the groups.
Concerns :
What does Lokas offer ?
Lokas makes it possible to keep a record (audio and written) of what was said. It also makes it possible to compile statistics on speaking time, particularly by gender, so that we can see for ourselves that boys leave very little speaking time for girls.
Your activist collective is close to a Spanish association. Camille, a volunteer from your group, who speaks a little Spanish, will be doing the video with her contact in Madrid. The video will therefore take place in a foreign language.
Concerns :
What does Lokas offer ?
With Lokas, Camille will be able to listen to the video again, automatically transcribe it into French, and share it from your smartphone (by email, via Signal, Matrix, WhatsApp, Telegram, etc).
Lokas is just a tool. It can assist you in taking notes. However, like any tool, it shouldn’t exempt you from using your brain !
Writing (another highly sophisticated technology) was invented at least 3,000 years ago. So humanity has been able to get together and keep written records for at least that long. Without AI. Without smartphones. Don’t throw away several millennia of technology with the water of AI. A tool like Lokas could be useful in some cases, and completely gimmicky, even unproductive, in others. This is reminiscent of the concept of Pharmakon, a concept dear to the French philosopher Bernard Stiegler : Lokas, like any technical object, is simultaneously poison, remedy and scapegoat.
The web, for example, is both a technological device enabling participation, and an industrial system dispossessing Internet users of their data in order to subject them to omnipresent marketing that is individually traced and targeted by user profiling technologies.
In the same way, Lokas can be emancipating (by facilitating participation rather than note-taking), or on the contrary restrictive (meetings in a noisy bar can be interesting, but we shouldn’t do without them because the tool works better in a quiet environment), or frustrating (« The application has crashed, I don’t have any backup notes ! Technology is shite ! »)
Lokas, like a car, a hammer or a pen, is not a ‘neutral’ tool. It’s up to you, collectively, to decide whether and how you want to use it.
We thought it would be interesting to tell you how the Lokas app came about. It means lifting the curtain on what goes on behind the scenes at Framasoft, and understanding how we can decide to do (or not to do) such and such a project. It’s also about showing that sometimes, with a bit of luck and a bit of elbow keyboard, you can do things that might seem impossible. However, as this part is not essential, we’ll leave it up to you to decide whether or not you want to read it.
The idea for Lokas has been in the head of pyg, a member of Framasoft, for three or four years now.
The original idea (code name : ‘ Brewawa ’) was mainly to come up with an application that would be able to calculate the speaking time of participants in a meeting. The (not at all hidden) aim was to easily demonstrate that during a discussion with people of different genders, it is overwhelmingly men who monopolise the conversation.
Various tests have been carried out in recent years (hi Gee, hi bnjbvr !) to study the feasibility of such an application. But the fact is that in 2020, even if the technical possibilities were there, they weren’t really available to our tiny association, especially on a project piling on all those that Framasoft was already carrying out.
However, with the evolution of softwares such as Vosk and Whisper, audio transcription capabilities (i.e. the ability to transform the sound of sentences into text) have considerably improved.
So much so that today, these technologies are used by a huge number of software applications (from YouTube and PeerTube to BigBlueButton and WhatsApp), and are often even integrated directly into devices (Samsung has clearly made this a selling point).
The last decade has also seen improvements in ‘diarization’ processes. This rather barbaric term is in fact the technique used to identify different⋅es speakers in a discussion. For example, if Alex, Camille and Fred are having a meeting, the diarization will know how to attribute to each their sentences (no, the software won’t guess the person’s first name, but it will know – more or less – identify that there were three participants, and say ‘This sentence was uttered by person #1. This sentence was said by person #2.’, etc.
This is obviously an essential phase in being able to understand ‘who said what’ in a meeting.
This process is still imperfect, but it is improving month by month. We therefore need to look ahead to 2026 or 2027 to imagine truly reliable diarization, but today it is ‘sufficient’ in 60 to 80 % of uses under ‘good conditions’.
It just so happened that Framasoft had the skills needed to develop such an application.
Chocobozzz, developer of PeerTube, had already worked hard on the process of integrating Whisper into PeerTube, in order to be able to automatically generate subtitles for a video. So he’s very familiar with Whisper, its configuration options, its performance and so on.
Wicklow, developer of the PeerTube application, has been working for several months with the Dart language and Flutter SDK, which enables an application to be developed for different terminals (Android, iPhone, computer/tablet, web, etc.) in a single code base.
Luc, our favourite system administrator (it’s not complicated, mind you, we only have the one 😅 ) manages Framasoft’s entire technical infrastructure (around sixty physical computer servers). So setting up the machine that manages the transcriptions, installing it, securing it, etc, was child’s play for him.
pyg, former director of Framasoft, now the association’s digital services coordinator, has managed countless projects for Framasoft over the last 20 years. So one more, even in the middle of a campaign, wasn’t going to stop him.
With this range of skills, and the technical capabilities of the transcription and diarization software, the planets were aligned to launch such a project.
However, as is often the case, you also have to rely a little on chance or luck.
Indeed, pyg had somewhat dropped the idea of this application, simply out of ignorance of the technical advances in terms of diarisation.
It was while discussing the idea of this application at the last Framacamp, in July 2024, that Wicklow dropped a piece of information in the nick of time : ‘Ah, but you know, Whisper now does proper diarization.’
BIM 💣
‘Ah, very interesting ! But I imagine it would take a long time to develop such a free transcription application ?’ asked pyg.
‘Oh, I’d say in 3 days I can have a working prototype if Chocobozzz takes care of the server part.’
BANG 💥
So instead of enjoying his evening playing poker, pyg went off to his room and prepared a presentation of a dozen slides on a potential application project, which he presented to the association the following morning.
Some members were enthusiastic, others less so. And we can understand them : first, because it was adding yet more work to an already particularly busy and exhausted association. More, this project would use software derived from artificial intelligence, a technology about which we are (unanimously) very critical.
However, this application, which was to become Lokas, seemed to us to be a good way of ‘embodying’ the social purpose of Framasoft : to educate the public about the challenges of digital technology and the cultural commons.
This enabled us to move away from the pedagogical aspect, which is both essential and insufficient in terms of appropriation and self-determination. By creating a ‘manipulable digital object’, we could use Lokas as an additional opportunity to explain what AI is, its possibilities, but also its weaknesses. And so return to our ‘Pharmakon’ mentioned above.
What’s more, as well as being able to assist any collective holding meetings, this enabled us to put into practice, in concrete terms, an application bearing our values : a user-friendly tool, not exploiting users data, under an open licence, aimed above all at people who are changing the world for more social progress and social justice.
In the end, the majority of members present said : ‘Let’s go for it !’.
As mentioned above, the constraints were considerable.
A project inevitably costs time and money. Time and money that can’t be used elsewhere.
As you know, Framasoft lives off donations. So we have to run donation campaigns. And the end of the year was already particularly busy with the finalisation of various projects and their announcements.
In discussions with Thomas and Pouhiou, co-directors of the association, it was decided that Lokas should remain a project subject to strict limitations : it should cost less than €10,000 all-included ; it should not have a major impact on the missions of Chocobozzz, pyg or Wicklow ; and it should be completed (in ‘wasted time’) between mid-September and mid-November (in particular because of the validation deadlines for the Android and iOS stores, which we don’t control).
With such constraints, it was impossible for us to produce a well-finished product. So we’ve decided to focus instead on making a prototype available. Think of this prototype as a showroom house. We’ve produced this version not by focusing on a long-term project, with solid foundations, but rather as a ‘proof of concept’, developed rapidly, to see if the concept is sufficiently attractive and interesting for us to priorise the development of this application in 2025 (if donations are sufficient, that is !).
To give you enough ‘desire’ to see a version 1.0 of Lokas arrive one day, we called on the skills of Atelier Domino to create a logotype and a graphic charter. This led us to create the project website in-house : lokas.app
At the same time, Wicklow and Chocobozzz set about developing the prototype and the transcription server.
A fortnight’s work later (and an estimated cost of €7,500 all-in, with roughly half the time spent by Framasoft and half on services : Domino workshop, server hire, domain names, validation of Google & Apple app stores), we can proudly and somewhat anxiously present our prototype !
Lokas, like all transcription tools, is imperfect. Outside noise, poor articulation, a faint voice in the background, people cutting each other off… These are just some of the reasons why transcription can be difficult.
As a result, plan to be in a quiet room, place the telephone in the centre of the table (the better the sound quality, the better the transcription), don’t hold several discussions at the same time, and… take ‘old-fashioned’ notes (paper+pencil, computer+pad, etc.) in case of problems.
Once you’ve done that, it’s very simple.
Simply click on the ‘Record’ button. Position the phone so that it can best pick up the exchanges. And start your meeting.
To limit abuse, recordings are limited to 5 per day and per device.
Note that the language model managed by Lokas means that it can already be used in around fifty languages, including : Dutch, Spanish, Korean, Italian, German, Thai, Russian, Portuguese, Polish, Indonesian, Mandarin, Swedish, Czech, French, Japanese and, of course, English ! Other languages are supported, but recognition will be less effective.
At the end of the meeting, click ‘Finish’.
You may wish to listen to your file again before clicking on ‘Send’.
Your file will then be sent to our server where it will be queued for transcription.
This stage can take from a few minutes to a few hours, depending on the number of files in the queue.
You can check manually whether your file has been transcribed, or wait quietly for the notification (the verification task is carried out every 15 minutes).
Once you have received the transcript, you can display it in Lokas.
You can of course share it (with the application of your choice : email, Signal, WhatsApp, etc.) to correct it.
You can also see the speaking time statistics (NB : this feature is relatively experimental). If you wish, you can assign a first name (or pseudonym) to each participants to make it easier to read the notes. To obtain speaking times by gender, you can also allocate them manually, obviously ensuring that you have the consent of the people concerned to communicate this information. Note that this information is voluntarily manual, and does not leave your phone, and is therefore not transmitted to Framasoft nor anyone else.
Confidentiality point : one of the special features of Lokas is that we respect your privacy : the audio file is recorded on your phone. At your request, it is sent to our servers, which will then transcribe it. Once the transcription is complete, a notification is sent to your phone ; when you open (in ‘My files’) the meeting in question, the transcription is then downloaded to your phone. Once this stage has been completed, and after a slight delay to ensure that everything has gone well technically, everything is deleted from our server : the audio file as well as the transcript. And if you give us names, pseudonyms or genres for statistical purposes, please note that we do not process this information in any way.
At Framasoft, we are not at all fans of AI. We think that this technology (or rather this set of technologies) poses more problems than it solves. In fact, we tried to summarise our position on AI on the Framamia website, which we present here on the Framablog (in French).
