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Justine, ou les Malheurs de la vertu

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Pour les autres éditions de ce texte, voir Justine (Sade).

Illustrations par Philippe Chéry.
« en Hollande chez les Libraires associés » [Girouard, Paris].
Qui sait, lorsque le Ciel nous / frappe de ses coups, / Si le plus grand malheur n’est / pas un bien pour nous ? / Œd. chez Admète.
Qui sait, lorsque le Ciel nous / frappe de ses coups, / Si le plus grand malheur n’est / pas un bien pour nous ? / Œd. chez Admète.


JUSTINE,


OU

LES MALHEURS

DE LA VERTU.


Ô mon ami ! la prospérité du Crime est comme la foudre, dont les feux trompeurs n’embélissent un instant l’atmosphère, que pour précipiter dans les abîmes de la mort, le malheureux qu’ils ont ébloui.



EN HOLLANDE,
Chez les Libraires Aſſociés.


1791.