Elzange
Elzange | |
L'église Saint-Pierre. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Thionville |
Intercommunalité | CC de l'Arc mosellan |
Maire Mandat |
Philippe Hanrion 2022-2026 |
Code postal | 57970 |
Code commune | 57191 |
Démographie | |
Gentilé | Elzangeois, Elzangeoises |
Population municipale |
683 hab. (2021 ) |
Densité | 170 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 21′ 47″ nord, 6° 17′ 08″ est |
Altitude | Min. 157 m Max. 306 m |
Superficie | 4,01 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Luxembourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Metzervisse |
Législatives | Neuvième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://elzange.fr/ |
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Elzange est une commune française située dans le département de la Moselle en région Grand Est.
Ses habitants, appelés les Elzangeois en français et les Eelsénger en platt[1], sont au nombre de 683 en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Elzange est une petite commune rurale située dans le Nord-Ouest de la Moselle, dans le pays thionvillois, à une dizaine de kilomètres à l'Est de Thionville.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le village d'Elzange est desservi par la ligne de bus TIM 107 qui va de Thionville à Waldweistroff, avec 3 allers-retours journaliers.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Distroff, Inglange, Kœnigsmacker, Oudrenne et Valmestroff.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse, sur la rive droite de la Moselle ; Elzange est drainée par le ruisseau le Canner[Carte 1] et se trouve dans la vallée éponyme.
Le Canner, d'une longueur totale de 29,4 km, prend sa source dans la commune de Vry et se jette dans la Moselle à Kœnigsmacker, après avoir traversé onze communes dont Elzange[2].
La qualité du ruisseau le Canner peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 770 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Elzange est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,1 %), prairies (25,8 %), terres arables (24,6 %), zones urbanisées (9,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 1817, il y a 26 maisons à Elzange[14], un chiffre qui passe à 53 en 1844[15].
Par la suite, le nombre total de logements dans la commune elzangeoise est de 272 en 2008, 275 en 2013 et 285 en 2018[I 2].
En 2018, parmi ces logements, 96,5 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 3,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,3 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Elzange en 2018 en comparaison avec celle de la Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi l'absence de résidences secondaires et logements occasionnels à comparer au taux du département (2,1 %) et de celui de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,5 % en 2013), contre 59,8 % pour la Moselle et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Elzange[I 2] | Moselle[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 96,5 | 88,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0 | 2,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 3,5 | 9,2 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]En allemand : Elsingen[16],[17]. En francique lorrain : Eelséngen[18],[Note 3].
Mentions anciennes
[modifier | modifier le code]Théodore de La Fontaine pense que la mention Aliasingas de l'an 888 concerne Elzange[19], mais l'Académie impériale de Metz pense que cette mention concerne le hameau d'Elzing[20] qui est situé à quelques kilomètres au Sud-Est d'Elzange. Il n'est donc pas possible de dire quelle localité est réellement concernée par ladite mention.
Ce village est mentionné sous les noms de : Alizanges (1279)[20], Elcanges (1341)[17], Elzinguen (1361)[21], Elssingen (1495 et 1528)[22], Elsinga (vers 1540)[21], Elsinga et Helzinga (1544)[17], Elzin (XVIIe siècle)[17], Elsingen (1636)[17], Elzingen (1693)[17], Elsange (1722[17] et 1801[23]), Elzange (1793)[23], Elsingen ou Elsange (1863)[19].
En outre, à l'époque de la Lorraine annexée (1871-1918), cette localité porte le nom de Elsingen[24].
Étymologie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Elzange se compose de l'anthroponyme germanique Alis[21] ou Elso[19], suivi du suffixe -inga[21] francisé en -ange.
Histoire
[modifier | modifier le code]Elzange était régi par la coutume de Thionville[17] et était une possession des abbayes Saint-Matthias de Trèves, Villers-Bettnach et Rettel[réf. nécessaire].
Sur le plan spirituel, ce village était le siège d’une cure de l’archiprêtré de Kédange, qui dépendait de l’abbaye de Rettel et qui avait pour annexes Valmestroff ainsi que la chapelle Saint-Nicolas[17]. En 1817, l'église de ce village est une annexe de la paroisse d'Inglange[14].