So, isn’t it contradictory to use AI in Framasoft applications such as Lokas or PeerTube ?
In our opinion, no. For several reasons.
Firstly, as we wrote on the Framamia website, not all artificial intelligence models are created equal. Whisper, the software used for transcription, is a ‘specialised’ AI, not a ‘generalist’ AI like ChatGPT, for example.
‘Specialised models are optimised to solve a specific task efficiently. Their impact is often controlled, and may correspond to that of other software’.
Framasoft, on the Framamia.org website
Whisper is certainly an AI, but it runs ‘in isolation’ on our servers.
The algorithms used are more complex than a ‘Remove the red eyes from this photo’ filter with GIMP or Photoshop, but it remains a relatively simple model (with an input/output process) that uses infinitely less energy than a training model. In fact, inference (the process of using the model to perform a task) consumes much less energy than training. For example, running Whisper to transcribe an audio file lasting a few minutes requires relatively modest computing power.
Secondly, a project like Lokas does not require the purchase of 350,000 GPU chips for $9 billion, as Meta/Facebook recently did, which is roughly equivalent to Togo’s GDP in 2023. We don’t think we’ll be taking part in the growth of the AI financial bubble, or in the runaway growth of algorithmic capitalism.
Finally (and most importantly), with Lokas or PeerTube, we remain consistent with one of the values at the heart of Framasoft, namely respect for the confidentiality of your data. Indeed, we do not make any use of your files, apart from the task explicitly requested, for example transcription. They are not used to enrich an AI model based on your discussions, your identity, etc. We don’t keep audio or text files, we don’t have access to the names/first names/genders that you manually assign to participants⋅es in a discussion (that stays on your phone), etc. And, of course, your data is NEVER monetised.
In short, Framasoft doesn’t care about the content of your data, it belongs to you and is nobody’s business but yours.
Despite this, we respect the point of view of people who wish to boycott AI, and we understand the contradiction they might find in a technocritical association like Framasoft proposing projects using AI.
Our aim is to offer a tool that will enable people to think about the issues in a concrete way, so that they can form their own opinions and come to their own conclusions.
You can Download the Lokas app on the Play Store, iOS (still in testflight on iOS, because they are 🤬… let’s say picky), (and soon on f-droid), or get the android apk directly from us here. But keep in mind it is a prototype (if you haven’t already, take two minutes to read ‘The Lokas Story ’ and understand why), so it’s normal that lots and lots of things don’t work !
We’ve already taken time, energy and a bit of money out of limited resources (did anyone ever tell you that we only live off your donations ? ;-) ). And, obviously, this POC is open source, the code is publish here on our forge.
So before going any further, we need to confirm that you are interested in this project. If the donations aren’t big enough, or if the contradictions are too strong : we’ll stop there (the code is free, so it won’t be ‘lost’).
If, on the other hand, you find it relevant, there are countless possibilities for future developments. For example :
But to do this, we’re going to need some staff time, and therefore money. So, at the risk of sounding insistent, we invite you, if you can, to make a donation.
Make a donation to support Lokas
Framasoft is funded by your donations ! Every €20 you donate will be a new balloon to celebrate 20 years of adventures and help us continue and take off for a21st year.
Framasoft is a model of solidarity :
To date, we have raised €58,625 of our campaign target. We still have 29 days to convince our friends and raise enough money to get Framasoft off the ground.
So, challenge accepted ?
]]>Afin d’aider à démystifier le sujet de l’intelligence artificielle, Framasoft publie une première version du site Framamia. Définitions, enjeux, risques et questionnements : en partageant le savoir, nous espérons contribuer à reprendre le pouvoir sur ces technologies qui impactent nos sociétés. Et pour la mise en pratique, Framasoft publie en même temps l’application Lokas, que l’on présente ici.
🎈 Framasoft a 20 ans🎈 : Contribuez pour financer une 21e année !
Grâce à vos dons (défiscalisables à 66 %), l’association Framasoft agit depuis 20 ans pour faire avancer le Web éthique et convivial. Retrouvez un focus sur certaines de nos actions en 2024 sur le site Soutenir Framasoft.
➡️ Lire la série d’articles de cette campagne (nov. – déc. 2024)
Depuis deux-trois ans, « ✨ L’IA™✨© » semble être le nouveau fourre-tout-tech à la mode qui fait vibrer la silicon valley, se répand dans les appels à projets publics, et sera oublié tout aussi rapidement (qui se souvient des NFT… ? Du web3… ? Y’a quelqu’un… ?).
Sauf que c’est plus compliqué que ça. À l’inverse des NFT et autres techno-lubies, l’intelligence artificielle est un domaine du numérique composé de nombreuses branches et disciplines (d’où l’impression de fourre tout).
Avec une histoire de plus de 70 ans, les expérimentations dans l’Intelligence artificielles sont déjà présentes dans nos quotidiens numériques. On peut imaginer Clippy (le trombone assistant numérique de Microsoft Office 97) comme l’ancêtre de Siri ou Alexa. Ou encore que les comportements de plus en plus réalistes des personnages de jeux vidéos sont l’héritage de DeepBlue (ordinateur qui bat le champion mondial Gary Kasparov aux échecs en 1997) ou des Furby (peluches parlantes créées en 1998)…
Bref, notre histoire ne manque pas d’exemples pour montrer que les domaines de l’IA ont existé bien avant la popularisation des IA génératives comme Chat GPT et Dall-E (à explorer : ce poster, en anglais malheureusement, de la professeure de philosophie Danielle J. Williams).
Au delà de cette histoire, notre culture est remplie de mythes et clichés narratifs où la machine devient plus humaine que les humains. Du Golem à Wall-E, de HAL (2001, l’Odyssée de l’espace) à Skynet (Terminator), notre propension à vouloir humaniser des bouts de minéraux et impulsions électriques a inspiré bien des œuvres.
Présentes dans nos cultures et nos esprits, ces histoires jouent souvent sur la magie de la compassion, l’émerveillement de voir une création se doter d’empathie… ou sur le pêché de démiurgie, se prendre pour l’égal de Dieu en créant la vie, et déclencher ainsi une apocalypse vengeresse.
Or les chantres des entreprises de l’IA générative jouent justement sur ces mythes de « l’IA Miraculeuse » (qui va résoudre le problème de l’urgence écologique, selon Éric Schmidt, ancien directeur de Google) ou de l’IA apocalyptique (qui risque de détruire l’humanité sans que l’on sache vraiment comment, à en croire Sam Altman, directeur d’OpenAI).
Présenter l’IA comme un unique personnage légendaire tour à tour salvateur et destructeur permet d’appuyer l’argument de laisser leurs entreprises faire le bien© sans entraves, et de réguler les autres (la concurrence) qui pourraient faire advenir le mal©.
Or l’IA, c’est avant tout des technologies numériques. On parle de code développé par des humains, dirigés par d’autres humains, qui ont prit des décisions en fonction de leurs motivations et leurs idéologies.
Par exemple : vous ne créerez pas la même plateforme vidéo, vous n’y développerez pas les mêmes fonctionnalités si votre objectif est de faire croître le chiffre d’affaire de votre entreprise en exploitant les vidéastes et leur audience ; ou si votre but est de favoriser le partage du savoir et de la culture entre pairs. Les motivations sont différentes car les modèles idéologiques (le capitalisme de surveillance pour YouTube/Twitch, les communs numériques pour PeerTube) sont différents.
Un outil n’est pas neutre. Les outils numériques, complexes et organisant nos partages entre humains, sont donc éminemment politiques.
À Framasoft, nous fêtons les 10 ans de Dégooglisons Internet, dix années riches d’expériences et de leçons. Nous avons vu la généralisation des services en ligne. Cet internet de plateformes a sécurisé les monopoles des géants du web, qui sont devenus les hérauts et garants du capitalisme de surveillance.
Une des forces de ce système a été d’arriver à nous faire croire que l’outil numérique est neutre, qu’il est magique, que c’est très très très compliqué de nous l’expliquer, à nous pauvres consommateurs. Et puis de toutes façons, c’est de notre faute aussi : il a bien lu les conditions générales, elle a cliqué sur « tout accepter », iel reste libre de ne pas utiliser ces outils.
En individualisant la responsabilité sur des outils qu’il ne faut pas chercher à comprendre (de toutes façons ils sont neutres, qu’on vous dit !), il n’est plus possible de faire des choix collectifs sur la société que l’on désire.
Voilà quelques années qu’à Framasoft, on se penche, on discute, on se trompe et on apprend sur le boom des intelligences artificielles. Les échanges sont nombreux, et nous partageons même une veille sur le sujet.
Aujourd’hui, Framasoft publie Framamia : un site où nous partageons des clés de compréhension sur l’intelligence artificielle, ainsi que des extraits de notre veille.
Vous y trouverez des définitions, des informations, des enjeux identifiés pour nos sociétés et notre environnement, et enfin des questionnements… Autant de bouts de savoirs que nous proposons pour que chacune et chacun puisse se construire un avis éclairé et le partager avec ses proches.
Partager la connaissance sur un sujet, c’est partager le pouvoir de l’appréhender individuellement et de l’influencer collectivement.
Notez bien qu’il s’agit là d’un premier jet, d’une première tentative de partage autour des intelligences artificielles, et plus précisément des intelligences artificielles génératives qui se multiplient aujourd’hui.
Nous ne prétendons pas que Framamia est parfait, que les informations sont compréhensibles par une personne qui ne s’y connaît pas, ou que le site soit gravé dans le marbre. Nous espérons pouvoir améliorer cet outil informatif avec le temps.
Visiter Framamia Soutenir FramamIA et Framasoft
Si l’histoire du numérique semble se répéter, nous avons envie de partager quelques leçons que nous en avons tirées. Nous espérons contribuer à sortir des clichés tels que « Le cloud L’IA c’est magique », « Google OpenAI est ton ami », « roh là là regarde c’est meugnon Siri CharacterAI a halluciné », « si tu utilises Amazon Dall-E c’est ta faute et je te juge… »
Pour le capitalisme de surveillance comme pour le capitalisme algorithmique, l’enjeu ne se situe pas sur tel ou tel outil, ni sur le choix de Camille Dupuis-Morizeau de l’utiliser ou le boycotter. L’enjeu est systémique : c’est celui du monde dans lequel nous voulons collectivement vivre, et comment les citoyennes peuvent collectivement reprendre le pouvoir de le choisir.
S’il semble impossible de poser, a posteriori, un moratoire sur les larges modèles de langage et les IA génératives, peut-on sortir ces outils du capitalisme algorithmique et les utiliser pour le bien commun ?
