Malrevers
Malrevers | |||||
Église Saint-Julien-de-Brioude à Malrevers | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay | ||||
Maire Mandat |
Gilles Oger 2020-2026 |
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Code postal | 43800 | ||||
Code commune | 43126 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
765 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 54 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 05′ 56″ nord, 3° 58′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 591 m Max. 920 m |
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Superficie | 14,09 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Le Puy-en-Velay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Emblavez-et-Meygal | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Malrevers est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Malrevers se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 13 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 14 km de Saint-Julien-Chapteuil[2], bureau centralisateur du canton d'Emblavez-et-Meygal dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Chaspinhac (2,2 km), Beaulieu (3,8 km), Saint-Étienne-Lardeyrol (4,0 km), Rosières (4,2 km), Blavozy (4,7 km), Lavoûte-sur-Loire (5,2 km), Le Monteil (5,4 km), Chadrac (6,1 km).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 7,9 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Puy-Chadrac », sur la commune de Chadrac à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 632,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Malrevers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,2 %), zones agricoles hétérogènes (24,1 %), forêts (23,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), zones urbanisées (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 393, alors qu'il était de 382 en 2013 et de 355 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 76,5 % étaient des résidences principales, 12,4 % des résidences secondaires et 11,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,4 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Malrevers en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (12,4 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,3 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Malrevers[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 76,5 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 12,4 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11,1 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Malrevet (1390), Malravert (1430), Malrevert (1458), Malreverd (1555), Maurevert (1679)[14].
Selon le toponymiste Ernet Nègre, Malrevers tirerait son origine de l'occitan, combinant mal, signifiant « mauvais », et revers, désignant un « lieu exposé au nord »[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le village naît en 1865, sur des terrains pris aux villages de Chaspinhac et de Rosières.
Trente-huit enfants de la municipalité sont tombés au champ d'honneur lors de la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Malrevers est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[16].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Emblavez-et-Meygal pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[17].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2021, la commune comptait 765 habitants[Note 4], en évolution de +2,27 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 375 hommes pour 382 femmes, soit un taux de 50,46 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 295 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 709 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 040 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 11] | 4,5 % | 6,2 % | 5 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 480 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3 % d'actifs (73,3 % ayant un emploi et 5 % de chômeurs) et 21,7 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 85 emplois en 2018, contre 95 en 2013 et 81 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 355, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,3 %[I 15].
Sur ces 355 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 69 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 84,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Julien-de-Brioude.
- Croix de Cleyssac, au hameau de Cleyssac, sur le territoire de la commune, inscrit monument historique en 1930.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Le Kibboutz de Malrevers réunit quelque membres autour de pratiques mêlant judaïsme et christianisme.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Malrevers ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Malrevers » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Malrevers - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Malrevers - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Malrevers (43126) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Malrevers » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Malrevers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Malrevers » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Malrevers et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Malrevers et Saint-Julien-Chapteuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Malrevers », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Malrevers et Chadrac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Puy-Chadrac », sur la commune de Chadrac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Puy-Chadrac », sur la commune de Chadrac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Puy-en-Velay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Augustin Chassaing, Dictionnaire topographique du departement de la Haute-Loire, Impr. Nat, (lire en ligne), p. 166
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), p. 1346
- « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « CHARBONNIER, Jean Pierre Clément », sur Archives nationales (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
- « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :