Travail du sexe, féminisme et capitalisme: enjeux politiques et militants avec Klou

Des échanges retranscrits par Elisa, bénévole au Poisson sans bicyclette, en décembre 2024 Introduction Dans le cadre des cycles de discussion Blablaclasses sur le travail et le capitalisme, le jeudi 7 mai 2024, Le poisson sans bicyclette et les participant.e.s de l’atelier ont rencontré Klou, autrice de Bagarre érotique, autour Lire la suite…

Répondre aux situations de préjudice en milieu militant. Recherche participative sur la nécessité d’une prise en charge collective

Une étude menée par le Poisson sans Bicyclette, rédigée et coordonnée par Alessandra Vitulli en 2024 Les milieux militants et communautaires, qu’il s’agisse d’associations féministes, de collectifs queer ou, plus généralement, de groupes de gauche, sont souvent décrits et étudiés comme des entités servant la société, nécessaires à la démocratie. Lire la suite…

Minorités sexuelles et de genre : quels enjeux de santé ?

Une analyse réalisée par Alessandra Vitulli pour le Poisson sans Bicyclette en novembre 2024. Les personnes LGBTQI+ forment un groupe social peu étudié dans le domaine de la santé alors qu’il est pourtant particulièrement vulnérable à certains problèmes de santé. Puisque les inégalités sociales présentes dans la société engendrent inévitablement Lire la suite…

Être handicapé·e et LGBTQIA+ : questionner l’impensé, comprendre l’effacement, remettre au centre des luttes

Comment se fait-il que ce qui semble aller de soi pour beaucoup de personnes concernées semble si extraordinaire et rare à l’ensemble de la société ? Pourquoi cette hostilité spécifique à l’idée de handicap et de troubles psy dans certains milieux LGBT ? Qu’est-ce que les vécus et luttes LGBTQIA+ et handicapées peuvent avoir en commun et s’apporter mutuellement ?

Public féminin et LGBTQIA+ sans chez-soi : le travail social en retard ou de mauvaise foi ?

Dans cette étude, on se demandera si l’absence relative de femmes et de personnes LGBTQIA+ au sein des services d’aide sociale aux personnes sans-abri signifie vraiment un moindre besoin de ces personnes en la matière.
On regardera quels sont les facteurs de précarité matérielle, et s’ils sont exacerbés ou atténués selon le profil socio-économique.
On fera ensuite un petit tour d’horizon des services effectivement mis en place à destination de ce public, pour revenir à notre question de départ : est-ce que celui-ci présente moins de besoins ? A-t-on raison, en travail social, de ne s’y intéresser qu’en tant que public « minoritaire », et donc secondaire ?