On le sait : transcrire des voix en texte permet de rendre vidéos et podcasts accessibles aux personnes sourdes, ajouter une description textuelle des images que nous partageons sert aux personnes aveugles qui utilisent un lecteur d’écran.
Au delà de l’accessibilité, tout le monde ne maîtrise pas l’outil numérique : savoir formuler efficacement sa demande sur un moteur de recherche, écrire un objet d’email plus informatif et facile à retrouver que « Quelques nouvelles………… » Tout le monde n’est pas en capacité de s’adapter aux outils numériques. Pouvoir adapter les interfaces aux humains et à leurs langages naturels pourrait réduire la fracture numérique.
Encore faut-il peser les coûts (humains, techniques, écologiques) de tels projets, choisir collectivement si c’est ce que l’on désire et enfin s’en donner les moyens.
La question « Pour ou contre l’IA ? » ressemble à un piège, un faux débat qui nous isole les unes des autres. À Framasoft, nous n’avons pas (souvent) de réponses, mais beaucoup de questions qui nous semblent bien plus enthousiasmantes.
Une IA des Communs est-elle possible ? A quoi ressemblerait-elle ? Est-ce seulement souhaitable ? Quels en seraient les compromis et les conséquences ? Pour travailler de telles questions, nous avons eu envie d’expérimenter.
En parallèle de FramamIA, Framasoft publie dès aujourd’hui Lokas. Lokas est une application mobile (Android et iOS) qui permet d’enregistrer une réunion, afin d’obtenir une transcription.
Attention, Lokas est un prototype : c’est une démo limitée, mais fonctionnelle. Nous avions envie de voir quelle forme prendrait un outil fait par une association sans but lucratif, aux moyens limités, souhaitant être utile au bien commun, en transparence et en limitant l’impact.
Nous avons hâte d’avoir vos retours sur une telle démarche, afin de voir s’il faut s’avancer dans cette voie, ou conclure l’expérimentation.
Lire une présentation complète de Lokas sur le Framablog
Obtenir Lokas Soutenir Framasoft
Framasoft est financée par vos dons ! Chaque tranche de 20 euros de dons sera un nouveau ballon pour célébrer 20 d’aventures et nous aider à continuer et décoller une 21e année.
Framasoft, c’est un modèle solidaire :
À ce jour, nous avons collecté 58 625 € sur notre objectif de campagne. Il nous reste 29 jours pour convaincre les copaines et récolter de quoi faire décoller Framasoft.
Alors : défi relevé ?
]]>Bonjour,
À Nantes, nous développons la communauté mobilizon locale via divers groupes créés sur l’instance de Framasoft.
Or celle-ci est fermée aux nouvelles inscriptions depuis lundi dernier, ce qui ne permet plus aux personnes qui n’ont pas déjà un compte mobilizon de marquer leur participation sans être anonyme, d’écrire des commentaires ou de rejoindre l’équipe de co-gestion de ces groupes.
En effet, après l’avoir testée de façon approfondie, nous constatons que la fédération entre instances mobilizon n’est à l’heure actuelle pas assez complète pour pouvoir être fonctionnelle.
Nos groupes sur mobilizon.fr ne peuvent donc plus évoluer et restés ouverts.
Pour continuer à les faire vivre, nous envisageons de « migrer » une douzaine de groupes nantais vers l’instance keskonfai.fr, en y recréant nos groupes.
Cela a un coût non négligeable cependant, car nous allons certainement perdre des membres en route, perdre le référencement web, ainsi que la com’ faite autour de l’adresse mobilizon de nos groupes.
Donc avant d’appliquer cette décision, pourriez-vous nous confirmer si cette fermeture est définitive ?
Et serait-il envisageable de créer des redirections web de notre ancienne adresse mobilizon sur votre instance vers celles que nous pourrions créer sur notre nouvelle instance ?
Comme SPORTOUSTES, Foot & Basket inclusifs à Nantes → https://keskonfai.fr/@sportoustes ou La Fediverse Nantaise (Nantes & environs) → https://keskonfai.fr/@fediversenantaise par exemple ?
5 messages - 2 participant(e)s
]]>Bonjour,
Je n’arrive plus à charger mon instance. à un moment, le chargement s’interrompt bruquement et plus aucun élément de la page ne répond, le tout bien évidemment me pompe énormément de ram et de cpu. Je pense que le coupable est un plugin installé récemment (EDIT: apparemment, il n’y est pour rien, je l’ai supprimé via la console ssh, et aucun changement).
J’ai récupéré ce que j’ai pu de la console javascript, impossible de faire un copier coller tellement ça défilait vite, j’ai dû me rabattre sur un screenshot, j’espère que ça vous suffira.
Cordialement
3 messages - 2 participant(e)s
]]>📣 Oyez, oyez 📣 Framasoft sera ce mercredi et ce jeudi au salon Open Source Experience @OSXP_Paris https://www.opensource-experience.com/
Qui serait intéressé pour nous aider à tenir notre stand quelques heures ou plus ?
Contact direct à cyrille POINT largillier AROBASE framasoft POINT org
(Remplacez ce paragraphe par une courte description de votre nouvelle catégorie. Cette information apparaîtra dans la zone de sélection de la catégorie, veillez donc à saisir moins de 200 caractères.)
Utilisez les paragraphes suivants pour une plus longue description ou pour établir des règles :
À quoi sert cette catégorie ? Pourquoi les utilisateurs choisiraient-ils cette catégorie pour leur discussion ?
En quoi est-elle différente des autres catégories existantes ?
Quels sont les sujets qui devraient figurer dans cette catégorie ?
Avons-nous besoin de cette catégorie ? Devrions-nous fusionner celle-ci avec une autre catégorie ?
1 message - 1 participant(e)
]]>Bonjour,
Lorsque je souhaite imprimer les résultats d’une prise de décision sur Framavox, le graphique n’apparait pas dans la preview (et donc pas dans l’impression) :
Apparemment, vous utilisez une API Google chart qui a été dépréciée il y a plusieurs mois : google api - chart.googleapis.com/chart?chst=d_map_xpin_letter returns 404 - Stack Overflow
Pouvez-vous mettre à jour la page de preview pour qu’elle affiche bien le graphique ?
D’avance merci
Clémence
1 message - 1 participant(e)
]]>Cette campagne est la première illustrée par @davidrevoy. Il est bien évidemment payé pour et c'est grâce à vos dons.
🎈 Merci ! 🎈
https://soutenir.framasoft.org/fr/
🎈 Framasoft a 20 ans ! 🎈
Constatant que « Dégoogliser ne suffit pas ! », nous avons exploré les trois mondes de Contributopia durant 5 ans de 2017 à 2022.
Découvrez l'affiche qui présente cette campagne.
https://20ans.framasoft.org/affiches.html#contributopia
Bonjour, j’ai copier un texte de Word à un PAD et j’ai supprimer le surlignement pour ce texte de base.
Quand quelqu’un écrit à l’intérieur de ce texte, ce qu’il écrit est bien entendu surligné… mais il arrive souvent que le texte de base qui « suit » ce que la personne est en train d’écrire soit tout d’un coup surligné aussi…ce que je ne veut pas bien sûr. Y a-t-il une chose à faire ? Merci à tous
3 messages - 2 participant(e)s
]]>I also opened an issue on Github: Cloudflare R2 is not working with Peertube. · Issue #6749 · Chocobozzz/PeerTube
Has anyone tried using Cloudflare R2 as block storage? As I understand, it is not recommended to use block storage for direct serving of video instead there should be CDN cache which is the next thing I have to figure out.
But for now I cant even get R2 to work propely with my instance fusstube.com .
Details are in Github issue.
EDIT: just changed to Blackblaze, and same issue after setting to allow CORS from https://fusstube.com!
Console reports this error:
« Access to XMLHttpRequest at ‹ https://fusstube.s3.eu-central-003.backblazeb2.com/streaming-playlists:hls/6a622c8c-4c9b-4cf0-a46c-6f172c1389e4/3ad3f870-e141-4df4-9758-87c0890ac880-master.m3u8 › from origin ‹ https://fusstube.com › has been blocked by CORS policy: No ‹ Access-Control-Allow-Origin › header is present on the requested resource. »
Is my setup correct?
4 messages - 3 participant(e)s
]]>Encore et toujours fidèle au poste, c'est le #KhrysPresso du début de semaine. Merci @Khrys !
https://framablog.org/2024/12/02/khryspresso-du-lundi-2-decembre-2024/
]]>Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière.
Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer votre bloqueur de javascript favori ou à passer en “mode lecture” (Firefox) ;-)
Les batteries de nos véhicules électriques conduiront-elles au génocide du peuple Hongana Manyawa ? C’est ce que craint l’ONG Survival International dans un rapport publié le 22 novembre. Les Hongana Manyawa (« peuple de la forêt ») sont l’un des derniers peuples de chasseurs-cueilleurs nomades d’Indonésie.
Une détonation à l’origine encore inexpliquée a endommagé ce vendredi 29 novembre un canal vital pour le Kosovo, qui accuse son voisin serbe, dans un contexte déjà tendu entre les deux pays.
Le ministère de l’Intérieur allemand a annoncé dans un point presse tenu lundi 24 novembre que tous les bâtiments qui pourraient servir d’abri en cas d’attaque sont en train d’être inventoriés pour les rendre accessibles à la population. Le pays compte actuellement 579 bunkers.
Face au durcissement de la guerre en Ukraine, plusieurs pays recensent ou construisent leurs abris antinucléaires. Mais pas la France, qui compte sur la puissance de sa dissuasion.
Technology secretary admits Whitehall departments are not being transparent over way they use AI and algorithms
À mesure que la fonte continue de dégrader la calotte glaciaire du Groenland, les scientifiques ont conscience qu’elle pourrait se retrouver un jour exposée à l’air libre, ce qui signifie que les déchets radioactifs, chimiques ou biologiques abandonnés lors de la mise hors service de l’installation en 1967 pourraient également refaire surface.
Un gouffre sépare désormais la valorisation du patrimoine d’Elon Musk de celle des autres milliardaires, dont Jeff Bezos ou Bernard Arnault.
Au Minnesota, un chercheur de l’université de Stanford appelé par la justice pour son expertise sur les deepfakes est accusé d’avoir utilisé une IA générative pour rédiger son expertise. Dans ce procès, une élue républicaine et un youtubeur remettent en question la loi locale contre les deepfakes en politique.
Founded by members of shadowy Catholic organisation Opus Dei, the AFI has become one of Guatemala’s most influential groups
We observed a substantial reduction in mortality—a 62 % drop in cervical cancer deaths over the last decade, likely due to HPV vaccination
La montée en puissance de l’IA générative pourrait entraîner des pénuries d’énergie et une hausse des coûts, avertit le cabinet d’analystes Gartner. Et à la clef, un objectif « net zero » de plus en plus remis en cause.
