Roisin
Apparence
Roisin | |||||
Le château des Baudry (XIIIe/XVIIIe siècles). | |||||
Administration | |||||
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Pays | Belgique | ||||
Région | Région wallonne | ||||
Communauté | Communauté française | ||||
Province | Province de Hainaut | ||||
Arrondissement | Mons | ||||
Commune | Honnelles | ||||
Code postal | 7387 | ||||
Zone téléphonique | 065 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Résinois(e) ou Raisinois(e)[1] | ||||
Population | 1 253 hab. (1/1/2020[2]) | ||||
Densité | 101 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 19′ 59″ nord, 3° 41′ 38″ est | ||||
Superficie | 1 237 ha = 12,37 km2 | ||||
Localisation | |||||
Localisation de Roisin au sein de Honnelles | |||||
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Région wallonne
Géolocalisation sur la carte : Hainaut
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Roisin est une section de la commune belge de Honnelles située en Région wallonne dans la province de Hainaut. C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977. Roisin a longtemps été renommé pour son tabac[3],[4]. Roisin est devenu connu au début du XXe siècle car le poète Émile Verhaeren venait y passer chaque été de 1900 à 1916, en compagnie de sa femme Marthe, et y recevoir ses amis. Un buste, une rue, un musée et une école rappellent son passage dans le village.
Les origines de Roisin
[modifier | modifier le code]Le village de Roisin tire son nom du vignoble qu'il contenait[réf. nécessaire] et son emplacement se nomme encore « Champs du Vignoble ».
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]- Sources : INS, Rem. : 1831 jusqu'en 1970 = recensements, 1976 = nombre d'habitants au 31 décembre.
Personnalités
[modifier | modifier le code]- Jean-Philippe Couez, était le tenancier de l'auberge de la Houlette où la bande d'Antoine-Joseph Moneuse (1768-1798) perpétra un de ses pires méfaits[réf. nécessaire].
- Émile Verhaeren (1855-1916), poète belge flamand d'expression française, a séjourné à Roisin près du lieu-dit « Le Caillou qui bique ».
Galerie
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Le village vu depuis un des étangs du château.
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Émile Verhaeren près du Caillou qui Bique, lieu de détente où il a résidé.
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Poème de Émile Verhaeren non loin du Caillou qui Bique, lieu de détente où il a résidé.
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L'entrée.
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L'église.
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La place.
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Le monument aux morts.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Alain Jouret, « Le Haut-Pays de Dour », dans Saint-Ghislain, Borinage, Haut-Pays. Un passé recomposé., Saint-Ghislain, 2013, p. 139-264 (Publication extraordinaire du Cercle d’histoire et d’archéologie de Saint-Ghislain et de la région, XIII).
Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 37
- https://statbel.fgov.be/fr/open-data/population-par-secteur-statistique-10
- http://www.haut-pays.be/roisin_et_meaurain.php
- https://www.lavenir.net/regions/mons-centre/2013/07/08/plus-de-tabac-a-la-tabatiere-IYWA7IYSS5ER3JGFLOTGLY6V3A/