Instituée par la Révolution française, la commune elzangeoise absorbe celle de Valmestroff le par décret[17],[25] ; cette dernière retrouve son autonomie en 1923[25].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]À partir du Moyen Âge, Elzange dépend de la prévôté de Thionville du Luxembourg[22], dissoute en 1661 à la suite du traité des Pyrénées de 1659. Ce village fait ensuite partie du bailliage de Thionville des Trois-Évêchés[17], supprimé en 1790 par la France révolutionnaire.
Elzange intègre ensuite le district de Thionville[23] (1790-1795), puis l'arrondissement de Thionville[23] créé en 1800. À l'époque de l'Alsace-Lorraine, Elzange fait partie du Kreis Diedenhofen[23] (1871-1901), puis du Kreis Diedenhofen-Ost[23] (1901-1918). À la suite du traité de Versailles de 1919, ce dernier devient l'arrondissement de Thionville-Est puis est supprimé en 2015[I 1] ; après quoi Elzange se retrouve à nouveau dans l'arrondissement de Thionville.
La commune d'Elzange fait partie du canton d’Inglange de 1790 à 1802[17], puis du canton de Metzervisse[17],[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Metzervisse[I 1].
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription de la Moselle.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Elzange est membre de la communauté de communes de l'Arc Mosellan, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Elzange fait partie de l'académie de Nancy-Metz, en zone B, il y a une école maternelle et une école élémentaire.
Son collège de rattachement est le « collège de la Canner », situé à Kédange-sur-Canner.
Démographie
[modifier | modifier le code]De 1812 à 1923, les chiffres de population comprennent ceux de Valmestroff, qui faisait alors partie d'Elzange[25].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2021, la commune comptait 683 habitants[Note 4], en évolution de −8,32 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]En 1817, ce village à un territoire productif de 458 hectares, dont 2 et demi en vignes et 131 en bois[14].
Au milieu du XIXe siècle, la commune d'Elzange possède une carrière de plâtre gris et blanc renommé, dont on exploite chaque année plus de 700 mètres cubes[15].
Au début du XXIe siècle, l'économie de ce village est essentiellement tournée vers l'agriculture.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Vestiges gallo-romains.
- Moulin d'Elzange.
- Ancien camp militaire (1939-1945), transformé en cité ouvrière.
- Église paroissiale Saint-Pierre construite en 1762, date portée sur la porte d'accès à la nef.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- « Elzange » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le double [e] initial est une voyelle longue.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Elzange » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Elzange - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Elzange - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Moselle - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- (mul) Albert-Louis Piernet (dir.), Hemechtsland a Sprooch : Kinneksmaacher (no 7), (ISSN 0762-7440), p. 213
- Sandre, « le ruisseau le Canner »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Elzange et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Claude Philippe de Viville, Dictionnaire du département de la Moselle : Contenant une histoire abrégée, Metz, 1817.
- François Verronnais, Statistique historique, industrielle et commerciale du département de la Moselle, Metz, 1844.
- « Dénominations allemandes de lieux relatées en français », dans Publications de la Société pour la Recherche et la Conservation des Monuments Historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, volume XVIII, 1863, p. 183
- Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien Département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
- (mul) Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1, (ISSN 0762-7440).
- Théodore de La Fontaine, « Essai étymologique sur les noms de lieux du Luxembourg germanique : troisième division, Luxembourg français », Publications de la Société pour la recherche et la conservation des monuments historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, Luxembourg, Imprimerie-Librairie V. Buck, vol. XVIII, , p. 196.
- Académie impériale de Metz, Mémoires de l'Académie Impériale de Metz, XLVe année, Metz, Rousseau-Pallez, 1865, p. 449
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, tome 2, Droz, 1990, p. 785
- Jules Vannérus, Dénombrements des feux des duché de Luxembourg et comté de Chiny, Bruxelles, 1921.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Ministère de la guerre, Notice descriptive et statistique sur la Lorraine, Paris, Imprimerie nationale, 1907, p. 481
- « Valmestroff - notice communale ».
- « Les anciens élus », Elsange hier, sur elzange.fr (consulté le ).
- « Monsieur Clément KLEIVER est décédé le 26 avril 2016 , Metz », sur libramemoria.com, (consulté le ).
- « Décès de Jean Jungling maire honoraire », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- « L’honorariat pour Guy Soulet et Claude Duchaussoy », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- « Gérard Leray succède à Guy Soulet », Le Républicain lorrain, 29/5/2020 mis à jour le 2/6/2020 (lire en ligne, consulté le ).
- « Elzange perd prématurément son maire, Gérard Leray », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.