Over 100,000 Palestinians have fled to Egypt during the war. Feeling stranded by the state and the PA, they describe a precarious existence in legal limbo.
D’après un rapport de l’ONU publié ce lundi 25 novembre, au moins 85 000 femmes ou filles ont été tuées en 2023 dans le monde de manière intentionnelle. La plupart du temps, le meurtrier est un proche ou un conjoint.
Le gouvernement travailliste a annoncé ce lundi 25 novembre la création d’une infraction pénale propre à la soumission chimique. 10 000 personnes travaillant dans les bars vont aussi être formées d’ici au printemps 2025 pour aider les victimes.
Le Tchad, dernier pays sahélien à abriter des forces françaises, a annoncé le 28 novembre 2024 « mettre fin à l’accord de coopération en matière de défense signé avec » Paris « révisé en date du 5 septembre 2019 ». Une annonce surprise, survenue quelques heures après une visite à Ndjamena et à Adré du chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot.
À deux jours de l’examen de l’abrogation de la retraite à 64 ans, proposée dans la niche parlementaire de La France insoumise, la coalition gouvernementale a déposé une très grande majorité des amendements. Une manière de ne pas aller jusqu’au vote, alors que le gouvernement a proposé des « discussions » aux partenaires sociaux sur le sujet.
Comme les insoumis ou certains au Rassemblement national, le député Charles de Courson estime que le président de la République devrait « bien sûr » démissionner.« c’est au président, qui est à l’origine du chaos politique (…) de respecter le vote des Français. »
Actant la rupture avec le parti communiste et « la droite du parti socialiste », le leader insoumis a proposé vendredi 29 novembre au soir une « offre fédérative » dans l’hypothèse où Emmanuel Macron démissionnerait.
La cheffe de file des écologistes, Marine Tondelier, et la candidate du Nouveau Front Populaire, Lucie Castets, lancent ensemble un appel à leurs alliés pour une candidature commune à gauche, avec une condition : que personne n’impose son candidat.
L’association s’offusque ce mardi 26 novembre de certaines définitions « archaïques » et « sidérantes » dans la neuvième édition du dictionnaire de l’institution littéraire, publiée le 13 novembre. […] la femme est qualifiée comme « un être humain défini par ses caractères sexuels qui lui permettent de concevoir et de mettre au monde des enfants ». « Faut-il en conclure qu’une femme stérile ou ménopausée n’en est pas une ? » ironise la LDH
Au cœur de débats depuis le début de l’année après les annonces du ministère de la Culture qui envisageait de le démolir puis de le déplacer, le lieu restera finalement dans la rue d’Ulm et sera classé comme bâtiment patrimonial.
« la quantité de pesticides utilisés a été réduite en 2023 de 77 % ». « Cette prévention des pollutions, elle coûte au minimum trois fois moins cher que le traitement curatif qu’on doit engager évidemment pour assurer la conformité de l’eau potable »
Plus d’une centaine de personnes sont rassemblées ce jeudi 28 novembre devant l’Institut national de la recherche agronomique (Inrae), dans le VIIe arrondissement, pour dénoncer « les contraintes » et la « décroissance organisée ».
Mise en avant de figures climatosceptiques, rhétorique rassuriste… La Société de géographie, la plus vieille du monde, est un « bastion du climatoscepticisme en France », dénoncent des géographes démissionnaires.
Le tribunal administratif de Toulouse a suspendu le congé menstruel mis en place par plusieurs collectivités. Avec désormais la crainte d’un effet jurisprudence.
« 130 centres d’orthogénie [dédiés à la prise en charge de femmes en demande d’une contraception et/ou d’une IVG, ndlr] ont fermé en France en quinze ans »
Ce jeudi 28 novembre, le géant du VTC, a mis en place « Uber by Women » : des courses assurées par les chauffeuses d’Uber et réservées aux clientes qui préféreront rentrer chez elles avec une femme plutôt qu’un homme.
Le tribunal correctionnel de Versailles a condamné ce mercredi 27 novembre deux pompiers respectivement à quatre ans et quinze mois de prison avec sursis pour atteintes sexuelles sur Julie, qui était âgée de 14 ans au moment des faits.
Le ministère public a réclamé ce lundi 25 novembre la peine de vingt ans de réclusion criminelle à l’encontre de Dominique Pelicot accusé d’avoir violé et livré au viol de 50 hommes son épouse, sédatée, pendant dix ans.
Seul accusé à ne pas être poursuivi pour agression sexuelle sur Gisèle Pelicot, ce sexagénaire avait copié le protocole de Dominique Pelicot sur sa propre femme.
À plusieurs reprises, Me Gontard tente ensuite d’opposer les causes des femmes étrangères (citant Gaza, l’Iran, la Syrie) à celles des Françaises. « Quelles leçons ils nous donnent [les militantes féministes, devine-t-on, ndlr] quand ils sont incapables de parler des femmes violées dans d’autres pays ? C’est facile de venir dans une démocratie et dire que les hommes sont des violeurs. Allez faire un tour en Iran ! » […] « Il a accepté de le faire sur son épouse parce qu’il va répéter ce que faisait son père sur sa mère », appuie-t-il. Puis de louer la « fidélité » de cet homme, père de cinq enfants, en se gardant bien d’évoquer les violences sexuelles infligées à sa compagne pendant qu’elle dormait, bien avant 2015. L’avocat ajoute, comme pour le déresponsabiliser : « Les femmes ont ça de supérieur à nous qu’elles donnent la vie. Les hommes sont de grands enfants, ils se sentent un peu délaissés. »
Jusque-là laissés tranquilles par les ayants droit, les fournisseurs de DNS font maintenant partie de leurs cibles juridiques concernant le streaming. Canal+ vient de nouveau de gagner face à Google, Cisco et Cloudflare : dans trois nouvelles décisions, le Tribunal judiciaire de Paris oblige les trois géants du numérique à bloquer l’accès à certains sites
Dans ce nouveau paysage en devenir, les médias ont un rôle à jouer. Si nous ne souhaitons plus être assujettis aux géants de la Silicon Valley d’un côté, ou bâillonnés par les risques de censure étatique de l’autre, il va falloir se retrousser les manches. Créer et financer des serveurs autonomes, des serveurs pluriels, des serveurs de gauche, de droite, du centre, des serveurs pour porter les nouvelles et pour débattre.
L’unique distributeur local, Hachette Pacifique, a annoncé l’arrêt le 1er janvier 2025 de l’importation des hebdomadaires et des mensuels, qui continuaient d’être livrés par bateau.
Existe-t-il une obligation d’identifier l’utilisateur de l’ordinateur ?Non. L’organisme qui offre un accès internet au public (par exemple, un restaurant, un cybercafé, un hôtel), n’est pas obligé de relever et de conserver l’identité de ses clients pour fournir une connexion (ex. : accès wifi ouvert). Il doit uniquement conserver les données techniques de connexion.
Sous la menace d’un vote de censure par le Rassemblement national, le Premier ministre a annoncé ce jeudi, que les soins pris en charge par la France en faveur des sans-papiers allaient baisser « sensiblement », déclenchant l’indignation à gauche.
Le ministre délégué à la Réussite scolaire, Alexandre Portier, a renié ce mercredi 27 novembre le programme initié par l’ancien ministre de l’Éducation nationale Pap Ndiaye, promis au départ pour la rentrée 2024 et descendu en flammes par les conservateurs.
« Ces violences sont intolérables dans un Etat de droit », a protesté FNE dans un communiqué. Elles sont commises par « des individus et des organisations qui se croient au-dessus des lois et commettent ces actes sous drapeau syndical, sous le regard des forces de police qui n’interviennent pas »
Alors que l’animatrice de l’émission mentionnait le fait que la meurtrière présumée de la petite Lola (assassinée fin 2022), sous OQTF, était pénalement responsable du crime, Christophe Hondelatte avait rebondi en affirmant que le drame prouvait qu’il fallait soigner les sans-papiers en France. « On a là une preuve flagrante que l’aide médicale d’État est indispensable. Ces gens-là, fussent-ils sans-papiers, ont aussi besoin d’être soignés, y compris sur le plan psychiatrique »
Arrivé en France en 1984, Bob, originaire de République démocratique du Congo (RDC) a reçu une Obligation de quitter le territoire français (OQTF) au moment du renouvellement de son visa. Motif de cette décision ? Ses enfants nés sur le sol français étant désormais majeurs, Bob, n’était plus exempté d’une expulsion.
Travailler en horaires décalés, avec de fortes contraintes physiques ou peu d’autonomie, sans pouvoir en parler, contribue au vote RN.
Depuis près d’un siècle, le Pays basque est une terre de transit. Après les républicains espagnols et les Portugais fuyant la dictature, ce sont aujourd’hui des exilés africains qui, après avoir traversé l’Espagne, font la route pour trouver refuge en France. Et sur les terres basques, la solidarité ne faiblit pas.
« Emmanuel Macron prétend que la France est la championne de la protection des océans et des animaux marins, alors qu’il autorise les bateaux de pêche industriels à détruire le fond de la mer, notamment dans des zones dites “protégées”. »
« Un véritable scandale écologique et financier » : l’association Halte à l’obsolescence programmée (HOP) a annoncé le 26 novembre déposer plainte contre […] HP. Après des mois d’enquête, l’association dénonce « des stratégies illégales, déloyales et agressives » visant à encourager la surconsommation de cartouches neuves de la marque et à décourager le recours à des cartouches de marques concurrentes.
Les grèves et les manifestations en Allemagne s’inscrivent dans le cadre d’une vaste vague mondiale de résistance […] du 29 novembre au 2 décembre, les travailleureuses et leurs alliés des six continents se mobiliseront dans plus de 30 pays contre les abus de travail, les atteintes à l’environnement et les menaces à la démocratie d’Amazon.
Voir aussi Make Amazon pay. (makeamazonpay.com)
Contrairement à ses 16 câbles partagés existants, ce projet serait exclusivement détenu par Meta, lui offrant un contrôle total pour prioriser ses services, […] avec un itinéraire prévu reliant la côte est et la côte ouest des États-Unis via l’Inde, l’Afrique du Sud et l’Australie. Sa réalisation devrait s’étendre sur 5 à 10 ans.
