Aller au contenu

Les Mambo Kings

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Les Mambo kings)
Les Mambo Kings

Titre original The Mambo Kings
Réalisation Arne Glimcher
Scénario Cynthia Cidre
Acteurs principaux

Armand Assante
Antonio Banderas
Cathy Moriarty

Sociétés de production Alcor Films
Canal+
New Regency Productions
Warner Bros.
Pays de production Drapeau de la France France
Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Drame, musical
Durée 104 minutes
Sortie 1992

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Les Mambo Kings ou Les Rois du Mambo au Québec (The Mambo Kings) est un film américain d'Arne Glimcher, sorti en 1992.

1952. Les États-Unis vivent au rythme du mambo, une danse cubaine dont les sonorités sensuelles enfièvrent les corps et les cœurs. Cesar et Nestor Castillo, deux musiciens cubains originaires de La Havane, sont venus tenter leur chance aux États-Unis, à New York. Les deux frères ont un caractère très différent : Cesar est un macho sûr de lui, tandis que Nestor est fragile et sentimental.

Si les affrontements et les querelles entre les deux frères sont nombreux, la musique balaye tous les malentendus lorsque, une fois sur scène, ils deviennent les Rois du mambo

Fiche technique

[modifier | modifier le code]

Distribution

[modifier | modifier le code]
L'orchestre des Mambo Kings : Pablo Calogero, Scott Cohen, Mario Grillo, Ralph Irizarry (VQ : Guy Nadon), Pete MacNamara, Jimmy Medina, Marcos Quintanilla (VQ : Pierre Auger), J.T. Taylor (VQ : Gilbert Lachance), William Thomas, Jr. et Yul Vazquez

Sources : Version française (VF) sur RS Doublage[1] et Version québécoise (VQ) sur Doublage Québec[2]

Musique et chansons du film

[modifier | modifier le code]

Autour du film

[modifier | modifier le code]

Commentaires

[modifier | modifier le code]

Si Arne Glimcher situe son premier long métrage dans les années 1950, c'est que, selon lui, il s'agit « de la dernière période d'innocence et d'insouciance qu'ait vécue l'Amérique ». Avant que Fidel Castro ne prenne le pouvoir, la musique cubaine, et plus généralement latino-américaine, enthousiasmait les Nord-Américains. Cette musique, typique et sensuelle, a conservé tout son rythme entraînant et les décors sont absolument superbes, conformes aux vœux du réalisateur : « Je ne suis pas minimaliste. Je voulais un film riche, des images opulentes, qu'il s'agisse d'un abattoir regorgeant de viandes rouges ou d'un night-club enfumé où se pressent de splendides danseurs de mambo. »[réf. souhaitée]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]