Bruyères-et-Montbérault
Bruyères-et-Montbérault | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Laon | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Laon | ||||
Maire Mandat |
Marie-Pierre Tokarski 2020-2026 |
||||
Code postal | 02860 | ||||
Code commune | 02128 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bruyérois(es) | ||||
Population municipale |
1 432 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 123 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 31′ 31″ nord, 3° 39′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 67 m Max. 199 m |
||||
Superficie | 11,61 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Laon (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Laon-2 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | bruyeres-et-montberault.fr | ||||
modifier |
Bruyères-et-Montbérault[1] est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Ses habitants sont appelés les Bruyérois[2].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Bruyères-et-Montbérault se situe au centre du département de l'Aisne.
La commune se trouve à 5,6 km au sud-est de la ville préfecture, Laon[3], à 106,7 km au sud-est de la capitale régionale, Amiens[4], à 39,8 km au nord-ouest de Reims[5], et à 120,9 km au nord-est de la capitale, Paris[6].
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le cours d'eau 01 de la commune de Martigny-Courpierre, le canal 02 de la commune de Laon[7], le canal 03 de la commune de Parfondru[8], le canal 06 de la commune de Parfondru[9], le canal 07 de la commune de Parfondru[10], le canal du Marais de Bruyères[11], le cours d'eau 01 de la Vallée Saint-Pierre[12], le ru de Polton[13] et divers bras du Polton[14],[15],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[17].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Martigny-Courpierre à 4 km à vol d'oiseau[18], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,4 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bruyères-et-Montbérault est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle est située hors unité urbaine[23]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[23]. Cette aire, qui regroupe 106 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24],[25].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,9 %), terres arables (25,2 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), zones urbanisées (8,1 %)[26].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le village a porté le nom de Bruerie (1098) ; Bruerie-in-Rochefort (1160) ; Bruere (1160) ; Brueria (1173) ; Brueries-subtus-Laudunum (1239) ; Bruerie-in-Laudunesio (1254) ; Bruieres-en-Loonois (1326) ; Brueres-en-Laonnois (1330) ; Bruieres (1340) ; Bruyère (1341) ; Bruieres-en-Loenois, Bruiers (1353) ; Bruieres-en-Laonnois (1355) ; Bruierez (1365) ; Bruierez-en-Laonnois (1371) ; Brueres (1389) ; Bruiere (1440) ; Bruyères-en-Lannoys (1522) ; Bruyères-soubz-Laon (1534) ; Bruyerres (1536) ; Bruyères-en-Vermandois (1544) ; Bruyères-en-Laonnoys (1563) ; Bruier (1569) ; Brueres-en-Laonois (1584)[27] et regroupait les hameaux de Chéret, Chérégel, Vorges ou Valbon[28].
Pluriel de l'oïl bruyère[29]. (Bruærium, lieu plein de bruyères ).
Montbérault, ancien hameau de la commune, est attesté sous les formes Alodium de Beroudi curte (1125) ; Monsberoldi (1160) ; Monberot (1181) ; Monberout (1243) ; Montberout (1230) ; Montberoud (1237) ; Monberaut (1247) ; Montberault (1405) ; Momberaut (1416) ; Monsberaldi (1642) ; Saint-Montain-de-Montbéraut (1671) ; Monberau (1671) ; Montberau (1691)[30].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Au XIe siècle, la ville est un doyenné de l'évêché de Laon.
En 1130, la ville devient une commune libre[Note 3] [réf. nécessaire] par une charte d'affranchissement du roi Louis VI le Gros.
L'église bâtie de robuste façon, avec son clocher fortifié du XIIIe siècle[31], fait aussi partie des fortifications de la ville qui a alors trois portes. Ce Petit-fort est ensuite agrandi pour entourer toute la ville en 1350 de ses huit tours et trois portes.
Au cours de la guerre de Cent Ans, les Anglais ont pris la ville lors des chevauchées de 1358, 1359 et de 1373.
Époque moderne
[modifier | modifier le code]Le , quatre cents huguenots allemands prennent la ville[réf. nécessaire], brûlent l'église dont la nef s'effondre sur le doyen[réf. nécessaire]. Les habitants réfugiés dans les caves du Mont-Pigeon sont massacrés. Lors de la huitième guerre de Religion, des ligueurs ravagent le Laonnois et prennent Bruyères en 1587. Puis en 1652 avec la Fronde, les Espagnols font de même.
Sous l'Ancien Régime, Bruyères est le chef-lieu d'un doyenné de même nom, dépendant de l'archidiaconé de Laon et du diocèse de Laon[32]. Montbérault est lui une succursale, dont l'église est placée sous le vocable de Saint-Montain. Cette succursale dépendait de la paroisse de Monthenault[33] et des mêmes circonscriptions ecclésiastiques que Bruyère.