The U.S. Federal Trade Commission has opened a broad antitrust investigation into Microsoft (MSFT.O), including of its software licensing and cloud computing businesses […] The FTC is examining allegations the software giant is potentially abusing its market power in productivity software by imposing punitive licensing terms to prevent customers from moving their data from its Azure cloud service to other competitive platforms […] The FTC is also looking at practices related to cybersecurity and artificial intelligence products
Le contenu de l’IA sur LinkedIn a augmenté de 189 % après la sortie de ChatGPT
We’re all living through the enshittocene, a great enshittening, in which the services that matter to us, that we rely on, are turning into giant piles of shit
Alexandre Grothendieck, who is considered one of the founders of modern algebraic geometry, left a considerable mark on mathematics through his genius and his reflections on his time. Ten years after his death, the mathematician Leila Schneps revisits his legacy.
I’ve become intimately familiar with the Code of Conduct, which requires me to “treat all individuals in the scientific enterprise collegially and with courtesy, including … foreign Members”. I’m not willing to treat Elon Musk “collegially and with courtesy”. Any pleasure I may take in the distinction of the honour of an FRS is diminished by the fact it is shared with someone who appears to be modeling himself on a Bond villain, a man who has immeasurable wealth and power which he will use to threaten scientists who disagree with him. Accordingly, last week I resigned my FRS. I don’t do this in the expectation of having any impact : in the context of over 350 years of Royal Society history, this is just a blip. I just feel far more comfortable to be dissociated from an institution that continues to honour this disreputable man.
Deux histoires de soldats méconnus. Non pas inconnus : méconnus. Méconnus parce que connus seulement par leur couleur de peau – noire. Deux histoires écrites pour le théâtre.
Nina Paley, activiste de la culture libre s’est fait connaître par le film Sita chante le blues, une production publiée sous licence « Creative Commons Zero », une licence au travers de laquelle elle renonce au maximum à ses droits d’autrice, plaçant son œuvre au plus près du domaine public.
celui qui se fait appeler “Pirate dans la boue” cite Élisée Reclus : “Puisque tu aimes le sol et que tu le cultives, c’est bien à toi qu’appartiennent les moissons.” L’idée, ajoute ce maraîcher de profession, n’est pas de de s’approprier pour soi un espace, mais de l’offrir à la communauté.
Le jeu inclut un livret de 24 pages rédigé par deux associations qui luttent contre la surveillance de masse et ses dangers pour les libertés : la LDH (Ligue des droits de l’Homme) et le Mouton numérique. Ce livret apporte des clefs de compréhension des pratiques de surveillance en France.
Retrouvez les revues de web précédentes dans la catégorie Libre Veille du Framablog.
Les articles, commentaires et autres images qui composent ces « Khrys’presso » n’engagent que moi (Khrys).
]]>🎈 Et nous, on vous décerne le prix des meilleurs soutiens ! 🎈
]]>🎈 Framasoft a 20 ans ! 🎈
2007: nous recevons le Lutèce d'or de la meilleure action communautaire à Paris Capitale du Libre. Même si nous cherchons pas à collectionner les récompenses, la jeune asso que nous étions était alors fière de la recevoir.
https://20ans.framasoft.org/#2007
Bonjour,
j’essaie d’utiliser l’outil d’import de calendrier .ics.
Quand je prévisualise je vois deux évènements dans mon calendrier. Mais quand je fait l’import il n’y en a plus qu’un.
C’est un calendrier d’une instance nextcloud accesible via ce lien : https://cloud.boc47.org/remote.php/dav/public-calendars/652s4XZDM6Goc4NM?export
Merci du coup de main !
2 messages - 2 participant(e)s
]]>S'il y a bien un projet qui a bénéficié des dizaines de milliers de contributions, c'est bien l'annuaire.
🎈 Merci ! 🎈
]]>Hello, I didn’t understand how to add it to the documentation (or suggest it), so I’ll write it here. Installing PeerTube using the classic method, 100 out of 100 times on Ubuntu 24.04 ends with Nginx errors: no access to PeerTube folders. This happens on different hostings and with Debian 12. This is solved
sudo chmod -R 775 /var/www/peertube
Redis also has a memory limit warning, solution
echo "vm.overcommit_memory = 1" | sudo tee -a /etc/sysctl.conf && sudo sysctl -p
I would add these 2 solutions at the very end of the installation, for example
sudo cp /var/www/peertube/peertube-latest/support/systemd/peertube.service /etc/systemd/system/ && sudo nano /etc/systemd/system/peertube.service && sudo systemctl daemon-reload && sudo systemctl enable peertube && sudo systemctl start peertube && sudo chmod -R 775 /var/www/peertube && echo "vm.overcommit_memory = 1" | sudo tee -a /etc/sysctl.conf
I would also add an update to Postgress to the latest version, I would add it at the very beginning of the installation(not required, but recommended)
sudo apt install lsb-release wget gnupg && echo "deb http://apt.postgresql.org/pub/repos/apt/ $(lsb_release -cs)-pgdg main" | sudo tee /etc/apt/sources.list.d/pgdg.list && wget --quiet -O - https://www.postgresql.org/media/keys/ACCC4CF8.asc | gpg --dearmor | sudo tee /etc/apt/trusted.gpg.d/pgdg.gpg > /dev/null
This is due to the fact that I received serialization errors on various versions of Postgress, in addition, they are outdated.
Thank you for your attention
1 message - 1 participant(e)
]]>Bonjour,
je souhaiterais savoir quelle est la dimension, ou au moins le rapport entre hauteur et largeur, pour le logo qu’on peut importer pour une liste de vidéos, et pour le logo d’une chaîne Peertube.
J’ai consulté https://docs.joinpeertube.org/ mais je n’ai peut-être pas les bons mots-clés pour trouver l’info
Merci bien
2 messages - 2 participant(e)s
]]>Je suis plus PC que tablette mais au niveau associatif je m’aperçois que beaucoup de personnes utilisent smartphone ou tablette
Mais Framacalc est difficile à utiliser
On ne peut pas se déplacer facilement dans les colonnes
Les tableaux apparaissent petits sur l’écran
Est il prévu une meilleure adaptation de framacalc
Cordialement
4 messages - 3 participant(e)s
]]>I installed Peertube, but I found that the search feature cannot search in the video description or comments.
Additionally, when publishing a video, I can’t add more than 5 tags in the tags field.
How can I modify it to allow searching in the description and comments?
Also, how can I change it to accept more than 5 tags?
4 messages - 2 participant(e)s
]]>Les instances mobilizon fermées aux inscriptions n’indiquent pas la possibilité de s’inscrire au réseau à coté du lien « se connecter », en redirigeant vers d’autres instances ouvertes.
Cela rend l’utilisation de Mobilizon très inaccessible aux personnes qui voudraient rejoindre un évènement publié sur une instance fermée.
J’ai pu constaté que c’était le cas pour les instances mobilizon qui tournent avec la version 4. Mais peut-être que cela a changé pour la version 5 ?
1 message - 1 participant(e)
]]>Bonjour,
Il y a-t-il un espace prévu pour se tenir au courant des infos de maintenance de l’instance mobilizon que l’on utilise ?
Par exemple, j’utilise mobilizon.fr, l’instance de Framasoft, et j’ai appris par hasard que les inscriptions y étaient dorénavant fermées depuis 3 jours.
Cela a-t-il été annoncé en amont quelque part ?
Et est-il indiqué quelque part si cette instance prévoit de passer à la version 5 prochainement ?
Merci d’avance pour vos réponses.
1 message - 1 participant(e)
]]>Bonjour,
mon asso a créé une équipe framateam, merci, c’est super. J’ai crée mon compte via mon mobile et je commence à découvrir les possibilités.
Mais je n’arrive pas à ouvrir mon compte sur mon ordinateur. Une page Gitlab s’ouvre et me redemande mon adressemail et MDP. Puis il ne se passe plus rien. Je ne reçois pas de mail quand j’essaie de reinitialiser mon MDP. Merci de votre aide.
Claire
5 messages - 3 participant(e)s
]]>Bonjour,
J’ai créer un tableur partagé avec un 75lignes*50colonnes, il y a du texte et des colonnes avec des menus déroulants. Et le tableur est lent, terriblement lent. Pour saisir du texte dans une cellule, il faut compter 5 secondes de délai, les copier-coller prennent 10 secondes, etc.
Avez-vous une explication ou même une solution ?
Je vous remercie par avance,
3 messages - 2 participant(e)s
]]>Pourquoi ce pseudo ?
c’ est un diminutif de evolution of mantis , mantis étant le boss coriace de MGS qui brisse le 4 eme mur.
Qu’est-ce qui t’a poussé à venir par ici ?
pour lire et partager mon expérience du libre , et demander de l aide / avis sur un projet qui me tient à coeur, mais vraiment
D’ailleurs, qu’est-ce que tu sais faire / veux apporter ?
aider les autres, selon les questions / logiciels demandés
Sinon, le Libre, c’est quoi pour toi ?
la liberté d utiliser un logiciel ou systeme quand on le veut
Et sur ton temps libre, tu aimes faire quoi ?
lire des bds, comics, mangas
préparer des rhums arrangés ( les deux derniers , un rhum mirabelle , et un rhum 44)
contruire des légos ( seul ou avec mes enfants )
bricoler , créer des choses avec du bois ( bartop / pincab ect ect )
Tu nous conseilles quel logiciel/distro/oeuvre/service libre, là, comme ça ?
mozilla firefox, le plus longtemps possible
Ton livre/film/série/album/chanson du moment ?
en ce moment, je lis la biographie du groupe NOFX, de nofx et jeff alulis et j’ écoute "tohu bohu " l excellent album de Rone
Tu as testé les smiley du site ? Non parce que là c’est le moment !
Pour finir, une citation, un joli mot ou une devise qui pète bien ?
Cécité : point de vue
1 message - 1 participant(e)
]]>
🎈 Framasoft a 20 ans🎈 : Contribuez pour financer une 21e année !
Grâce à vos dons (défiscalisables à 66 %), l’association Framasoft agit depuis 20 ans pour faire avancer le Web éthique et convivial. Retrouvez un focus sur certaines de nos actions en 2024 sur le site Soutenir Framasoft.
➡️ Lire la série d’articles de cette campagne (nov. – déc. 2024)
En novembre 2022, Framasoft annonçait Framaspace, un service en ligne avec les caractéristiques suivantes :
Pour en savoir plus sur le projet, vous pouvez vous référer : au site web Framaspace, à son article d’annonce, à l’article bilan publié à l’occasion de son premier anniversaire ou encore à la vidéo qui présente Framaspace.
Vous pourrez notamment comprendre pourquoi une petite association comme Framasoft s’est lancée dans le projet « un peu » fou de financer sur ses fonds propres jusqu’à 10 000 clouds associatifs (spoiler : « C’est politique ! »).
