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Kim Kyong-hui

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Kim Kyong-hui

김경희
金敬姬

Illustration.
Une famille idéale : Kim Il-sung,
sa première femme Kim Jong-suk et leurs enfants Kim Jong-il et Kim Kyong-hui.
Fonctions
Secrétaire de l'organisation du Parti du travail de Corée
Biographie
Date de naissance (78 ans)
Père Kim Il-sung
Mère Kim Jong-suk
Fratrie Kim Jong-il (frère)
Conjoint Jang Song-taek (exécuté)
Enfants Jang Kum-song (fille, décédée)
Entourage Kim Jong-un (neveu)

Kim Kyong-hui
Hangeul 김경희
Hanja 金敬姬
Romanisation révisée Gim Gyeonghui
McCune-Reischauer Kim Kyŏnghŭi

La générale Kim Kyong-hui, née le , est une femme nord-coréenne, fille de Kim Il-sung, et sœur de Kim Jong-il.

Fille de Kim Il-sung et de sa première épouse Kim Jong-suk, elle est la sœur cadette de Kim Jong-il et la tante du dirigeant actuel de la Corée du Nord Kim Jong-un. Son époux Jang Song-taek, dignitaire du régime, est exécuté en 2013.

Sa fille Jang Kum-song meurt le 10 août 2006 à Paris ; elle travaillait à la délégation nord-coréenne à l'UNESCO[1]. En , Kim fait l'objet de rumeurs de suicide imposé par empoisonnement, sur ordre de son neveu Kim Jong-un[2]. Alors qu'elle travaillait auparavant pour ce dernier en tant que conseillère, elle doit désormais vivre dans la clandestinité[3].

Les renseignements sud-coréens indique qu’elle aurait été « exécutrice testamentaire » de Kim Jong-il[4],[5].

Le , elle réapparaît publiquement pour la première fois depuis l'exécution de son mari, à l'occasion de festivités pour le Nouvel-An, où elle est assise dans une salle de théâtre à côté de Ri Sol-ju, et à deux sièges de son neveu Kim Jong-un[6].

Elle a été diplômée de l’université Kim Il-sung[4]. Elle a commencé sa carrière professionnelle dans l’Union démocratique des femmes puis elle a été à la direction du Département international du Comité Central avant d’être à partir de 1987 à la direction du Département des industries légères[4].

Elle aurait servi d’informatrice informelle auprès de Kim Jong-il[4].

Personnalité

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Elle est de taille petite, avec un caractère fort, aimant beaucoup l’alcool, elle serait crainte du fait de sa proximité avec Kim Jong-il (étant sa sœur)[réf. nécessaire].

Généalogie

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Notes et références

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  1. Éric Pelletier, Jean-Marie Pontaut, « Une Nord-Coréenne morte en France », lexpress.fr, 18 octobre 2006.
  2. (en) Sneha Shankar, « North Korea's Kim Jong Un Ordered His Aunt Kim Kyong Hui To Be Poisoned: Report », International Business Times, (consulté le ).
  3. « La sœur de Kim Jong-un devient la femme la plus puissante de Corée du Nord », sur lefigaro.fr, .
  4. a b c et d Philippe Pons, Corée du Nord, un État-guérilla en mutation, Paris, Gallimard, coll. « La Suite des temps », , 720 p. (ISBN 978-2-07-014249-1), page 376
  5. « Kim Kyong-hui, Full General of Peoples’s Army », Vantage Point,‎ , p. 24-26.
  6. « Corée du Nord : la tante de Kim Jong-un réapparaît six ans après, faisant taire les rumeurs d'exécution », sur www.cnews.fr (consulté le )

Articles connexes

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Liens externes

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