Entre 1795 et 1800, Bruyères absorbe Montbérault[34].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Lors de la Première Guerre mondiale, la ville est fortement endommagée et perd une grande partie de ses archives municipales et paroissiales.
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[35] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [36].
Le , veille de la bataille de Montcornet, le colonel de Gaulle dort dans la commune, comme le rappelle une plaque figurant sur la façade de la maison dans laquelle il passa la nuit.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Laon du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la Première circonscription de l'Aisne.
Après avoir été chef-lieu de canton de 1793 à 1801, elle est rattachée jusqu'en 1973 au canton de Laon, année où celui-ci est scindé, et la commune rattachée au canton de Laon-Sud[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Laon-2
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes du Laonnois, créée fin 1992. Celle-ci se transforme en communauté d'agglomération le et prend sa dénomination actuelle de communauté d'agglomération du Pays de Laon.
Administration locale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre à 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de dix-neuf[37].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43].
En 2021, la commune comptait 1 432 habitants[Note 4], en évolution de −6,53 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Notre-Dame est classée Monument historique depuis 1922[45].
- La batterie de Bruyères, construite entre 1878 et 1882, faisait partie du système Séré de Rivières. Elle participait à la seconde ligne de fortification et défendait Laon. Elle est entretenue par une association[46].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Charles-Louis Thérémin d'Hame (1806-1870)[47], général français inhumé dans la commune, défenseur de la forteresse de Laon en 1870.
- Arsène Houssaye, écrivain, y est né le .
- Édouard Houssaye, journaliste, y est né en 1829 et fut maire de cette ville.
- Fernand Pinal (1881-1958), artiste peintre, y est né. Entre autres musées, ceux de Laon, Meaux et Château-Thierry conservent de ses œuvres.
- Charles Charpentier, poète et historien, y est né en 1855.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Bruyères-et-Montbérault sur le site de l'Institut géographique national
- La préservation des ressources en eau potable : l'exemple de Bruyères-et-Montbérault (article de Gérard Dorel dans Géoconfluences)
- « Dossier complet : Commune de Bruyères-et-Montbérault (02128) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 23 SO, Rethel [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- À ce sujet, Eugène de Mirecourt a écrit dans la biographie qu'il a consacrée à Arsène Houssaye : "Bruyères exerçait le droit de haute et basse justice. On y condamnait à mort. Depuis des siècles, elle restait parfaitement indépendante derrière ses tours et ses remparts, ne subissant le joug d'aucun seigneur, et bravant tous les châteaux voisins. Abeilard y demeura longtemps. Tous les matins, il allait à Laon pour tenir son école, et il revenait le soir à Bruyères".
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Bruyères-et-Montbérault » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- David Malescourt, « Aisne > Bruyères-et-Montbérault (02860) », sur le site habitants.fr d'une société commerciale (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bruyères-et-Montbérault et Laon »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bruyères-et-Montbérault et Amiens »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bruyères-et-Montbérault et Reims »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bruyères-et-Montbérault et Paris »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
- Sandre, « le canal 02 de la commune de Laon »
- Sandre, « le canal 03 de la commune de Parfondru »
- Sandre, « le canal 06 de la commune de Parfondru »
- Sandre, « le canal 07 de la commune de Parfondru »
- Sandre, « le canal du Marais de Bruyères »
- Sandre, « le cours d'eau 01 de la Vallée Saint-Pierre »
- Sandre, « le ru de Polton »
- Sandre, « divers bras du Polton »
- « Fiche communale de Bruyères-et-Montbérault », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bruyères-et-Montbérault et Martigny-Courpierre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Martigny-Courpierre » (commune de Martigny-Courpierre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Martigny-Courpierre » (commune de Martigny-Courpierre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Laon », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 42.
- Charles Charpentier, Bruyères-et-Monbérault, l'église Notre-Dame, Matot-Braine, Reims, 1933.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 264.
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 178.
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 32 (cf. Braine).
- Auguste Longnon, Pouillés de la province de Reims, Paris, 1908, p. CI-CIII.
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique du département de l'Aisne, Paris, 1871, p. 179
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 24 octobre 1920, p. 16440.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
- Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1879, p244.
- « Gérard Dorel, le maire de Bruyère-et-Montbérault, a décidé de passer la main », sur L'Union, (consulté le ).
- « Passage de relais à la Mairie de Bruyères », sur bruyeres-et-montberault.fr (consulté le ).
- « La maire de Bruyères-et-Montbérault en lice pour un second mandat : Bruyères-et-Montbérault Après avoir succédé au maire Gérard Dorel pour un demi-mandat qu'elle a entamé le 31 janvier 2017, Marie-Pierre Tokarski a décidé de continuer. », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PA00115559, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- La batterie de Bruyères.
- « Charles-Louis Thérémin d'Hame », base Léonore, ministère français de la Culture.