🦄 Soutenir l’initiative Framaspace 🦄
Alors le moins que l’on puisse dire, c’est que cette année encore, nous n’avons pas chômé !
Nous avons donc plus que doublé le chiffre de l’année précédente, qui bénéficiait pourtant d’un effet d’annonce (où pas mal d’assos ont candidaté « pour voir », et sans doute un peu par « syndrome FOMO »).
C’est moins que le chiffre que nous annoncions vouloir atteindre l’an passé (nous visions plutôt 2 500 associations hébergées), mais accueillir 800 nouvelles structures, dont la sélection est faite manuellement, représente cependant déjà un petit exploit :)
Comme l’an passé, nous avons quelques statistiques à vous partager.
Notez donc qu’il reste de la place, donc votre asso ou collectif peut parfaitement candidater !
Tout d’abord, nous avons fait trois « grosses » mises à jour de Nextcloud, le logiciel qui motorise Framaspace, en passant de la version 26, fin 2023, à la version 29, fin 2024.
Voici un résumé des principales améliorations, sélectionnées en partie sur la base du travail de nos ami⋅es de la société Arawa.
C’est sans compter que ces nouveautés sont aussi complétées par de (très) nombreuses corrections de bugs.
Mais ce n’est pas tout ! Nous avons aussi ajouté plusieurs applications à Framaspace.
Grâce aux visites guidées, vous bénéficiez de tutoriels guidés dans les principales applications de votre Framaspace.
Cette application a été développée par Val, stagiaire à Framasoft cet été (lire son interview pour en savoir plus).
Transfert de propriété est une application réservée aux administrateur⋅ices d’espaces. Elle permet aux admins de pouvoir transférer facilement : fichiers, agendas et contacts, d’un⋅e utilisateur⋅ice à l’autre (par exemple en cas de départ soudain d’un⋅e membre de l’asso).
Cette application a, elle aussi, été développée par Val, stagiaire à Framasoft en pleine canicule (on vous a déjà dit que nos stagiaires étaient formidables ? Non, ben iels le sont ! La preuve ? Lisez sa seconde interview).
Formulaires vous permet de créer des formulaires simples (pour vos adhérent⋅es ou vos bénéficiaires).
Les résultats peuvent être visibles directement dans votre espace, ou directement transférés dans un fichier .csv ou tableur, que vous pouvez ouvrir et manipuler à votre guise sans quitter votre espace.
Vous pouvez lire l’article de présentation sur le blog de Nextcloud.
Tableaux vous permet de créer de mini-applications sans rien n’y connaître en code. Par exemple, pour un atelier vélo, vous pouvez créer une petite application qui permet de savoir qui réserve quoi dans une liste de matériel. Ou encore, pour l’organisation d’une AG, qui vient quand ? à quelle heure ? qui a besoin d’un logement ? etc.
Cette application est fonctionnelle, et sera enrichie lors des prochaines mises à jour, MAIS est plutôt réservée à un public avancé.
Si cela vous intéresse, vous pouvez lire cet article (en anglais).
Les applications Formulaires et Tableaux bénéficieront de tutoriels dédiés en 2025.
🦄 Soutenir l’évolution de Framaspace 🦄
C’est probablement LA principale annonce que nous avons à vous faire 😊
Nous sommes fier⋅es d’avoir intégré une partie du logiciel libre de gestion associative Paheko à Framaspace 🎉
Paheko, que les plus ancien⋅nes d’entre vous connaissaient peut-être sous le nom de Garradin, est un logiciel qui vous permet de gérer associations, clubs sportifs, ONG, syndicat, CSE, syndic de copropriété, etc.
Paheko propose de nombreuses fonctionnalités :
Paheko est aujourd’hui utilisé par plus de 6 000 associations, notamment au travers de son portail Paheko Cloud qui propose un essai gratuit (pour un seul exercice comptable) et un tarif à contribution libre.
Nous connaissons bien ce logiciel et son développeur principal, impliqué depuis de nombreuses années dans différents milieux militants, dont celui du logiciel libre francophone. Notez par ailleurs que Paheko est membre du collectif CHATONS, impulsé par Framasoft.
Cet article est d’ailleurs l’occasion de le remercier, lui et toute l’équipe Paheko, à la fois pour avoir réalisé ce logiciel libre de qualité, mais aussi pour nous avoir permis et même aidé à l’intégration de Paheko dans Framaspace. Nous pensons qu’il s’agit là d’un exemple concret où l’esprit collaboratif du libre et des communs l’emporte largement sur l’aspect compétitif de l’individualisme et de la mise en concurrence. Merci à elles et eux !
Ainsi, dans Framaspace, vous pouvez dorénavant gérer les membres de votre association.
Ajoutez un⋅e membre en quelques clics. Créez des catégories de membres. Gérez leurs adhésions (avec ou sans cotisation). Générez des fiches/badges de membres, avec vos propres champs, etc. L’éventail des possibilités est large ! Par ailleurs, notez que si vous n’avez le droit qu’à 50 comptes utilisateurs maximum dans Framaspace, vous n’êtes pas limité.es dans le nombre de membres que peut gérer Paheko.
Vous pourrez aussi créer des « activités ». Une activité peut correspondre à toute thématique. Il peut s’agir de la cotisation annuelle, d’un atelier, d’une formation, d’un événement, etc. Nous faisons confiance à votre imagination :)
Une fois l’activité créée, vous pouvez y inscrire les membres de votre choix. Vous pourrez leur envoyer des messages (par emails groupés). Ces derniers pourront recevoir des rappels automatiques que vous pourrez configurer (par exemple un rappel 15 jours avant l’expiration d’une cotisation à l’asso, ou 3j avant la date d’une formation).
C’est un très gros morceau, et cet article n’a pas pour but de vous démontrer toutes les fonctionnalités comptables de Paheko. Nous rappellerons juste que plus de 6 000 associations utilisent à ce jour Paheko, ce qui démontre la robustesse de son application de comptabilité.
Par ailleurs, Paheko permet de choisir différents plans comptables. Framaspace héberge près d’une centaine de syndicats, de collectifs de copropriétaires (syndics), d’associations belges ou suisses, etc. pour lesquelles Paheko permet de choisir ou d’importer un plan comptable adapté.
Pour découvrir les possibilités d’usage de Paheko en termes de comptabilité, nous vous renvoyons à la documentation officielle de Paheko.
Alors, « la peinture est encore fraîche », comme disent les boomers.
Pour intégrer Paheko dans nos 1 500 Framaspaces, il nous aura tout de même fallu mettre en œuvre des efforts considérables (notamment pour Thomas et Luc, qui se sont chargés du développement et du déploiement). Par conséquent, nous avons fait le choix d’y aller par étapes, pour nous éviter de nous retrouver submergé⋅es par le support autour de l’application.
Par ailleurs, nous voulions aussi éviter de surcharger le support officiel de la communauté Paheko, si trop d’utilisateur⋅ices de Framaspace signalaient des bugs en réalité liés à l’intégration de Paheko dans Framaspace.
Donc, pour l’instant, nous avons quand même limité le périmètre d’usage de Paheko dans Framaspace :
🦄 Soutenir la collaboration Paheko & Framaspace 🦄
Pour diverses raisons, nous avons pris du retard sur les actions de promotion de Framaspace. Pour l’instant, en dehors de quelques conférences et messages sur les réseaux sociaux, nous avons très peu communiqué sur ce service, qui est pourtant un « poids lourd » dans notre offre.
En 2025, nous consacrerons donc du temps à travailler la communication autour de Framaspace : conception de supports promotionnels, contacts avec les têtes de réseaux associatives, lettres d’information, etc.
L’un des objectifs de Framaspace est aussi de faire émerger une communauté d’utilisateur⋅ices francophone du logiciel Nextcloud.
En effet, ce logiciel libre est utilisé par plus de 100 millions de personnes dans le monde, mais l’essentiel de la communauté échange en anglais ou allemand. Quant aux forums en français, les discussions sont souvent très très techniques.
Nous voulons donc participer à la structuration d’un espace d’entraide plutôt à destination des utilisateur⋅ices.
Nextcloud est un logiciel aussi riche que complexe. Et Framaspace hérite de cette richesse et de cette complexité. Même si sa fonction principale reste le stockage et le partage de fichiers, son périmètre d’action dépasse aujourd’hui largement ce cadre : agenda, suite bureautique collaborative, synchronisation de fichiers, chat, visioconférence, formulaires, et maintenant gestion de membres et comptabilité.
En conséquence, la question de pouvoir mieux accompagner les utilisateur⋅ices, notamment celles et ceux qui découvrent Nextcloud, demeure centrale.
Même si Framasoft a participé à des webinaires ou soutenu financièrement l’animation d’ateliers, nos actions d’accompagnement des publics n’en sont encore qu’à leurs débuts.
Plusieurs projets sont en cours de réalisation, notamment un tutoriel interactif, dont vous serez l’héroïne ou le héros. Mais aussi plusieurs tutoriels sur des fonctionnalités avancées de NextCloud, en particulier sur les apps « Formulaires », « Tableaux » et « Paheko ».
Nous commençons à avoir une offre relativement complète sur Framaspace.
Mais cela ne signifie pas que nous allons nous arrêter là…
D’abord, début 2025, nous passerons à la version 30 de Nextcloud qui apportera, là encore, son lot de nouvelles fonctionnalités intéressantes.
Nous évaluerons aussi l’intégration de nouvelles applications, comme celle mettant à disposition un tableau blanc interactif et partagé, ou celle proposant des dossiers de groupes (qui reste pour l’instant un peu trop buguée à notre goût). Nous estimerons la pertinence d’intégrer la valorisation du bénévolat. Et nous verrons si nous avons les moyens humains et financiers d’ajouter la possibilité de créer et gérer votre site web associatif, directement depuis votre Framaspace.
Par ailleurs, nous envisageons de « muscler » les capacités de visio de Framaspace, en mettant en place une infrastructure plus performante et plus avancée. En effet, les tests de Framaspace semblent démontrer qu’une visio à 2 ou 3 personnes fonctionne correctement. Mais avec plus de participant⋅es, la qualité peut vite se dégrader, et impose une excellente connectivité. Nous souhaitons nous pencher sur ce problème, et évaluer les coûts des différentes solutions.
Enfin, même s’il ne s’agit pas de nouvelles fonctionnalités, nous souhaitons inciter à la « collaboration politique » entre les espaces. Que cela soit en mettant en valeur les possibilités de « fédération » (c’est-à-dire la possibilité de lier et de partager des informations entre plusieurs espaces Framaspace ou Nextcloud), ou en proposant une « veille militante » partagée afin de faciliter les mobilisations (ce qui nous semble particulièrement essentiel en ce moment).
Cela ne pourra évidemment se faire que si vous nous en donnez les moyens, car il nous faut encore…
Qu’est-ce qui peut bien pousser une association française qui compte moins d’adhérent⋅es que le club de bridge de Pouilly-en-Auxois à dire « OK, on va outiller numériquement des milliers d’associations en leur fournissant du cloud éthique. Et on va faire ça gratuitement. » ?
La folie, l’inconscience, ou le manque d’humilité, diront certains. Et peut-être auront-ils raison ! :-P
Mais nos objectifs ont toujours été les mêmes : faciliter l’accessibilité et la découvrabilité d’outils numériques libres, éthiques et solidaires.
Or, si l’offre Nextcloud est pléthorique chez les CHATONS, il faut bien avouer que le coût à l’entrée (même pour quelques dizaines d’euros par mois) est un véritable frein à quitter les GAFAM et notamment Google Workspace, utilisé par des centaines de milliers d’associations à travers le monde.
C’est une des raisons qui nous a poussés à proposer une offre gratuite, ou plutôt « sans discrimination par l’argent« .
Mais voilà, on estime, à la très grosse louche, que Framaspace coûte environ 30 000 € par an à Framasoft.
Côté recettes, nous recevons bien entendu quelques dons pour Framaspace, et une partie du soutien financier de fondations à Framasoft, se fait aussi parce que nous proposons ce service.
Cependant, cela ne suffit pas à mettre le projet à l’équilibre financier. Ça tombe bien : comme tout projet militant, l’équilibre budgétaire n’est pas un objectif ✊
Cependant, c’est un moyen parmi d’autres de pouvoir assurer la pérennité d’un projet. Vous nous voyez donc venir avec nos gros sabots… Soutenir Framasoft, c’est soutenir Framaspace.
C’est permettre à des centaines (demain des milliers ?) d’associations de pouvoir mettre leurs valeurs de progrès social et de justice sociale en cohérence avec leurs usages numériques.
C’est redonner, aussi, un peu de fierté et de dignité à un milieu associatif aujourd’hui en grande souffrance – et en grand danger – face aux rouleaux compresseurs du néolibéralisme, de la haine en ligne (mais aussi dans le monde physique), du rétrécissement de l’espace démocratique, etc. en démontrant que les associations ne sont pas solubles dans la startup nation, et peuvent prendre soin d’elles-mêmes, y compris dans un monde où certains voudraient nous faire croire que la solidarité serait une valeur dépassée.
En conséquence, si vous trouvez Framaspace utile, opportun ou tout simplement intéressant, nous vous invitons à soutenir Framasoft.
Framasoft est financée par vos dons ! Chaque tranche de 20 euros de dons sera un nouveau ballon pour célébrer 20 ans d’aventures et nous aider à continuer et décoller une 21e année.
Framasoft, c’est un modèle solidaire :
À ce jour, nous avons collecté 24 421 € sur notre objectif de campagne : merci ! Il nous reste 35 jours pour convaincre les copaines et récolter de quoi faire décoller Framasoft.
Alors : défi relevé ?
]]>Bonjour,
Tout d’abord merci pour toutes ces possibilités de manipulation de pdf.
J’ai essayé «OCR, nettoyage des numérisations».
Ça fonctionne très bien pour un fichier. Par contre pour plusieurs fichiers en même temps ça ne fonctionne pas. Bizzarement ça a marché une fois, j’avais deux fichiers pdf, j’ai bien eu un fichier .zip contenant lui-même deux .zip, correspondants aux deux fichiers de départ. Mais à part cette fois là, rien à faire, j’ai l’erreur 504.
Je sous XUbuntu 24.04, Firefox 132.0
Quelqu’un.e aurait-il une idée ?
Merci.
1 message - 1 participant(e)
]]>« Bien qu’il ait obtenu une victoire « nette » au collège électoral, obtenant 312 voix contre 226 pour Kamala Harris, la victoire de Trump est loin d’avoir constitué un « raz-de-marée » tel que relayé par ses proches et partisans. Avec seulement 1,6 point d’avance […] Trump a remporté l’élection avec la marge la plus étroite depuis la victoire de George W. Bush contre le démocrate Al Gore en 2000. »
En 2016, Trump avait gagné avec 2,1% de voix en moins que Clinton, ça me semble une marge encore plus étroite que celle d’aujourd’hui non ?
Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière.
Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer votre bloqueur de javascript favori ou à passer en “mode lecture” (Firefox) ;-)
Des dizaines de milliers de manifestants ont défilé ce mardi dans la capitale Wellington, contre un projet de révision du traité fondateur du pays. Il y a quelques jours, une députée maorie avait lancé un haka pour dénoncer la politique « raciste » du gouvernement conservateur.
Voir la vidéo : Des députés font un haka en pleine séance pour défendre les droits des Maoris (invidious.nerdvpn.de)
Une drôle de surprise a occupé les travailleurs de la plus grande centrale électrique à charbon du l’est de la Chine. En septembre dernier, ils ont dû batailler pendant dix jours contre une véritable invasion de méduses menaçant le bon fonctionnement de leur centrale thermique à Jiaxing, dans la province du Zhejiang.
Voir aussi Gridlocked : When Jellyfish Brought a China Power Plant to Its Knees (sixthtone.com)
For 10 relentless days and nights in September, workers at eastern China’s largest coal-fired power plant battled an invader unlike any they had faced before : a tidal surge of jellyfish.
Gautam Adani, homme le plus riche d’Asie et proche du premier ministre indien, a été inculpé pour fraude ce jeudi, à New York. L’affaire souligne l’ultralibéralisme inconscient de Narendra Modi, qui promeut son projet suprémaciste aux dépens du développement du pays.
Au moins 1773 lobbyistes représentant le secteur des énergies fossiles sont accrédités à la COP29 qui s’achève ce week-end à Bakou […] Seules les délégations du pays hôte l’Azerbaïdjan, de la Turquie et du Brésil, qui accueillera la conférence internationale sur le climat l’année prochaine, sont plus importantes. C’est davantage que les délégués des dix nations les plus vulnérables à la crise climatique.
Casey Camp-Horinek, élue autochtone étasunienne, dénonce l’industrie mortifère des hydrocarbures, et notamment les ravages de la fracturation hydraulique. À la COP29, face à l’immobilisme des politiques, elle prône la rébellion.
Les pays pauvres et insulaires ont quitté avec fracas, ce samedi 23 novembre, des consultations avec la présidence azerbaïdjanaise de la conférence de l’ONU à Bakou pour protester contre un projet d’accord bien en dessous de leur demande d’aide financière. Bouleversant un peu plus le calendrier de fin de la COP.
La guerre en Ukraine favorise la décarbonation de son mix énergétique. De plus en plus de panneaux solaires sont installés afin de pallier les destructions des centrales thermiques par la Russie.
Washington avait jusqu’ici refusé d’autoriser des frappes sur le sol russe avec les ATACMS livrés par les États-Unis, craignant qu’elles n’aggravent la guerre.
Pour la première fois de l’histoire, la Russie a frappé l’Ukraine avec un missile balistique de moyenne portée (IRBM). Cette arme est, à l’origine, conçue pour accueillir des têtes nucléaires. Une nouvelle étape dans le cycle d’escalade ouvert en début de semaine.
Au lendemain de l’incident qui a touché deux câbles de télécommunications sous-marins reliant la Finlande et l’Allemagne et la Suède et la Lituanie, le ministre allemand de la Défense affirme ce mardi 19 novembre qu’il s’agit d’un acte délibéré. Ce genre d’incidents se multiplient depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022.
Le nouveau gouvernement travailliste au Royaume-Uni a annoncé en juillet une loi pour renationaliser progressivement le rail, 30 ans après une privatisation retentissante qui n’a pas apporté les résultats espérés.
Voir aussi Royaume-Uni : la renationalisation du rail votée au Parlement après les « performances inacceptables » du secteur privé (liberation.fr)
La loi pour faire revenir les opérateurs privés dans le giron public a reçu mercredi soir le feu vert de la chambre des Lords. Les deux tiers des Britanniques soutiennent le projet de renationalisation, après des années de mauvaises performances du secteur ferroviaire.
O2, le plus grand opérateur de réseau mobile du Royaume-Uni, décide d’utiliser l’IA pour lutter contre les escroqueries téléphoniques. Il a déployé une IA, appelée Daisy, conçue pour maintenir les fraudeurs au téléphone le plus longtemps possible dans des conversations sans issue. Elle est conçue pour faire croire aux escrocs qu’ils parlent à une vraie grand-mère qui aime divaguer. Lorsqu’elle transmet les coordonnées bancaires demandées, elle lit de faux numéros et de faux noms. Les escrocs disposent ainsi de moins de temps pour cibler de vrais humains et Daisy permet d’apprendre les astuces et les techniques les plus utilisées dans ces fraudes.
Bien qu’il ait obtenu une victoire « nette » au collège électoral, obtenant 312 voix contre 226 pour Kamala Harris, la victoire de Trump est loin d’avoir constitué un « raz-de-marée » tel que relayé par ses proches et partisans. Avec seulement 1,6 point d’avance […] Trump a remporté l’élection avec la marge la plus étroite depuis la victoire de George W. Bush contre le démocrate Al Gore en 2000.
Bad news : your car is a spy. Every major car brand’s new internet-connected models flunked privacy and security tests conducted by Mozilla.
Senator wants to investigate whether VeriSign is ripping off customers and violating antitrust laws.
Z-Library is one of the largest shadow libraries on the Internet, hosting millions of books and academic articles that can be downloaded for free.
Les abeilles sauvages qui nichent au sol sont particulièrement vulnérables aux pesticides. C’est le constat d’une étude publiée le 14 novembre dans Science. Or ces insectes passent sous les radars des évaluations de risque des pesticides. Ces dernières sont en effet réalisées principalement sur d’autres abeilles, les domestiques qui produisent le miel.
Le peintre et poète sud-africain, qui a passé plusieurs années en prison pour son opposition à l’apartheid et avait été libéré grâce à l’intervention de François Mitterrand, est mort en France à l’âge de 85 ans.
L’armée israélienne impose depuis le 6 octobre 2024 un siège meurtrier à tout le nord de Gaza. Les habitants, sans secours, sans abri, sans nourriture ni eau, y subissent un nettoyage ethnique dans le silence assourdissant de la « communauté internationale ».
Parmi la trentaine de victimes se trouvaient quatre enfants, a indiqué le ministère libanais de la Santé.
Le gouvernement de Benyamin Nétanyahou a approuvé ce dimanche 24 novembre une proposition de son ministre des Communications visant à couper tous liens avec le quotidien de centre-gauche. Celui-ci s’insurge contre « une nouvelle étape vers le démantèlement de la démocratie israélienne ».
Sans la citer, Nancy Mace a attaqué Sarah McBride, devenue au début du mois la première femme transgenre élue au Congrès américain.
Dans un message posté ce jeudi 21 novembre sur X, Matt Gaetz annonce renoncer à devenir le ministre de la Justice de Donald Trump. L’ancien représentant de la Floride au Congrès est accusé de comportements sexuels inappropriés et de trafic sexuel impliquant des mineures.
Pete Hegseth, Matt Gaetz et Linda McMahon font partie des candidats les plus controversés à un poste ministériel. Leur nomination doit être validée par le Sénat.
Les identifiants de quelque 800 000 utilisateurs, passés et présents, ont été dérobés, ainsi qu’un historique des canaux de discussion internes de The Real World, la plateforme communautaire de l’influenceur.
Emmanuel Macron a annoncé ce samedi 23 novembre, à l’occasion d’un déplacement commémoratif à Strasbourg, que la nation allait rendre hommage à l’auteur de « L’étrange défaite », fusillé par l’occupant allemand en 1944 après avoir été torturé.
Voir aussi Panthéonisation : les conditions posées par la famille de Marc Bloch (blogs.mediapart.fr)
il nous paraît essentiel que l’extrême droite, dans toutes ses formes, soit exclue de toute participation à la cérémonie.
La justice « enjoint » ce vendredi 22 novembre à l’Institut d’études politiques de Paris de permettre la tenue de l’événement qui avait été interdit par la direction mardi « pour risque d’atteinte à l’ordre public ».
Dans un arrêt rendu mardi, le Conseil d’État a débouté les associations et entreprises qui avaient attaqué une décision de la CNIL autorisant le stockage des données de santé dans un entrepôt de données opéré par Microsoft.
Face au discours sur les « mines propres », Splann ! révèle les pollutions générées par la mine d’andalousite de Glomel, au cœur de la Bretagne, exploitée par la multinationale Imerys.
À Strasbourg, la mairie écologiste mène une expérimentation visant à observer les déplacements et l’occupation de l’espace par les enfants dans les cours de récréation.
Cyberharcèlement et violences en lignes visent en majorité les femmes. Les autorités n’en font pas assez pour lutter contre le phénomène, dénoncent associations et avocats. Il faut plus de moyens et la coopération des entreprises de réseaux sociaux.
Le processus d’anonymisation n’exige aucun document particulier et est effectif sous 48 heures après une simple demande.
Depuis 2021, l’association Nous sommes organise des groupes de parole à destination d’hommes désireux d’interroger leur masculinité. Début novembre, à Paris, les participants ont échangé sur la culture de la violence physique, psychologique ou sexuelle.
L’actrice, qui a porté plainte contre Jacques Doillon pour « viols sur mineur », a commenté sur Instagram son « avis préalable de mise en examen », cette dernière étant automatique en cas de plainte pour diffamation.
Elles sont notamment 6 % à déclarer avoir déjà subi une agression sexuelle, et 1 % un viol, de la part d’un autre médecin ou étudiant en médecine.
Me Antoine Camus, l’un des deux conseils de la septuagénaire, a dénoncé des stratégies adverses parfois indignes d’une « enceinte judiciaire au XXIe siècle ».
Et c’est dans cet égout, après une longue période d’enfermement, où le huis clos paraît inévitable […] que tombe la décision de Gisèle Pelicot : on ouvre tout, on déballe tout, on diffuse tout. De victime elle devient héroïne pour des millions de femmes : « Je voulais que toutes les femmes victimes de viol puissent se dire “Mme Pelicot l’a fait, on pourra le faire” »
Le quotidien régional affirme ce mardi 19 novembre vouloir défendre ses « valeurs » face aux « réseaux anti-sociaux ».
Le média régional a annoncé jeudi 21 novembre l’arrêt de ses activités sur le réseau social X, détenu par le milliardaire américain Elon Musk, dans le sillage de « Ouest-France » et de plusieurs autres médias européens.
L’Observatoire des Médias sur l’Écologie (OMÉ) a été lancé. Mis en place par un consortium d’associations et d’experts, il vise à analyser le traitement médiatique des enjeux écologiques. Leur constat sonne comme un euphémisme : le traitement médiatique des enjeux écologiques « pourrait s’améliorer en quantité comme en qualité ».
En marge du G20 à Rio, le chef de l’État a répondu à un Haïtien qui l’interpellait “de manière insistante” en l’accusant lui et la France “d’être responsables” de la crise politique en Haïti, selon l’entourage du président.
Voir aussi La honte : pour Macron, les Haïtiens sont « complètement cons » et ont tué « Haïti » (blogs.mediapart.fr) et « Complètement cons » : Haïti a convoqué l’ambassadeur de France après des propos « inacceptables » d’Emmanuel Macron (liberation.fr)
Alors que le gouvernement se dit « ouvert » à cette idée, la gauche fustige une mesure injuste pesant uniquement sur les salarié·es.
Souhaitée par Gabriel Attal, la mesure avait été suspendue par la dissolution. Elle revient (encore) par le Sénat (et contre l’avis du gouvernement).
Prendre 300 euros aux plus pauvres pour les donner aux plus riches. C’est, en résumé, l’effet des mesures sociales et fiscales mises en œuvre par le gouvernement en 2023, selon un rapport publié hier par l’Insee.
L’État souhaite trouver un repreneur pour 60 Millions de consommateurs afin de relancer l’activité du magazine… Une décision jugée « désastreuse » pour la cinquantaine de salariés
Dans son rapport pour l’année 2023, la police des polices relève une baisse des usages des armes à feu, mais note une impressionnante augmentation de l’usage des armes dites « intermédiaires » (LBD, grenades, Taser…). L’IGPN produit pour la première fois des données plus précises sur l’usage de ces armes et dénonce discrètement une « situation RH dégradée » dans ce service.
Face à la puissance tentaculaire du groupe Bolloré dans l’édition et le monde du livre, un ensemble de librairies indépendantes s’engage dans « la bataille des imaginaires » pour contrer « cette entreprise de conquête hégémonique ». « Au jour le jour, l’indépendance des librairies se construit dans ses choix : les ouvrages présents et mis en avant. Mais elle s’affirme aussi dans ses refus. Le refus d’être l’outil de propagande des forces réactionnaires. »
Voir aussi 80 librairies s’engagent à escamoter les livres Bolloré (lundi.am)
TooLate annonce qu’il met aussi en vente ces sculptures d’argile « pour les conducteurs souhaitant montrer leur virilité au volant ». « Avec leur taille imposante et leur capacité à frôler le sol, ces couilles affichent une virilité incontestable et la possibilité d’écraser tout sur leur passage »
Grâce à vos dons, Framasoft accompagne plus de 2 millions de personnes dans leur émancipation numérique. Après une vingtième année difficile, notre association vous demande les moyens de poursuivre ses actions… et de relever les défis du futur !
Le ministère de la Justice des États-Unis a réclamé mercredi 20 novembre au soir une scission des activités de la filiale du groupe Alphabet, accusé d’imposer l’utilisation par défaut de son moteur de recherche sur les smartphones Android.
Summaries are often wrong, usually odd, sometimes funny, rarely helpful.
Microsoft Office, like many companies in recent months, has slyly turned on an “opt-out” feature that scrapes your Word and Excel documents to train its internal AI systems. This setting is turned on by default, and you have to manually uncheck a box in order to opt out.
Act as if you are now living in East Germany and Meta/Facebook/Instagram/WhatsApp is the Stasi. It is.
Depuis fin 2023, le collectif marseillais Le Nuage était sous nos pieds enquête, analyse et lutte contre les impacts sociaux, écologiques et politiques des infrastructures du numérique à Marseille, en particulier des câbles sous-marins et des data centers.
By the fourth century, “all main Roman roads along with 225 stopping stations were compiled in a document called the Itinerarium Antonini, the Itinerary of Emperor Antonius Pius.”This highly practical document includes mostly roads that “passed through large cities, which provided better facilities for housing, shopping, bathing, and other traveler needs.”
Le cinéma d’auteurs et d’autrices est à la croisée des chemins. Entre financements, bataille politique, écologie et lutte contre les violences sexistes et sexuelles, la SRF, Société des réalisatrices et réalisateurs de films, tente de reprendre en main à son échelle le cinéma français.
Install partie, conférences, stands, ateliers… Si vous êtes en région parisienne, réservez votre week-end des 7-8 décembre et parlez-en autour de vous !
What happens when male statues become fathers for a day ? A creative campaign in Sweden is challenging traditional norms about parenting roles.
Depuis 2016, l’association les sans pagEs a créé ou amélioré près de 17 000 pages sur l’encyclopédie en ligne, et débusqué maints biais sexistes. Un travail titanesque au long cours : la part des femmes dans les notices biographiques vient seulement de dépasser les 20 %.
Retrouvez les revues de web précédentes dans la catégorie Libre Veille du Framablog.
Les articles, commentaires et autres images qui composent ces « Khrys’presso » n’engagent que moi (Khrys).
]]>Dear all, newbie here and I am facing some issue with the installation of Peertube using Docker. There is an issue with the Bind Mount, which I assume is the creating of various folders facing issue. Anyone facing this problem?
Siangloon@LauCloud:/volume1/docker/peertube$ sudo docker-compose up
Attaching to certbot, peertube-peertube-1, peertube-postfix-1, peertube-postgres-1, peertube-redis-1, peertube-webserver-1
Error response from daemon: Bind mount failed: '/volume1/docker/peertube/docker-volume/redis' does not exists
2 messages - 1 participant(e)
]]>Nous utilisons Framagroupes avec succès. Une liste d’autorisation a été paramétrée avec plusieurs adresses courriel.
Tout fonctionne bien SAUF pour 1 seule adresse (valide) qui n’est pas prise en compte et suit la procédure de demande de modération …
C’est une adresse de free.fr mais j’ai fait des test avec une autre adresse free.fr qui est autorisée avec succès.
Comment arriver à déboguer ce type de dysfonctionnement ?
Merci d’avance pour vos indications …
Philippe
1 message - 1 participant(e)
]]>Bonsoir à tous,
je n’arrive pas à trouver la fonction « unique » dans la liste déroulante alors que je l’ai utilisée dans des questionnaires antérieurs (dans « validation », sous « requis »). C’est moi qui n’y vois pas clair ou elle a bougé ou encore disparu?
D’avance, merci de vos réponses.
5 messages - 3 participant(e)s
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